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Littérature française
Littérature française
Colin lo Trobadaïre (de son nom Nicolas Sègerie) est un musicien d'origine paysanne attiré depuis sa prime jeunesse par tous les instruments qui passent à sa portée : harmonica, flûte, accordéon, piano. Il écrit ses premières chansons vers l'âge de 12 ans sur l'orgue offert par un oncle. Il découvre la guitare avec l'animateur de colonies d'origine espagnole Fico Gomez. Il crée nombre d'expériences musicales, comme l'association "Autour du Piano d'Or" à Lyon, qui anime chaque jour le parc. Musicien bénévole des lieux de création hors des circuits commerciaux de la culture, il adopte le modèle des carnets de chants avec accords. L'artiste développe un mode particulier d'animation participative : à l'aide de classeurs, il fait chanter petits ou grand les textes de Brassens, Brel, Dassin, le Forestier... Entretenant ainsi une culture longtemps laissée de côté et préparant petit à petit ses propres chansons qui constituent ce recueil. Sa musique a beaucoup participé à révéler la sensibilité de l'artiste, susciter la rencontre et revisiter les amours, soulager les peines, restituer les militances qu'on voit transparaître dans ce gros carnet à l'usage des musiciens, fruit de quatre décennies de travail [1983-2021]. De formation scientifique, enseignant, chercheur indépendant, son activité d'artiste fut un temps mise de côté. Mais la nécessité de rehausser le moral, d'animer toutes sortes d'activités et de combattre l'époque devenue attristante par la montée des périls, Colin lo Trobadaïre réveille par ses chansons la tradition du troubadour.
01/2022
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04/2021
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CNLMusique – Quand bien même on le réclame sur la plupart des plateaux avant chaque prise de vue, le silence au cinéma est difficilement tenable. Instinctivement associé au vide, au néant, à la contemplation, à la passivité, au temps suspendu, à la mort, ou encore à l'impossibilité de l'événement, le silence est craint.
L'attrait du silence manifesté ou subi par les cinéastes et les personnages dans la quinzaine de films ici réunis (du Prince étudiant d'Ernst Lubitsch à Paterson de Jim Jarmusch en passant par Silence et Cri de Miklos Jancso) doit donc être entendu comme aspiration jamais véritablement concrétisée ni satisfaite.
Le silence au cinéma est toujours relatif, perturbé, rompu, brisé, irrégulier, provisoire, dénaturé. Mais il ne provoque en rien une sclérose du sens, du récit ou encore de l'émotion, pour redonner temporairement la main au visible, à défaut de son autonomie complète. Le motif du silence - décliné selon quatre approches entrecoupées de focalisations sur des moments silencieux - sera donc ici mis en exergue dans sa capacité à stimuler des récits fictionnels mais aussi documentaires.
Dès lors il conviendra de se poser la question : par quoi est-il compensé ? C'est que le silence est très vite devenu un recours dramatique très efficace, non pas à le considérer isolément, mais grâce à sa confrontation ou sa juxtaposition avec les composantes de la bande-son que sont la parole, la musique et les bruits. Autrement dit, le silence a besoin d'elles pour résonner, à défaut de s'imposer comme quatrième composante.
04/2021
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