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Printemps passé, poème parisien

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Littérature étrangère

Idriss Alaoma, le caïman noir du Tchad suivi de La passion de Babemba suivi de Néo-Africanthropus

Abdoulaye Mamani est mort accidentellement, à l'âge de 59 ans, en juin 1993 ; voici donc vingt ans. En dehors de ces écrits politiques (dispersés çà et là, mais jamais regroupés), il est essentiellement connu pour son roman Sarraounia (1980). Ces autres oeuvres, pourtant fort belles, ont moins de notoriété : poésies (Poémérides, 1972 ; Oeuvres poétiques, 1993), pièces de théâtre (Le balai, 1973) et nouvelle (Une nuit au Ténéré, 1987). En réalité, ces textes sont loin de représenter la production littéraire réelle de l'auteur : cinq romans, deux nouvelles, des essais, des poèmes restent à ce jour inédits. Autant dire que la partie non publiée est bien plus volumineuse que la partie éditée à ce jour. En outre, les textes qu'il a pu éditer dans des journaux en Algérie, lors de son exil dans ce pays, restent inconnus. Il importe donc de sortir de l'oubli cette oeuvre. C'est dans cette intention que le présent ouvrage entreprend de faire connaître trois textes : un exposé historique sur le plus grand souverain du Kanem Bornou, Idriss Alaoma, qui vécut au XVIe siècle ; une épopée, Babemba, qui retrace la manière dont ce chef sénoufo s'opposa jusqu'à la mort aux troupes françaises, à Sikasso, en 1898 ; enfin Neo-Africanthropus, poème dans la veine politique de l'auteur, qui expose ses idéaux sur l'Afrique, tels qu'on pouvait l'imaginer et l'espérer dans les premières décennies après les Indépendances, à l'époque du socialisme africain. Ces trois textes font découvrir de nouveaux aspects d'Abdoulaye Mamani : en effet, si Sarraounia aborde l'histoire, c'est par le biais de la fiction romanesque, alors qu'Idriss Alaoma se présente comme un petit essai pour vulgariser un personnage historique à l'intention du grand public ; si Abdoulaye Mamani poétisait depuis sa jeunesse, jamais il n'avait créé une longue épopée (de près de mille vers), à la manière de la tradition, comme dans Babemba, ni même un développement semblable à Neo-Africanthropus. Voilà pourquoi, le lecteur, qui a fréquenté les premiers ouvrages d'Abdoulaye Mamani, est assuré, en parcourant cette publication, de le voir apparaître sous un jour nouveau et complémentaire - en attendant que la partie immergée de son oeuvre ne fasse surface par la suite.

01/2014

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Littérature française

Entré en joie silencieuse

Dans ce poème, Jean-Pierre Parra tente de dire les pas lancés, au milieu de l'existence, sur la terre ferme de l'amour. Illustration de couverture : Marianic Parra 2008 ""Oeil sans cesseouvert"" houille 40-40 cm

01/2015

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Littérature française

Mes amis mes amis

La nuit du 13 au 14 décembre 2003 un homme tente de se donner la mort. Quand il revient à lui, et dans les semaines qui suivent, il s'adresse à ses amis dans un long poème.

09/2004

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Fantastique

Histoires fantastiques

Redécouvrez ou découvrez les célèbres nouvelles fantastiques d'Edgar Allan Poe dans un recueil relié et magnifiquement illustré. A ce recueil vient s'ajouter le fameux poème Le Corbeau, traduit par Stéphane Mallarmé. Préface de Charles Baudelaire.

03/2022

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Seinen/Homme

Shit Chofu

Dans mon quartier, quand on se retrouve pour picoler, on commence par faire tourner une marmite de pisse. C'est pas pour me la raconter, mais depuis que j'suis né,j'ai passé toute ma chienne de vie dans une putain de transe... Voilà comment ça se passe à C-Town, ma gueule !! Une meuf avec un flingue à la place du doigt, un mec qui bouffe des tacos au serpent, une gonzesse qui pourrit un chauffeur de taxi, une secte de gros excités, un clebs qui garde la porte des Enfers. un squelette qui vomit du feu... Ici Shit Chôfu, la nécropole finie à la merde et au sang...

02/2022

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Science-fiction, heroic fantas

La Forêt du temps Tome 2 : Les envoyés sans retour

Partis à la poursuite de la voleuse qui a brisé la bulle temporelle dans laquelle ils ont toujours vécu, les enfants du village ont atteint le bout de la forêt du temps. Où l'on a bel et bien vu passer la femme qu'ils recherchent... voici plusieurs millénaires ! Elle est devenue une légende, à l'instar de Cernos, le dernier des géants ? dont ils viennent de faire la connaissance ! Le présent semble s'être enfui vers le passé, et le passé est en train d'écrire leur avenir. Et seul le mystérieux et redoutable Mange-temps semble comprendre quelque chose à cette spirale infernale.

01/2023

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Littérature française

L'amour n'existe pas

L'auteure est née le 10 décembre 1960 à Lausanne. Après avoir passé une belle enfance au bord du lac Léman, elle est allée en Angleterre pour approfondir son anglais. Après 4 ans passés là-bas, elle a fait une première formation médicale. Le 31 août 1988 elle a épousé un physicien chinois. Ensemble, le couple a passé plusieurs années en Suisse. En 1995, le couple est parti pour Shanghai pour des raisons professionnelles. En 2002 est né leur fille Catherine, une artiste surdouée. En été 2013, l'auteure et sa fille sont venues en Suisse. C'est là que l'auteure a commencé à écrire des livres.

08/2021

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Beaux arts

Merde à Duchamp

Plus que jamais aujourd'hui Duchamp est un référentiel incontournable, l'icône d'un art rattrapé par l'argent et devenu un pur produit de casino et de spéculation. Comment en est-on venu à rabougrir l'art à ce point, à le transformer en supercherie de masse ? Comment a-t-on pu exiler la beauté sur le tapis vert du business ? Comment a-t-on pu faire du snobisme une pompe à fric ? C'est quelques-uns de ces multiples tours de passe-passe que Merde à Duchamp, nourri d'une grande érudition artistique, met en lumière avec une verve éblouissante. Un déboulonnage clair et définitif du faux art contemporain.

11/2018

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Police

Le Central

"Moi de mon côté, j'ai déjà dans l'idée de passer un an dans un commissariat. A l'heure où la police fait l'objet d'incessants débats, je veux comprendre ce que c'est, qu'être flic. Entrer dans leur tête. Raconter ce qui se passe, surtout quand il ne se passe rien, ou pas grand-chose. Raconter le quotidien : les contrôles, la paperasse, les découvertes de cadavre, les autopsies, les points de deal, les auditions, les accidents... Raconter les découragements. Que font les policiers, concrètement, et avec quels gestes ? Quels ordres reçoivent-ils et pourquoi ? Et quelles sont leurs limites ? " Mikael Corre

04/2023

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Littérature française

Ni toi ni moi

Il est réalisateur, elle est romancière. Ils savent ou croient savoir quelque chose des histoires qu'on se raconte et du cinéma qu'on se fait. Et pourtant, comment enchaîner ces deux phrases qui les lient, puis les délient, ces deux plans fixes : Je t'aime - Je ne t'aime plus ? Qu'est-ce qui se passe entre deux ? Qu'est-ce qui passe - ne fait que passer ? Comment dire ce qui ne s'entend pas, comment montrer ce qui ne peut pas se voir ? C'est un roman d'amour ? Un roman de haine ? Peut-être un roman policier : on enquête sur la disparition de l'amour.

05/2014

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Policiers

Fontaineblues

Rostock, ex-R.D.A. Douze ans après la chute du Mur de Berlin, Friedrich Scharf est revenu du capitalisme et de ses mirages. À cinquante ans passés, il a l'impression d'être passé à côté de sa vie. Jusqu'à ce que l'héritage de son père vienne rebattre les cartes du destin... Fontainebleau. Stan Branisky a démissionné du GIGN et goûte dans sa librairie le calme d'une existence rangée. Tout bascule quand son ami Marc meurt à Bruxelles dans des circonstances étranges. Le fil qui relie les rives de la Baltique à la forêt de Fontainebleau va plonger Stan dans la vase écœurante d'un passé terrifiant.

04/2010

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Littérature française

La dame des Bains Luckàs

Bruno Martin, français en vacances à Budapest, tombe sous le charme d'une très vieille dame dans les Bains Luckàs où il se repose. Celle-ci va lui proposer une mission très bien rétribuée pour retrouver sa famille, disparue il y a longtemps. Son enquête va alors l'emmener dans la Guerre de 40 puis de celle de la Guerre Froide. Son passé va aussi resurgir pour se mêler à ses recherches. Le roman retrace des pans de notre histoire et raconte un épisode qui aurait très bien pu se passer, et qui s'est peut-être passé. Les archives soviétiques le diront peut-être un jour.

10/2014

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littérature ukrainienne

Les gens ordinaires ne portent pas de mitraillettes

"Moi de mon côté, j'ai déjà dans l'idée de passer un an dans un commissariat. A l'heure où la police fait l'objet d'incessants débats, je veux comprendre ce que c'est, qu'être flic. Entrer dans leur tête. Raconter ce qui se passe, surtout quand il ne se passe rien, ou pas grand-chose. Raconter le quotidien : les contrôles, la paperasse, les découvertes de cadavre, les autopsies, les points de deal, les auditions, les accidents... Raconter les découragements. Que font les policiers, concrètement, et avec quels gestes ? Quels ordres reçoivent-ils et pourquoi ? Et quelles sont leurs limites ? " Mikael Corre

02/2024

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Seinen/Homme

Criminelles Fiançailles Tome 7

La relation entre Kirishima et Yoshino se poursuit, ponctuée par de nombreuses promesses écrites servant à encadrer le comportement débridé du jeune homme. Ce dernier désire présenter quelqu'un à sa fiancée... Elle ne sait pas encore qu'il va lui ouvrir la porte de son passé. De son côté, Shôma enquête sur l'homme avec lequel il s'est battu à Kobe. Son contact lui conseille de s'intéresser à un incident vieux d'une vingtaine d'années. Peu après, Azami passe à l'action : alors que Kirishima est retenu à un enterrement, il aborde Yoshino en se faisant passer pour un chauffeur du syndicat Tokusa...

09/2023

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Littérature française

L'hôtel des amours faciles

Voici un livre qui va contre le désenchantement de l'époque. Où il est montré que manger de la vache enragée pour gagner sa croûte n'est pas obligatoirement triste, surtout quand la chair (féminine) s'en mêle. Que le Paris des années 50 et 60 restait encore une fête pour qui possédait une once d'émerveillement mâtinée de débrouillardise. Quand bien même la galère menaçait chaque jour. On ne s'appelle pas Lentier pour rien. Récit d'apprentissage, chronique où le sexe se fait gourmandise, exploits d'un jeune Dom Juan sûr de lui, le héros ne doute pas : il sera écrivain ou rien. En attendant, il faut enchainer les petits boulots. Autant d'expériences vécues que cocasses, profitables à celui qui espère malgré tout : "conscience de n'être rien, qu'un pauvre petit mec de la province qu'aurait certainement un bon bout de chemin à faire avant de sortir du lot". Cette épopée d'un titi parisien dans la dèche, d'un Poulbot délicat ne perdant jamais l'essence des sens, le montre fidèle à lui-même, croqué par une écriture personnelle, reconnaissable par sa gouaille et sa verve qui ont fait sa renommée. Il compare les seins à des "boules de Noël", voire à des "lolos Bourguiba" ou évoque un "sex-appeal de Bécassine"... Cet homme touchant qui se penche sur son passé ne se renie pas, pour le plus grand bonheur du lecteur. Il préfigure tout simplement le Joel Séria à venir : talentueux et irrévérencieux dans l'oeuvre duquel la truculence n'est pas un gros mot.

10/2019

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Critique littéraire

La Peau de chagrin d'Honoré de Balzac

"La Peau de chagrin est un roman de crise, où se manifeste en grinçant un nouveau mal de vivre. Démonétisées sur la scène historique, les valeurs n'y ont plus de fonction régulatrice. On y voit prospérer cette "pathologie de la vie sociale" qui, de l'intérieur, menace un groupe humain de dissolution. A l'évidence, l'Histoire piétine : elle y est suspendue entre un passé, dont on respire encore "la senteur cadavéreuse", et un avenir, où tout idéal semble par avance flétri. Dans une telle impasse - les ruines ou le chaos -, la vie sociale tourne sur elle-même, en une ronde infernale : la mort guette, à ce jeu dangereux. Solidement ancré dans la réalité, La Peau de chagrin n'est donc pas à proprement parler ce qu'on appelle un "roman d'actualité" : si éblouissante que soit la verve du conteur parisien, son propos dépasse celui d'un journaliste écrivant une chronique de 1830. Pas davantage, ce récit ne quadrille méthodiquement tous les secteurs d'une société en crise, selon le dispositif panoptique que déploie l'enquête réaliste. Hofmannsthal touche juste quand il voit dans cette oeuvre une "rhapsodie débordante d'imagination et de réflexions philosophiques". Car on y trouve une ample exposition du "système" balzacien où l'homme est "considéré comme individu et comme être social". C'est de ce côté-là qu'il faut chercher l'horizon d'un roman dont Balzac n'a pas fait au hasard "la cellule-mère de La Comédie humaine"". Pierre Glaudes.

05/2003

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Histoire de France

Atlas historique de Paris

Visualisez l'évolution de Paris sur deux millénaires. Le Paris contemporain est issu d'une longue histoire. La ville s'est progressivement et par à-coups étendue en fonction des conjonctures politiques et économiques. Jusqu'au XIXe siècle les enceintes successives ont marqué cette extension. De nombreux ouvrages ont été écrits sur l'histoire de Paris, généralement illustrés de plans et de documents anciens. Les cartes originales de cet atlas historique éclairent, de façon chronologique, l'évolution de l'espace et du paysage parisien dans toutes ses composantes - habitat, églises, hôtels particuliers, voies, jardins, espaces cultivés... - de façon homogène depuis la ville gallo-romaine jusqu'en 1900. A cette date, en effet, le Paris intra-muros est pratiquement entièrement bâti. Des analyses par thèmes (les enceintes, la Seine, l'Eglise, l'Université...) et par quartiers complètent cette approche globale de l'emprise spatiale de la capitale. Une lecture pour tous les amoureux de la ville des Lumières pour connaître son passé et ses métamorphoses. Les bouleversements que connaît Paris deviennent ici les témoins des époques, des moeurs et du peuple. Architecte et urbaniste de formation, Michel Huard a travaillé en tant qu'architecte libéral avant d'occuper comme urbaniste de l'Etat différents postes dans l'administration. Parallèlement, il s'est appliqué, depuis vingt ans, à reconstituer l'évolution spatiale de Paris à partir de cartes, de documents anciens ainsi que de travaux d'historiens. Il a mis en ligne un site internet : paris-atlas-historique dont est issu cet atlas.

12/2019

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Littérature étrangère

Du côté du bonheur

Entre ses deux boulots, ses enfants et sa mère qui perd la tête, la vie n'est pas toujours facile pour Maisie. Mais, depuis qu'elle s'est décidée à quitter son mari violent, cette Irlandaise au caractère bien trempé retrouve peu à peu le chemin du bonheur. Jusqu'au jour où son fils Jeremy disparaît mystérieusement avec son meilleur ami. Que s'est-il passé le soir du 1er janvier ? Avec l'aide de Fred, son chevalier servant, et de Lynn, sa fidèle amie, Maisie tente de reconstituer le fil des événements. Dans ce quartier populaire des environs de Dublin, chacun affronte les coups du sort avec humour et ténacité. Mais le terrible secret qu'elle va découvrir bouleversera à jamais le cours de sa vie. Après les succès des Derniers Jours de Rabbit Hayes et de Mon midi, mon minuit, Anna McPartlin revient avec ce roman lumineux qui explore le thème du deuil et de la reconstruction, illustrant l'incroyable instinct de vie qui sommeille en chaque individu. On y retrouve avec bonheur la grâce de l'auteur qui parvient à nous transporter dans un univers à la fois drôle et poignant, où les vagues d'émotion déferlent comme autant d'ondes bienfaisantes. Un récit débordant d'espoir et de tendresse, qui touche en plein coeur. " Voilà un livre triste qui fait pourtant un bien fou. " Femme Actuelle pour Mon midi, mon minuit. " C'est un texte joyeux, lumineux et une bouleversante leçon de courage. " Le Parisien pour Les Derniers Jours de Rabbit Hayes.

04/2018

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Littérature française

Lettre à Anita. Souvenirs de l'ardoise magique

"C'est pour me présenter à toi que je te raconte ma vie. C'est comme ça, un Papy, ça raconte. Moi, ça m'a manqué les histoires de famille. Alors je me rattrape. Pour toi ; et pour plus tard". Anita, la première petite-fille de Serge Moati, est née le 15 juillet 2017. Par cette "lettre" qu'il lui adresse, le grand-père septuagénaire répond à une question qui le taraude : que restera-t-il du monde qui a vu grandir Serge Moati ? Dans les temps à venir, que restera-t-il des Moati (juifs de Tunisie), de la gauche, de la franc-maçonnerie, de la télévision et de ce cinéma qu'a tant aimés le réalisateur ? Bref, du monde d'avant, le sien. C'est donc porté par cette urgence de transmettre ses histoires et ses valeurs que Serge Moati a affectueusement pris la plume. Aidé d'un outil bien particulier, une "ardoise magique" qui lui permet de réanimer les souvenirs les plus enfouis, il fait revivre son passé, donne chair à sa mémoire, pour permettre à sa petite-fille de savoir ce qu'elle porte en elle. De la Villa Jasmin de Tunis au pensionnat parisien en passant par la perte de ses parents à tout juste onze ans, la rencontre décisive avec François Truffaut et, plus tard, les années Mitterrand, Serge Moati raconte, à sa façon, les moments essentiels de sa vie. Un récit biographique à la fois drôle et émouvant autant qu'une ode à la transmission.

01/2020

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Littérature française

Villa des orangers

Un Bleu Klein parisien. Et puis un jaune américain à la Newman. Une touche de vert à la Chagall vu depuis une fenêtre sur l'île de Bréhat. C'est étrange de retrouver naturellement ces couleurs tout au long d'une vie. Puis d'une autre... Le temps passe, les siècles laissent leurs témoignages et les hommes voyagent. Pour des femmes et des idées, pour l'art et la beauté. Pour Claudia et Maria-Maddalena, la rencontre qui bouleversera leurs vies se fera aussi autour de l'art. Claudia est conservatrice et restauratrice d'art au musée des Offices. Elle travaille sur une toile du peintre anglais préraphaélite, Anthony Frederick Sandys. Maria-Maddalena est une descendante de ce peintre. Dans un camaïeu riche de sentiments, de petites touches de couleurs en aplats magistraux, les deux femmes nouent une amitié hors norme dans la belle Toscane de la Villa des Orangers. De là, de verres de gin en éclats de rire, de larmes en souvenirs, elles voyageront pour des hommes, pour l'art et la beauté. Maria-Maddalena, dans une phase dépressive inconsciente va puiser en Claudia son élan de vie et son aptitude au bonheur. Quant à Claudia, que dire de cette femme, sinon, qu'elle est elle-même une invitation au voyage ? Ce livre parle d'art, d'art de vivre et de bien vivre. Il parle aussi d'amour, de tolérance et de fraternité. C'est un livre hédoniste, un livre qui prend son temps, une sorte d'hymne à la vie...

11/2020

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Romans historiques

Le testament de Nicolas Flamel

Nicolas n’en croyait pas ses yeux ! L’apparition le cloua littéralement sur place… Il lui fallut de longues journées d’effort et de patience pour maîtriser le trait de lumière que le Tout Puissant lui avait donné la grâce de découvrir. L’alchimiste en était sûr : ses fabuleuses connaissances, résultat d’une vie de labeur, traverseraient les siècles pour permettre à un inconnu désigné par Dieu de les retrouver et de les mettre à profit pour faire le bien ! Mai 1968 : La révolution est en marche. Pierre, étudiant parisien prend une part active aux évènements entraînant dans tous "les coups" son meilleur ami Antoine et la jeune et jolie Delphine Ustarriéta amoureuse d’un des héros. Celle-ci tombe, victime des violents échanges de la barricade Gay Lussac. Lorsque le grand père d’Antoine, héros de la Grande Guerre, décède, il lui laisse en héritage un mystérieux étui d’or. Les deux amis aidés par l’un de leurs professeurs, découvrent, abasourdis, l’origine de ce curieux objet. Antoine, qui vient de découvrir en Delphine l’amour de sa vie, est persuadé que son héritage n’est pas dû au hasard. Il entraîne ses amis sur la piste du trésor qui permettra, il en est sûr, de sauver la malheureuse. Course contre la montre au temps présent, contre course contre la terreur du temps passé. De l’alchimie moyenâgeuse à la révolution scientifique des années 60, un message inscrit dans la matière… La lumière est la clef !

07/2015

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Littérature française

Le neveu de Rameau ; Rameaus Neffe ; Satire seconde

Ce bilingue d'un nouveau genre est en français/français. Avec ce Neveu de Rameau, nous sommes en plein roman policier, entre un original disparu et une traduction de traduction. Diderot écrit un texte subversif, la Satire seconde, qu'il ne montre à personne. Il en fait faire trois copies. A sa mort en 1785, sa fille transfère à Saint-Pétersbourg sa bibliothèque et une collection manuscrite de ses oeuvres. De Russie, une copie parvient jusqu'à Goethe en 1803. Goethe décide de traduire en allemand ce texte que personne en France n'a jamais lu, et qui, sous le titre de Rameau's Neffe, passe à la postérité. La copie dont Goethe s'est servi a disparu. En 1821, Joseph-Henri de Saur et Léonce de Saint- Geniès retraduisent en français la traduction de Goethe, comme s'il s'agissait du texte authentique de Diderot. Il faut attendre la fin du XIXe siècle pour que soit redécouvert un manuscrit autographe chez un bouquiniste parisien. Pour la première fois, les trois textes sont réunis ici : en vis-à-vis, l'original de Diderot et la rétrotraduction du texte de Goethe, avec, en rez-de-chaussée, la traduction allemande de Goethe. On touche ainsi l'impalpable distance, violente pourtant, entre un texte et sa, ou plutôt ses traductions, à deux degrés d'éloignement - "l'original est infidèle à sa traduction", disait Borges. L'histoire hors du commun d'un texte lui-même hors du commun est présentée et commentée par Jacques Berchtold et Michel Delon.

11/2017

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Poésie

La Haine des oiseaux

La Haine des oiseaux est le neuvième ouvrage écrit par Quentin Mouron, qui poursuit, avec cet ouvrage lyrique, politique et très contemporain, son aventure d'écrivain de grande qualité. Ce recueil de poèmes, est le deuxième volet d'une trilogie poétique, commencée avec Pourquoi je suis communiste. Si le premier recueil explorait les différents états amoureux en les plongeant dans la réalité brute de la lutte et du travail, faisant ainsi dialoguer ces trois dimensions fondamentales de l'existence humaine, La Haine des oiseaux se propose d'utiliser le médium poétique à rebours de sa fonction traditionnelle, en le frottant à l'actualité la plus crue – pour ne pas dire la plus cruelle. Mouron poursuit son exploration aux limites du genre et s'impose comme l'un des poètes les plus intriguant et les plus excitants du moment. Comme l'écrit l'auteur lui-même : " Il n'y a de poésie véritable que lorsque l'on a accepté la souillure des hommes et la souillure du temps. " Ou encore : " La poésie s'écrit toujours avec un p minuscule. La majuscule est l'autre nom du mensonge. " Il y est question de la guerre qui hante actuellement l'Europe, mais aussi de l'inflation, de la hausse du prix de l'essence, de la propagande russe, des réseaux sociaux, de l'aliénation sous toutes ses formes, du harcèlement de rue, des influenceuses et des influenceurs, de tout ce qui tisse la trame de notre monde. Mouron, à travers ces nouveaux poèmes à la structure audacieuse, à la fois libres et construits, propose une lecture engagée de notre modernité – une lecture qui, loin de placer le poète dans une tour d'ivoire, le convoque au contraire dans la boue sanglante où ses semblables se débattent. "

09/2022

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Poésie

Plan à vol de corbeau

Vingt ans après ce qui fut la première traduction française de cet ouvrage en 1999, Cori Shim & Jean-Yves Darsouze, qui en étaient les traducteurs, proposent cette nouvelle traduction intégrale et augmentée du chef-d'oeuvre poétique de Yi Sang, "Plan à vol de corbeau" ("Ogambo"), lequel comprend des poèmes publiés entre 1931 et 1956, soit presque 20 ans après sa mort au Japon en 1937 pour ces derniers. Né en 1910 à Séoul, année de l'annexion japonaise, toute sa vie durant, Yi Sang eut à subir l'occupation. Contraint de parler et d'écrire dans la langue japonaise imposée devenue officielle, il sut se l'approprier et la détourner. Diplômé d'architecture en 1929, cette influence est, parmi celle notamment des mathématiques (présence de chiffres, de séries, d'équations, mais aussi de lignes...), notoire dans certains de ses poèmes, comme bien sûr dans le titre même de cet ouvrage ("? Plan ? . ". .). Membre du groupe artistique "Le Cercle des neuf" qu'il intégra en 1934, Yi Sang, qui fut également peintre, publia dans le "Journal" éponyme de ce même groupe ("Pierres tombales" en papier et "Etat critique" y parurent notamment en 1936). Poète incontournable qualifié de "? Rimbaud coréen ? ", de nombreuses études et éditions nouvelles lui ont été consacrées, et un prix littéraire créé en 1977 porte son nom. "Sa poésie résolument moderne a parfois provoqué le scandale. Elle est torturée, loufoque [... ]. En exil dans une famille qui n'est pas directement la sienne, dans un pays qui n'appartient plus aux Coréens, dans une vie qui paraît condamnée par la maladie, Yi Sang bouleverse la phrase coréenne, utilise du vocabulaire étranger, des références scientifiques, et offre une vision déstructurée de la réalité, recomposée à travers une recherche de soi qui se perd aux limites du désespoir, de l'absurde et de la mort". (Jean-Yves Darsouze)

08/2019

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Critique littéraire

Correspondance 1954-1968. Avec des lettres de Gisèle Celan-Lestrange, Jean Delay, Marie-Madeleine Delay et Pierre Deniker, Suivie de la Correspondance René Char - Gisèle Celan-Lestrange (1969-1977)

Cette correspondance rapproche deux hommes, deux écrivains, et aussi deux lecteurs, bien qu'ils ne fussent ni de la même langue ni du même monde ni du même âge. Leur voisinage, leur rencontre n'a en fait rien pour surprendre. L'échange entre René Char et Paul Celan semble aller de soi et apparaît d'emblée sous un jour des plus prometteurs ; il laisse augurer d'une certaine égalité des voix ; d'un dialogue nourri d'expériences comparables : celui du poète du maquis de Provence avec le poète juif d'Europe orientale qui, contrairement à ses parents, ne subira que les camps de travail roumains et échappera à la machine d'extermination nazie. Tous deux connurent, jeunes, la clandestinité, la disparition de proches, le sentiment de l'imminence de la mort, la haine absolue des politiques mortifères. Tous deux ont écrit et pensé dans des situations extrêmes. Les poèmes de Celan nés dans les camps, qui constituent le socle de toute son écriture, sont encore, quand s'ébauchent leurs échanges, quasiment inconnus en France. Char et Celan ont trempé pour toujours leur parole dans ces multiples épreuves. Une parole qui devait assumer sa part obscure, issue des méandres et des gouffres du siècle. L'obscurité de leur dire résulte de la coagulation et de l'élaboration d'expériences limites, d'un passage par l'abîme et non d'un hermétisme délibéré, au sens d'un cryptage volontaire de quelque chose de préalablement clair, destiné à on ne sait quels initiés ! C'est à travers le filtre ou l'optique des événements vécus que les deux poètes mettent à l'épreuve leurs lectures, s'approprient ce qu'il leur faut pour situer leur propre voix tôt fondée en nécessité.

10/2015

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Critique Poésie

Le Spleen de Paris. "Petites babioles" et "Bagatelles" de Baudelaire, 2e édition revue et augmentée

Cette nouvelle édition, revue et augmentée, préfacée par Guy Larroux, s'est attachée à rendre plus aisée une lecture personnelle et sensible d'une oeuvre qui ne cesse d'intéresser et de passionner. Le discours poétique baudelairien est dense et complexe, d'autant que Les Fleurs du Mal et leur "pendant" Le Spleen de Paris sont en dialogue permanent avec les oeuvres critiques, les comptes-rendus, les essais et même les traductions de l'écrivain poète. Une attention particulière a été portée aux "petits poèmes en prose" : la métaphore du serpent de la dédicace-préface du Spleen de Paris et le symbole emblème du "Thyrse" incitent en effet à repenser la notion d'entrée ou d'ouverture des recueils et à lier la production du discours poétique à l'entremêlement dynamique, éthique et esthétique de la ligne droite et de la ligne arabesque. Ce qui est proposé au lecteur, c'est une présentation ouverte des poèmes et des recueils sous la forme de ce que l'on pourrait appeler visuellement et musicalement des "tableaux d'une exposition". Baudelaire peint, sculpte. compose, écrit avec des "mots" dans leurs spécificités de "signes" et de "valeurs", en explorant et en exploitant tous les possibles de la langue dans l'art de la a magie suggestive a et de la "sorcellerie évocatoire". Au lecteur de regarder, contempler, écouter, entendre, lire ces a tableaux d'une exposition n dans laquelle il est invité à entrer et à déambuler selon son propre cheminement, même si, à titre purement indicatif, le parcours est fléché. Il est même permis de se demander si l'auteur de ce livre n'a pas lui-même retrouvé ses pinceaux pour l'écrire...

06/2021

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Littérature étrangère

L'écrin vert

En Inde on l'a nommé visva-kavi, poète du monde, titre éminemment approprié pour Rabindranath Tagore (1861-1941), dont l'œuvre, tout ancrée dans l'esprit de l'Inde millénaire et dans l'amour de sa terre du Bengale, se situe en même temps dans une perspective universelle. Elle est caractérisée par sa vision de la planète décloisonnée de ses frontières et animée de la compassion de son auteur pour l'humain. Témoin de l'époque qui voit l'Inde entrer en combat contre le gouvernement britannique, et l'Europe avancer vers le désastre de la Seconde Guerre mondiale, Rabindranath en accusera les chocs et les tensions. D'un courage éprouvé, il gardera jalousement sa liberté de plume. De son œuvre littéraire, ensemble prodigieux de compositions dans les divers genres connus, et d'autres innovés, seule une fraction a été traduite à ce jour, et ce, à partir des traductions anglaises pour la plupart. L'écrin vert réunit des poèmes choisis dans trois recueils de poésie lyrique de Rabindranath intitulés Allée (Bîthikd), Bourgeons (Patraputa) et Shydmali. Composés dans la dernière décennie de sa vie, ils sont traduits ici pour la première fois du texte bengali par Saraju Gita Banerjee. La poésie de Rabindranath a la simplicité du monde réel et aussi sa diversité, et comme le réel elle est continuellement en mouvement. À l'image des grands fleuves du sous-continent indien comme le Gange et le Brahmapoutre, elle est débordante et vivifiante. Elle veut embrasser le tout, en être la parole. Au cœur de l'instant passant elle cherche à retenir l'éternel. En elle se trouvent mêlées la lumineuse vision des poésies anciennes, la musique des mondes et la danse des corps célestes. Elle est l'écriture de la passion d'un poète en quête du sacré.

04/2008

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Romans de terroir

Le sanglier de la forêt de Lonnes. Esquisse du comté de Savoie à la fin du XIVe siècle

Jacques Replat (Chambéry, 1807-Annecy, 1866) fut un des auteurs les plus en vue dans la Savoie du XIXe siècle ; très apprécié de ses contemporains, il publia plusieurs romans gothiques - se déroulant au Moyen Age et teintés de fantastique -, des poèmes également d'inspiration médiévale ou romantique, et des récits de promenades oniriques, mêlant l'humour, la vision, le souvenir et l'histoire. Le Sanglier de la forêt de Lonnes, publié en 1840, évoque le dernier duel judiciaire du comté de Savoie, en 1397 : il eut lieu à Bourg-en-Bresse entre le chevalier-poète Othon de Grandson et son rival Gérard d'Estavayé. Il en explore les sources - la mort suspecte du Comte Rouge Amédée VII à Thonon, l'amour de Catherine d'Estavayé pour Othon -, et prend pour symbole du mal qui rongeait la Savoie le grand sanglier qui hantait les forêts du Chablais et dont la malédiction devait être fatale aux temps héroïques : car avec la mort du Comte Rouge et celle du chevalier-trouvère, c'est toute une époque qui s'en va, avec ses valeurs, ses rêves, ses illusions, ses fantasmes - lesquels ne sont d'ailleurs pas dénués de force sur les événements : derrière leur voile, des forces mystérieuses sont à l'oeuvre. Poète et historien à la fois, Jacques Replat a dans ce roman recréé avec succès une période qui continue de susciter une forme de nostalgie : la Savoie féodale semble avoir touché au monde du rêve, comme un écho de la mythologie arthurienne alors si prisée en Europe. Evocation poignante, que celle du Sanglier de la forêt de Lonnes, et si typique de la littérature du Buon Governo (1815-1848) : on voulait renouer avec les vieilles racines, enfouies dans la brume des temps gothiques.

04/2015

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Critique littéraire

Philippe Soupault

" Poète, vagabond. Voyageur. Contestataire ", Philippe Soupault (1897-1990), fondateur du mouvement surréaliste avec André Breton et Louis Aragon, a vécu en marge, à dessein et par inadvertance. A dessein, il s'est tenu à l'écart des projecteurs, n'aimant ni l'idée ni les servitudes de la gloire. Et c'est par inadvertance qu'il est resté dans l'ombre : trop occupé à vivre, il a oublié de préparer sa postérité... Auteur avec Breton, en 1919, des Champs magnétiques, un des livres les plus marquants du XXe siècle, il est avant tout poète. Mais c'est aussi un romancier de talent (du Bon Apôtre aux Dernières Nuits de Paris), et un critique prolifique, inclassable. Editeur, journaliste à Paris-Soir et à L'Excelsior, directeur de Radio-Tunis, producteur à Radio-France, sa vie professionnelle est variée et passionnante, marquée par de nombreux voyages, de multiples rencontres. Proche de la résistance gaulliste, il connaît les geôles vichystes à Tunis. Considéré comme l'un des plus authentiques écrivains de la littérature française, on le retrouve en 1944 professeur dans une université chic de la côte Est des Etats-Unis. Sa vie, retracée ici à travers son oeuvre et de très nombreux inédits, suit les soubresauts littéraires et politiques du siècle, du mouvement dada aux errances du surréalisme, de la montée du nazisme en Allemagne à la dictature du gouvernement de Vichy, de la création de l'URSS à la décolonisation. De Paris à Mexico, de Tunis à New York en passant par Berlin, Prague et Rio de Janeiro, c'est une longue vie pleine de poèmes et de traversées, cherchant sans cesse un difficile équilibre entre l'écriture, les amitiés et les amours.

04/2010

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Critique littéraire

Aratea ; Fragments poétiques

Cicéron était aussi poète. On le sait moins, mais le célèbre avocat n'a jamais cessé d'écrire des vers, depuis son adolescence jusqu'aux dernières années de sa vie. Sans doute ce n'est pas à son oeuvre poétique que Cicéron doit sa renommée. Tacite et Martial, entre autres, eurent des mots assez durs à son propos, cependant celle-ci, abondante et variée, laisse entrevoir tout un pan méconnu de l'oeuvre de Cicéron ainsi que les goûts littéraires de l'époque. La présente édition rassemble en un volume toute la poésie de Cicéron, le plus souvent connue par des citations glanées dans divers textes. La riche introduction replace l'oeuvre poétique dans le corpus cicéronien et dégage trois grandes périodes, correspondant à trois styles de poèmes : l'oeuvre de jeunesse, très marquée par la poésie alexandrine contient notamment les Aratea, traduction en vers latins du fameux texte d'Aratos, et qui occupe la plus grande partie du recueil. Puis, à l'âge adulte, Cicéron se tourne vers des sujets de plus grande envergure et plus proches de son époque. Il écrit alors des épopées d'actualité, dont le De Consulatu suo et le De Temporibus suis sont les exemples les mieux conservés. Enfin, au crépuscule de sa vie, Cicéron philosophe orne ses traités de traductions des plus grands poètes grecs, d'Homère à Euripide. Après ce panorama de la poésie cicéronienne, l'introduction relate en détail l'histoire du texte et de ses éditions. Des notes accompagnent la lecture et sont développées, pour chacun des poèmes, par des notes complémentaires. L'ouvrage est en outre enrichi par une précieuse table de concordance ainsi que par un Index Nominum.

01/1993