Sans connaître précisément l’écrivain Isidore Ducasse (comte de Lautréamont), sans jamais avoir lu intégralement « les chants de Maldoror », c’était sans doute une gageure d’ouvrir les pages de ce récit. Par simple curiosité, avec l’innocence de l’inculte et l’attrait particulier du mythe de l’écrivain à la vie brève plutôt que l’œuvre en soi, ce texte pouvait bien éveiller un désir de lecture. Ce fut le cas.