Fin décembre, la Biennale des poètes en Val-de-Marne a appris la suppression d’une partie de sa subvention. Le département se retrouverait contraint à diminuer d’un tiers son investissement financier, avec pour conséquence le « risque d’entraîner licenciements et cessation d’activité ». Jean-Pierre Siméon, directeur artistique du Printemps des poètes, y voit un mal propre à l’époque.