Recherche

Léon Tolstoï, textes pédagogiques

Extraits

ActuaLitté

Science-fiction

Anna Karénine. Tomes 1 et 2

En visite à Moscou chez son frère Stépan Oblonski, la jeune et belle Anna, femme d'Alexis Karénine, haut fonctionnaire pétersbourgeois, et mère d'un garçon de huit ans, rencontre à sa descente du train le comte Alexeï Vronski. Bientôt, leur liaison éclate au grand jour à Saint-Pétersbourg. Enceinte, la jeune femme est sur le point de mourir en couches. Karénine lui accorde son pardon, tandis que Vronski tente de se suicider. Rétablie, elle quitte son mari et son enfant pour vivre avec son amant en marge de la société aristocratique qui les rejette... Mais la passion jalouse d'Anna commence à peser à son amant. Victime d'une passion à laquelle elle a tout sacrifié, Anna finira par se jeter sous un train... Commencé peu après l'achèvement de Guerre et Paix et inspiré à Léon Tolstoï (1828-1910) par le suicide d'une femme abandonnée par son amant en 1872, Anna Karénine se veut une "expérience de laboratoire" sur le thème de "l'idée familiale" dans le cadre réaliste de la société russe. Le roman parut d'abord en feuilleton, avec succès. Tolstoï y brocarde l'hypocrisie de la haute société pétersbourgeoise. Car le drame d'Anna Karénine, qui ne sait ni mentir ni tricher, n'est pas tant d'avoir succombé à la passion que de lui avoir tout sacrifié, y compris sa vie de femme et de mère.

02/2023

ActuaLitté

Notions

L'esclavage contemporain

Léon Tolstoï, visionnaire, écrivait en 1900 ces mots d'une cruelle actualité : " Pourquoi les ouvriers de fabrique et les ouvriers urbains se trouvent-ils dans une situation misérable ? Et comment y remédier ? Ne peut être celle-ci : C'est que les capitalistes ont accaparé les instruments de production, et que la situation des ouvriers s'améliorera par la diminution des heures de travail, l'augmentation des salaires et la généralisation des instruments de production. La réponse à ces questions doit se trouver dans la démonstration des causes qui ont arraché les hommes à la vie dans la nature, et qui les ont amenés à l'esclavage de la fabrique, et dans la démonstration des moyens d'affranchir les ouvriers de cette nécessité de l'émigration de la vie libre de la campagne à la vie esclave de la fabrique. " Léon Tolstoï (Lev Nikolaïevitch Tolstoï en russe), né le 9 septembre 1828 (dans le calendrier grégorien) et mort le 20 novembre 1910 à Astapovo, est un romancier et essayiste russe. Célèbre dans le monde entier pour ses romans décrivant la vie du peuple russe à l'époque des tsars, il est aussi l'auteur de plusieurs essais, critiques du pouvoir, des gouvernements, du capitalisme et de l'Eglise.

05/2023

ActuaLitté

Poches Littérature internation

La bibliothèque idéale des 50 ans GF Tome 16 : La Mort d'Ivan Ilitch. Nouvelles et récits (1851-1885)

Un homme malade, à l'agonie, comprend la vanité de la vie qu'il a menée (La Mort d'Ivan Illich). Une vieille noble, ayant menti toute sa vie, s'obstine dans son mensonge au moment de mourir (Trois Morts). Un homme raconte comment, après trente-cinq ans d'une existence en apparence paisible, il a basculé dans la folie (Notes d'un fou). Ce volume rassemble des récits rédigés par Tolstoï pendant plus de trente ans, de son entrée en littérature aux années de rédaction de Guerre et Paix et d'Anna Karénine. Hantés par une angoisse existentielle et portant la trace, pour les plus tardifs, de la profonde crise religieuse et métaphysique qui ébranla Tolstoï à partir de 1879, ils dépeignent les hommes, dans leur misère et leur splendeur.

12/2014

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Les chemins de la misère

De nos jours, la plupart de ces miséreux sont des pauvres qui vagabondent sans besace, jeunes pour la plupart, et qui ne sont pas infirmes. Ils sont tous dans l'état le plus pitoyable qui soit, pieds nus, en guenilles, décharnés, tremblant de froid. On leur demande : " Où allez-vous ? " Et la réponse est presque immuable : " Chercher du travail " ou "J'ai cherché du travail, mais je n'en ai pas trouvé, je rentre chez moi. Il n'y a pas de travail, partout on ferme les entreprises. "

04/2012

ActuaLitté

Poches Littérature internation

La Guerre et la Paix. Tome 2

« Eh bien, mon prince, Gênes et Lucques ne sont plus que des apanages, des domaines de la famille Buonaparte. » Prononcés en français, ces mots par lesquels une grande dame de Saint-Pétersbourg accueille un ami au mois de juin 1805 nous plongent d’emblée dans l’atmosphère des salons aristocratiques. Mais ils nous disent aussi que, passé les scènes de la vie domestique et mondaine, le véritable sujet du roman sera l’Histoire et les hostilités entre la France de Napoléon et la Russie d’Alexandre Ier. En écrivant La Guerre et la Paix qui paraît de 1865 à 1869, Tolstoï fait concurrence à l’historien : il puise ses informations aux sources les plus sûres sans renoncer aux pouvoirs de l’imagination qui ouvre à une vérité supérieure. Et cette vérité-là désacralise les grands hommes : les événements qu’ils croient susciter, ils ne font que leur obéir. Au-delà de l’Histoire, enfin, reste la vie ellemême : inconnaissable, et l’évocation de sa complexité donne aussi tout son prix au roman.Traduction d’Élisabeth Guertik. Édition préfacée et annotée par Michel Aucouturier.

08/2010

ActuaLitté

Littérature étrangère

Lettres

Ce tome (1880-1910) recouvre les trente dernières année de la vie de Tolstoï, années de déchirement et de luttes spirituelles qui eurent de profondes répercussions sur son art. Les lettres de cette période peuvent se partager en trois catégories. La correspondance avec la famille est très copieuse, car Tolstoï, supportant mal l'agitation de Moscou où le couple s'est installé pour l'éducation des enfants, fuit le plus souvent qu'il peut à Iasnaïa Poliana, le domaine familial, d'où il exhorte sa progéniture à mener une vie selon son cour. Il trouve ses fils bien dissipés et ses filles ridiculement désireuses de se marier. Avec Sofia, les relations sont de plus en plus difficiles ; Tolstoï, avec une pathétique obstination, tente par lettres interposées d'analyser la situation et d'y porter remède. Il y a les lettres aux confrères écrivains et aux amis de longue date, comme le poète Fet ou le philosophe Strakhov, avec qui Tolstoï s'entretient de littérature, de philosophie ou de morale. Et les amis nouveaux, en particulier Vladimir Tchertkov, aristocrate converti au tolstoïsme, devenu l'intransigeant disciple et le confident du maître, torturé par son impuissance à mettre en accord sa vie et ses convictions. Tolstoï, à mesure que son autorité morale s'accroît, est de plus en plus sollicité. De toutes parts, les lettres affluent, signées aussi bien de Gandhi ou Bernard Shaw que de centaines d'inconnus de toute condition sociale ; et Tolstoï répond inlassablement pour expliquer sa pensée, donner son sentiment sur les grands événements du monde, apporter son soutien aux causes qui éveillent sa sympathie : aide aux victimes de la famine et aux victimes de pogromes, défense des Doukhobor, dissidents religieux du sud de la Russie et objecteurs de conscience. A quatre-vingt-deux ans, Tolstoï prend la décision qu'il avait retardée si longtemps : il s'enfuit de chez lui. Surpris en route par la maladie, il meurt le 7 novembre 1910 dans la maison du chef de gare d'Astapovo. Sa dernière lettre à ses enfants est datée du 1er novembre.

12/1986

ActuaLitté

Pléiades

Journaux et carnets. Tome 3, Les années 1905 à 1910

"Entre une oeuvre littéraire monumentale, et qui se suffit largement à elle-même, et une oeuvre non moins importante de pédagogue, de penseur religieux, de pamphlétaire social et de prédicateur, le Journal intime de Tolstoï serait-il voué au rang modeste d'un simple document humain ou historico-littéraire ? Le fait même que l'écrivain le relise constamment, qu'il le fasse lire, à la veille de son mariage, à celle qui sera sa femme et ne cessera désormais d'y avoir accès, qu'il le confie plus tard à ses disciples, tout cela montre que le Journal joue dans sa vie privée, familiale, publique, un rôle qui n'est pas celui d'un registre passif des événements. Le Journal intime est un élément constitutif de la personnalité de Tolstoï, et celle-ci fait sans doute plus étroitement partie de son oeuvre littéraire que celle de bien d'autres écrivains. "Poète de sa vie" , comme Stendhal (selon un rapprochement paradoxal, mais fécond, que Stefan Zweig n'a pas été le premier à établir, et que l'on pourrait étayer par bien d'autres marques d'affinité), Tolstoï a bâti la majeure partie de son oeuvre romanesque, d'Enfance à Résurrection et au Père Serge, en passant par Les Cosaques, La Guerre et la paix, Anna Karénine, La Sonate à Kreutzer, autour d'une projection de lui-même, d'une "objectivation" de ses inquiétudes et de ses problèmes, comme une variante imaginaire de sa propre vie". Michel Aucouturier.

04/1985

ActuaLitté

Pléiades

La Guerre et la paix

Index historique par Sylvie Luneau

11/2000

ActuaLitté

Autres langues

La sonate à Kreutzer. Edition bilingue français-russe

Pendant un voyage en train, un homme se confie et raconte comment, après plusieurs années de mariage, sa femme, déçue, a pris un amant. La jalousie s'est alors emparée de lui pour le conduire jusqu'au meurtre. Peinture de la vie conjugale et de ses frustrations, récit d'une descente aux enfers et drame de la jalousie, une nouvelle d'une rare intensité dramatique.

02/1994

ActuaLitté

Pléiades

Journaux et carnets. Tome 2, Les années 1890 à 1904

"Entre une oeuvre littéraire monumentale, et qui se suffit largement à elle-même, et une oeuvre non moins importante de pédagogue, de penseur religieux, de pamphlétaire social et de prédicateur, le Journal intime de Tolstoï serait-il voué au rang modeste d'un simple document humain ou historico-littéraire ? Le fait même que l'écrivain le relise constamment, qu'il le fasse lire, à la veille de son mariage, à celle qui sera sa femme et ne cessera désormais d'y avoir accès, qu'il le confie plus tard à ses disciples, tout cela montre que le Journal joue dans sa vie privée, familiale, publique, un rôle qui n'est pas celui d'un registre passif des événements. Le Journal intime est un élément constitutif de la personnalité de Tolstoï, et celle-ci fait sans doute plus étroitement partie de son oeuvre littéraire que celle de bien d'autres écrivains. "Poète de sa vie", comme Stendhal (selon un rapprochement paradoxal, mais fécond, que Stefan Zweig n'a pas été le premier à établir, et que l'on pourrait étayer par bien d'autres marques d'affinité), Tolstoï a bâti la majeure partie de son oeuvre romanesque, d'Enfance à Résurrection et au Père Serge, en passant par Les Cosaques, La Guerre et la paix, Anna Karénine, La Sonate à Kreutzer, autour d'une projection de lui-même, d'une "objectivation" de ses inquiétudes et de ses problèmes, comme une variante imaginaire de sa propre vie", Michel Aucouturier.

04/1980

ActuaLitté

Poches Littérature internation

La mort d'Ivan Illitch suivi de Maître et serviteur et de Trois morts

Trois nouvelles, six morts exemplaires, dont celle d'Ivan Illitch -l'agonie la plus célèbre de la littérature. La mort, la vie et son mensonge -soit qu'au dernier moment on s'accroche encore à ce mensonge comme la vieille dame (Trois morts), soit qu'on s'en dépouille enfin, comme Ivan Illitch, soit qu'on meure, comme l'arbre, " paisiblement, honnêtement, en beauté ". " A la grâce de Dieu. Nous y passerons tous un jour ! ".

05/2003

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Maître et serviteur

Vassili Andreitch Brekhounov, un riche marchand, n'est pas homme à laisser passer une bonne affaire : par une après-midi d'hiver, il décide de rendre visite à un voisin pour négocier l'achat d'une forêt, malgré la tempête de neige qui fait rage... Nikita, son vieux domestique, l'accompagne. Mais les deux hommes s'égarent bientôt, et ce qui aurait dû n'être qu'un incident prend petit à petit les proportions d'un drame : maître et serviteur comprennent que la mort les attend, dans la nuit et le froid. Dans ce récit à "suspense", au dénouement inattendu, Tolstoï (1828-1910) traite l'un de ses thèmes favoris, celui de la rédemption : le propriétaire cupide et satisfait de lui-même ne trouvera son salut que dans la fraternité.

02/1999

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Hadji Mourat

Hadji Mourat est un chef caucasien dont Tolstoï a fait le héros d'une ultime grande œuvre. Malgré ses dimensions modestes, elle nous présente un vaste et saisissant tableau de la " guerre de pacification " du Caucase, à laquelle le romancier avait lui-même pris part un demi-siècle plus tôt et dont il avait rapporté Les Cosaques. Le choix d'un tel personnage est profondément révélateur : sa mort héroïque en fait un symbole de la vie même dans ce qu'elle a de plus irréductible. Ce récit, que Tolstoï n'a cessé de récrire pour le rendre parfait, n'a rien perdu de son actualité : il permet de déchiffrer la cruelle histoire contemporaine.

07/2004

ActuaLitté

Autres langues

La mort d'Ivan Ilitch

Fils de fonctionnaire, Ivan Ilitch a gravi avec succès tous les échelons de la hiérarchie administrative. Il aime sortir, fréquenter la haute société, et fait son possible pour éviter des responsabilités familiales assommantes. Mais, au sommet de sa réussite sociale, Ilitch est frappé par la maladie. Accablé d'atroces souffrances, conscient de l'imminence de sa mort, il comprend la futilité de ses ambitions. Trop tard...

05/2000

ActuaLitté

Poches Littérature internation

ANNA KARENINE. Tome 2

" Un des plus grands exploits d'Anna Karénine : la mise en lumière de l'aspect a-causal, incalculable, voire mystérieux, de l'acte humain ". Milan Kundera, L'Art du roman

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Lettres à sa femme

Parmi les milliers de lettres que Tolstoï écrivit à ses correspondants du monde entier, célèbres ou inconnus, les 840 lettres qu’il envoya à son épouse de 1862 à 1910, occupent une place à part et brossent un portrait intime de l’auteur de La Guerre et la Paix. Vivant fréquemment dans deux lieux différents, Tolstoï dans le domaine familial notamment, quand sa femme était à Moscou avec les enfants, l’un et l’autre se donnent des nouvelles de leur vie quotidienne. Parmi cette masse, une cinquantaine de leurs lettres, pour la plupart inédites, sont passionnantes ; car elles illustrent les profondes dissensions du couple, lorsque Tolstoï se sent de moins en moins compris par sa femme. Lui, écrivain mondialement connu, devient le prophète d’un christianisme épuré, un apôtre de la non-violence, critiquant les fondements idéologiques et économiques de la société de son temps, jouant à la fin de sa vie un rôle politique et social considérable, quand sa femme demeure une mondaine, attachée à ses privilèges de grande aristocrate. Le fossé qui se creuse entre eux s’exprime dans ces lettres dans lesquelles Tolstoï se livre totalement, évoquant sa vie intime, son œuvre, ainsi que les relations tumultueuses avec son épouse. Lettres étonnantes, parfois violentes, toujours dans l’essentiel, elles permettent de mieux comprendre l’un des plus grands écrivains de tous les temps. Elles seront accompagnées d’extraits des lettres de Sofia Tolstoï.

02/2012

ActuaLitté

Pléiades

Coffret en 2 volumes. La guerre et la paix ; Anna Karénine et Résurrection

Coffret de deux volumes vendus ensemble

03/2018

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Le bonheur conjugal. Edition bilingue français-russe

Tolstoï écrit cette nouvelle en 1859. Elle est perçue, notamment par Romain Rolland, comme étant " l'oeuvre la plus pure qui soit jamais née de lui ". Il ajoute également que " c'est le miracle de l'amour ". Cet ouvrage se démarque du reste de la production de Tolstoï dans le sens où pour la première fois, l'auteur choisi de se glisser dans la peau d'une femme pour raconter son récit. Avec des mots emplis d'émotions il retrace sa propre expérience du mariage et anticipe toutes les étapes qui attendent son amour : des moments les plus heureux, au doutes et aux déchirures. Cet ouvrage est en version bilingue. Il contient de nombreuses clefs pour comprendre le russe : des explications de textes et de nombreux mots de vocabulaires.

06/2017

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Maître et serviteur. Nouvelles et récits (1886-1904)

Ce volume rassemble cinq des plus beaux récits de Tolstoï, écrits à la fin de sa vie. Travaillés avec un soin d'orfèvre, ils mettent en scène des personnages au destin hors du commun. Dans La Sonate à Kreutzer, un mari jaloux jusqu'à l'obsession veut que sa femme l'ait trompé, afin de pouvoir accomplir le passage à l'acte criminel libérateur. Le Père Serge retrace le parcours d'un aristocrate russe engagé dans l'armée, qui, pour échapper aux tentations du monde, se fait ermite dans une cellule creusée à même le rocher. Dans Maître et Serviteur, un riche propriétaire, pour ne pas manquer une affaire, entreprend de rejoindre avec son serviteur un village voisin, mais les deux hommes se retrouvent bientôt pris dans une tempête... Dans ces récits saisissants, Tolstoï donne à voir la complexité des êtres, l'âpreté du monde et la rudesse du chemin vers le renoncement.

04/2017

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Contes, récits et fables. 1869-1872

De toutes ses oeuvres ce livre est sans doute celui auquel Tolstoï fut le plus attaché. Il était certain en effet «d’avoir élevé un monument» en composant l’Abécédaire dont Les Quatre Livres de lecture sont extraits. C’est que l’auteur de La Guerre et la Poix a été dominé dans sa vie passionnée par diverses préoccupations maîtresses au premier rang desquelles figurait l’éducation du peuple auquel il a souhaité donner le goût de la lecture, porte de l’esprit critique qui mène à la citoyenneté. C’est à cette fin que, de retour à Iasnaïa Poliana après avoir démissionné de l’armée en 1849, il ouvrit une école pour enfants. Ce livre est le fruit de cette expérience et Tolstoï affirmait «sa supériorité sur tous les autres livres». Il avait toujours aimé les histoires et l’on trouvera dans ce volume toutes celles qu’il aimait raconter. Ces Contes, récits et fables nous instruisent autant qu’ils nous distraient. C’est bien là ce que la littérature peut nous apporter de mieux.

10/2015

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Guerre et paix Tome 2

Publié entre 1865 et 1869 en feuilleton, ce roman retrace la guerre patriotique de 1812 contre l'invasion napoléonienne, telle que l'a vécue la génération des parents du romancier. L'oeuvre se compose de quatre parties, et d'un épilogue. La première commence en juillet 1805, avec les guerres de la coalition, opposant la Grande-Bretagne, l'Autriche et la Russie à la France. A travers une chronique de la vie de plusieurs familles de la noblesse russe, on voit se dessiner trois lignes narratives principales : celle de l'idéaliste naïf et velléitaire Pierre Bezoukhov, héritier d'une immense fortune, qui tombe dans les filets de l'intrigante Hélène Kouraguine ; celle du jeune comte Nicolas Rostov, dont la soeur cadette Natacha est l'âme d'une famille hospitalière de la vieille noblesse moscovite ; celle du prince André Bolkonski, fils brillant et ambitieux d'un grand seigneur en disgrâce retiré sur ses terres, où il tyrannise sa fille, la douce et aimante princesse Marie.

ActuaLitté

Littérature russe

Trois Morts

La mort, la vie et son mensonge auquel qu'au dernier moment on s'accroche comme une vieille dame. Cette très courte nouvelle raconte trois morts. A travers ces morts, Tolstoï reprend des thèmes qui lui sont chers : le mensonge face à la mort, l'hypocrisie de la vie et des vivants, ainsi que leur dureté.

02/2022

ActuaLitté

Littérature russe

La sonate à Kreutzer

Dans un wagon, des passagers entament une conversation sur les relations de couple et le nombre croissant de divorces en Russie. Un homme, jusque-là silencieux, prend la parole. Pour lui, l'amour n'existe pas... A mesure que le train avale les kilomètres, ce mystérieux inconnu fait part de sa pensée singulière au narrateur. Il lui confie aussi la lente agonie de son propre couple et sa plongée dans les affres de la jalousie. Surtout, il dévoile son identité, ainsi que le terrible crime qu'il a commis. A travers ce court roman, cette "oeuvre féroce lancée contre la société" selon Romain Rolland, Tolstoï dresse un portrait complexe de son personnage principal.

03/2021

ActuaLitté

Littérature russe

Le Bonheur familial (Katia ou le bonheur conjugal)

Tolstoï écrit cette nouvelle en 1859. Elle est perçue, notamment par Romain Rolland, comme étant "l oeuvre la plus pure qui soit jamais née de lui" . Il ajoute également que "c est le miracle de l amour" . Cet ouvrage se démarque du reste de la production de Tolstoï dans le sens où pour la première fois, l'auteur choisi de se glisser dans la peau d'une femme pour raconter son récit. Avec des mots emplis d'émotions il retrace sa propre expérience du mariage et anticipe toutes les étapes qui attendent son amour : des moments les plus heureux, au doutes et aux déchirures. Cet ouvrage est en version bilingue. Il contient de nombreuses clefs pour comprendre le russe : des explications de textes et de nombreux mots de vocabulaires.

03/2022

ActuaLitté

Littérature russe

Guerre et paix Tome 1

Publié entre 1865 et 1869 en feuilleton, ce roman retrace la guerre patriotique de 1812 contre l'invasion napoléonienne, telle que l'a vécue la génération des parents du romancier. L'oeuvre se compose de quatre parties, et d'un épilogue. La première commence en juillet 1805, avec les guerres de la coalition, opposant la Grande-Bretagne, l'Autriche et la Russie à la France. A travers une chronique de la vie de plusieurs familles de la noblesse russe, on voit se dessiner trois lignes narratives principales : celle de l'idéaliste naïf et velléitaire Pierre Bezoukhov, héritier d'une immense fortune, qui tombe dans les filets de l'intrigante Hélène Kouraguine ; celle du jeune comte Nicolas Rostov, dont la soeur cadette Natacha est l'âme d'une famille hospitalière de la vieille noblesse moscovite ; celle du prince André Bolkonski, fils brillant et ambitieux d'un grand seigneur en disgrâce retiré sur ses terres, où il tyrannise sa fille, la douce et aimante princesse Marie.

11/2016

ActuaLitté

Littérature russe

Guerre et paix Tome 2

Publié entre 1865 et 1869 en feuilleton, ce roman retrace la guerre patriotique de 1812 contre l'invasion napoléonienne, telle que l'a vécue la génération des parents du romancier. L'oeuvre se compose de quatre parties, et d'un épilogue. La première commence en juillet 1805, avec les guerres de la coalition, opposant la Grande-Bretagne, l'Autriche et la Russie à la France. A travers une chronique de la vie de plusieurs familles de la noblesse russe, on voit se dessiner trois lignes narratives principales : celle de l'idéaliste naïf et velléitaire Pierre Bezoukhov, héritier d'une immense fortune, qui tombe dans les filets de l'intrigante Hélène Kouraguine ; celle du jeune comte Nicolas Rostov, dont la soeur cadette Natacha est l'âme d'une famille hospitalière de la vieille noblesse moscovite ; celle du prince André Bolkonski, fils brillant et ambitieux d'un grand seigneur en disgrâce retiré sur ses terres, où il tyrannise sa fille, la douce et aimante princesse Marie.

11/2016

ActuaLitté

Littérature russe

Le Diable

"Car vivre ainsi c'est impossible, impossible ! "Quel est donc le diable qui tourmente Eugène Irténieff ? Inspirée d'un fait divers, cette nouvelle cruelle met en scène un jeune propriétaire terrien qui apparaît surtout comme un homme insensé et perdu, en proie à la faute, à la culpabilité et aux idées noires. Tiraillé par sa conscience, il oscille sans cesse entre pureté et adultère, raison et emportement incontrôlable. Cette contradiction est symbolisée par les deux femmes de sa vie : la blanche Lise, son épouse, et la vermeille Stepanida, une paysanne qui travaille sur ses terres. Qui choisira-t-il ?

01/2023

ActuaLitté

Littérature russe

Inutilité de la violence

"En opposant la haine à la haine, on ne fait que la répandre, en surface comme en profondeur", écrivait Gandhi. Tolstoï, qui influença si fortement l'apôtre de la non-violence, ne disait pas autre chose !

10/2022

ActuaLitté

Littérature russe

ANNA KARENINE. Tome 2

Anna Karénine, " ce n'est rien, disait Tolstoï, une femme qui aime un officier et qui se tue ". Anna est passion, Vronski n'est qu'ambition et frivolité. En face de ce couple tragique, un autre s'unit, heureux et répandant le bien autour de lui, celui de Kitty et de Lévine. Et Lévine, c'est Tolstoï lui-même. Pour lui, créer des œuvres d'art, c'est aider à vivre mieux et servir un idéal de justice et d'amour. Chacun des personnages cherche le sens à donner à sa vie. Cette immense fresque de l'aristocratie mêlée au peuple russe, à la ville comme aux champs, fait partie des grandes œuvres de l'humanité. " En elles, il y a tout : les vrais hommes ; les vraies femmes, l'amour et la haine, " l'élite " et le peuple, la naissance et la mort, le travail et la pensée ".

08/1994

ActuaLitté

Littérature russe

Anna Karénine

En visite à Moscou chez son frère Stépan Oblonski, la jeune et belle Anna, femme d'Alexis Karénine, haut fonctionnaire pétersbourgeois, et mère d'un garçon de huit ans, rencontre à sa descente du train le comte Alexeï Vronski. Bientôt, leur liaison éclate au grand jour à Saint-Pétersbourg. Enceinte, la jeune femme est sur le point de mourir en couches. Karénine lui accorde son pardon, tandis que Vronski tente de se suicider. Rétablie, elle quitte son mari et son enfant pour vivre avec son amant en marge de la société aristocratique qui les rejette... Mais la passion jalouse d'Anna commence à peser à son amant. Victime d'une passion à laquelle elle a tout sacrifié, Anna finira par se jeter sous un train... Commencé peu après l'achèvement de Guerre et Paix et inspiré à Léon Tolstoï (1828-1910) par le suicide d'une femme abandonnée par son amant en 1872, Anna Karénine se veut une « expérience de laboratoire » sur le thème de « l'idée familiale » dans le cadre réaliste de la société russe. Le roman parut d'abord en feuilleton, avec succès. Tolstoï y brocarde l'hypocrisie de la haute société pétersbourgeoise. Car le drame d'Anna Karénine, qui ne sait ni mentir ni tricher, n'est pas tant d'avoir succombé à la passion que de lui avoir tout sacrifié, y compris sa vie de femme et de mère.

06/2017