Des éditeurs bangladais ont improvisé un autodafé dans les rues de la capitale pour protester contre l’inaction du gouvernement. Aucune mesure n’a en effet été prise suite aux attentats de samedi, visant deux éditeurs et deux auteurs. Un des éditeurs a trouvé la mort, et alors que ce meurtre s’inscrit dans une série d’attaques et de meurtres de blogueurs, d’auteurs et d’éditeurs, un climat de peur s’installe dans le pays et s’immisce en particulier dans le monde du livre.