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Arnould Galopin

Extraits

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Religion

Ce que nous avons reçu à Lourdes

Préface de Père André Cabes. Un recueil passionnant d'histoires où Lourdes est au coeur de l'homme. Chaque entretien mené par Henri Berger nous donne des informations précieuses, parfois inédites et nous révèle comment la Sainte Vierge Marie écoute, décide et agit à travers le pèlerinage des clochards, souvent malades alcooliques avec leur recherche de la guérison du c ur et de l'alcool ; le pèlerinage des personnes prostituées, né de la nécessité de guérison intérieure, du pardon ; le pèlerinage " Foi et Lumière ", né du rejet d'enfant handicapés mentaux ; le PMI Pèlerinage Militaire International né de la nécessité du pardon antre nations autrefois ennemies, pour vivre la réconciliation et la Paix et tous les autres encore, désirant la perle rare de l'Amour de Dieu. Mgr François-Xavier Nguyên Van Thuân : " Mes geôliers sont mes frères et je dois les aimer " ; Gaby Pic : Le pardon, l'offrande et l'Espérance ; Le Père Jean-Luc Cabes : " Le grain qui meurt porte du fruit " ; Père André Cabes : Une Messe sur le monde ; Pour toi, maman ! ; " J'ai perdu un enfant " ; Père André Cabes : Le C ur de toute prière ; Marie-Hélène Mathieu : " Vous ne serez plus jamais seuls " ; Père Denis Ledogar : L'aide aux malades en hôpital ; Sida et accompagnement en communauté, rencontre avec Evelyne Madre ; Rencontre nationale des diacres ; Claire Amitié : L'aide aux jeunes femmes les plus défavorisées ; Métiérama : Rencontre avec Adolphe Palidoni ; Aider et évangéliser : Père Louis ; Le PMI (Pèlerinage Militaire International) ; Témoignage du Colonel Paul Hourvitz ; Père Wamaï dit Pothin Michel ; Père Marcel Thiriot : Rencontre avec un aumônier militaire ; Commandant Danièle Emeras ; Fra Andrew Bertie : L'Ordre de Malte ; Les OHFOM : Arnold de Waresquiel...

12/2015

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Littérature étrangère

Lazarillo de Tormes

Publié en 1554, sans nom d'auteur, le Lazarillo de Tormès raconte, sous la forme d'une confession, les aventures juvéniles d'un crieur public qui s'estime parvenu au comble du bonheur en faisant ménage à trois avec la servante d'un archiprêtre. Mais, sous ces apparences facétieuses, se cache mal une satire de l'Espagne de Charles Quint, ce qui lui valut d'être mis à l'index en 1559. Aussi bien a-t-on été tenté d'y voir la main d'un écrivain érasmisant, mais les attributions qui en ont été faites récemment à Juan de Valdès ou Juan Luis Vivès sont inconciliables avec la date de sa composition, qui a pu être fixée postérieurement à leur mort. Cette objection ne vaut pas, par contre, pour Francisco de Enzinas qui, déjà célèbre dans les milieux de la Réforme par ses traductions de l'Institution de la religion chrétienne de Calvin et du Nouveau Testament révisé par Erasme, projeta en 1548 de publier, par nécessité financière, un "livre en espagnol", que l'on a pris à tort pour une simple traduction du latin ou du grec. Selon l'hypothèse émise par Roland Labarre, il ne s'agissait de rien de moins que du Lazarillo de Tormès qui, resté à l'état de brouillon lorsque Enzinas mourut le 30 décembre 1552, aurait été acquis par le libraire Arnold Birckmann, lequel l'aurait lui-même grossièrement remanié avant de le remettre à l'imprimeur anversois Martin Nuyts. Ainsi s'expliqueraient les nombreuses erreurs des princeps auxquelles la présente édition s'est efforcée de remédier.

02/2009

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Religion

La rencontre du bouddhisme et de l'Occident

D'Alexandre le Grand à Marco Polo, de Schopenhauer à Nietzsche, de Carl Gustav Jung à Allen Ginsberg, d'Helena Blavatsky à Alexandra David-Neel, des Transcendantalistes aux stars hollywoodiennes, de nombreux voyageurs, penseurs et artistes occidentaux se sont passionnés pour la sagesse du Bouddha. Pour la première fois, ce livre relate les grandes étapes de la rencontre du bouddhisme et de l'Occident et montre combien le bouddhisme fut, et reste, profondément réinterprété à partir de prismes culturels déformants. La mise au jour de ces imaginaires, notamment celui, très ancien, concernant le mythe du " Tibet magique ", éclaire en profondeur le succès actuel du bouddhisme en Europe et aux Etats-Unis. Cet ouvrage permet également de comprendre pourquoi, après l'échec des grandes idéologies religieuses, scientistes et politiques, le bouddhisme connaît une audience croissante en Occident. Beaucoup voient en effet dans la pensée bouddhique une spiritualité laïque, une philosophie humaniste et une éthique de la responsabilité particulièrement pertinentes pour répondre aux besoins spirituels des individus et aux grands défis planétaires du siècle à venir. Privilégiant l'action sur soi à l'action sur le monde et apportant un juste équilibre entre raison et intuition, le bouddhisme n'est-il pas appelé à corriger les excès d'une civilisation occidentale trop exclusivement préoccupée de maîtrise technique au détriment du sens et de l'intériorité ? Informatif et distancié, cet ouvrage permet à chacun de se faire une opinion sur cette rencontre du bouddhisme et de l'Occident, dont l'historien des civilisations Arnold Toynbee n'hésitait pas à affirmer qu'elle constituait " l'événement le plus significatif du XXe siècle ".

11/1999

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Beaux arts

Kandinsky, philosophie de l'art abstrait. Peinture, poésie, scénographie

Inventeur de l'art abstrait, Kandinsky (1866-1944) compte parmi les plus grands artistes de notre temps. Sa pensée a inspiré toute la modernité, de Dada au constructivisme en passant par De Stijl, le Bauhaus et même le surréalisme. Il fut l'ami de Jean Arp, de Paul Klee, de Marcel Duchamp et d'André Breton, ainsi que des musiciens Arnold Schönberg et Thomas von Hartmann. Ce livre, désormais classique, éclaire de l'intérieur une oeuvre énigmatique qui défie les analyses usuelles de l'image. Il montre comment s'est opéré chez Kandinsky le "passage à l'abstraction", et ce qu'il doit à la volonté de faire advenir une nouvelle forme de sacré. Peinture, poésie ou théâtre, chaque domaine de production entre en résonance avec l'univers terrestre et cosmique, au-delà de toute représentation directe. L'oeuvre d'art, langage de l'âme, devient aussi le lieu d'un partage et peut-être d'une communion où le spectateur est partie prenante. C'est opposer à l'analyse scientifique une autre démarche de vérité et un autre accès à l'Etre du monde. En lien avec la théorie kandinskienne des formes, des couleurs et de la composition, Philippe Sers étudie les fonctions supérieures que l'artiste attribue à l'image, les rapproche de la culture chinoise et de la tradition non narrative de l'icône. De multiples exemples, en chemin, viennent à l'appui de cette exploration qui ne dissocie jamais la théorie de la pratique. Le lecteur prend ainsi conscience du véritable pouvoir de l'art : nous conduire au-delà de nos limites.

04/2016

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Cinéma

Busby Berkeley, l'homme qui fixait des vertiges. Deuxième édition

(Deuxième édition de l'ouvrage.) Busby Berkeley, cinéaste hollywoodien auquel on doit des numéros musicaux démentiels, génie obsédé par la forme, les figures kaléidoscopiques filmées en plans zénithaux et les guirlandes de filles, est un pionnier dans bien des domaines. Celui qui n'hésitait pas à crever les plafonds des studios pour donner corps à ses visions vertigineuses a sans nul doute révolutionné le cinéma hollywoodien, et ce dernier n'a de cesse de lui rendre hommage, de Spielberg aux frères Coen. Tout commence à Broadway avec le légendaire créateur des Follies, Florenz Ziegfeld, qui lui trace une voie royale pour Hollywood où il débute chez Samuel Goldwyn, avant de sauver du marasme la Warner, en relançant la comédie musicale avec des classiques comme 42nd Street et Gold Diggers of 1933, derniers soubresauts érotiques d'un pays qui se corsète bientôt dans la censure avec le code Hays. Le livre se divise en deux parties ; la première, biographique, dresse le portrait du Broadway de la fin des années 1920 et de l'Hollywood des années 1930 et vous fait pénétrer dans les coulisses de la comédie musicale, à la rencontre de producteurs (Florenz Ziegfeld, Darryl Zanuck, Louis B. Mayer), d'actrices (Ruby Keeler, Judy Garland, Carole Landis), de figures troubles (Eddie Mannix ou le gangster Arnold Rothstein), de réalisateurs méconnus (Paul Fejos, Robert Florey, Alla Nazimova) et de personnalités diverses (Philip K. Dick, Don Draper, Andy Warhol). Dans un second temps, l'ouvrage aborde l'oeuvre de Busby Berkeley de manière thématique, rappelant sa modernité, sa poésie et son influence. Préface d'Alain Masson

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Cinéma

Busby Berkeley, l'homme qui fixait des vertiges. Deuxième édition

(Deuxième édition de l'ouvrage.) Busby Berkeley, cinéaste hollywoodien auquel on doit des numéros musicaux démentiels, génie obsédé par la forme, les figures kaléidoscopiques filmées en plans zénithaux et les guirlandes de filles, est un pionnier dans bien des domaines. Celui qui n'hésitait pas à crever les plafonds des studios pour donner corps à ses visions vertigineuses a sans nul doute révolutionné le cinéma hollywoodien, et ce dernier n'a de cesse de lui rendre hommage, de Spielberg aux frères Coen. Tout commence à Broadway avec le légendaire créateur des Follies, Florenz Ziegfeld, qui lui trace une voie royale pour Hollywood où il débute chez Samuel Goldwyn, avant de sauver du marasme la Warner, en relançant la comédie musicale avec des classiques comme 42nd Street et Gold Diggers of 1933, derniers soubresauts érotiques d'un pays qui se corsète bientôt dans la censure avec le code Hays. Le livre se divise en deux parties ; la première, biographique, dresse le portrait du Broadway de la fin des années 1920 et de l'Hollywood des années 1930 et vous fait pénétrer dans les coulisses de la comédie musicale, à la rencontre de producteurs (Florenz Ziegfeld, Darryl Zanuck, Louis B. Mayer), d'actrices (Ruby Keeler, Judy Garland, Carole Landis), de figures troubles (Eddie Mannix ou le gangster Arnold Rothstein), de réalisateurs méconnus (Paul Fejos, Robert Florey, Alla Nazimova) et de personnalités diverses (Philip K. Dick, Don Draper, Andy Warhol). Dans un second temps, l'ouvrage aborde l'oeuvre de Busby Berkeley de manière thématique, rappelant sa modernité, sa poésie et son influence. Préface d'Alain Masson

02/2024

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Religion

Méditations après la communion

" Ô ma vie, ma vie, comment pouvez-vous subsister étant absente de votre véritable vie ? "... Dans leur inarticulation déroutante et fragmentaire, Luis de Leon, osa pour la première fois en Espagne publier les Exclamations de Thérèse d'Avila en 1588. Ces pages, dans lesquelles la religieuse, en proie à la souffrance de l'absence et de la déréliction, appelle Dieu, son âme, les mots qui s'échappent et refusent tout apaisement, furent écrites vers 1566. Une dizaine d'années plus tard, dans son commentaire au Cantique des Cantiques, texte dont la lecture en castillan avait été interdite par l'Inquisition, la mystique cesse d'être femme délaissée qui implore pour redevenir écrivain. Écrivain, c'est-à-dire lectrice du texte biblique, confrontée au mystère de l'amour et à l'inconnu d'une traduction latine - " chaque fois que j'entends ou que je lis certaines paroles du Cantique de Salomon, et sans que pour autant je sois capable de traduire la clarté du latin en castillan, je me recueille plus et mon âme s'émeut davantage que lorsque je lis les livres très pieux que je comprends ". Arnauld d'Andilly entreprend à son tour une traduction de ces deux textes qui paraissent à Anvers, en 1670, dans le cadre d'une version française des Œuvres complètes de Thérèse, sous le nom de Méditations après la Communion et Pensées sur l'amour de Dieu. La lecture parallèle du texte espagnol et de la traduction française permet de mesurer l'écart de sensibilité entre la mystique engagée dans sa propre expérience, et l'interprète qui introduit, dans la trame de la pensée féminine, la mesure et la rationalité de sa langue classique. M.A.

05/2002

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Esotérisme

Le message des prophètes et la précession des équinoxes. Le zodiaque sidéral, 25920 années

Cette brochure est l'essentiel de ce que tout Homme doit savoir aux sujets du Christianisme, des prophètes et de leurs messages. Le Christianisme trouve son inspiration dans l'avènement d'une ère astronomique nouvelle, à savoir l'ère du Poisson. Ce signe est par ailleurs devenu le symbole des chrétiens. La naissance de Jésus-Christ et donc l'an 0 marque l'entrée de l'humanité dans l'ère du Poisson. Le Christianisme serait donc écrit dans le ciel. Il est de notoriété publique que de nombreux papes et leurs cours ont recouru jusqu'au milieu du XVIe siècle à l'astrologie. Le prêtre Jacques Arnould le reconnaît volontiers : "les prélats, dit-il, croyaient comme leurs contemporains que les astres étaient mus par des forces venant directement de Dieu, éventuellement des anges, et que les destins de l'humanité s'inscrivaient dans leurs trajectoires. Nous savons désormais que ce sont les lois de la physique qui règlent ces mouvements. Pour suivre de près l'aventure spatiale, j'aime à dire que désormais, ce n'est plus notre destin qui est écrit dans les étoiles par le doigt de Dieu, mais nous qui inscrivons nous-même notre destin dans les étoiles". Nous ne pouvons pas, nous ne devrions pas être indiffèrent face à la mauvaise interprétation de ce que nous observons dans le ciel. Il est impératif que la vérité sur l'astrologie et nos croyances soit dites pour que chacun de nous, à partir de la bonne interprétation, se forge un chemin à lui. Nous sommes après tous les enfants de la poussière des étoiles. Nous avons espoir que vous n'allez pas prendre tous ce qui est dit ici comme la vérité, nous avons espoir que cette brochure vous amènera à faire des recherche et à découvrir la vérité de vous-même car la vérité n'est pas dite, elle est réalisée. Ne prenez rien pour vérité. La vérité ? Votre âme la connait déjà, car la vérité ne s'enseigne pas. Elle est. Prenez l'habitude de vérifier par vous-mêmes, de vous renseigner, de vous informer et d'écouter votre sagesse intérieure. Vous avez votre libre arbitre. Ne discutez jamais une intuition, suivez là. Commencer à penser par soi-même c'est déjà faire partie de la solution. A connaissance égale, seul celui qui dit la vérité triomphera.

02/2018

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Beaux arts

Kandinsky. L'aventure de l'art abstrait

Peintre et théoricien, né à Moscou, Wassily Kandinsky (1866-1944) est un des tout premiers acteurs de la modernité artistique. Le fondateur du Blaue Reiter (1911) à Munich, apôtre de la couleur et de la résonance intérieure, a influencé par ses écrits et ses recherches en peinture nombre de mouvements ou d'écoles artistiques, de Dada au Bauhaus - où il enseigne de 1921 à 1933 -, en passant par De Stijl et le constructivisme russe. Admiré par André Breton, ami de Marcel Duchamp, proche de Paul Klee et de Hugo Ball, il entretint aussi des échanges nourris avec les musiciens de son temps comme Arnold Schönberg ou Thomas von Hartmann. L'auteur de Du spirituel dans l'art (1911) a laissé un ensemble considérable de peintures, mais aussi des gravures, des poésies et des compositions scéniques, qui se répartissent entre impressions (impressions du monde extérieur), improvisations (impressions du monde intérieur) et compositions (mise en tension des deux précédentes). Traversé par deux dynamiques actives, l'une allant du figuratif à l'abstrait, l'autre du profane au sacré, l'oeuvre de Kandinsky recèle un ensemble d'images voilées, porteuses du message de l'abstraction et de son inventeur, qui ont transformé notre rapport à la représentation. Spécialiste internationalement reconnu de l'oeuvre et de la pensée de Kandinsky, Philippe Sers présente le cheminement de l'artiste dans sa cohérence et dans son évolution interne. Son analyse s'appuie sur la documentation exceptionnelle à laquelle il a eu accès depuis le début de ses travaux, dans l'atelier même de l'artiste : les écrits autobiographiques, les textes théoriques et la correspondance du peintre apportent un éclairage radicalement nouveau sur un parcours créatif d'une exceptionnelle fécondité.

10/2015

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Histoire de France

Journal de Guerre (31 juillet 1914 – 23 mai 1916)

René Johannan Samuel Lisbonne est né à Paris le 6 octobre 1881. Son père meurt alors qu'il n'a que 5 ans. A la fin de ses études, son oncle l'emploi dans sa maison d'édition, spécialisée en philosophie : la "Librairie Félix Alcan" qui deviendra, en 1910, "Librairie F. Alcan - R. Lisbonne" . Son catalogue, riche de 20. 000 titres, compte parmi ses auteurs Henri Bergson, Emile Durkheim, Gabriel Monod, Pierre Janet... C'est l'une des quatre maisons d'édition qui rejoint les Presses universitaires de France (PUF) en 1934. René Lisbonne y sera directeur de collection jusqu'en 1939, date à laquelle la loi lui interdit d'exercer parce que juif. Il épouse le 18 octobre 1911 Marthe Netter (1892-1940), fille du professeur Arnold Netter. Un enfant naîtra de cette union : Jean Lisbonne né en 1912. Pendant la Première Guerre mondiale, il commande avec le grade de capitaine le 5e Bataillon du 254e R. I. Fait prisonnier par les allemands à Cumières en 1916, il passera sa captivité à Reisen in Posen (Possnan - Pologne). Au début de la Seconde Guerre mondiale, il est de nouveau mobilisé. En 1940, il entre en résistance et rejoint le réseau Marco Polo, en Auvergne, où il est chargé du regroupement et de l'acheminement clandestins des belges et des hollandais pour rallier les Forces combattantes alliées. Arrêté par la Wehrmacht le 19 mars 1943 à Châteauneuf les bains, il est interné au mitard de la "mal coiffée" à Moulins, puis à Fresnes. Il sera ensuite déporté au camp de concentration Natzweiler-Struthof (Bas-Rhin) où son gardien, le SS Ehrmanntraut, le battra à mort avant de lâcher ses chiens sur lui. René Lisbonne meurt le 28 juillet 1943.

03/2018

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Acteurs

Musée Marilyn

Marilyn comme vous ne l'avez jamais vue ? Ou plutôt : Marilyn comme vous l'avez déjà vue, cent fois, mille fois, répétée et multipliée quasi à l'infini, exposée jusqu'à la saturation, présente-absente sur des milliers de photos. Depuis le cliché fondateur, pris par David Conover en 1944 ou 1945, montrant une ouvrière de 18 ans du nom de Norma Jeane Baker jusqu'aux sordides photos volées à la morgue en août 1962, Marilyn Monroe n'a cessé d'attirer l'oeil des photographes. Pourtant, dans le livre d'Anne Savelli, nulle image. Le musée qu'elle a conçu, aussi imaginaire que réel, nous propose d'aller au-delà des apparences. De traverser le miroir. Derrière chaque photo, il y a un corps, une pose, un décor, une mise en scène, un état d'esprit, un moment particulier, qui tous disent quelque chose du secret Monroe, mais aussi une rencontre, une complicité, voire une intimité. Musée Marilyn nous propose une approche totalement inédite de l'actrice américaine la plus iconique du XXème siècle. S'appuyant sur une documentation vertigineuse, Anne Savelli, qui a structuré son livre comme un musée - un musée vivant, sensible, quasi animé -, nous raconte enfin un être de chair et de sang et non un fantasme de papier glacé. Au fil des rencontres avec ceux et celles qui l'ont "prise" en photo (André de Dienes, Eve Arnold, Milton H. Greene, Cecil Beaton, Richard Avedon...), à force de scruter les instants, tragiques ou magiques, qui donnent naissance à la galaxie Marilyn, l'auteure réussit le tour de force de nous donner à voir autre chose que la surface de "la plus belle femme de tous les temps" , et ce grâce à une écriture virtuose, alliant une attention extrême à une empathie troublante, une écriture capable de transcender la description pour atteindre la vérité humaine.

08/2022

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Guides gastronomiques

Les petits Marabout spécial Noël. 100 recettes testées pour vous

Feuilletés au foie gras, cheesecake au saumon, jambon aux épices, bûche marrons-chocolat, bûche brownie vanille-pécan... 100 recettes simples et gourmandes pour cuisiner de bons petits plats et de magnifiques desserts de Noël au succès garanti !

10/2022

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Histoire de France

Correspondance conjugale 1760-1782. Une intimité aristocratique à la veille de la Révolution, 2 volumes

La correspondance des époux Voyer d'Argenson offre un témoignage rare d'affection conjugale manifestée dans le cadre d'une union arrangée. La marquise de Voyer, née de Mailly d'Haucourt, descendante des Colbert et des Arnauld de Pomponne, est la principale plume de cet échange. Souvent séparée de son époux, c'est plusieurs fois par semaine qu'elle lui écrit. Ses lettres partent de l'hôtel de la Chancellerie d'Orléans, situé dans l'enceinte du Palais-Royal à Paris, pour les confins du Poitou et de la Touraine, où elles sont reçues au château des Ormes. Elles deviennent le lieu privilégié de l'intimité conjugale et familiale, et des discussions politiques et philosophiques qui occupent les épistoliers. Le marquis de Voyer, fils du comte d'Argenson, ministre disgracié, est emblématique de cette noblesse progressiste tenue à distance par le système monarchique alors à son crépuscule. Valeureux militaire, agent de renseignements, amateur d'art, bibliophile, entrepreneur acquis aux nouvelles idées, la belle carrière qu'il réalise est néanmoins contrariée par le caractère frondeur qui lui reste associé. Proche de la société du duc de Choiseul et de celle du duc de Chartres, le couple Voyer d'Argenson illustre la position adoptée par les élites face à un système en faillite, à la jonction des règnes de Louis XV et de Louis XVI. Mme de Voyer, à la fois épouse dévouée et femme de tête, s'emploie à faire avancer la carrière de son mari auprès des ministres. Ses lettres témoignent du rôle actif des femmes dans le projet familial, de leur place dans les jeux d'influence, et de l'évolution des représentations individuelles. Membre de l'Académie des Arcades, société de lettrés qui puise son inspiration dans l'Antiquité, Mme de Voyer se plonge avec passion dans l'étude des mathématiques, de la chimie, et de l'anatomie, illustrant l'émancipation intellectuelle et sociale à laquelle aspirent les femmes à la fin du XVIIIe siècle.

08/2019

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Monographies

Le voyage en train.. 0

" [Le train] est un artiste qui procède à la façon des maîtres. Ne lui demandez pas les détails, mais l'ensemble où est la vie. [...] En quelques heures, il vous présente toute la France, sous vos yeux se déroule la totalité du panorama, une succession rapide d'images charmantes et de surprises toujours nouvelles. " (Jules Claretie, Voyages d'un Parisien, 1865) Le train est-il un artiste comme l'affirme Jules Claretie ? Ayant considérablement bouleversé notre rapport sensible à l'espace et au temps, il a assurément été le moteur d'une transformation profonde de leurs représentations artistiques. Pour la première fois en France, l'exposition organisée par le Musée d'arts de Nantes mettra en parallèle le fulgurant développement du chemin de fer et celui d'un art moderne renonçant peu ou prou à l'idéal de fixité du monde préindustriel, du milieu de 19e siècle au milieu du 20e siècle. L'histoire ne s'arrête évidemment pas là où se clôt l'exposition, ce qu'illustreront quelques oeuvres contemporaines exposées dans le fil du parcours. L'exposition présentera la grande variété des réponses iconographiques et esthétiques apportées à cette perturbation des conceptions spatio-temporelles établies. Les oeuvres montreront, de la critique à la célébration, du refus à l'adaptation, comment les artistes ont réagi à ce nouvel environnement alors que rails, ponts, vapeur, signaux, horloges et télégraphe devenaient les emblèmes technologiques d'une circulation rapide et régulée des êtres, des marchandises et de l'information, dégagée des contraintes naturelles. L'exposition s'appuiera sur des recherches qui,depuis les ouvrages pionniers de Leo Marx et de Wolfgang Schivelbusch, ont été régulièrement actualisées, des travaux de Karen Bowie aux récentes études empreintes de culture visuelle. Citons par exemple le concept de " modernité véhiculée " introduit par Clément Chéroux, les travaux de Niklaus Manuel Güdel relisant les paysages de Ferdinand Hodler à l'aune de ses impressions ferroviaires ou les études d'Arnauld Pierre sur le paradigme signalétique dans les oeuvres de Fernand Léger et Nicolas Schöffer.

11/2022

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Histoire de France

LE CATHOLICISME EN FRANCE (LIMITES ACTUELLES) 1500-1650. Tome 1, Le XVIème siècle

L'approche du mouvement religieux au XVIe siècle réalisée par L. Febvre a conduit les historiens à prendre leurs distances à l'égard d'une étude réduite à l'opposition entre réforme et contre-réforme. En fait, le catholicisme moderne apparaît de plus en plus comme l'aboutissement d'une succession de réformes plus ou moins réussies dont l'étape la plus importante fut sans doute celle du concile de Trente (1545-1563). A côté d'une partie doctrinale où se trouvait fixée la Foi catholique, le concile se préoccupait aussi de l'amélioration spirituelle et intellectuelle du clergé et de l'instruction des fidèles. Mais dans quelle mesure cette œuvre de renouvellement de l'Eglise fut-elle appliquée en France ? On sait combien la doctrine gallicane, solidement implantée dans le Royaume, s'opposa aux idées et aux décrets qui venaient de Rome, surtout lorsque leur plus zélé propagateur était un ordre directement soumis au pape, la Compagnie de Jésus. On peut aussi s'interroger sur les conséquences de telles mesures sur les comportements individuels et familiaux des simples fidèles. Cette réforme de l'Eglise n'était-elle pas une affaire de clercs, voire même d'une élite spirituelle avec des hommes comme François de Sales, Pierre de Bérulle, Vincent de Paul, des femmes comme Jeanne de Chantal, Louise de Marillac ou Angélique Arnauld ? Pourtant, on ne cessa de construire des églises. Au cours de la première moitié du XVIIe siècle, on érigea de multiples congrégations et confréries où les laics, hommes et femmes, entraient en foule. Les problèmes de doctrine étaient l'objet de discussions passionnées entre les fidèles, comme le révèlent les Provinciales de Pascal. Il faut donc s'en convaincre : de même qu'une société protestante était en convaincre : de même qu'une société protestante était en train de naître avec ses traits spécifiques (thèse de M. Weber), une société catholique, en France comme dans le reste de l'Europe, était en voie de constitution.

09/1997

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Musique, danse

La musique et l'axiome. Création musicale et néo-positivisme au 20e siècle

Le vingtième siècle est celui du néo-positivisme. Marqué par l'empirisme radical et l'esprit de refondation qui a présidé aux ambitions de l'axiomatisme, il a donné naissance à la Gestalttheorie comme à la cybernétique. De Vienne aux Etats-Unis, puis de retour en Europe, ce parcours séculaire se reflète aussi dans la modernité musicale. Les premières réunions qui donneront naissance au cercle de Vienne, sorte de laboratoire interdisciplinaire du néo-positivisme en Europe, datent de 1922. Les prémisses existaient déjà autour de Hans Hahn dès 1907. Un calendrier assez similaire peut être dressé, dans la même ville, pour la naissance du dodécaphonisme, autour de la personnalité tutélaire d'Arnold Schoenberg. Dès cette période, les mouvements musicaux, scientifiques et philosophiques ne vont cesser de mener des parcours parallèles ponctués de ruptures et d'oeuvres-manifestes, infléchissant les pratiques compositionnelles vers une rationalité poétique avide. La création musicale va donc s'imprégner de ces influences déterminantes autour de la question de la calculabilité du musical. Du cercle de Vienne à l'école de Vienne, de l'axiomatisme au contre-point dissonant, du second principe de la thermodynamique à la musique spectrale, de la cybernétique à la musique algorithmique, elle semble donc trouver dans le néo-positivisme beaucoup plus que des méthodes ou des alibis, des recettes ou des oracles : elle y découvre, après Wagner et son théâtre d'ombres, un bouleversement esthétique salutaire. L'idée générale de l'ouvrage est de retracer la continuité de ces parcours parallèles en suivant les grands bouleversements culturels du siècle et, en particulier, avant et après la Seconde Guerre mondiale, les déplacements culturels (translatio studii) qui mèneront à l'avènement de la cybernétique musicale. "Es ist passiert..." rappelait avec ironie le Viennois Robert Musil. "C'est fini...", un siècle néo-positiviste a passé, mais il ne sera pas dit ici que l'époque de la fascinante synchronisation de la musique des humains sur le temps des machines fut une bonne ou une mauvaise chose.

03/2014

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Histoire de France

Ecrire c'était vivre, survivre. Chronique du ghetto de Czernowitz et le déportation en Transnistrie 1941-1944

Aux confins de l’empire austro-hongrois, Czernowitz fut au début du vingtième siècle un foyer exceptionnel d’activités et échanges culturels, mêlant des communautés linguistiques et religieuses très diverses et cultivées, comme d’une autre façon a pu le faire Sarajevo ; c’est dans cette ville de Bucovine que naquirent Paul Celan, Röse Auslander ou Aharon Appelfeld. Occupée par la Roumanie après la première guerre mondiale, la ville fut ensuite envahie par les troupes russes puis, à partir de 1941, à nouveau reprise par les Roumains alliés à l’Allemagne. Aux déportations vers l’Est et la Sibérie succèdent alors la violence d’un ghetto, les exécutions massives et la déportation vers les camps sous contrôle nazi. Ce livre est une création originale, constitué de proses, de lettres, de fragments de journaux intimes, de poèmes, écrits entre 1941 et 1944 par des écrivains et artistes juifs de langue allemande originaires de Czernowitz. La chronique de ces années relate à la fois la déportation et la vie dans le ghetto. Les textes, hantés par la tentative de survie par et dans l’écriture, se succèdent pour tisser une série de témoignages croisés dont émergent des fragments poétiques d’une grande intensité, d’une certaine façon rendus à la matrice des jours dont ils sont tout ensemble le fruit et la transfiguration. Cet ensemble constitue un témoignage inédit sur ce que les historiens ont appelé la « Shoah par balles ». François Mathieu avait déjà entrepris un premier travail de traduction de poètes de Czernowitz (Poèmes de Czernowitz. Douze poètes juifs de langue allemande, éditions Laurence Teper, 2008). Les sources en sont ici multipliées, débordant le cadre de la seule écriture poétique et faisant appel à des textes témoignages de prosateurs et d’artistes. Des cartes et une introduction en précisent le cadre historique et géographique.Les textes assemblés puisent dans un très grand nombre d’ouvrages publiés en allemand et pour la plupart jamais traduits. Parmi les auteurs assemblés ici, citons Rose Ausländer, Paul Celan, Alfred Gong, Alfred Kittner, Jacob Meltzer, Ilana Shmueli, Immanuel et Isaac Weissglas, ou le peintre Arnold Daghani.

10/2012

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Littérature française

Les Soirées parisiennes...

Les Soirées parisiennes... / par un monsieur de l'orchestre Date de l'édition originale : 1881 La présente revue s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale de la presse française mise en place avec la BnF. Hachette Livre et la BnF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BnF ayant numérisé ces publications et Hachette Livre les imprimant à la demande. Certains de ces titres reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces revues sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/2023

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Critique littéraire

Demeures de l'esprit. France Tome 5, Ile-de-France

Le dixième volume des Demeures de l'esprit est aussi le cinquième de la série française et, après le Sud-Ouest, le Nord-Ouest, le Nord-Est et le Sud-Est, il est consacré aux maisons d'écrivains, d'artistes, de compositeurs, d'inventeurs ou de grands intellectuels de la région parisienne, plus exactement de l'Ile-de-France, moins Paris. De ces maisons, la plus fidèle à son grand homme, et sans doute la plus séduisante, est celle de Ravel à Montfort-l'Amaury. Parmi les demeures de musiciens, elle n'a pas de mal à l'emporter sur la maison natale de Debussy à Saint-Germain-en-Laye, qui n'est hélas qu'un musée, flanquée d'un office du tourisme. Le Prieuré de Maurice Denis, dans la même ville, est lui aussi un musée plus qu'une habitation mais dans son cas c'est plus légitime, les oeuvres d'art y abondent, de même qu'à Meudon chez Rodin, non loin de là. Et si la muséification a frappé un peu trop fort, sans les dépouiller tout à fait de leur charme et de leur intérêt, la maison de Mallarmé à Valvins ou celle de Cocteau à Milly-la-Forêt, elle a laissé intacte celle de Foujita à Villiers-le-Bâcle ou celle de Pierre Mac Orlan à Saint-Cyr-sur-Morin. La plus modeste est probablement celle où naquit Louis Braille à Coupvray, près de Meaux ; la plus fastueuse est sans doute la Vallée-aux-Loups, à Châtenay-Malabry, où Chateaubriand mena grand train dix années durant. Celle d'Aragon et d'Elsa Triolet à Saint-Arnoult-en-Yvelines est un vaste moulin ; celle de François Mauriac à Vémars est devenue la mairie du village. Rosa Bonheur habitait un château nommé By, à Thomery ; Jean-Jacques Rousseau une maison de poupée à Montmorency. Daubigny vivait en bourgeois à Auvers-sur-Oise, Jean-François Millet en rapin à Barbizon. A Bossuet un palais épiscopal, dans Meaux ; à Tourgueniev une datcha à Bougival, avec vue sur Pauline Viardot, dont le manoir est en contrebas. Quant au pauvre Alexandre Dumas, non loin de là, à Port-Marly, il ne profita que quelques mois de son opulente folie, Monte-Cristo. En fin de volume, vous trouverez une table détaillée des sites avec appréciations et renseignements pratiques.

06/2014

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Religion

PASCAL ET JEAN DE LA CROIX

Si le génie pascalien brille toujours d'un éclat intact, la plupart des vêtements dans lesquels l'avait enserré le romantisme ont cédé à l'usure du temps. Une meilleure connaissance des textes et de l'époque nous a restitué le Pascal rieur et ardent qui a composé les Provinciales, le Pascal engagé dans le mouvement des sciences et lié à nombre de mathématiciens et de physiciens, et un Pascal écrivain dont le style apparaît désormais comme la réussite d'une ample tradition esthétique, celle des parlementaires gallicans, tout opposée au style "jésuite" . Loin d'être un solitaire, l'inventeur de la machine à calculer appartenait à toutes sortes de riches réseaux. On a aussi cru longtemps que l'auteur des Provinciales et des Pensées manquait de culture religieuse : les théologiens de Port-Royal, un Antoine Arnauld ou un Pierre Nicole, répétait-on après les pamphlétaires jésuites du XVIIè siècle, lui fournissaient les matériaux que ce jeune homme au coup de plume facile mettait en forme. Pascal s'est -il nourri de la théologie mystique de saint Jean de la Croix ? A cette délicate question les réponses restaient aussi rapides que contradictoires. Les prises de position n'étaient en fait étayées par aucune véritable enquête. Le savant ouvrage de M. André Bord comble donc une lacune. Voici enfin les pièces du dossier. Et dans quel débat ! Il s'agit pas ici de deux auteurs mineurs, mais de deux écrivains théologiens dont l'envergure n'échappe à personne. Avant d'en venir aux textes eux-mêmes, M. Bord a su s'inscrire dans un courant très vivant des recherches littéraires : la reconstitution des milieux et des réseaux à l'intérieur desquels se tissent peu à peu les oeuvres singulières. Cette géographie littéraire et spirituelle, déjà pratiquée avec bonheur par M. Jean Mesnard, en particulier à propos des mais de Port-Royal, nous met en présence d'échanges si intenses entre l'entourage de pascal et la Carmel que, de la part du premier, une ignorance totale des écrits de Jean de la Croix perd toute vraisemblance. Illusion donc de s'imaginer que sur Pascal tout est dit, et que l'on vient trop tard ! L'ouvrage de M. Bord atteste que des enquêtes ambitieuses peuvent toujours renouveler notre lecture du théologien de Port-Royal. Quand on referme ce Pascal et Jean de la Croix, les textes pascaliens viennent de gagner encore en densité. Extraits de la Préface

09/1987

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Beaux arts

Résonances ; Kandinsky et la nécessité intérieure. Coffret 2 livres, Edition bilingue français-allemand

Klänge est le titre de l'album mythique que publia Kandinsky en 1913 à Munich, à 300 exemplaires. C'est d'abord le recueil des poèmes écrits pendant sa période que l'on a qualifiée de « géniale ». Mais en outre, l'album était illustré par des gravures sur bois constituant une récapitulation de ses découvertes picturales : au total trente-huit poèmes accompagnés de cinquante-six bois gravés dont douze en trois ou quatre couleurs. Cet ensemble, du propre aveu de Kandinsky, donne la clef du passage du figuratif à l'abstrait autour des principaux thèmes qui habitent sa peinture. Cette réédition, réalisée avec le plus grand soin, vise à mettre entre les mains du lecteur l'équivalent de l'œuvre originale accompagnée des éléments de son interprétation. Le livre comprend une annexe destinée à éclaircir l'intention de Kandinsky, les thèmes complémentaires des poèmes et des gravures qui correspondent aux expériences fondatrices dont l'artiste veut rendre compte et qu'il s'attache à rendre perceptibles dans la représentation graphique et poétique. À travers cette étude et par la confrontation aux textes et aux images d'une rare beauté, le lecteur est introduit au cœur de l'aventure créatrice de Kandinsky. Il se révèle ici le grand inspirateur de Dada et de la poésie zaoum, mais aussi de la pensée russe de son époque dont il annonce et met en œuvre les principaux thèmes que l'on retrouve chez Vladimir Soloviev, Pavel Florensky ou Serge Boulgakov (cousin de l'artiste) — ou encore chez Fiodor Dostoïevski. C'est ce que montre l'analyse qui accompagne cette réédition en soulignant l'importance de la pensée de Kandinsky et de son invention poétique. Les gravures de Kandinsky, par ailleurs, parachèvent des thèmes préalablement explorés dans des esquisses, aquarelles, fixé-sous-verre ou huiles sur toile que reproduit l'illustration de cette seconde partie. La richesse de la vie, de l'œuvre et de la pensée de Kandinsky en font un des tout premiers acteurs de la modernité artistique. Ses théories et son action en tant que fondateur du Blaue Reiter ont influencé les acteurs de presque tous les mouvements ou écoles artistiques de son époque, de Dada au Bauhaus, en passant par De Stijl et le constructivisme russe. Admiré par André Breton, ami de Marcel Duchamp, de Paul Klee et de Hugo Ball, il eut aussi des échanges exemplaires avec les musiciens de son temps comme Arnold Schönberg ou Thomas von Hartmann.

10/2015

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BD tout public

Les chemins du fantastique. Tirage numéroté et signé

Guillaume Sorel voit le jour à Cherbourg en 1966. Entre 1982 et 1990, il enchaîne une école d'architecture, une école d'arts appliqués à Lyon et l'Ecole supérieure des beaux-arts à Paris. Amateur de littérature fantastique, il prête son talent d'illustrateur à des magazines et à des éditeurs de jeux de rôles. Ce secteur lui permet de rencontrer Thomas Mosdi, avec lequel il imagine L'île des morts, une série d'albums alliant un scénario lovecraftien avec un graphisme gothique, le tout sous le titre évocateur du célèbre tableau d'Arnold Bôcklin. En 1996, il débute la série Mens magna écrite par Froideval et, en 1999, le tandem Mosdi-Sorel se reforme pour le diptyque Amnésia dont Michel Crespin - une des influences dont se réclame Sorel - réalisera les couleurs. En 2000, Guillaume Sorel signe Mother, son premier album solo. Une guerre psychologique totale entre une mère et un fils, tous deux aux portes de la folie. Le " style Sorel " vient de naître. Et ce n'est que l'amorce d'une montée en puissance. Avec Mathieu Gallié, il imagine les aventures d'Algernon Woodcock, un jeune médecin de petite taille arpentant une Ecosse peuplée de créatures surnaturelles. En effet, le dessinateur affiche depuis toujours un faible pour la littérature fantastique européenne des XIXe et XXe siècles. Son roman graphique, Mâle de mer, paraît en 2009. Scénarisé par Laêtitia Villemin, il est l'unique ouvrage en noir et blanc réalisé par ce prince de la couleur. En 2012, il réussit avec brio l'adaptation du roman de Laurent Seksik, Les derniers jours de Stefan Zweig. En 2013 et 2014, il enchaîne deux albums en solo : Hôtel particulier et Le Horla, une adaptation libre de Maupassant. Plus que jamais, les dessins dépassent les apparences du réel pour plonger dans des univers où tout - même et surtout l'indicible - semble possible. J'ai tué Abel, scénarisé par Serge Le Tendre, inaugure, en 2015, une collection dédiée aux plus grands crimes qui ont marqué l'humanité. Bluebells Wood, en 2018, démontre l'évidence : Guillaume Sorel est un auteur complet. Textes, dessin et couleurs sont la Trinité de son univers. De fin 2015 à début 2017, il délaisse pour un temps la bande dessinée pour se consacrer à son travail d'illustrateur et de peintre. Les Chemins du Fantastique présente une grande partie de cette fête de la créativité : la mer, la nature, le rêve, l'art, sans oublier un monde animal vivant à côté du monde humain et, bien sûr, la féminité que Sorel se plaît à faire vivre sous tous ses atours.

11/2018

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Critique littéraire

Hommage à Jacques Rivière

Souvenirs : Anonymes, Note biographique André Waltz, Souvenirs d'un ami d'enfance André Lacaze, Souvenirs (1905-1908) Gabriel Frizeau, Souvenirs sur Jacques Rivière A. Lauriol, Septembre 1914 Jacques Copeau, Souvenirs d'un ami A. Mayrisch de Saint-Hubert, Souvenirs Marcel Jouhandeau, Jacques Rivière devant la mort L'homme : Paul Valéry, Hommage Saint-John Perse, Lettre sur Jacques Rivière André Maurois, Comment rattraper... François Mauriac, Anima naturaliter christiana Jacques de Lacretelle, Portrait Henri Ghéon, Souvenirs Jean Cocteau, Lettre Jean Schlumberger, La Sincérité de Jacques Rivière Georges Duhamel, Lettre Henriette Charasson, Les rendez-vous spirituels Benjamin Crémieux, Ce que n'était pas Rivière Le directeur de revue et l'écrivain : André Gide, Jacques Rivière Valery Larbaud, Témoignage Jules Romains, Jacques Rivière parmi nous Paul Morand, Adieu à Jacques Rivière Michel Arnauld, Jacques Rivière et la vocation de sincérité Emma Cabire, Deux rencontres Guy de Pourtalès, Jacques Rivière Henri Deberly, Reconnaissance Henri Pourrat, Jacques Rivière, écrivain pur Jean Prévost, Jacques Rivière et les jeunes Jean Cassou, Péguy et Rivière Jean Paulhan, Les espoirs et les projets Joseph Delteil, L'homme de barre Le romancier : René Boylesve, Hommage Jacques Boulenger, Note sur Aimée Edmond Jaloux, Jacques Rivière et Marcel Proust Robert Honnert, Le Romancier Henri Rambaud, De l'esprit d'analyse dans Aimée François de Roux, La méthode objective et réaliste de Jacques Rivière Gil Robin, Jacques Rivière et la psychiatrie Guy Velleroy, Jacques Rivière et la passion de vérité Ramon Fernandez, In Memoriam L'essayiste, le politique : Charles Du Bos, Jacques Rivière et la "Perfection abstraite" Louis Artus, Jacques Rivière et "La Foi" Marcel Arland, L'évolution de Jacques Rivière Gabriel Marcel, Constantes Bernard Groethuysen, Jacques Rivière interprète de Fénelon André Lhote, Jacques Rivière critique d'art et ami Boris de Schloezer, Jacques Rivière et la musique Paul Desjardins, Le bon sens de Jacques Rivière Albert Thibaudet, L'Européen Alfred Fabre-Luce, Jacques Rivière politique Pierre Drieu la Rochelle, Expériences Félix Bertaux, Jacques Rivière et l'Allemagne Victor Llona, Jacques Rivière et les littératures étrangères Témoignages étrangers : T. S. Eliot, Rencontre D. S. Bussy, Souvenir Harrison, Le Roman d'Aventure S. Hudson, Lettre W. Frank, L'artiste en Jacques Rivière E. Fitzgerald, Hommage H. von Hofmannsthal, Hommage L. Chestov, Dernier salut E. Cecchi, Esprit de finesse G. Ungaretti, Gratitude W. Schuermans, L'esprit clinique de Jacques Rivière F. Hellens, Impressions sur Jacques Rivière P. Fierens, Jacques Rivière et la Belgique O. -J. Périer, Jacques Rivière vivant J. Tielrooy, Témoignage d'un étranger J. Fransen, Hommage R. de Traz, Souvenir R. Grosjean, Hommage du lecteur inconnu C. Simon, Jacques Rivière à Zurich C. Clerc, Rivière et Genève A. François, Souvenir Inédits Alain-Fournier, J. Rivière, Correspondance J. Rivière, Lettres à André Gide - Extraits d'un Journal de captivité - Marcel Proust Divers H. Massis, "Nous tenons à détacher, du témoignage sur Jacques Rivière, qu'Henri Massis. ". . J. Rivière,

01/1992

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Religion

Marie en Saumurois

Né en en Orient, la dévotion à Marie, Mère du Christ, va prendre de l'importance en particulier après le concile d'Ephèse en 431 qui la proclame Mère de Dieu. Bien d'autres titres lui seront donnés, depuis celui de "Mère de Dieu toujours Vierge" jusqu'à celui de "Mère de l'Eglise" au XXe siècle. Elle est la "figure parfaite du disciple du Christ", comme l'a rappelé le dernier concile oecuménique. Comme dans d'autres provinces de France, la dévotion à Marie s'est développée en Anjou et de grands pèlerinages y sont nés, parmi lesquels le plus ancien est celui de Béhuard. Ce sont les formes que la dévotion à la Vierge a prise au cours du temps dans la partie orientale de la province - le Saumurois historique qui comprend les cantons de Saumur-Nord et Saumur-Sud, Allonnes, Doué-la-Fontaine, Gennes, Montreuil-Bellay et des Rosiers-sur-Loire - que l'auteure fait revivre ici. Un nombre important d'églises paroissiales et de chapelles lui sont dédiées, sous différents vocables intégrant la plupart du temps le beau nom de Notre Dame : ainsi de Notre-Dame des Vertus, Notre-Dame de Pitié, et bien d'autres, jusqu'à celui, unique au monde de Notre-Dame de la Légion-d'Honneur ! Exceptées l'abbaye de Saint-Maur, très ancienne, et celle de Saint-Florent de Saumur fondée au Xe siècle, toutes les abbayes qui ont vu le jour plus tard, aux XIIe et XIIIe siècles - Fontevraud, Asnières, Le Loroux - se sont mises sous sa protection maternelle. Tout comme le sont les prieurales ou collégiales de Cunault, du Breuil-Bellay, de Montreuil-Bellay ou encore du Puy-Notre-Dame. C'est à l'ombre de celle-ci que naîtra en 1904 Michel Epagneul, futur fondateur de la congrégation, toujours bien vivante, des Missionnaires des Campagnes, placée sous le mystère de l'Annonciation. Les Visitandines, les Bénédictines de Notre-Dame de la Fidélité, installées à Saumur au XVIIe siècle, ou encore, au XXe siècle, les Bénédictines de Notre-Dame de Compassion, établies à Martigné-Briand, se son aussi confiées à son amour. Des pèlerins individuels ou en groupes viennent toujours prier la Mère du Christ à Saumur - pour eux ou pour des êtres chers - devant la Pietà, coeur de la belle chapelle de Notre-Dame des Ardilliers édifiée au XVIIe siècle, dont la renommée dépassa le cadre régional. De nombreux personnages l'ont fréquentée, humbles anonymes ou personnages plus connus, parmi lesquels on peut citer Monseigneur Arnauld, évêque d'Angers au XVIIe siècle, ou encore sainte Jeanne Delanoue, fondatrice des Soeurs de Sainte-Anne de la Providence (appelées maintenant plus simplement du nom de leur fondatrice), saint Louis-Marie Grignion de Montfort ("à Jésus par Marie") ou encore sainte Marie Euphrasie Pelletier, fondatrice du Bon Pasteur d'Angers, dont un établissement fut établi à Saint-Hilaire-Saint-Florent au XIXe siècle. Des confréries très nombreuses se sont mises sous la protection maternelle de celle qui intercède, tout comme un réseau de Résistance de la dernière guerre mondiale. C'est à cette découverte que vous invite cet ouvrage.

11/2011

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Beaux arts

Pérégrinations. Paysages entre nature et histoire

Cet ouvrage a reçu 3 prix consécutifs : le Prix de l'Académie ds Beaux-Arts-Prix Bernier 2018, le Prix Vitale et Arnold Blokh 2018 et le Prix Pierre Daix 2018. Le paysage n'existe que dans l'oeil de celui qui le regarde. Il faut donc suivre les pas de l'homme en marche si l'on veut comprendre comment notre rapport au monde et à l'histoire se dessine : par la confrontation de l'individu et de la nature. Car le paysage, c'est la nature éprouvée : nature traversée, nature possédée, nature sublimée, nature terrifiante, nature qui échappe à qui tente de la conquérir. L'artiste qui s'adonne au genre du paysage nous offre bien plus qu'une simple représentation de morceaux de nature. Il se fait archéologue, scrutant comme dans un livre le sol où affleure la mémoire de l'histoire humaine, sous forme de traces. Ecrire l'histoire du paysage à l'époque contemporaine c'est aussi faire le constat d'une relève : celle qui voit, à partir du début du XIXe siècle, la peinture de paysage se substituer progressivement à la peinture d'histoire afin de porter le grand récit de l'humanité dans ses tentatives de connaître et de façonner le monde. Un genre s'épuise, un autre s'épanouit afin d'explorer d'autres formes de représentation, et d'interrogations. Lorsque le sculpteur français David d'Angers, contemplant La Mer de Glace dans l'atelier de Caspar David Friedrich, à Dresde, dit que le peintre est l'inventeur d'un genre nouveau, "la tragédie du paysage" , c'est cela qu'il désigne. Cette manière, qui va traverser toute la période contemporaine, de faire du paysage le lieu de l'enfouissement et de l'émergence de l'histoire. Parce que l'histoire devient un présent qui saute à la gorge - révolutions, guerres, massacres, génocides -, les artistes se tournent de façon privilégiée vers le paysage comme une forme capable d'accueillir l'innommable en son sein et d'exprimer ce qui aveugle, terrifie, ou fascine. Peintres, dessinateurs, photographes, de Goya à Sophie Ristelhueber, d'Otto Dix à Zoran Music et Anselm Kiefer, vont s'affronter au paysage comme à ce lieu où peut se manifester l'inquiétude de l'homme face à l'histoire. Mais aussi son désir, ses croyances, et sa liberté. Ce sont les étapes de cette aventure de l'homme au monde que nous suivons dans cet ouvrage : paysages de ruines, paysages en guerre, paysages où l'on foule une histoire oscillant entre affleurement et invisibilité, paysages qui nous confrontent à l'indifférence du monde, sont quelques-uns des thèmes qui racontent les pérégrinations inquiètes de l'homme contemporain marchant dans le monde à la recherche de sa propre trace. C'est enfin une méditation personnelle sur la nécessité qu'éprouvent tant d'artistes, aujourd'hui, d'avoir recours au paysage pour affronter ce que le XX° siècle nous a légué de plus terrible : l'anéantissement sans traces. Le paysage s'impose comme l'une des formes majeures, pudique et émouvante, de l'histoire contemporaine.

11/2017

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Informatique

Internet pour les nuls. 20e édition

Dans ce livre, nous focalisons notre approche sur Internet Explorer (le navigateur de Microsoft) et Windows 10. Lorsque vous serez aguerri à l'informatique en général et à Internet en particulier, vous pourrez alors envisager de parcourir le Web avec Microsoft Edge le tout nouveau navigateur Web de Microsoft. Nous verrons également comment envoyer et recevoir du courrier électronique (courriel), faire des recherches efficaces, ou télécharger de la musique et des vidéos et bien d'autres choses encore...

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Internet

Internet pour les nuls. 21e édition

Le best-seller des livres sur Internet dans sa nouvelle édition + 218 000 ex. vendus ! Vous n'avez aucune prédisposition naturelle pour les nouvelles technologies informatiques ? Tant mieux ! Internet pour les Nuls va répondre à toutes les questions que vous vous posez : qu'est-ce qu'Internet, comment installer mon navigateur, comment me connecter, comment surfer décontracté sur le Web, comment adresser mon courrier électronique (e-mail) à mes correspondants, quelles sont les meilleures " adresses ", quel fournisseur d'accès choisir, quel type de connexion, câble, ADSL ? Cette nouvelle édition est entièrement mise à jour pour le navigateur Microsoft Edge et Windows 11. Au programme : On commence par la sécurité Matériel nécessaire pour surfer sur le Net Découverte du navigateur, l'outil indispensable Partager une connexion Internet Rechercher avec Google Musique et vidéo Acheter et vendre en toute sécurité Télécharger des fichiers Le mail avec Courrier Sécuriser sa connexion avec les outils proposés par Windows 11 Les applications sociales Les messageries en ligne Le monde des blogs

03/2023

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Internet

Internet pour les Nuls

Le best-seller des livres sur Internet dans sa nouvelle édition Wi, ndows 11 ! Vous n'avez aucune prédisposition naturelle pour les nouvelles technologies informatiques ? Tant mieux ! Internet pour les Nuls va répondre à toutes les questions que vous vous posez : qu'est-ce qu'Internet, comment installer mon navigateur, comment me connecter, comment surfer décontracté sur le Web, comment adresser mon courrier électronique (e-mail) à mes correspondants, quelles sont les meilleures " adresses ", quel fournisseur d'accès choisir, quel type de connexion, câble, ADSL ? Cette nouvelle édition est entièrement mise à jour pour le navigateur Microsoft Edge et Windows 11. Au programme : On commence par la sécurité Matériel nécessaire pour surfer sur le Net Découverte du navigateur, l'outil indispensable Partager une connexion Internet Rechercher avec Google Musique et vidéo Acheter et vendre en toute sécurité Télécharger des fichiers Le mail avec Courrier Sécuriser sa connexion avec les outils proposés par Windows 10 Les applications sociales Les messageries en ligne

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Biologie et physiologie végéta

Biologie végétale. Croissance et développement

Intégrant les derniers acquis de la biologie cellulaire et de la génétique moléculaire, cette quatrième édition, entièrement corrigée, offre un panorama de l'ensemble de la biologie végétale enseignée dans les premières années d'études supérieures (Licence, Pharmacie, classes préparatoires, IUT). Ce volume traite des aspects physiologiques et moléculaires de la croissance et du développement des végétaux supérieurs. Clair et concis, très illustré, le cours est enrichi par des encarts apportant quelques compléments techniques ou historiques. Des questions de révision en fin de chapitre, toutes corrigées, permettent de tester ses connaissances et de s'entraîner avant l'épreuve. Des compléments sont disponibles sur le site dunod. com.

07/2021