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Enseignement primaire

Le Bibliobus n° 16 CE2 Cycle 3 Parcours de lecture de 4 oeuvres complètes : La fin de l'effroyable crocodile ; Fables ; Le Petit poisson d'or ; Petit-Féroce n'a peur de rien

La fin de l'effroyable crocodile : Conte populaire africain. Autrefois, vivait dans le Grand Fleuve un effroyable crocodile nommé Kandu. Il terrorisait tous les villages alentour. Personne ne voulait avoir affaire à lui : ni Samba le roi des animaux, ni Dibing le grand sorcier, ni même le puissant chef Ibaky. Personne, sauf un jeune homme rusé nommé Suba... Le petit poisson d'or d'Alexandre Pouchkine : Un vieux pêcheur qui vivait dans une pauvre petite cabane avec sa femme prit un jour dans son filet un petit poisson d'or. Celui-ci lui proposa de réaliser ses souhaits en échange de sa liberté. Le pêcheur comblé, ne trouva rien à demander. Hélas, sa femme entra dans une grande colère en apprenant cette nouvelle... Fables de Jean de La Fontaine : Source intarissable d'émerveillement, les fables de La Fontaine ne cessent d'irriguer notre imagination, tout en distillant leur malicieuse sagesse. Trois de ces histoires sont ici adaptées en bande dessinée tout en restant parfaitement fidèles au texte original. Petit-Féroce n'a peur de rien de Paul Thiès : Petit-Féroce vit dans une grotte avec sa famille. Il chasse le mammouth, et sa maman Jolie-Féroce en fait de la soupe. Le reste du temps, il s'aventure dans la jungle accompagné de Roûmm, son ronronge, une curieuse petite bestiole. Petit-Féroce n'a peur de rien ! Enfin presque...

05/2006

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Enseignement primaire

Le Bibliobus n° 16 CE2 Parcours de lecture de 4 oeuvres : La fin de l'effroyable crocodile ; Fables ; Le petit poisson d'or ; Petit-Féroce n'a peur de rien. Cahier d'activités

Ce cahier d'activités, correspondant au recueil de textes, permet de lire et comprendre, lire et dire, lire et écrire. Ce cahier propose, pour chaque oeuvre, un parcours de lecture. Outre la compréhension des textes, la production d'écrits, la mise en place de débats, ces séquences proposent l'étude de textes en réseau, un travail sur l'image et des activités de recherche sur Internet. Les prolongements pédagogiques offrant une aide concrète à l'exploitation de ce cahier sont téléchargeables gratuitement sur le site.

09/2006

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Sciences de la terre et de la

L'ami des cultivateurs ou Moyens simples et mis à la portée de tous les propriétaires, fermiers. laboureurs, vignerons, de tirer le meilleur parti des biens de campagne de toute espèce. Tome 2

L'ami des cultivateurs ou Moyens simples et mis à la portée de tous les propriétaires, fermiers, laboureurs, vignerons, etc. , de tirer le meilleur parti des biens de campagne de toute espèce... . T. 2 / . Par P. -G. Poinsot,... Tome premier [-II] Date de l'édition originale : 1806 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/2019

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Sciences de la terre et de la

L'ami des cultivateurs ou Moyens simples et mis à la portée de tous les propriétaires, fermiers. laboureurs, vignerons, de tirer le meilleur parti des biens de campagne de toute espèce. Tome 1

L'ami des cultivateurs ou Moyens simples et mis à la portée de tous les propriétaires, fermiers, laboureurs, vignerons, etc. , de tirer le meilleur parti des biens de campagne de toute espèce... . T. 1 / . Par P. -G. Poinsot,... Tome premier [-II] Date de l'édition originale : 1806 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/2019

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Romance et érotique LGBT

Les protecteurs Tome 6 : Expiation

"Quand on est une merde, on le reste". Des mots avec lesquels Dante Thorne, vingt-six ans, a dû vivre plus d'années qu'il ne peut en compter et un titre qu'il a remporté à l'âge tendre de seize ans lorsqu'une décision imprudente a tourné en tragédie. Et comme il ne peut pas nier la vérité de ces mots, pourquoi ne pas vivre selon eux à la place ? Tout foutre en l'air, baiser, rien de cela n'importe ; tant que cela fait du bien et lui fait oublier le jour où il a fait défaut à la seule personne qu'il avait toujours juré de protéger. Une bonne philosophie de vie jusqu'à ce que Dante rencontre le seul homme qui pourrait le faire désirer être quelqu'un d'autre... A quarante et un ans et avec une brillante carrière de vingt ans comme Texas Ranger à son actif, Magnus DuCane aurait dû être dans la fleur de l'âge. Au lieu de cela, il pleure la perte de la fille qu'il n'a pas pu sauver et fait face à un avenir qui ne ressemble en rien à celui qu'il avait prévu. Le seul point positif est le jeune petit-fils, qui lui a soudainement été rendu après avoir disparu deux ans plus tôt, et la nouvelle famille d'hommes dans laquelle il a été accueilli à bras ouverts. Avec sa volonté de fer, sa maîtrise de soi sans faille et sa discipline inébranlable, Magnus sait qu'il peut commencer un nouveau chapitre et remettre sa vie sur les rails... s'il parvient à surmonter les sentiments inquiétants et inattendus qu'un jeune homme suscite en lui. Parce que rien en Dante Thorne n'est bon signe pour Magnus. Son arrogance, son attitude impertinente, chaque mot dénué de tact qui sort de son incontrôlable bouche et, bien sûr, le fait qu'il est un homme. Mais lorsque ses amis bien intentionnés envoient Dante auprès de lui en tant que garde du corps lorsqu'il retourne au Texas pour témoigner dans une affaire très médiatisée, Magnus commence à voir au-delà des mots impétueux et des sous-entendus sexuels sans fin. Et quand il commence à découvrir que ce qu'il voit n'est pas si mal que ça, soudain le fait que Dante soit un homme au lieu d'une femme ne semble plus être un si gros point de friction...

05/2021

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Critique littéraire

Sur Pierre Michon. Trois chemins dans l'oeuvre

Ce livre du poète Jean-Claude Pinson propose trois études essentielles sur Pierre Michon. Ecrites par un philosophe spécialiste d'esthétique, elles éclairent l'oeuvre de l'auteur de Rimbaud le fils, y dessinent des chemins, sans pourtant l'éblouir ou la crucifier. En abordant successivement la question du sacré chez Michon (à partir de Bataille), celle de l'amour (en référence à Barthes), et enfin en étudiant le lien qui unit Michon et Antonin Artaud, massacreur et grand thuriféraire de la langue-mère. Des os avec du texte autour L'écriture de Pierre Michon, sa tension extatique, son tremblement quasi mystique, est de celles qui répondent à l'ordre que l'avènement d'une raison sans Dieu et d'une histoire exempte de passions, de tragique, semblait pouvoir imposer à la littérature, à la poésie et à l'art en général. Jean-Claude Pinson explore ici les voies par lesquelles l'auteur de Vies Minuscules résiste à un devenir "normal" sinon normalisé de la langue. Sans ressusciter artificiellement une transcendance mais en légendant la fin du monde chrétien et son usure, Pierre Michon fait surgir un sacré plus ancien, comme une sorte de source, ou de socle anthropologique d'un sacré à la fois chtonien, viscéral mais aussi parfois plus apollinien, lumineux, lié au sentiment de continuité avec la nature et le cosmos. Dans l'opposition du pur et de l'impur se glisse parfois une invocation, et cette réconciliation avec le monde non humain prend alors, par le truchement d'une souveraineté de la parole et du chant, le nom ou le visage de la Grâce. Jean-Claude Pinson écrit : "C'est bien, me semble-t-il, une telle langue-reine empreinte de sacralité, qui hante l'écriture de Michon, une langue impossible et souveraine. Une langue alimentée par la tension du néfaste et du faste. Une langue aussi rare que fastueuse". Fragments d'un roman amoureux Il n'y a pas, à proprement parler d'histoires d'amour chez Michon, pas de Werther ni d'Adolphe. D'abord parce que l'auteur n'écrit pas de romans, ses récits brefs restants marqués toujours par la hantise de la poésie, voire du haïku. Ensuite parce que le flamboiement érotique est chez lui le plus souvent celui de la prédation, de la chasse, lié en cela à la dimension brutale du scopique et de la possession et dont l'écho se propage dans la fascination par la frappe énonciative. Ce thème est pourtant, quelques fois, augmenté ou relayé par une autre tonalité, sentimentale. Les deux registres se combinent dans l'opposition entre une soudaineté du visuel, de la "prise" , et une temporalité plus déliée, plus étendue, celle de la tendresse qui se déploie plus rarement. Entre pictural et lyrique. "L'instant sauvage du trait, de l'incision d'une part ; la modulation, le déploiement temporel du chant de l'autre". Artaud fantôme. Cheminements d'Artaud dans Michon. Si la référence explicite à Artaud est chez Michon plutôt discrète, les croisements entre les deux trajectoires sont sensibles, tant dans les parentés que dans les divergences. L'étude de Jean-Claude Pinson explore comme un dialogue secret entretenu avec l'auteur d'Artaud le momo. Si les deux ont en commun d'avoir éprouvé "l'impouvoir d'écrire" , et si l'un et l'autre ont tourné le dos à un art conforme aux règles de la mimesis, de la simple représentation, Artaud s'est confronté à l'expérience de n'être pas au monde, "là où Michon s'adosse encore à l'expérience contrastée d'un monde qui est et n'est pas habitable" ; monde avec lequel il est possible d'établir un lien dans le seul fait de rendre l'oeuvre partageable, audible. Quand Artaud tend à rechercher une parole d'avant les mots, Michon parie encore sur la sorcellerie de la phrase, fût-elle inquiète, incantatoire, opérant par la fulgurance de son surgissement ou de sa profération. Et dans les deux oeuvres, Jean-Claude Pinson identifie le recours à l'insurrection de la couleur comme "faisant signe en direction d'un âge (ou état) naïf, sauvage, fauve, de l'humanité" , sur les traces, on l'aura pressenti, d'un certain Vincent Van Gogh. Jean-Claude Pinson : philosophe, poète et essayiste, il a publié, parmi de nombreux livres livres : J'habite ici, Champ Vallon, 1991 ; Laïus au bord de l'eau, Champ Vallon, 1993 ; Habiter en poète, Essai sur la poésie contemporaine, Champ Vallon, 1995 ; Free Jazz, Joca Seria, 2004 ; Poéthique, Une autothéorie, Champ Vallon, 2013 ; Alphabet cyrillique, Champ Vallon, 2016 ; Autrement le monde : sur l'affinité de la poésie et de l'écologie, Joca Seria, 2016.

03/2020

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Littérature française (poches)

Traversée des ombres

Il nous faut croiser bien des revenants, dissoudre bien des fantômes, converser avec bien des morts, donner la parole à bien des muets, à commencer par l'infans que nous sommes encore, nous devons traverser bien des ombres pour enfin, peut-être, trouver une identité qui, si vacillante soit-elle, tienne et nous tienne.

10/2005

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Religion

L'archet de St François N° 2 : Joie parfaite ?! Avec 1 CD audio

La joie. Ce mot enchanteur, capable d'illuminer le visage le plus assombri, d'attendrir le coeur le plus endurci, ce mot semble mettre en branle l'univers entier : repos des bienheureux dans le ciel, espérance de nous autres sur la terre, amer regret des réprouvés. Rien n'est plus convoité que la joie, et pourtant, rien n'est plus méconnu. Certes, avec un peu de philosophie, nous disons que la joie est le sentiment qui résulte de la possession du bien, mais voilà que le problème s'embrouille : quel est ce bien ? Où est-il pour que nous le possédions ? Sans hésiter, les uns le cherchent dans la pleine jouissance de la vie présente : plaisirs voluptueux, compte en banque copieux, domination sans frontières ; d'autres, plus mesurés, postulent au plein épanouissement de la vie, dans un doux équilibre d'efforts et de plaisirs ; enfin, les plus généreux trouvent leur bien dans le don de soi pour un monde meilleur. Mais pourquoi nous égarer ainsi dans les couloirs ténébreux du coeur humain, comme si nous étions livrés à nous-mêmes, sans maître, sans lumière, sans Sauveur ? Comment hésiter un instant sur notre véritable bien, alors que l'exemple de la plus sublime perfection nous éblouit sous les puissants projecteurs de la Crèche, du Calvaire et du Sépulcre glorieux ? La joie ne serait-elle pas de ce côté ? Saint François est catégorique : la joie parfaite est de souffrir pour l'amour de Jésus crucifié afin d'être glorifié avec Lui. Ne suffit-il pas au disciple d'être comme son maître, et au serviteur comme son seigneur (Matth. X. 25) ? Non content de prêcher et d'enseigner cette joie à ses frères, le Séraphin d'Assise se fit même jongleur pour la chanter au monde entier. Pardon, non pas seulement jongleur, mais jongleur de Dieu, car c'est de la joie parfaite qu'il s'agit. Chers enfants et amis de saint François, selon la parole de notre divin Maître, donnons gratuitement ce que nous avons reçu gratuitement (Matth. X. 8). La joie parfait est l'héritage le plus précieux de notre Père saint François, sachons le faire fructifier pour nous-même et pour notre monde, si triste et si pauvre d'amour. Que ces quelques nouveaux coups d'archet séraphique embrasent plus que jamais, de la joie la plus pure, notre chère famille franciscaine, pour la goire de notre Dieu, pour la consolation de nos âmes et pour le salut du monde entier !

01/2021

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Littérature française

Le balcon

"C'est ainsi qu'à force de l'attendre sont passés plus de trente ans ; trente-cinq, si je me souviens bien, et peut-être davantage. En réalité cela doit faire quarante ans. Quarante ans perchés sur le balcon de mes espoirs. A regarder la mer en bas, et aussi le virage de l'église où apparaît la camionnette. Or, à la mort de Venerosa, l'idée m'est venue brusquement, de manière insensée. L'idée du départ, d'aller rejoindre Pierre. Il m'attendait. Il ne pouvait écrire, mais il m'attendait… C'est pour cela que j'ai demandé à Gnigninu de m'aider. La seule personne du village à qui l'on pouvait faire confiance. Il tournait toujours par ici, sous mon balcon. Après avoir fini sa tournée, il rôdait toujours par ici. Plus d'une fois j'ai eu l'impression qu'il suffisait de penser à lui pour qu'immédiatement, il se trouve là ! On le voyait en bas, sous le bacon. Toujours prêt à rendre service et sans poser de question. Un beau sourire de personne honnête et prête à se démener pour autrui. Je lui ai dit que, m'apprêtant à partir faire un voyage, j'avais besoin qu'il achète pour moi les deux valises qu'il me fallait préparer. Il a accepté sans me demander quoi que ce soit d'autre. J'ai attendu. Attendu. Tous les jours Gnigninu se montrait sur la place. Et il me faisait le même signe de la tête pour me dire non. Et il disparaissait aussitôt sans que j'aie pu lui demander pourquoi. Pour quelle raison ? En réalité je savais bien que je ne pourrais jamais partir. Et à chaque fois, je restais songeuse… Bien sûr, il y avait un obstacle, un empêchement, ou plutôt quelqu'un qui s'interposait. Les gens sont si mal intentionnés, dans ces parages… Quant à Gnigninu, je suis sûre qu'il n'épargnait pas ses efforts… Il se démenait, mais lorsque vous avez tout le monde contre vous, qu'est-ce que vous pouvez bien faire, tout seul ! Il n'avait pas encore réussi, mais ça ne devait pas tarder. Je savais que je pouvais y compter. Les jours se sont écoulés, puis les semaines… Peu à peu l'idée même d'un départ s'est perdue dans le noir. Et d'ailleurs où partir ? A Tahiti ? Le Grand Comptoir du Pacifique Sud ? Trente ans après ? Pour se retrouver là-bas, seule, vieille et après tant d'années ? Sans rien savoir ni de Pierre ni de rien." (Extrait de la quatrième de couverture)

08/2017

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Poches Littérature internation

L'homme qui voulait vivre sa vie

Un poste important, une vaste maison, une femme élégante, un bébé : pour tout le monde, Ben Bradford a réussi. Pourtant, à ses yeux, rien n'est moins sûr : de son rêve d'enfant - être photographe - il ne reste plus rien. S'il possède les appareils photo les plus perfectionnés, les occasions de s'en servir sont rares. Et le sentiment d'être un imposteur dans sa propre existence est de plus en plus fort... Alors comment résister à l'appel d'une autre vie quand le destin s'en mêle ?

03/2010

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Sciences politiques

Guerre sainte, multinationale

Guerre sainte, multinationale est le fruit de quatre années de recherches, entreprises par Peter Bergen bien avant les événements du 11 septembre 2001, dans le but de retracer l'évolution du terrorisme islamiste. En appuyant ses arguments sur une analyse subtile d'un certain islam incarné et popularisé par Ben Laden, l'ouvrage revient sur les aspects les plus importants du sujet : la présence des Etats-Unis en Arabie Saoudite, les bombardements en Irak, le conflit israélo-palestinien, le parcours personnel de Ben Laden. Il décrit leur importance respective dans le développement international d'al-Qaida, développement qui a abouti aux événements récents. L'ouvrage de Peter Bergen s'impose comme une référence sur le sujet, tant par sa connaissance parfaite du fonctionnement des réseaux islamistes à travers le monde que par la clarté du propos et sa très grande lisibilité.

02/2002

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Littérature française

Le temps des livres est passé

Depuis sa création au mois de mars 2004, le blog Stalker sous-titré Dissection du cadavre de la littérature a acquis une réelle audience en raison de l'exigence des travaux qui y sont publiés, point tous de l'auteur d'ailleurs, mais aussi du ton polémique de certains des articles qui y paraissent. Cette zone où les belles découvertes et les grandes surprises abondent tout autant que les dangers est devenue au fil des ans et d'un travail acharné une espèce de bibliothèque de survie désormais labyrinthique, un espace de parole qui rappelle une évidence aujourd'hui cruellement moquée : nul ne devrait écrire pour rire. Nous pourrions même prétendre de façon ironique, bien évidemment contre la réalité qui s'étale de façon quotidienne sous nos yeux, que nul ne devrait écrire qui ne sait écrire. Le livre présent ne comporte cependant aucun de ces textes au ton virulent et qui osent ruiner les assurances si comiquement prétentieuses de tant de nos écrivants - bien davantage qu'écrivains - contemporains, relayés par des pseudo-critiques ne sachant plus rien faire d'autre que recopier de creuses fadaises journalistiques appelées "argumentaires" et autres "éléments de langage" qui mériteraient bien davantage d'être qualifiés de langages rudimentaires. C'est la raison pour laquelle cet ouvrage ne regroupe que les textes que nous pourrions dire de pure célébration, même si, bien sûr, l'exigence critique n'est jamais mise de côté, puisque s'y trouvent des analyses sur les oeuvres pour le moins aussi variées que profondes de Malcolm Lowry, Ernesto Sabato, Joseph Conrad, W. G. Sebald, William Faulkner, László Krasznahorkai et bien d'autres encore, oeuvres remarquables qui toutes tournent autour de ce que José Bergamín appela le monstre du romanesque, sans toutefois jamais devoir tomber dans sa gueule menaçante. En somme, Le temps des livres est passé se veut une illustration, sombre peut-être mais point complètement désespérée, de la mission que Sainte-Beuve assigna aux critiques littéraires consistant à faire l'office de la vigie, et notre cri de découverte sera lui aussi toujours mêlé d'émotion et de joie.

10/2018

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Littérature étrangère

Les petites chaises rouges

Dès qu'il franchit le seuil de l'unique pub ouvert dans ce trou perdu d'Irlande, l'étranger suscite la fascination. Vladimir Dragan est originaire du Monténégro. Il entend s'établir comme guérisseur. On lui trouve un logement, un cabinet médical, et sa première cliente, une des quatre nonnes du lieu, sort de sa séance totalement régénérée. Rien d'étonnant à ce que Fidelma, très belle et mariée à un homme bien plus âgé qu'elle, tombe sous le charme. L'idylle s'interrompt quand Dragan est arrêté. Recherché par toutes les polices, il a vécu à Cloonoila sous un faux nom. Inculpé pour génocide, nettoyage ethnique, massacres, tortures, il est emmené à La Haye, où il rendra compte de ses crimes. Le titre choisi par Edna O'Brien s'éclaire alors, ainsi que l'introduction rappelant que 11 541 petites chaises rouges avaient été installées à Sarajevo en 2012 pour commémorer la mémoire des victimes du siège. Le vrai sujet de cet extraordinaire roman n'est pourtant pas la guerre civile de Bosnie, ni la figure de Radovan Karadzic, dont il s'inspire. Avec une infinie tendresse et une infinie compassion, la grande romancière irlandaise se penche sur le destin d'une femme ordinaire, que sa naïveté a rendue audacieuse, et dont l'existence a été ravagée pour avoir vécu, sans savoir à qui elle avait affaire, une brève histoire d'amour avec l'un des monstres les plus sanguinaires du XXe siècle. Après l'arrestation de Vlad, il est impossible pour Fidelma de rester en Irlande. Réfugiée à Londres, dans le monde souterrain des laissés-pour-compte, elle vit de petits boulots, hantée par une honte indépassable, et par la terreur. La prose d'Edna O'Brien est éblouissante : comme dans la vie, passant de la romance à l'horreur, d'un lyrisme tremblé au réalisme le plus cru, de la beauté au sentiment d'effroi le plus profond, elle nous donne, avec ce roman de la culpabilité et de la déchéance d'une femme, son absolu chef-d'oeuvre.

09/2016

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Notions

Le stoïcisme et le christianisme. Epictète, Marc-Aurèle, Pascal

La liberté, se gouvernant elle-même et se donnant à elle-même sa loi, telle est l'idée qui, après avoir été souvent négligée ou méconnue par la philosophie ancienne, devient dominante dans la doctrine d'Epictète. Etre libre, c'est le bien suprême ; que l'homme étudie donc avant tout l'essence de la liberté, et, pour la connaître qu'il "se connaisse lui-même" , suivant l'ancien précepte non moins cher aux stoïciens qu'aux socratiques. Tout d'abord, lui qui par sa nature aspire à être libre, il s'apercevra qu'il est esclave : esclave de son corps, des biens qu'il recherche, des dignités qu'il ambitionne, des hommes qu'il flatte ; esclave, "alors même que douze faisceaux marcheraient devant lui". Cet esclavage moral constitue à la fois le vice et le malheur : car, "comme la liberté n'est qu'un nom de la vertu, l'esclavage n'est qu'un nom du vice". Celui qui se sera reconnu ainsi "mauvais et esclave" aura fait le premier pas vers la vertu et la liberté. Le stoïcien n'a plus qu'à lui dire "Cherche et tu trouveras" . Mais l'homme ne doit pas chercher la liberté dans les choses du dehors, dans son corps, dans ses biens : car tout cela est esclave. Ainsi il existe en nous, et en nous seuls, quelque chose d'indépendant : notre puissance de juger et de vouloir. Le seul obstacle pour l'homme, son seul ennemi, c'est lui-même : lui-même, il se dresse, sans le savoir, les embûches où il tombe. C'est que chez l'homme, outre la faculté de juger et de vouloir, se trouve l'imagination : quoique les choses en elles-mêmes ne puissent rien sur nous, cependant, par l'intermédiaire des images ou représentations qu'elles nous envoient, elles n'ont que trop de puissance. Ces représentations entraînent, ravissent avec elles notre volonté. Là est le mal, là est l'esclavage...

03/2023

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Poésie

Haiku. Anthologie du poème court japonais

Né il y a trois siècles au Japon, le haiku est la forme poétique la plus courte du monde. Art de l'ellipse et de la suggestion, poème de l'instant révélé, il cherche à éveiller en nous une conscience de la vie comme miracle. De Bashô jusqu'aux poètes contemporains, en passant par Buson, Issa, Shiki et bien d'autres, Haiku est la première anthologie à présenter un panorama complet de ce genre littéraire, en lequel on a pu voir le plus parfait accomplissement de l'esthétique japonaise. Pourquoi aimons-nous le haiku ? interrogent les préfaciers de ce livre. Sans doute pour l'acquiescement qu'il suscite en nous, entre émerveillement et mystère. Le temps d'un souffle (un haiku, selon la règle, ne doit pas être plus long qu'une respiration), le poème coïncide tout à coup avec notre exacte intimité, provoquant le plus subtil des séismes. Sans doute, aussi, parce qu'il nous déroute, parce qu'il nous sort de notre pli, déchirant une taie sur notre regard, rappelant que la création a lieu à chaque instant. Peut-être, enfin, parce qu'il sait pincer le coeur avec légèreté. Rien de pesant, rien de solennel, rien de convenu. Juste un tressaillement complice. Une savante simplicité.

11/2002

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Littérature étrangère

Les vierges de pierre

" Tu es belle comme la création. Il n'est rien de plus beau que toi [...]. Quand j'arrache l'écorce humide d'un arbre et qu'elle se détache, distincte et séparée comme de la peau, l'espace doux entre l'écorce et la tige est si pur que je pourrais le lécher. Pas le moindre grain de poussière ne s'en est approché, il n'a jamais respiré le soleil, jamais respiré le jour, personne d'autre que moi ne l'a jamais vu. C'est ce que je ressens lorsque je plonge mon regard dans tes yeux. Il n'y a jamais rien eu d'autre que tes yeux. Rien. " Dans le petit village de Kezi, la vie est ponctuée par l'arrivée du car de Bulawayo, sorte de cordon ombilical transmettant le mirage de la grande ville. C'est à l'une de ses escales que Cephas a rencontré la belle Thenjiwe. Mais la guerre interrompt brutalement leur idylle telles les vierges rupestres de Mbelele, Thenjiwe et sa sueur bien-aimée Nonceba seront sacrifiées. Yvonne Vera immerge les atrocités de la guerre dans son approche sensuelle de l'environnement, la terre, la montagne, la rivière, la végétation, leur conférant ainsi une force terrible.

09/2003

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Actualité médiatique France

L'Arme la plus meurtrière. Affaire Matzneff : le silence imposé

L'Affaire Matzneff, énorme scandale il y a quelques mois encore, a finalement accouché de... rien. Le procès qui devait s'ouvrir le 28 septembre 2021, n'aura pas lieu (le tribunal correctionnel de Paris a invalidé la citation pour apologie de la pédocriminalité) et son annulation, suite à l'erreur de procédure commise par un avocat, n'a suscité aucun commentaire. Quant à l'enquête pour viols sur mineurs, ouverte elle aussi en janvier 2020, rien n'indique qu'elle pourrait aboutir. J'ai choisi cette date du 28 septembre, celle d'un procès annulé, pour publier L'arme la plus meurtrière, un récit longtemps étouffé, et qui aura eu bien du mal à voir le jour. Dès 2004 j'ai tenté de corriger l'image élogieuse que donnaient de Gabriel Matzneff les médias, mais on m'a empêchée de publier mon livre alors intitulé Le crocodile. L'arme la plus meurtrière est le dernier état de ce travail. J'y dresse le portrait de l'homme privé, mais aussi celui du personnage public. Au-delà du témoignage personnel, je fais revivre un homme, un milieu, des pratiques, sans rien dissimuler des connivences et des pistons qui lui ont permis d'exister, et de durer.

09/2021

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Littérature française

Grève surprise et autres bonnes nouvelles

" Les autres, moi, je les aime... de loin, la discussion de cale du commerce avec les inconnus, ce n'est pas ma tasse de thé. La discussion avec personne d'ailleurs, ça n'apporte rien, les gens n'ont rien à dire, enfin rien d'intéressant. Ce que j'aime en revanche, c'est les observer, les épier, tenter de découvrir qui ils sont vraiment, ce qui les motive, ce qui les rebute. C'est dans leurs manies, leurs attitudes qu'ils nous parlent d'eux-mêmes, c'est la seule façon de leur faire dire quelque chose de sincère, d'original. Et pour cette observation, il faut bien reconnaître que la gare est un lieu rêvé. (...) " Sartre avait raison, l'enfer c'est les autres ! Moi j'adore observer l'enfer... de loin, pour ne pas me brûler. Je ne me lasse pas du spectacle. " Entre voyages perturbés, voyages prétextes, buffet pour estivant en club de vacances, amour, amitié et séduction, laissez-vous emporter au gré de ces nouvelles au ton parfois léger, au propos doux-amer ou au dénouement tragique. Retrouvez ce qui fait le charme de Leçons de campagne ou de Je le poste cette carte de Marseille, l'humour, la tendresse, la gravité, bref, le talent.

09/2009

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Pédagogie

Scènes de la vie charançonne. Dix ans de délire pédagogique

" Je me l'étais pourtant bien juré. Plus jamais les questions pédagogiques. Que faire d'un sujet pareil ? Comme si, professeur, et depuis près de vingt ans exerçant ce beau métier, je ne savais pas que c'est une cause désespérée, que dans ce domaine rien ne sert à rien. Que si pertinente soit l'argumentation, si humbles les suppliques, rien n'y fera. On a affaire à un rouleau compresseur. Ça discute pas, un rouleau compresseur, ça passe. Le rouleau compresseur, c'est le courant de réformes qu'on a subies dans l'Éducation nationale une décennie durant, et dont chacun peut apprécier autour de lui le résultat : si quelqu'un trouve globalement la jeunesse mieux élevée, mieux instruite, plus citoyenne et plus honnête qu'auparavant, qu'il le fasse savoir, cette époque a besoin d'optimisme. Précisons tout de suite un point important : je n'en ai pas après le monde, qui est ingouvernable ; je n'en ai pas après les " jeunes ", ni en général ni en tant qu'élèves. J'en ai après le délire pédagogique organisé, après tout ce qui ajoute à la dureté des temps l'épouvantable fardeau de la sottise et de l'absurdité. " C.B.

01/2003

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Littérature française

On est la somme de ses choix

"J'ai eu la chance de naître dans une famille qui m'a procuré amour, éducation, un toit au-dessus de ma tête, et trois repas quotidiens ! Je suis le résultat de cet environnement chanceux, venu compléter un bagage génétique sans trop de tares rédhibitoires. Mais je n'y suis pour rien. Rien de rien ! Déterminisme total. Le hasard génétique est le seul grand ordonnateur. Heureusement, il me restait tout le reste : les petites choses par lesquelles je me suis construit, objets, souvenirs, expériences, heureuses et malheureuses, et choix de vie, qui ont fait ce que je suis. Des petits riens. Un casque à pointe... une fauvette... un collier de pâtes... un livre de Sénèque... le son des tulipes... un morceau du mur de Berlin... une cabane-poulailler... une orange... Madame 130267719... etc. Ce sont les vrais héros de ma vie". Puisque, comme l'a si bien dit Joseph O'Connor, "on est la somme de ses choix" , Alain Ducasse a pris le parti, dans ce récit autobiographique, de se raconter à travers quelques petites touches de couleur anecdotiques, voire improbables, mais qui inexorablement, jour après jour, année après année, ont modelé la toile de sa personnalité, sur laquelle il a construit son Moi. Un tableau en évolution permanente qui nous invite tous à réfléchir.

04/2023

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Poésie

Des Mots d'Amour

"Ceci est un livre ouvert Une porte ouverte au monde imaginaire Laissez-vous transporter par les mots Entrez dans un monde bien plus beau Mais si vous n'avez pas d'imagination, n'allez pas plus loin Vous n'allez rien comprendre, ça ne sert à rien Quant aux autres, il est inutile de réfléchir La réflexion ici, inutile de s'en servir Laissez-vous emporter par la magie des mots Cette magie qui est à la pointe de mon stylo Fermer les yeux et vous y serez Quitter le monde réel sans aucun regret Ce monde-là, chacun le voit à sa façon Un monde de poème et de chansons Dans ce monde-là, on y trouve tout, absolument tout Il y a tout puisque c'est selon vous On dit de moi que je suis un rêveur, c'est vrai On dit aussi que je suis toujours ailleurs, c'est vrai aussi On dit que j'ai la tête dans les nuages, loin de la réalité Mais la réalité c'est que je ne vis pas ici Moi je vis là-bas et rien ne me ferait revenir à part elle Pour elle je reviendrai parce que je lui suis fidèle [...] "

07/2022

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Littérature étrangère

Relation véridique de l'apparition de Mrs Veal. Edition bilingue français-anglais

Histoire de fantôme bien connue des lecteurs anglo saxons, "La Relation véridique de l'apparition de Mrs. Veal", publiée en 1706, a été reprise de nombreuses fois, dans les anthologies de récits surnaturels anglais et américains. Traduite en italien, en espagnol, on aurait bien du mal à la trouver en français. Une tradition remontant à l'année 1790, puis reprise sans autre forme de procès, voit dans ce récit une oeuvre de pure circonstance : il se serait agi de promouvoir la traduction du livre de Drelincourt sur la mort et l'après vie, autrement dit de rendre service à un libraire malheureux. Mais l'intérêt de ce récit n'est pas dans ces considérations circonstancielles. Si histoire de fantôme il y a, force est de constater que les ingrédients attendus du surnaturel ont été évités : l'apparition se manifeste à midi, quand nul ne peut envisager qu'il s'agit d'une apparition. Rien d'extraordinaire ne se produit, et nulle terreur ne vient assaillir Mrs. Bargrave. Au contraire, tout est banal : deux amies se retrouvent après s'être perdues de vue, parlent du passé, évoquent soucis et misères, prennent (presque) le thé, causent chiffons et s'émerveillent de la qualité d'une robe portée pour l'occasion. Le tout, donc, bien ancré dans une matérialité qui n'a rien que de très ordinaire. C'est que tout est construit à la fois sur le décalage temporel (Mrs. Veal est morte la veille de son apparition, et personne ne le sait encore) et le double sens de propos qui ne s'éclairent que rétrospectivement. Ce dispositif vise d'abord à troubler le lecteur, et seulement à la troubler. On ne le convaincra qu'en y ajoutant, comme les éléments d'un procès, les témoignages de moralité indispensables : un juge de paix se porte garant d'une dame au-dessus de tout soupçon qui elle-même atteste des qualités d'honnêteté de Mrs. Bargrave. Bref, on jure sur l'honneur qu'apparition il y a eu, même si cette apparition ne traîne derrière elle aucun des attributs de l'au-delà.

12/2012

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Littérature française

Chère Laurette Tome 4 : La fuite du temps

"- On raconte partout que c'est à la fin du mois qu'ils vont commencer à démolir les maisons. - Arrêtez donc, vous ! s'exclama Laurette, stupéfaite. Le bonhomme Tremblay est venu chercher l'argent du loyer, la semaine passée, et il a rien dit. - Il paraît que les boss de la Dominion Oilcloth ont décidé ça avant-hier. - Ah ben, maudit verrat. C'est le boutte ! s'écria Laurette. Je pensais ben qu'ils nous laisseraient au moins passer l'été tranquille avant de nous sacrer dehors.".

12/2010

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Rémunération

Compensation & Benefits. Rémunérations et avantages sociaux : outils et perspectives des RH, 5e édition

Le métier Comp & Ben est en constante évolution dans les entreprises françaises. Et face à la nécessité d'un contrôle constant et toujours plus exigeant des coûts, les titulaires de cette fonction développent leur expertise afin de préserver un personnel compétent et motivé. Il ne s'agit plus de voir la rémunération sous l'aspect paie ou masse salariale, mais plutôt comme un levier stratégique de management et de gestion des ressources humaines. Quel est le profil du Comp & Ben ? Comment construire une matrice d'augmentation des salaires, établir un système de reconnaissance et mieux gérer les avantages sociaux ? Pourquoi est-ce important de bien communiquer sur la politique salariale de l'entreprise ? Carrière ou rémunération, faut-il choisir ? 100 % actuel et opérationnel, cet ouvrage vous éclairera sur les enjeux de la fonction Comp & Ben pour l'entreprise et les salariés. A l'appui d'exemples et de fiches pratiques, l'auteur vous propose des outils concrets pour motiver les collaborateurs autrement que par le salaire, dans un objectif de réactivité et d'efficacité.

10/2021

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Littérature étrangère

Coal Creek

Robert Blewitt, alias Bobby Blue, a vingt ans lorsqu’il rejoint Daniel Collins au sein de la police de Mount Hay, dans l’état du Queensland, Australie. Il fait alors la connaissance d’Esme, l’épouse de Daniel, et de leurs deux filles, Irie et Miriam. Bobby Blue semble emprunter une voie bien éloignée de celle de son enfance libre et orageuse passée dans le bush avec son ami de toujours, Ben Tobin, jeune chien fou à la réputation de mauvais garçon. Condamné par son passé, Ben Tobin devient bientôt la cible de Daniel Collins, esprit étroit et sous influence, peu enclin à ergoter sur la nature du coupable. Bobby Blue se retrouve alors pris au piège entre la loyauté qu’il doit à son supérieur, l’inébranlable amitié qui le lie à Ben Tobin… et l’ardente complicité qu’il entretient avec Irie, adolescente aventureuse qui n’aspire qu’à embrasser les chemins de la tragédie… Un pas de plus dans le bush… Un pas de plus vers Coal Creek et leur destinée à tous s’en trouvera bouleversée.

04/2015

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Suspense romantique

Captive Tome 1,5 : Perfectly Wrong

Elle était la rancune, il était la culpabilité. Mais autrefois, ils étaient l'amour. Benjamin Jenkins n'a jamais oublié Isabella Grace, son premier amour, la seule à avoir su voir le véritable Ben derrière sa façade de charme et d'humour. Mais son monde, où se mêlent crimes et trahisons, était bien trop dangereux pour elle. Alors, Ben a disparu du jour au lendemain, sans la moindre explication. Depuis, son souvenir le hante chaque jour. Et ce, malgré la situation de plus en plus tendue au sein du réseau Scott, qui est sur le point de dégénérer. Mais Isabella non plus ne l'a pas oublié. La jeune femme décide de le contacter anonymement, espérant obtenir des réponses aux questions qui l'empêchent de tourner la page. Sans se douter qu'elle est sur le point de raviver des sentiments depuis longtemps enfouis sous la rancoeur... ni qu'elle s'expose à un danger des plus mortels. Mais devant cette nouvelle chance, Ben n'est pas sûr d'avoir la force, cette fois, de la laisser partir.

11/2022

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Science-fiction

Dernières nouvelles des arrière-mondes. Treize histoires d'ailleurs ou de demain

Qui peut vous dépanner si la puce de programmation de votre troisième bras électronique est défaillante ? Que voir lors d'une visite à Lupertulu, et surtout quel moyen de transport est le plus commode ? A qui s'adresser sans paraître fou, lorsque l'on atteint les 200 ans et que l'on a un problème de santé ? Peut-on se faire rembourser un rêve que l'on vous a attribué alors que vous ne l'avez absolument pas commandé ? Et que faire des clones de votre chatte, alors que ceux-ci envahissent l'espace public (et que, pour une fois, vous n'y êtes absolument pour rien) ? Ces questions, bien légitimes au demeurant, et tant d'autres, Eric Lysoe se propose d'y répondre dans les treize nouvelles de cet ouvrage. Des thèmes importants directement tirés des arrière-mondes, qu'il fallait bien aborder à un moment, avec une rigueur quasi-scientifique, mêlée cependant d'une certaine touche de poésie. Un voyage vers ailleurs et demain, qui vous apportera sans aucun doute des savoirs qui vous serviront peut-être, un jour ou l'autre.

09/2019

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Littérature érotique et sentim

Séduction. Désir Interdit, T2

Deux ans après sa dernière rencontre avec le cynique Lord Murdo Balfour, David Lauriston le retrouve par hasard au coeur d'Edimbourg. Le roi George IV s'apprête à visiter la ville pour la première fois et Murdo a été envoyé en Ecosse par son père, homme politique, afin de représenter sa famille aristocratique lors des festivités. La séparation de David et Murdo a été douloureuse - et amère du point de vue de Murdo - mais les sentiments de celui-ci semblent s'être adoucis au cours des années suivantes. A tel point qu'il suggère à David de profiter de la compagnie de l'autre le temps de son séjour dans la capitale. Malgré ses réserves initiales, David ne peut ignorer la proposition de Murdo et se retrouve très vite devant sa porte - et dans ses bras. Mais d'autres personnes, issues du passé de David, arrivent aussi en ville. Alors que se déroule la visite en grandes pompes du Roi, David est entraîné dans une série d'événements qui risquent de tout menacer : sa carrière, son bien-être et le fragile lien qui, bien malgré lui, se crée entre lui et Murdo.

06/2019

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Policiers

Panne sèche

Après s'être fait sèchement plaquer par sa copine, Nick s'est décidé à partir en Californie pour tout reprendre à zéro. Malheureusement pour lui, Nick est un loser : échoué comme une mouette mazoutée à Long Beach, une petite station balnéaire sur le déclin, il travaille comme portier de nuit dans un hôtel art déco décrépi en instance de démolition. Quand il ne bosse pas, Nick passe son temps à picoler et à se droguer en compagnie de ses deux amis : Joe, un ancien avocat dans le vent devenu junkie mais qui tente tant bien que mal de remonter la pente, et Sergei, un Russo-Batave psychopathe et flambeur prêt à tout pour un paquet de dollars. Tous rêvent du gros coup qui les rendra riches. Quand Nick tombe par hasard sur un vieux stock d'ordinateurs du FBI, qui renferment une liste de personnes bénéficiant du programme de protection des témoins ainsi que leurs nouvelles identités, il pense avoir ferré la bonne affaire. Aidé de ses compagnons d'infortune, Nick décide de retrouver les témoins et de les faire chanter. Bien entendu, rien ne va se passer comme prévu. Loser un jour, loser toujours...

08/2006

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Développement durable-Ecologie

Le bonheur était pour demain. Rêveries d'un ingénieur solitaire

Pendant des siècles, les chantres du progrès par la technique et la science appliquée ont promis à l'humanité le bonheur pour demain, ou au plus tard après-demain. L'emballement numérique, la perspective de technologies "révolutionnaires" ou "disruptives", les limites sans cesse repoussées, les annonces tonitruantes de milliardaires high-tech ont redonné un nouveau souffle aux promesses d'un monde technologique meilleur, d'abondance et de bonheur pour tous, de l'immortalité à la conquête spatiale, en passant par les énergies "propres" et la capacité à "réparer" une planète bien fatiguée. Non content de tailler en pièces ce "technosolutionnisme" béat, du passé comme du présent, ignorant les contraintes du monde physique et de ses ressources limitées, l'auteur questionne aussi les espoirs de changement par de nouveaux modèles économiques plus "circulaires" ou le pouvoir des petits gestes et des "consomm'acteurs", face aux forces en présence et à l'inertie du système. Une fois balayées les promesses mystificatrices ou simplement naïves, rien n'empêche de rêver, mais les pieds sur terre : nous pouvons mettre en oeuvre, dès maintenant et à toutes les échelles, une foule de mesures salutaires. Et si, finalement, le bonheur était bien pour demain ?

04/2019