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Alexandre Giora

Extraits

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Sociologie

Internet en Asie. Chine, Corée du Sud, Japon, Inde

L'Asie compte les pays les plus connectés de la planète (Corée du Sud et Japon) et les deux plus importantes populations d'internautes au monde (Chine et Inde) restent encore à connecter. Ce livre scrute de très près le phénomène Internet en Asie, en décrivant les multiples usages, les promesses, et aussi les dangers. A côté des statistiques et des analyses de fond, il nous fait aussi - et peut-être surtout - découvrir toutes les variétés asiatiques d'internautes, vedettes ou anonymes. Et il répond à des questions comme "Internet démocratisera-t-il la Chine ?", "Pourquoi la Corée est-elle le royaume des jeux en ligne" ou "Qu'arrivera-t-il quand l'immense population de l'Inde rurale entrera dans le monde grâce au Net ?"

01/2013

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Art contemporain

Les portes du possible. Art & science-fiction

Quand la réalité se détraque, il est temps de se pencher sur un genre qui a pour credo la remise en ques/on de nos cer/tudes. La science-fic/on nous parle du présent, ouvre nos consciences sur les évolu/ons en cours et par/cipe à la construc/on de notre futur. Rien n'est immuable et il nous revient de faire jouer notre imagina/on pour changer l'Histoire. Les Portes du possible envisage la science-fic/on moins comme un genre que comme une méthode de pensée cri/que, un espace de liberté qui réimagine nos vies, et que li^érature et art s'approprient au même /tre. Il convoque ainsi 200 oeuvres des années 1960 à nos jours, dont une centaine commentée, et les textes inédits d'auteurs de science-fic/on reconnus - Sabrina Calvo, Nadia Chonville, Philippe Curval, Alain Damasio, Catherine Dufour, Ariel Kyrou, Laura Nsafou, Kim Stanley Robinson, Michael Roch. Cet ouvrage troque la toile de fond de l'espace et du futur lointain pour des horizons plus proches, abordant des préoccupa/ons contemporaines : les rapports de domina/on, la méfiance envers les technologies, la vampirisa/on des ressources naturelles et les effondrements environnementaux, la lu^e pour le dépassement du colonialisme et du patriarcat.

11/2022

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Arts divinatoires

S'initier aux arts divinatoires

Véritables boussoles pour lire le présent et l'avenir, les arts divinatoires sont des outils ancestraux qui guident les hommes sur leur chemin de vie. Dans cet ouvrage, découvrez les arts divinatoires emblématiques et apprenez à percevoir les messages des mondes invisibles : -Interroger un pendule, tirer les cartes de tarot et d'oracles, comprendre les significations sacrées derrière la numérologie et la tasséomancie, décrypter la symbolique des rêves, faire parler les runes et les dés divinatoires, interpréter les lignes de la main... -Avec des schémas explicatifs (méthodes de tirages, planches de radiesthésie pour le pendule, placement des lignes de la main...) et des conseils pour vous guider.

10/2023

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Films Disney

Winnie l'ourson

A travers des illustrations de Disney rondes et colorées en pâte à modeler, l'enfant va retrouver tout l'univers de Winnie l'Ourson.

01/2022

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Innovation

L'entreprise résiliente. Risques globaux et sanitaires, transition écologique, innovation sociétale

L'ouvrage entend répondre à une batterie de questions intéressant le devenir de l'entreprise : en quoi la crise sanitaire provoquée par l'épidémie de Covid 19 constitue-t-elle un accélérateur de transformation des entreprises dans une logique d'accompagnement de la transition écologique et de prévention des risques sanitaires ou environnementaux ? De quelle façon et jusqu'à quel point l'entreprise peut-elle se transformer, dans une logique de résilience, pour accompagner les changements en cours et jouer un rôle dans la prévention ou la gestion de nouvelles crises ? Quels sont les leviers d'opportunité susceptibles d'être utilisés par les entreprises ? Dans quelles voies sont-elles susceptibles de s'engager demain ?

07/2023

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Islam

Mers et rivages d'Islam. De l'Atlantique à la Méditerranée, Mélanges offerts à Christophe Picard

Christophe Picard, au fil d'une riche production et de ses enseignements dans les universités de Saint-Etienne, Toulouse et Paris 1 Panthéon-Sorbonne, n'a jamais quitté des yeux les horizons maritimes. Il a montré la mise en valeur précoce des côtes contrôlées par des pouvoirs islamiques et retracé les évolutions de la présence des flottes de l'Islam médiéval, tant en Méditerranée que dans l'océan Atlantique. Il a aussi longuement labouré les terres d'al-Andalus et en particulier celles relevant du Portugal actuel, étudiant tour à tour les dynamiques de peuplement, les relations entre musulmans et chrétiens ou le commerce. Ce faisant, il a abordé des thèmes et des espaces qui avaient été négligés et qu'il lui revient d'avoir mis en lumière parmi les premiers. Il a participé ainsi à dessiner les contours d'une Méditerranée moins exclusivement byzantine et latine et d'un monde islamique qui redonnait toute sa place à son extrémité occidentale. Si le Maghreb et la péninsule Ibérique ont prioritairement retenu son attention, il a largement collaboré avec ses collègues spécialistes de l'Occident latin et de l'Orient islamique. Historien des textes, il a aussi eu à coeur d'associer l'archéologie à ses réflexions. Les articles réunis dans ce volume en son honneur, offerts par ses élèves et ses collègues, nous invitent à suivre ses pas en parcourant, entre Atlantique et Méditerranée mais aussi au-delà, ce monde profondément décloisonné qu'a été l'Islam médiéval.

05/2023

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Canada

Escale à Toronto. 5e édition

Le meilleur pour profiter de votre séjour ! 20 palmarès thématiques, pour le meilleur de Toronto ! 9 itinéraires clés en main pour ne rien manquer et vivre des expériences inoubliables. Les meilleures adresses de restos, cafés, boutiques, bars et salles de spectacle. Des plans détaillés pour tout repérer en un clin d'oeil. Tout ce qu'il faut savoir pour planifier votre escapade et faciliter vos déplacements

03/2024

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Critique littéraire

Histoires insolites du patrimoine littéraire

Cet ouvrage, où l'érudition reste à la portée de tous, invite le lecteur à entrer par effraction dans l'univers des livres et des bibliothèques, inépuisable réserve de surprises. Il met en évidence les stratagèmes, supercheries, hasards, coïncidences, passions et entêtements qui ont acheminé jusqu'à nous des textes constitutifs du patrimoine de l'humanité. Tous les aspects du livre sont envisagés. Non seulement le texte (éventuellement absent) et sa langue (inventée, naturelle ou se voulant universelle), mais aussi son auteur (fictif, anonyme, dissimulé), son public espéré (du bibliophile averti aux enfants), sa conservation (parfois bien problématique), ses relations avec d'autres écrits et ses usages plus ou moins convenus. Sans omettre ses illustrations (luxueuses ou non) et leurs rapports variables avec les mots qui les suscitent, sa reliure (du métal à la peau humaine), ses représentations picturales, le façonnage de ses pages (parfois découpées en fonction de différentes intentions) et de leurs tranches (peintes, gravées). Sur le chemin qui sépare l'auteur de son public, des questions se posent qui articulent le propos : de la paternité d'une oeuvre (Homère, Molière, Shakespeare, Ossian) aux trésors perdus (les manuscrits de la mer morte, la bibliothèque d'Alexandrie) ; des livres interdits (Sade) aux lectures qui fourvoient (le lai d'Aristote) ; des emplois détournés aux usages imprévus ; du livre-objet (Depero, Exter) au livre-question (Borges, Ghérasim Luca). Ces points de vue sur l'objet sont complémentaires de réflexions sur les visées de ses concepteurs - ce qui suggère que "la littérature" se manifeste selon des chemins hétérogènes, et que l'image que l'on en prend risque d'être toujours insuffisante. Libre au lecteur de ces pages de continuer la quête, pour découvrir à son tour des textes curieux, des bibliothèques improbables, et des modes d'écriture profitant des multiples relations que l'auteur peut entretenir avec le public.

10/2019

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Sciences historiques

Nouvelle encyclopédie politique et historique des femmes

Comment les femmes ont-elles perdu en France le pouvoir de gouverner ? Pourquoi Calvin s'est-il excusé auprès de la reine d'Angleterre Élisabeth Ie lorsqu'elle accéda au trône ? Comment les femmes ont-elles participé collectivement aux Révolutions anglaises du XVIIe siècle, américaine, française, liégeoise et brabançonne, néerlandaises du XVIIIe siècle ? Quelles ont été les formes de résistance des femmes esclaves dans la traite négrière ? Comment les utopistes et les marxistes ont-ils conçu l'émancipation des femmes ? Quand le féminisme est-il né ? Comment a-t-il évolué ? Quand et comment les femmes ont-elles obtenu le droit de vote dans les États européens, en Amérique du Nord, en Amérique latine ? Savez-vous que des femmes s'enrôlèrent dans le nazisme, le fascisme italien, la collaboration française, le franquisme, le salazarisme portugais ? Quelle fut l'action souvent méconnue des résistantes à ces régimes totalitaires ? La Commune de Paris de 1871, les Révolutions russes de 1905 et 1917, la Révolution allemande de 1918 ont-elles marqué des avancées sociales et politiques pour les femmes ? Quelles ont été la liberté et l'égalité pour les femmes dans les pays du communisme réel ? Qui étaient Clara Zetkin, Rosa Luxemburg et Alexandra Kollontaï ? Qu'est-ce que les deux Guerres mondiales ont changé pour les femmes ? Quelle est l'étendue du succès politique des femmes dans les pays nordiques ? Pourquoi l'avortement est-il interdit en Pologne, membre de l'Union européenne ? Comment des femmes ont-elles combattu les dictatures militaires d'Amérique latine ? Comment les mouvements de libération des femmes des années 1970 ont-ils traversé l'Atlantique ? Comment la mondialisation affecte-t-elle les relations hommes- femmes ? Comment les organisations internationales ont-elles construit, idéalement, l'égalité entre femmes et hommes ?

02/2010

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Histoire internationale

L'épopée des Tibétains. Entre mythe et réalité

C'est le combat de David contre Goliath. Petit peuple épris de spiritualité et menacé d'extermination par la puissance matérialiste chinoise, le Tibet tient une place très particulière sur la scène mondiale : son importance médiatique en Occident est sans commune mesure avec son poids démographique ou économique. Cet intérêt des Occidentaux pour le Pays des neiges, ne date pas d'aujourd'hui. Depuis des siècles, des intellectuels, des missionnaires, des voyageurs, des romanciers, des aventuriers se sont passionnés pour le Tibet et ont tenté, le plus souvent en vain et au péril de leur vie, d'y pénétrer. Des échecs de ces expéditions va naître un mythe puissant : celui du Tibet comme dernière terre sacrée de l'humanité. Du père Huc à Hergé, en passant par Alexandra David-Neel et James Hilton, ce mythe du Tibet va s'amplifier au cours du XXe siècle, prenant une tonalité tragique avec l'invasion brutale par la Chine en 1950. Vivant aujourd'hui en diaspora, les lamas tibétains répandent leur sagesse spirituelle à des millions d'Occidentaux en quête de spiritualité, mais aussi profondément marqués par le mythe. Pour la première fois, ce livre raconte une double histoire : celle du Tibet réel, véritable société féodale, marquée par une culture religieuse unique, et celle du Tibet mythique tel qu'il est rêvé et fantasmé. En démêlant les fils enchevêtrés du réel et de l'imaginaire, il permet de comprendre les ressorts profonds de l'engouement pour ce pays et montre le vrai visage d'un peuple d'autant plus attachant qu'il est décrit avec son courage, mais aussi avec ses contradictions, ses parts d'ombre et ses doutes. Un ouvrage à la hauteur de son sujet : le Toit du monde.

04/2002

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Documentaires jeunesse

Te souviens-tu de Wei ? L'histoire d'un travailleur chinois de la Grande Guerre

Alors que la Première Guerre Mondiale ravage l'Europe, les forces vives manquent. Pour faire face aux besoins en hommes des usines d'armement, des mines, de la construction des routes, etc., Français et Britanniques recrutent en Chine 140.000 travailleurs qui arriveront entre 1916 et 1918 pour servir de main-d'ouvre en arrière des lignes de front. Parmi eux, Wei dont le destin reflète celui de milliers d'autres de ses semblables. A l'issue du conflit, plus de 20.000 de ces hommes sont morts, comme en témoigne le cimetière chinois de Nolette (dans la baie de Somme). Tandis que la plupart des survivants retournent au pays, quelques milliers de Chinois, dont Wei, s'installent en France pour une vie qu'ils n'avaient pas imaginée. Fiction documentaire composée d'une première partie narrative au texte sensible et d'une seconde partie documentaire (cartes, chiffres, photographies anciennes). Gwenaëlle ABOLIVIER est journaliste et auteure. Pendant 20 ans, elle a présenté sur France Inter des émissions de reportages où elle a raconté ses grands voyages à travers le monde. Plus récemment, elle s'est consacrée à la littérature de voyage et aux relations épistolaires. Elle est l'auteure de plusieurs anthologies de lettres et d'une biographie d'Alexandra David-Néel. ZAÜ a d'abord travaillé dans la publicité et continuera longtemps d'exercer dans ce secteur d'activité. Il publie son premier album jeunesse en 1966 à l'Ecole des loisirs et collabore à différents magazines de presse jeunesse avant de revenir à l'album au début des années 90. Il développe une création humaniste attentive à la différence et à l'autre et puise son inspiration dans ses nombreux voyages.

04/2016

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Religion

L'Eucharistie des premiers chrétiens

D'une lecture aisée, ces dix études font le point des recherches actuelles sur les origines de l'eucharistie chrétienne. Notes et références témoignent de la rigueur des spécialistes mobilisés sur ce thème important ; le texte des articles est délibérément allégé d'érudition. Tout chrétien y trouvera de quoi alimenter sa propre réflexion sur l'eucharistie. Tour à tour on plonge dans l'intimité des communautés du premier siècle finissant, dans la crise gnostique du second siècle qui suscita les intuitions fulgurantes d'Ignace d'Antioche comme la synthèse grandiose d'Irénée. On aperçoit aussi le rôle tenu par l'eucharistie dans l'organisation de l'Eglise de Rome vers le milieu du second siècle. L'Afrique du Nord s'illustre par les silences sans doute voulus de Tertullien et par la Lettre 63 de Cyprien. L'aspect sacrificiel de l'eucharistie y répond l'ambiance héroïque de la persécution ; le symbole d'unité s'y oppose au schisme qui ravage la chrétienté de Carthage. Etonnante tradition enfin que celle d'Alexandrie. Au début du troisième siècle, Clément ne craint pas d'interpréter l'eucharistie en termes platoniciens, stoïciens, ou à la manière de Philon. Puis Origène pèse de tout son poids génial sur les rapports entre les rites et la célébration personnelle de la Parole vivante de Dieu. La série des articles se termine par une recherche neuve et inédite sur deux documents anonymes du troisième siècle, originaires de Syrie. Les passages les plus significatifs des anciens auteurs sont toujours cités en entier. Leur interprétation est garantie par la recherche scientifique la plus compétente. Ainsi ces études fourniront des idées intéressantes pour le renouvellement actuel de l'esprit aussi bien que du culte eucharistiques.

01/1976

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Sciences historiques

Le monde de l'Angle. Voix paysannes 1915-2020, avec 1 Clé USB

L'Angle est le nom d'un lieu-dit d'altitude de la commune du Mont-Dore, en Auvergne. Ce bout de terre a été acquis en 1932 par Blaise Legay (1897-1972) et son épouse Anaïs. Le buron qui s'y trouvait à l'origine est devenu une ferme-auberge, aujourd'hui tenue par Virginie et Alexandra, leurs arrière-petites-filles, et les parents de celles-ci, Jean-François et Maryse. Le livre s'ouvre par un document rare : le carnet de Blaise, qu'il a titré Souvenirs et récits de mes pèlerinages à Vassivière. Rare, ce carnet l'est par sa richesse documentaire, sa force littéraire et l'étendue de la période sur laquelle il court : plus d'un demi-siècle, de 1915 à 1967. Coutumière des lieux, l'historienne Corinne Legoy, disciple d'Alain Corbin, a recueilli entre 2016 et 2019 les paroles des descendants de Blaise qui témoignent de leur passé et de leur quotidien, de leurs rêves et de leurs fatigues. Ainsi se tisse l'histoire du monde de l'Angle. Ainsi s'entendent des vies paysannes, souvent méconnues, oubliées ou tues. Deux "films sonores" (50' chacun, 2020) accompagnent et prolongent le livre, Aux quatre coins de l'Angle et Dans les pas de Blaise et des sangliers. Une autre manière - par l'ouïe, un sens guère sollicité pour "voir" - d'appréhender le monde de l'Angle, ses gens et ses bêtes, ses bâtiments et ses machines, ses entours enneigés et venteux. Le réalisateur Philippe Busser fait oeuvre pionnière avec ces saisissantes créations sonores au service d'un livre. On y entend les comédiens Monique Brun et Olivier Perrier lire des extraits du carnet de Blaise.

10/2020

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Critique littéraire

Politiques linguistiques en Méditerranée

La Méditerranée, ce continent liquide, qui regroupe une pluralité de civilisations, a été le témoin de multiples exemples de politique linguistique. Les actes d'un colloque sur ce thème sont réunis ici pour mettre en perspective diverses tentatives d'orientation des langues dans leur évolution naturelle, sans perdre de vue l'attitude des pouvoirs publics face aux langues minoritaires, pratiques parfois séculaires : épuration, rénovation, assimilation, revalorisation... Après une réflexion générale sur le statut et les enjeux des langues de la Méditerranée (Louis-Jean Calvet), le point de vue historique et actuel du français est abordé (Sylvain Auroux, Geneviève Zarate, Aviv Amit). C'est l'ensemble de l'espace méditerranéen qui est au coeur de nos travaux à travers des études de cas originales. Sont évoquées ainsi les langues du "Nord" et les langues du "Sud", ainsi que la diversité des expériences des langues orientales (Jacob Landau, Il-Il Malibert-Yatziv, Esther Borochovsky Bar-Aba, Yishaï Neuman, Cyril Aslanov sur l'hébreu ; Tahsin Yücel, Cybèle Berk, Johann Strauss et Michel Bozdémir sur le turc), et occidentales (Isabella Palumbo-Fossati Casa sur l'italien, Line Amselem sur l'espagnol, Henri Tonnet sur le grec, Rexhep Ismajli sur l'albanais et de Thomas Scende sur les langues d'Europe balkanique...) sans oublier deux traversées insulaires (avec la contribution d'Alexander Borg sur Malta et celle de Matthias Kappler sur Chypre). L'arabisation y est, bien entendu analysée, dans toute sa complexité linguistique, politique, culturelle et identitaire grâce aux contributions de Joseph Dichy, Mohamed Benrabaly et Ahmed Boukouss. L'audience internationale de ce colloque a démontré l'intérêt de la communauté scientifique francophone pour les travaux présentés par des chercheurs des pays riverains de la Méditerranée qui livrent ici au lecteur, les fruits de leurs rencontres à l'Université de Tel-Aviv, tenues en novembre 2008.

02/2019

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Critique littéraire

Correspondance. tome 6 : lettres 110-120

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

01/2003

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Critique littéraire

Correspondances. Tome 1 : lettres 1-22 St Jérôme

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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Critique littéraire

Correspondance. tome 7 : lettres 121-130

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

01/2003

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Histoire des mentalités

Des femmes qui ont inventé notre temps

Quand les femmes prennent le pouvoir sur leur vie ! Voyage historique et militant. Ces femmes, qui ont vécu à des époques et dans des milieux fort différents, ont toutes une chose en commun, une seule, peut-être bien : elles ont pris le pouvoir sur leur vie. En se démarquant des usages, des codes préétablis, en se libérant du carcan mental et comportemental dans lequel le système et de prétendues "traditions immuables" les enfermaient, elles ont, certes marqué leur temps, mais elles ont surtout contribué, chacune à sa place, chacune dans son registre, à inscrire dans les faits le droit pour la femme d'inventer sa propre manière d'être au monde. Sans avoir jamais prétendu donner de leçons à quiconque, elles ont, par l'exemple, par les actes, par les idées, montré à la terre entière que, pour les femmes aussi, l'art de vivre doit être un art de la liberté. Evoquer ce qu'elles ont été, ce qu'elles ont fait, créé, inventé, conquis ; exposer les ruptures, les audaces, les épreuves, qu'elles ont assumées, c'est juste montrer à quel point la ségrégation sexiste relève non seulement d'une inexpiable injustice, mais aussi - et surtout - d'une abyssale sottise. Femmes évoquées : Hypatie - Trotula de Salerne - Pétronille de Chemillé - Jacoba de Almania - Madeleine Brès - Rosalind Franklin - Sophie Germain - Hildegarde de Bingen - Christine de Pisan - Aliénor d'Aquitaine - Mary Wollstonecraft - Mary Shelley - Billie Holiday - Joséphine Baker - Marquise de Sévigné - Germaine de Stael - Juliette Récamier - George Sand - Colette - Agatha Christie - Jeanne d'Arc - Olympe de Gouges - Rosa Luxemburg - Hannah Arendt - Simone Weil - Simone de Beauvoir - Louise Weiss - Elisabeth Tudor - Eléonore Roosevelt - Jeanne Barret - Alexandra David-Néel - Héléna Blavaski - Isabelle Eberhardt - Hélène Boucher - Claude Cogan - Florence Arthaud, et quelques autres...

06/2022

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Histoire des religions

Strangers and Pilgrims. Métamorphoses spatiales du religieux dans les mondes anglophones (XVIIE-XXIe siècle)

L'Epître aux Hébreux du Nouveau Testament à laquelle le titre de cet ouvrage collectif est emprunté invite les chrétiens à se déclarer, à la suite des patriarches, "étrangers et voyageurs sur la terre" — "strangers and pilgrims on the Earth" — et à faire du Ciel leur patrie véritable. Le renoncement au lieu d'origine et l'acceptation de la condition au moins temporaire d'étranger, voire d'apatride, semblent répondre d'abord à une nécessité spirituelle, de manière transparente dans les cas du prosélyte et du missionnaire, et de manière plus ambiguë dans celui de l'exilé ou du réfugié, auxquels ils ont été imposés. Dans les deux cas, cependant, la réponse de la foi à l'appel divin doit se manifester à travers l'épreuve de la délocalisation, voire de la déterritorialisation, qu'elle soit choisie ou subie. L'expérience du déplacement, de l'arrachement au lieu familier et de la translation en territoire étranger est ainsi inscrite en profondeur dans le parcours historique et spirituel des monothéismes abrahamiques par un projet universaliste de transcendance des frontières. L'ouvrage propose un riche parcours dans cette dualité entre religion et migration, à travers l'histoire des jésuites dans le Nouveau Monde, d'un évêque converti par des Zoulous païens, du pacifisme des quakers, du particularisme religieux des Canadiens français, mais aussi à travers le prisme de la littérature : la vision de l'hindouisme d'Alexander Dow, celle du pèlerin de Daphné du Maurier ou la position de l'Eglise anglicane d'Afrique du Sud chez Alan Paton. Le volume se conclut sur une analyse de l'image de la mosquée chez les Britanniques de culture musulmane et sur une comparaison éclairante entre l'exode des Highlanders écossais au Canada au XIXe siècle et des népaliphones du Bhoutan vers les pays occidentaux au XXIe siècle.

07/2021

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Esotérisme

La vie après la vie. Enquête à propos d'un phénomène : la survie de la conscience après la mort du corps

Vendu à plus de treize millions d'exemplaires dans le monde et 650 000 exemplaires en France, La Vie après la vie est le livre révélation sur les expériences de mort imminente. Grâce aux procédés modernes de réanimation, des hommes et des femmes sont ramenés à la vie après avoir été considérés comme cliniquement morts ou avoir approché la mort de très près à la suite d'un accident grave. Nombreux sont ceux qui rapportent de cette aventure d'étranges souvenirs, tous similaires… Précurseur dans ce domaine et convaincu que ce phénomène, encore inexpliqué, revêtait une importance extrême du point de vue médical aussi bien que du point de vue philosophique ou religieux, le Dr Raymond Moody a recueilli pendant plus de vingt ans ces témoignages avant de publier en 1975 ce premier livre dans lequel il fait part de ses analyses édifiantes…   Cette édition anniversaire est enrichie d'une préface d'Eben Alexander, célèbre neurochirurgien et écrivain américain, qui replace l'ouvrage du Dr Moody dans son temps et explique comment cette publication et ces découvertes ont marqué un tournant fondateur pour la compréhension de la place de l'homme dans l'Univers – « Cette nouvelle perspective sur l'éternel débat opposant l'esprit et le corps a incité notre communauté scientifique à revoir la nature de la conscience et de l'existence. Grâce au Dr Moody, l'humanité ne serait plus jamais la même. » Une postface du Dr Moody est également ajoutée à cette édition, dans laquelle l'auteur livre les appréhensions et les doutes qui l'assaillaient lorsqu'il a révélé au monde ses découvertes, et comment il a ainsi ouvert la voie à un champ de recherches phénoménal et inexploré jusqu'alors, chaque réponse soulevant de nouvelles questions…

03/2016

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Critique littéraire

Correspondance. tome 3 : lettres 53-70

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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BD tout public

L'extraordinaire aventure d'Alcibiade Didascaux : Auguste et la fondation de l'Empire

Après la rupture totale entre Antoine et Octave, nous découvrons comment le "fils adoptif de César " devient " Octave le vengeur de la liberté " et comment se déroule une terrible guerre de propagande entre les deux hommes avec la polémique autour de Césarion, " le soi-disant fils de César " et " l'ensorceleuse Cléopâtre qui menace Rome ". Nous voyons ensuite comment Antoine est déclaré par le Sénat ennemi de Rome et "comment une guerre peut être juste", avant d'assister au choc final entre Antoine et Octave : 31 av. J.-C. Actium sera une bataille navale. Nous revivrons les tragiques évènements qui suivent la victoire d'Octave et la fuite d'Antoine et Cléopâtre. Puis ce sont les derniers combats à Alexandrie, les dernières tractations avec la séductrice Cléopâtre, avant qu'Antoine et Cléopâtre ne décident de quitter la vie. C'est la fin tragique de l'une des plus belles histoires d'amour et la mort mystérieuse de la femme la plus célèbre de l'Histoire ! La République romaine ne sera pas rétablie et Octave va imposer sa " royauté universelle sans le titre ". L'Egypte deviendra une province romaine et l'or de l'Egypte va permettre à Octave de laisser Rome de marbre comme il l'avait promis. Celui qui était né Octave, devenu Octavien, fonde l'Empire et devient l'empereur César Auguste. Le premier des empereurs va connaître un très long règne et avec Auguste, la Pax Romana succède aux dix-huit années de guerre civile qui ont ensanglanté Rome après l'assassinat de Jules César. C'est une nouvelle histoire de Rome qui commence. César Auguste sera adulé à Rome et glorifié en Egypte, en Pharaon Horus Auguste !

05/2009

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Pères de l'Eglise

Cpe 167 l'eveque

La différence entre les Pères et les Docteurs de l'Eglise n'apparaît pas toujours clairement, d'autant que certains Pères de l'Eglise en sont aussi les Docteurs, comme Athanase d'Alexandrie, Ambroise de Milan, Augustin, Basile de Césarée, Grégoire de Nazianze, Cyrille de Jérusalem, Ephrem de Nisibe, Jérôme, Léon le Grand, Grégoire le Grand, Isidore de Séville, Grégoire de Narek. Désormais, Irénée de Lyon vient les rejoindre. Si les Pères et les Docteurs de l'Eglise se caractérisent par la sainteté de leur vie et la solidité de leur théologie, les Pères de l'Eglise, qui ont été reconnus comme tels par leur communauté, se situent uniquement dans les premiers siècles, alors que les Docteurs sont choisis par le Magistère dans toute l'histoire du christianisme. Ce titre de Docteur est relativement récent, il remonte à Boniface VIII qui l'a attribué en 1295 à Grégoire le Grand. Un Docteur de l'Eglise se caractérise souvent par le progrès doctrinal qu'il a contribué à réaliser. Pour Irénée de Lyon, son apport est clairement identifié, c'est l'Unité. Aussi tous les auteurs de ce numéro de Connaissance des Pères de l'Eglise étudient-ils l'un ou l'autre aspect de l'unité dans l'oeuvre de l'évêque de Lyon. Après en avoir donné une vision d'ensemble, Agnès Bastit présente les aspects théologiques de l'unité chez Irénée, puis Sylvain Detoc montre comment les différents charismes contribuent à l'unité du corps qu'est l'Eglise, avant que Marie-Laure Chaieb envisage le sacrement de l'unité qu'est l'eucharistie et que Bruno Hayet précise la place de l'unité dans les textes d'Irénée choisis pour l'Office des lectures dans la Liturgie des heures.

10/2022

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Histoire de la photographie

Photographica N° 3, octobre 2021 : Histoires-monde de la photographie

Troisième numéro de la revue Photographica, "Histoires-monde de la photographie" présente un dossier dédié aux réseaux de circulation et à la géographie de l'histoire du médium, en s'intéressant tout particulièrement à ce que l'on a souvent appelé les "autres histoires de la photographie", c'est-à-dire ici en dehors de l'Europe et de l'Amérique du Nord. Quelles histoires mondiales / mondialisées pour le phénomène photographique ? En quoi des micro-histoires connectées ou des enquêtes à l'échelle d'un photographe, d'une ville, d'une publication, et donc à une échelle réduite, peuvent "faire monde" et permettre de mieux connaître la production et les circulations des photographies en dehors mais aussi en lien avec les zones géographiques plus repérées de l'histoire du médium ? Avec ces interrogations méthodologiques et historiographiques en toile de fond, ce numéro propose plusieurs études de cas révélatrices de ces questions : un article de Margaux Lavernhe sur le photographe ghanéen James Barnor et les transferts technologiques de la photographie couleur, un texte d'Annabelle Lacour sur les pratiques photographiques des souverains dans l'Asie de la fin du XIXe siècle, un essai d'histoire spatialisée d'Alexandra de Heering sur les studios de la ville indienne de Coimbatore, ou encore un article d'Ecce Zerman sur la circulation d'un modèle photographique dans la presse illustrée de l'Empire Ottoman. La traduction depuis l'anglais d'un texte fondateur de l'anthropologue Deborah Poole sur l'économie des images, une page sur un portrait de l'impératrice chinoise Cixi, ainsi qu'une rubrique source consacrée à la revue Camera Obscura et un entretien avec Nicole Starosielski, historienne porteuse d'un projet sur l'histoire des réseaux et câbles sous-marins, viendront compléter ce dossier thématique.

11/2021

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Cinéma

Le cinéma en mouvements depuis la Nouvelle Vague

Depuis la Nouvelle Vague française, le cinéma mondial a été traversé de mouvements - agitateurs d'un art en perpétuelle évolution - qui sont analysés ici dans leur réalité éparse et hétérogène. Ils expriment des partis pris formels nouveaux, liés parfois au contexte politique mondial. C'est le cas des cinémas nationaux des pays de l'Est et du tiers-monde dans les années 1960. Ils se développent à la même époque au sein de certaines cinématographies pour y créer des territoires dissidents, face à des productions nationales à bout de souffle, à l'initiative des cinéastes de ces pays : Alexander Kluge et Edgar Reitz en Allemagne, Nagisa Oshima au Japon, génération des chestidesiatniki en URSS ou de la Nouvelle sensibilité en Israël. Ils font parfois écho à des mouvements antérieurs (Cinema Nuovo pour la Post-Retomada brésilienne récemment), se regroupent autour de manifestes explicites (Zanzibar, Dogma 95) ou d'intérêts esthétiques et économiques communs (Diagonale), ou se forment à l'occasion d'un contexte social et politique spécifique (cinéma politique italien des années 1970, cinéma beur et phénomène du "film sexuel" en France). Ils constituent autant d'essais, qu'il a semblé utile de réunir ici pour mieux percevoir les différentes trajectoires d'un Septième Art qui n'en finit pas de se renouveler. La liste n'est certes pas exhaustive, et l'examen de chacun des mouvements pourra être approfondi, mais il apparaît clairement que, plus que d'un modèle global d'influence, c'est bien d'une série d'hypothèses cinématographiques diverses et quelquefois partielles que le cinéma mondial se trouve aujourd'hui enrichi. Une attention particulière est portée dans la dernière partie de cet ouvrage à l'après-Nouvelle Vague en France, à travers deux tables rondes qui donnent la parole aux cinéastes des groupes Zanzibar et Diagonale.

08/2019

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Généralités médicales

Karl Landsteiner. L'homme des groupes sanguins , Edition revue et augmentée

La découverte des groupes sanguins est à l'origine du prodigieux essor de la transfusion sanguine. Karl Landsteiner (1868-1943) eut un rôle fondamental dans cette avancée. On lui doit la découverte du principal système de groupes sanguins, les groupes ABO, en 1900-1901, mais aussi des facteurs M et N du système MNS et du système P en 1927. Enfin, il contribue avec Philip Levine et Alexander Wiener à la découverte du système Rhésus (1937-1940). Mais son oeuvre scientifique, immense, ne se limite pas aux groupes sanguins humains. Ses recherches ont aussi porté sur les groupes sanguins des primates, les mécanismes immunologiques de production des anticorps, la bactériologie, avec des études sur la syphilis et les rickettsies, la virologie, avec d'importants travaux menés en collaboration avec l'institut Pasteur de Paris sur la transmission du virus de la poliomyélite (1908-1913). En 1930, Landsteiner est lauréat du prix Nobel de Physiologie ou Médecine pour sa découverte des groupes sanguins chez l'homme. Né à Baden, près de Vienne, enfant unique d'une famille juive, Landsteiner a une jeunesse viennoise. Il est Docteur en Médecine en 1891, assistant dans les instituts d'hygiène puis d'anatomo-pathologie de la faculté de médecine et, en 1908, chef du service d'anatomo-pathologie ("prosecteur") d'un hôpital viennois. Il se marie en 1916 ; son fils, qui restera enfant unique, naît en 1917. Chassé par la misère de l'après-guerre et l'effondrement de l'Empire austro-hongrois, Landsteiner quitte Vienne pour La Haye en 1919, puis pour New York en 1922, où il prend la direction d'un laboratoire de recherche à l'institut Rockefeller. Il y travaille jusqu'à sa retraite officielle en 1939, et même jusqu'à sa mort.

02/2014

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Histoire internationale

Paradis pour une reine. Le monastère de Qoma Fasilädäs, Ethiopie, XVIIe siècle

Durant la première moitié du XVIIe siècle, une reine, Wäld Sä'ala, bâtit l'oeuvre de sa vie en s'attribuant un vaste territoire au coeur des hauts plateaux éthiopiens. Un monastère - Qoma Fasilädäs - est fondé pour lui servir de lieu de vie, doter de biens fonciers sa famille et ses proches, conserver sa dépouille et pérenniser sa mémoire. Une formule métaphorique, transmise par la tradition orale, résume ce projet : Aux confins le feu, au centre le Paradis, faisant de cet espace un lieu à part disposant d'institutions dont l'autonomie est fièrement revendiquée. Cette reine fut l'épouse du roi Susneyos (r 1607-1632) qui se convertit au catholicisme et voulut en faire la religion du royaume en s'alliant avec les Jésuites avant que son fils, Fasilädäs (r 1632-1667), ne rétablisse la foi d'Alexandrie. Mais à ces deux hommes elle refusa son soutien pour bâtir son propre réseau d'influence en s'alliant avec ceux qui s'avérèrent être les perdants des grandes batailles politiques de l'époque. De la splendeur de cette petite société de cour, des complots, des meurtres et des exils qui la traversèrent, rien ne subsiste dans l'historiographie officielle de la royauté. L'histoire de Qoma Fasilädäs serait donc restée jusqu'à aujourd'hui inconnue si Anaïs Wion n'était pas allée la rechercher dans les manuscrits jalousement gardés au sein de ce monastère et n'avait questionné sans relâche les dépositaires de cette mémoire. Les "jeux d'échelle" de cette enquête dans une fondation royale éclairent des pans obscurs de ce premier XVIIe siècle éthiopien, aussi crucial qu'encore méconnu, tout autant qu'ils permettent de comprendre comment une tradition orale formalisée, ancrée dans le temps de la fondation, permet aujourd'hui encore de réguler l'accès à la terre et les structures institutionnelles.

03/2012

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Critique littéraire

Correspondance. tome 4 : lettres 71-95

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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Critique littéraire

Correspondance. tome 2 : lettres 23-52

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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Critique littéraire

Correspondance. tome 5 : lettres 96-109

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

01/2003