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Yonk : L'invention de la religion

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Histoire de France

Le 4 septembre 1870. L'invention de la République

Le 2 septembre 1870, la France subit à Sedan, contre la Prusse, l'une des plus terribles défaites de son histoire. Napoléon III est prisonnier. A Paris, la nouvelle provoque la sidération, et la foule réclame l'abolition de l'Empire. Le 4 septembre, en quelques heures, la déchéance est votée, un gouvernement de la Défense nationale est constitué et la République est proclamée, dans une grande agitation, mais sans aucune goutte de sang, ce qui est sans précédent depuis 1789. Entre le Palais-Bourbon envahi, les Tuileries désertées, l'Hôtel de Ville et le ministère de l'Intérieur en ébullition, se joue et s'écrit un grand moment d'histoire de la France, puisque depuis lors la République, réinventée en un seul jour, n'a désormais plus cessé d'être notre régime institutionnel, mis à part la parenthèse de Vichy. L'auteur relate heure par heure et de lieu en lieu cette journée trop méconnue, mettant en scène l'impératrice Eugénie exfiltrée de son palais, le stupide ministre de la Guerre Palikao, le général Trochu, président du nouveau gouvernement, le vieil et vert orléaniste Thiers, les républicains de 1848 Grévy et Crémieux, les jeunes prudents comme J. Favre, J. Ferry, E. Picard, plus ardents comme Gambetta qui impose son énergie et son éloquence. Sur le fondement de ces événements, notre pays vit encore.

08/2017

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Beaux arts

L'invention d'un tableau. "La tempête" de Giorgione

A travers une analyse minutieuse de deux oeuvres majeures de Giorgione, Les trois philosophes et La tempête, l'auteur rappelle ce que doivent être les conditions d'une véritable interprétation de l'oeuvre d'art. Après un recensement de toutes les exégèses que les critiques et les historiens de l'art ont proposées, il entreprend de rechercher le sens perdu de ces deux oeuvres énigmatiques, d'abord en les replaçant dans une série iconographique précise, puis en restituant les rapports qui unissaient le peintre à ses commanditaires. Que pouvait représenter la possession d'oeuvres d'art pour les plus raffinés des Vénitiens du début du XVIe siècle, qu'y recherchaient-ils et quel plaisir y prenaient-ils ? C'est de la réponse à ces questions d'histoire sociale des pratiques culturelles, et non d'une philosophie éternelle du Beau, qu'on peut attendre une interprétation de telles oeuvres.

09/1987

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Psychologie, psychanalyse

L'invention de la mémoire. Le cerveau, nouvelles donnes

Ce livre a pour objet un mythe : notre capacité à nous souvenir des êtres, des lieux et des choses grâce à l'image que nous en possédons, imprimée et emmagasinée en permanence dans notre cerveau. Dans l'invention de la mémoire, I. Rosenfield conteste ce mythe. Il nous raconte les travaux de Charcot, Broca, Dejerine, entre autres, qui ont fondé la neurologie, la psychologie et la philosophie moderne. Analysant et critiquant les diverses théories du mode de fonctionnement de la mémoire et du cerveau en général, I. Rosenfield montre en particulier comment l'idée d'utiliser l'ordinateur de fonctionnement du cerveau se révèle inadéquate. Freud a essayé de résoudre le paradoxe suivant : si les souvenirs sont réellement stockés en permanence quelque part dans le cerveau, pourquoi nous est-il si difficile de les rappeler à volonté sous leur forme originelle ? la notion d'inconscient tente de répondre à cette question, mais aujourd'hui d'autres travaux nous donnent de meilleures réponses, en particulier ceux du prix nobel Gerald Edelman. La théorie d'Edelman affirme que nous pouvons reconnaître, nous souvenir, sans qu'il y ait besoin d' " inventer " un centre de la mémoire : nous ne pensons pas, nous ne nous souvenons pas, notre cerveau ne fonctionne pas comme un ordinateur. Comme des magiciens, nous ré-inventons notre passé. Ce que nous sortons du chapeau magique qu'est notre mémoire est différent de ce que nous y avons mis, et le chapeau a lui aussi changé. Ce livre nous explique pourquoi et comment chaque cerveau, chaque individu, est unique et quelle est l'origine de cette singularité.

03/1994

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Sciences historiques

Figures publiques. L'invention de la célébrité (1750-1850)

Bien avant le cinéma, la presse à scandale et la télévision, les mécanismes de la célébrité se sont développés dans l'Europe des Lumières, puis épanouis à l'époque romantique sur les deux rives de l'Atlantique. I)es écrivains comme Voltaire, des comédiens comme Garrick, des musiciens comme Liszt furent de véritables célébrités, suscitant la curiosité et l'attachement passionné de leurs " fans ". A Paris comme à Londres, puis à Berlin et New York, l'essor de la presse, les nouvelles techniques publicitaires et la commercialisation des loisirs entraînèrent une pro-fonde transformation de la visibilité des personnes célèbres. On pouvait désormais acheter le portrait de chanteurs d'opéra et la biographie de courtisanes, dont les vies privées devenaient un spectacle public. La politique ne resta pas à l'écart de ce bouleversement culturel : Marie-Antoinette comme George Washington ou Napoléon furent les témoins d'un monde politique transformé par les nouvelles exigences de la célébrité. Lorsque le peuple surgit sur la scène révolutionnaire, il ne suffit plus d'être légitime, il importe désormais d'être populaire. A travers cette histoire de la célébrité, Antoine Lilti retrace les profondes mutations de la société des Lumières et révèle les ambivalences de l'espace public. La trajectoire de Jean-Jacques Rousseau en témoigne de façon exemplaire. Ecrivain célèbre et adulé, celui-ci finit pourtant par maudire les effets de sa " funeste célébrité", miné par le sentiment d'être devenu une figure publique que chacun pouvait façonner à sa guise. À la fois désirée et dénoncée, la célébrité apparaît comme la forme moderne du prestige personnel, adaptée aux sociétés démocratiques et médiatiques, comme la gloire était celle des sociétés aristocratiques. C'est pourtant une grandeur toujours contestée, dont l'histoire éclaire les contradictions de notre modernité.

08/2014

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Histoire de la philosophie

Entre technique et politique. L'invention de la photographie

Au XIXe siècle en Europe, la capacité à fixer techniquement les images va changer la culture et les sociétés. Il s'agit d'un des vecteurs essentiels, avec les chemins de fer, de l'intégration par la société du progrès industriel. Dans son essai, Juliette Grange met en relation la philosophie positiviste et la daguerréotypie. Elle interroge l'essence de la technique photographique à ses débuts, entre enthousiasme et inquiétude. L'objectif introduit l'objectivité et l'exhaustivité de l'inventaire spatial ou temporel. Le portrait, la prose réaliste (Balzac se propose de "daguerréotyper la société"), transforment l'identité individuelle ou sociale. S'ajoute au volume la publication d'un certain nombre de textes de autour de l'invention de la photographie. En tout premier lieu le discours d'Arago, spécialiste de l'optique en même temps que grand républicain, à la Chambre des députés (1839). Ce discours sur Daguerre précipite l'invention technique dans le champ politique et constitue la photographie comme bien commun, à la disposition de tous. Le gouvernement français acquiert en effet le brevet pour "en doter libéralement le monde entier". Par ailleurs, les textes de Delacroix, Baudelaire, Valéry montrent la vivacité de l'interrogation sur la nature de la peinture et de la littérature dans ses rapports avec la technique.

02/2022

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Cinéma

L'invention de la scène américaine. Cinéma et paysage

Le premier quart du XXe siècle est une période où l'Amérique se constitue à la fois comme scène et comme modèle mythique pour l'ensemble des pays industrialisés. Dans cet ouvrage, Jean Mottet nous restitue le mouvement par lequel le cinéma contribue à la création du modèle américain, auquel nous sommes confrontés aujourd'hui, qu'on l'imite ou qu'on le rejette. Il analyse la naissance de quelques-uns des paysages mythiques qui traverseront toute l'histoire du cinéma : New York, le refuge champêtre, la petite ville, la maison rêvée du Sud, l'Ouest ... Du plus proche aux confins du pays, les premiers récits du cinéma américain explorent pas à pas, minutieusement, la maison, l'enclos, le jardin, la rue, le coteau, les bords de la rivière, la forêt, dans une invention constante de nouveaux paysages. Et si l'oeuvre et le paysage étaient lié ? A travers l'examen d'un grand nombre de films de D.W. Griffith, mais en sollicitant également la photographie (Jacob Riis, Alfred Stieglitz ...) et la peinture (Thomas Cole, Winslow Homer ...), Jean Mottet dégage des éléments communs à ces différentes représentations, ouvrant par-là de nouvelles perspectives à la réflexion sur les rapports entre les arts d'un pays et ses paysages.

05/1998

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Sciences politiques

L'invention de la France. Atlas anthropologique et politique

Une conviction cheville cet atlas : la nation française n'est pas un peuple mais cent, et ils ont déridé de vivre ensemble. Du nord au sud, de l'est à l'ouest de l'Hexagone les mœurs varient aujourd'hui comme en 1850. Chacun des pays de France a sa façon de naître, de vivre et de mourir. L'invention de la France cartographie cette diversité en révélant le sens caché de l'histoire nationale : hétérogène, la France avait besoin pour exister de l'idée d'homme universel, (lui nie les enracinements et les cloisonnements ethniques. Produit d'une cohabitation réussie, la Déclaration des droits de l'homme jaillit d'une conscience aiguë mais refoulée de la différence. La culture est mouvement, progrès, diffusion, homogénéisation bien sûr, mais de nouvelles différences apparaissent sans cesse, aujourd'hui maghrébines, africaines ou chinoises. Il ne saurait donc y avoir de retour à une homogénéité perdue, parce que cette homogénéité n'a jamais existé. Les défenseurs autoproclamés de l'identité nationale ne comprennent pas l'histoire de leur propre pays. Ils sont aveugles à la subtilité et à la vérité du génie national. L'effondrement du catholicisme puis celui du communisme ont engendré un vide religieux et idéologique qui a fini par couvrir tout l'Hexagone. Cette nouvelle homogénéité par le vide explique l'apparition, parmi bien d'autres choses, dans un pays où les Français classés comme musulmans ne pratiquent pas plus leur religion que ceux d'origine catholique, protestante ou juive, d'une islamophobie laïco-chrétienne, qui prétend que la seule bonne façon de ne pas croire en Dieu est d'origine catholique. L'abysse métaphysique de notre actuel moment politique trouve ici sa source.

02/2012

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Ecrits sur l'art

Design(s) blanc(s). L'invention de la couleur

Les démarches collaborées, dans le champ du design, des pratiques artistiques et professionnelles, des sciences appliquées et des techniques, imbriquant la recherche, la création et l'action, sont toujours stimulantes à observer pour un individu en formation. Elles offrent la possibilité d'une recherche pensée comme le passage entre l'action et la poétique, dans une mise à distance du quotidien mêlant l'expérimentation et le projet. Dans un tournant pragmatique et réflexif, où la richesse d'une recherche naît du croisement disciplinaire (de l'anthropologie aux arts, du design à l'histoire sociale, du sociomarketing à l'image, de l'espace aux conditions de vision, du rituel à la linguistique), la couleur blanche forme les exercices d'une expérience globale, celle du passé, mais aussi celle de demain. Blanc(s), un devenir de la couleur en train de se construire. Il s'agit ici d'un ensemble de textes issus d'un colloque international et de journées d'études ayant eu lieu dans le cadre d'une manifestation artistique et culturelle sur la couleur blanche, à Toulouse et Montauban.

03/2023

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Religion

L'invention critique de la Bible. XVe-XVIIIe siècle

Quand a-t-on commencé à lire les Ecritures autrement qu'en passant par les commentaires allégoriques des Pères de l'Eglise et en ne se fiant qu'à la Vulgate, version latine établie par saint Jérôme? Comment s'est-on autorisé à poser des questions sur leur auteur (unique ou multiple?), à se tourner vers d'autres versions (grecque et hébraïque) et à les comparer, à entreprendre de nouvelles traductions, à proposer des interprétations, en bref à porter un regard "critique,. sur le Livre des livres, censé transmettre la parole révélée ? Pierre Gibert retrace dans ses méandres l'histoire de cette invention critique de la Bible dès ses prémisses, au temps de l'humanisme et de la Renaissance. jusqu'à l'établissement de ses principes fondamentaux, dans la seconde moitié du XVIIe siècle, afin de suivre les querelles que l'exégèse continue de susciter encore aujourd'hui.

03/2010

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Sciences historiques

L'invention de la tradition. Edition revue et augmentée

Depuis sa parution en anglais, L'Invention de la tradition n'a pas cessé d'être cité et commenté, en Grande-Bretagne comme ailleurs. Le concept de "tradition inventée" fait aujourd'hui partie du patrimoine des sciences sociales et de l'histoire. Les différentes études réunies dans ce recueil décrivent comment les Etats-nations modernes en gestation, mais aussi les mouvements antisystémiques qui se développèrent en leur sein et les sociétés dites "traditionnelles", ont délibérément cherché, souvent avec succès, à réinterpréter radicalement ou à inventer, parfois de toutes pièces, des traditions et des "contre- traditions" pour se légitimer, s'inscrire dans la longue durée, assurer la cohésion de la communauté ou encore garantir le contrôle des métropoles impériales sur les sujets coloniaux.

06/2012

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Sociologie

Pornotopie. Playboy et l'invention de la sexualité multimédia

"Je voulais faire de ce Manoir une maison de re^ve. Un lieu ou` travailler et aussi s'amuser, sans les proble`mes et les conflits du monde exte´rieur. A` l'inte´rieur, un ce´libataire avait le contro^le total de son environnement. Je pouvais passer de la nuit au jour, visionner un film a` minuit et commander a` di^ner a` midi, avoir des re´unions au milieu de la nuit et des rendez-vous galants l'apre`s-midi". Voici le projet de Hugh Hefner, le créateur du magazine Playboy et concepteur du fameux Manoir à l'intérieur duquel il va se confiner pendant plus de quarante ans. Publié pour la première fois en 1953, Playboy n'a pas seulement été le premier magazine érotique populaire des Etats-Unis ; il a également fini par incarner un style de vie entièrement nouveau, construisant une série d'espaces multimédia et utopiques : manoir, penthouse, clubs, hôtels... tous ultraconnectés, comme s'ils préfiguraient l'ère contemporaine de l'incessante émission-réception d'images et d'informations et d'une vie conçue pour se donner en spectacle. Simultanément, l'invention de la pilule contraceptive donne accès à une technique biochimique qui sépare la sexualité (hétéro) et la reproduction. Là où on a pour habitude de ne voir que des femmes déguisées en lapin pour le plaisir des hommes, Paul B. Preciado étudie les relations stratégiques entre l'espace, le genre et la sexualité dans des sites liés à la production et à la consommation de pornographie hétérosexuelle restés en marge des histoires traditionnelles de l'architecture : garçonnières, lits rotatifs multimédias ou objets de design. En combinant les perspectives historiques avec la théorie critique contemporaine, la philosophie de la technologie et un éventail de sources primaires transdisciplinaires - Sade, Ledoux, Restif de la Bretonne, Giedion ou Banham, traités sur la sexualité, manuels médicaux et pharmaceutiques, journaux d'architecture, magazines érotiques, manuels de construction et romans -, Pornotopia explore l'utilisation de l'architecture comme technique biopolitique pour gouverner les relations sexuelles et la production du genre pendant la guerre froide aux Etats-Unis, et raconte la genèse de la nouvelle masculinité hétérosexuelle des réseaux sociaux d'aujourd'hui. Paul B. Preciado est philosophe, commissaire d'exposition et auteur. Dans la lignée des travaux de Gilles Deleuze et Félix Guattari, Michel Foucault, mais aussi de Monique Wittig et Judith Butler, ses ouvrages sont des références internationales des études queer, trans et non-binaires. POSTFACE INEDITE DE L'AUTEUR

03/2022

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Sciences politiques

L'invention démocratique. Les limites de la domination totalitaire

Contrairement à beaucoup d'intellectuels de sa génération, Claude Lefort peut se réclamer d'une rare constance dans l'analyse des régimes communistes, qu'il qualifiait de totalitaires dès 1956. Il s'est acharné pendant trente-cinq ans à démonter les mécanismes politiques et idéologiques d'un système qui visait à une domination complète de la vie sociale ; et, non moins, à déceler tous les signes de l'écart irréductible entre le projet totalitaire et la réalité de fait. Les textes publiés en 1981 font état de sa conviction que l'effondrement du communisme est inévitable. Ce jugement procède d'une vision politique des sociétés modernes. Pour Claude Lefort, la connaissance du communisme ne se dissocie pas d'une réflexion sur la démocratie. A ceux qui ont fait le procès du communisme en se fondant sur une théorie du fonctionnement de l'économie dans les sociétés industrielles, il oppose que ce régime a eu pour première cible les libertés civiles et politiques, qu'il dérive d'une révolution qui est bien davantage antidémocratique qu'anticapitaliste. Voilà qui éclaire la crise présente des pays sortis du communisme. Pour une part, le libéralisme économique qui accompagne le déchaînement de la violence du marché indique la déroute de l'idéologie communiste. Mais n'est-il pas remarquable qu'il trouve un terrain privilégié dans des sociétés démantelées par une domination totalitaire, où se sont effacées dans la population la notion du droit, celle de l'association, de la résistance collective ? Plus que jamais se pose la question : qu'est-ce que l'invention démocratique ?

11/1994

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Religion

Science, Religion et Culte des ancêtres - L’Afrique et le mensonge des ‘religions’ importées. Le chr

Ce livre est écrit pour attirer votre attention, pour vous amener à faire des recherches et pour constater de vous-même. Raison pour laquelle les explications ont été très simplifiées avec une lecture facile. Les Africains ont cessés d'être eux-mêmes sans savoir exactement ce qu'ils sont devenus. La seule chose certaine est qu'ils sont devenus dès lors très vulnérables parce qu'ils doivent attendre que le nouveau maître leur explique ce qu'ils sont, ce qu'ils seront. Les Africains sont entre l'Afrique qu'ils ne connaissent pas et l'Occident qu'ils ne connaîtront jamais. Il est important que la science s'allie à la spiritualité si l'on veut vraiment devenir une civilisation évoluée dans tous les sens du terme. Dieu n'a pas créé le monde. Dieu a fait le monde en utilisant un code, le code cosmique et le code cosmique (le grand ordre des choses) a créé le monde. C'est le code cosmique qui gère la matière physique. Le monde est fait d'information énergétique organisée, le monde est saturé de forces informationnelles non visibles et pourtant agissantes. Je l'ai déjà dit, Dieu est le garant de l'ordre établi des choses. Dieu n'a pas d'émotion. On ne demande rien à Dieu et Dieu ne gère pas les affaires de la famille. Dieu est au-dessus de tous et ne se mêle de rien. Dieu se soucie de l'être que seulement quand l'Homme a rejoint son monde invisible. L'univers est mathématique à l'image du monde virtuel des jeux comme DRIV3R sur PlayStation 2 que l'on code en utilisant des langages de programmation tels C, Java, JavaScript, ... et quand nous explorons ce royaume mathématique, nous avons en quelque sort un aperçu de l'esprit de Dieu, un aperçu du "visage" de la conscience divine. Science + Spiritualité = Physique quantique

12/2017

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Revues de droit

Revue du droit des religions N° 12, novembre 2021 : Les animaux en religion

"Le bien-être animal et la refondation de son statut juridique sont devenus une préoccupation majeure de ses défenseurs, poussée à son paroxysme par le véganisme. Les institutions s'efforcent de conjuguer le devoir de ne pas l'exposer à des souffrances extrêmes avec certaines manifestations de la liberté de religion s'exprimant dans des rites d'abattage. Les varia s'attachent à la répression judiciaire des abus sexuels dans l'Eglise catholique depuis les années 1950, au contentieux administratif lié à l'exercice de la religion en prison et aux origines théologiques de la peine carcérale. Une chronique sur les menus de substitution dans les cantines scolaires et des notes de lecture complètent ce numéro".

12/2021

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Economie (essai)

Risquer l'invention pour réindustrialiser la France

La crise sanitaire a fait prendre conscience de niveau dramatique de la désindustrialisation en France. Les uns expliquent que c'est le fruit d'une réticence typiquement française à la prise de risque, alors que les autres l'attribuent à la concurrence étrangère du coût du travail. Tout le monde invoque la réindustrialisation comme un mantra. Mais réindustrialiser ne consiste pas à relocaliser à la va-vite des centres de fabrication de masques (dont les trois quarts des stocks restent finalement invendus). Et personne n'explique comment réindustrialiser France de manière concrète : quel modèle d'industrie ? Où ? Comment ? Avec quels financements ? Quels sont les blocages à lever ? Quelles sont les spécificités françaises dont nous pouvons tirer avantage ? André Safir propose un contenu inédit et révèle tous les dysfonctionnements que les études macroéconomiques ne savent pas identifier.

05/2022

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Religion

L'utopie de l'Islam. La religion contre l'Etat

Si elle est le fait de courants radicaux qui pervertissent les sources islamiques, la violence qui s’exerce au nom de l’islam, et dont les musulmans sont eux-mêmes les premières victimes, se loge au cœur de la relation entre le religieux et le politique. Pour éclairer la crise qui agite l’univers contemporain de l’islam, une analyse en profondeur des fondements du pouvoir politique, lequel s’est posé, dès les origines, de manière tragique, s’avère nécessaire. Menant une véritable enquête qui convoque les sources, l’histoire, la science politique, la sociologie et la théologie, l’auteur dénoue le fil de la contradiction qui fonde l’utopie de l’islam. En isolant les principales références qui ont inspiré et continuent d’inspirer les mouvements de contestation politico-religieux, elle dévoile au fil des pages la thèse inédite qu’elle défend : toutes les entreprises menées pour corriger le monde conformément à l’idéal islamique n’ont conduit qu’à détruire l’État et l’espace du politique. Voilà qui pulvérise l’idée que l’islam est une religion politique. Professeur à l’université catholique de Lille où elle enseigne la sociologie des religions et l’islam, Leïla Babès anime depuis de nombreuses années une chronique à Radio Méditerranée International (Médi1), où elle décrypte et déconstruit les mécanismes de domination et les discours convenus dans les dossiers qui concernent notamment les institutions politiques et religieuses, le statut des femmes et les cultures des peuples.

11/2011

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Ethnologie et anthropologie

Terres d’infortune - L'homme, la religion et la magie. L'homme, la religion et la magie

Dans l'histoire de la culture occidentale, une profonde différence existe entre la religion et la magie : à la religion, que caractérise la supériorité morale et intellectuelle, s'oppose la magie considérée comme son adversaire primitif, superstitieux et démoniaque. Le présent ouvrage rompt radicalement avec cette tradition aussi ancienne que l'Eglise qui l'a soutenue pendant des siècles, afin de retracer l'histoire de ses origines et de s'interroger sur ses enjeux réels. Quels pouvoirs et quels intérêts a-t-elle servis ? Quels mécanismes idéologiques a-t-elle cachés ? L'auteur propose à l'étude des magismes un nouveau cadre épistémologique tout en souhaitant la réhabilitation de leurs études. Directeur de recherche émérite au CNRS, membre du comité éditorial de la revue américaine Method and Theory in the Study of Religions, Daniel Dubuisson défend une approche radicalement critique de l'histoire des religions.

04/2022

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Sociologie

L'invention de la violence. Des peurs, des chiffres, des faits

A en croire le discours ambiant, nous vivons dans une société très violente. Instrumentalisée à coups de statistiques douteuses par les discours politiques, entretenue en permanence par le traitement médiatique des faits divers, l'émotion emporte tout sur son passage. De l'insulte au meurtre, tout est appelé "violence". Chacun y va de sa solution et de son bouc émissaire (les étrangers ! les jeunes ! les malades mentaux !). Le sentiment d'insécurité grandit et, obnubilés par la peur, nous sommes séduits par le vieux refrain du "c'était mieux avant". Laurent Mucchielli pose sur ces questions un diagnostic scientifique, objectif et impartial. Il révèle que cette fameuse "explosion de la violence" est un mythe produit par une société amnésique. Quels sont les actes délinquants les plus fréquents en France aujourd'hui ? Qui en sont les victimes, les coupables ? Et si notre société est globalement moins violente qu'autrefois, d'où vient ce sentiment envahissant d'insécurité et d'impuissance face à la délinquance ? Le sociologue montre ce que ces actes et ces sentiments révèlent de l'état de notre société - l'évolution des valeurs, les inégalités croissantes de richesse, les façons d'habiter villes et villages, les drames familiaux, l'ampleur du chômage, la ghettoïsation de certains quartiers - et ce qu'ils disent finalement de notre "vivre ensemble". Avec clarté et brio, Laurent Mucchielli met à la portée de tous une synthèse magistrale des connaissances scientifiques disponibles sur ces questions de société essentielles.

11/2011

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Histoire ancienne

La religion des Romains. 4e édition

L'étude de la religion romaine soulève nombre de problèmes. Au-delà de la similitude des termes religieux, encore en vigueur de nos jours, il existe des différences fondamentales de sens et d'interprétation. Par ailleurs, le terme "Romains" lui-même recouvre des réalités très diverses selon l'époque, le lieu et le statut de chaque individu. On ne peut donc parler globalement d'une religion romaine et le choix a été fait ici d'entendre par Romains tous les citoyens romains et leurs dépendants vivant à Rome ou dans les cités romaines. Des textes et des images illustrent cette étude revue et augmentée, que l'auteur a voulue structurelle plutôt que chronologique. Un tableau des événements marquants de la République puis de l'Empire romain, une bibliographie et un index donnent au lecteur les instruments de travail et de compréhension.

07/2019

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Droit

La religion du contractant

Instrument d'échange économique par excellence, le contrat n'est pas, de prime abord, le terrain le plus propice à la satisfaction d'un idéal religieux. Il n'est pas rare, cependant, qu'un contractant se prévale de ses convictions et pratiques religieuses aux fins d'y adapter le contenu ou les conditions d'exécution d'une prestation. La tentation est grande de s'y montrer indifférent. D'un côté est invoquée, pour y parer, l'autonomie de la volonté. De l'autre, il est même suggéré de transposer le principe de laïcité aux relations privées pour obliger les contractants à faire preuve de neutralité. Or, ces dernières sont gouvernées par la liberté de religion. Ainsi, la contractualisation des convictions et pratiques religieuses doit être fortement encouragée. En outre, dans le silence du contrat, le juge peut imposer certaines obligations positives aux contractants, au nom de la liberté de religion et du droit à la non-discrimination, au terme d'un processus de conciliation.

06/2019

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Romans historiques

La religion. Edition collector

1565. En lutte contre les Ottomans, les chevaliers de Malte, proches des Templiers, rebaptisent leur ordre La Religion. En pleine guerre sainte, un trafiquant d'armes et une comtesse française se lancent dans une quête périlleuse. Avec une érudition sans faille et une écriture magistrale, Tim Willocks renouvelle le thriller historique.

10/2018

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Philosophie

Essais sur la religion

Essais sur la religion / par John Stuart Mill ; traduit de l'anglais par M. E. Cazelles Date de l'édition originale : 1875 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

10/2020

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Ouvrages généraux

Propos sur la religion

" On a rassemblé dans ce recueil, et suivant l'ordre chronologique, la plupart des Propos, écrits de 1908 à 1935, qui touchent à la religion par quelque côté, et que l'auteur n'a pas déjà retenus, ni pour les Saisons de l'Esprit, ni pour les Propos sur l'Education, ni pour les Propos de Littérature, ni pour les Propos d'Esthétique. Par contre, la plupart des Propos qui furent réunis en 1924 sous le titre Propos sur le Christianisme se retrouvent dans ce recueil-ci, qui vise à remplacer ou à compléter ce premier recueil".

01/2023

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Théologie

Christ ou la religion ?

De tout temps, le christianisme comme toutes les religions, a cherché à exercer son pouvoir dans la société et à tous les niveaux. Toutes imposent leurs conceptions des choses et voudraient en faire une règle incontournable pour tous. Dans la réalité historique jusqu'à aujourd'hui, elles ont enrichi ceux qui les dirigent et qui se comportent volontiers comme des despotes, quel que soit le nombre de leurs adhérents. Elles ont générés d'innombrables génocides et guerres sans fin. Christ, lui, est venu pour rendre LIBRE. Il n'a jamais contraint quiconque de le suivre et pour ceux qui font ce choix, la seule vérité est dans le texte biblique dans son intégralité. Le discours d'aucun homme ou les dogmes d'une quelconque organisation ne sauraient le remplacer. Alors, où mettre sa confiance ? C'est à cette question que l'auteur vous invite à réfléchir.

03/2023

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Notions

La religion du capital

La religion du Capital - cette farce savoureuse de l'auteur du Droit à la paresse - publiée pour la première fois en 1887, est le compte-rendu d'un congrès international tenu à Londres, au cours duquel les représentants les plus éminents de la bourgeoisie rédigent les Actes d'une nouvelle religion pour ce Chaos qu'ils ont créé et ont décidé d'appeler 'Monde civilisé'. Une nouvelle religion, susceptible non seulement "d'arrêter le dangereux envahissement des idées socialistes" , mais capable de donner à ce monde chaotique et capitalistique une forme au moins apparemment définitive. Il faut bel et bien au Capital un Dieu propre, qui "amuse l'imagination de la bête populaire" . Auteur du Droit à la paresse, Paul Lafargue (1842-1911), le "dernier des bakounistes" , était un homme "qu'il n'était pas possible de ne pas trouver sympathique" au dire de son beau-père, Karl Marx.

05/2022

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Critique

Camus et la religion

Fondée par Michel Minard en 1954, " La Revue des lettres modernes " est une collection de séries monographiques et thématiques consacrées aux écrivains modernes et contemporains.

04/2024

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Religion

Écrits sur la religion

Parallèlement à son activité scientifique, Newton a developpé tout au long de sa vie une réflexion théologique. De cette immense recherche, seuls les passages à teneur religieuse des Principia et de l'Optique sont accessibles en français. Les textes réunis ici - dont certains sont inédits ou difficilement accessibles en anglais - devraient contribuer à faire mieux apprécier l'ampleur des préoccupations religieuses de Newton. Tandis que la reconstitution de la religion primitive et une haine viscérale de l'Eglise de Rome le rapprochent des déistes anglais de son temps, le sentiment d'imminence eschatologique qui transparaît dans ses interprétations des prophéties bibliques en fait aussi le contemporain des sectes millénaristes dont l'essor accompagne le mouvement révolutionnaire du milieu du dix-septième siècle. Cependant, l'attitude érudite et rationaliste, voire intellectualiste, qui caractérise bon nombre des travaux théologiques de Newton manifeste un rejet croissant des lectures inspirées de l'Ecriture. Enfin, la contestation de l'un des principaux articles de foi de l'Eglise anglicane, à savoir l'égalité de substance des trois personnes de la Trinité, range définitivement Newton, aux côtés de Milton et probablement de Locke, parmi les grands hérétiques anglais de son siècle.

11/1996

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Histoire des religions

Introduction à la psychologie de la religion

Cet ouvrage s'intéresse aux expressions humaines (comportements, conduites, attitudes, croyances, représentations, etc.) en contexte religieux, ou en lien avec une spiritualité ou une vision du monde. Il en propose des éclairages psychologiques qui empruntent à divers cadres théoriques. Après une introduction racontant les débuts de la psychologie de la religion, la première partie du livre présente des approches développementales : théories de l'attachement, du développement affectif et cognitif chez l'enfant et l'adolescent, du développement religieux tout au long de la vie. La deuxième partie est consacrée à la transformation de l'identité : conversion, rôle des rites, construction narrative de l'identité, personnalité et psychologie sociale. La troisième partie traite de questions de santé, aborde les thèmes de la possession, des stratégies de coping religieux et de l'intégration de la dimension spirituelle en thérapie avant d'interroger l'universalité anthropologique des propos tenus au regard de comparaisons interculturelles.

10/2023

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Exégèse

La bible au-delà de la religion

Vous n'avez jamais lu la Bible ou juste des bribes ? En s'appuyant sur la lecture de philosophes, sociologues, psychanalystes, exégètes, théologiens, Dominique MICHEL déroule le fil de l'histoire d'un peuple, qui à de multiples reprises reçoit une parole qu'il perçoit venant de Dieu. Mais qui est ce Dieu ? Pourquoi parle-t-il ? L'auteur nous fait vivre de l'intérieur le cheminement des grands personnages bibliques depuis Abraham jusqu'à Jésus, en passant par Moïse, David et les Prophètes. Il nous les rend plus familiers à travers leur questionnement et leurs failles. En accompagnant les textes bibliques de développements sur des thèmes tels que la fécondité, le sacrifice, le pardon, et en les replaçant dans leur contexte historique et religieux, il leur redonne vie et met en perspective des connaissances qui sont pour la plupart d'entre nous assez lacunaires. Et l'on découvre peu à peu la nécessité d'une parole biblique qui aujourd'hui s'adresse à tous et à chacun, au-delà de toute appartenance confessionnelle. La Bible, par ses appels récurrents à nous libérer d'une vision aliénante du sacré nous incite à rechercher les sources vives du vivre ensemble et nous conforte dans une quête de fraternité universelle. Elle éclaire les défis auxquels se trouvent confrontées nos sociétés laïques démocratiques nées d'un légitime anticléricalisme : comment à la fois surmonter les puissantes tentatives de repli identitaire des religions et en même temps maitriser les risques de dissolution du lien social porté jusque-là par elles ? "La Bible n'est pas une parole sur Dieu, elle est parole de Dieu à l'homme pour l'homme. Elle est d'abord anthropologique avant d'être théologique. Elle tend à faire advenir des sujets livres et responsables" écrit l'auteur. Ce premier volume porte sur les premiers effets de la Parole : la Création et la naissance d'un peuple. Il recouvre les cinq premiers livres de la Bible, appelés Torah ou Pentateuque.

12/2021

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Sociologie

L'invention des origines. Sociologie de l'ancrage identitaire

Les sociétés modernes ont été qualifiées de " liquides " : les individus seraient " nomades ". Ce livre infirme une telle vision. S'il est vrai que les mobilités, physiques ou virtuelles, caractérisent bien la seconde modernité, cela ne signifie pas que les individus soient sans attaches. Ils ont autant besoin de sécurité ontologique que les hommes et les femmes des générations antérieures. Ce qui a changé, c'est le fait que leurs communautés d'appartenance, leurs références et leurs attaches sont désormais de plus en plus " choisies ". L'un des ancrages nécessaires à une certaine stabilité de l'identité se joue avec les origines, avec ce qui peut être considéré comme un " chez-soi d'origine ". C'est pour cette raison que ce livre repose sur une enquête portant sur des personnes parties de province pour s'installer en région parisienne ou à Paris. On découvre ainsi comment chacun s'arrange avec son histoire pour posséder des ancrages identitaires qui donnent sens à son parcours biographique. Dans ce type de parcours, les liens, les lieux et les temporalités s'entrecroisent sans cesse. L'individu se situe au carrefour du " nous familial " et du " je ", de l'ici et de l'ailleurs, d'aujourd'hui, d'hier et de demain. Entre origines familiales et origine de soi, les individus " bricolent " pour être tenus par des appartenances et par des lieux tout en gardant le sentiment d'être eux-mêmes. Ceux qui travaillent sur la " mobilité " (aussi bien géographique que psychologique), sur la famille ou sur la construction identitaire seront intéressés par ce livre. De lecture fluide, enrichi de nombreux exemples, il retiendra l'attention de tous ceux qui souhaitent mieux appréhender les spécificités de l'homme contemporain.

05/2006