ROMAN ÉTRANGER — Des soldats perdus dans les marais, des moustiques obsédants, des balles tirées à la dérobée depuis la cime des bouleaux… La Seconde Guerre mondiale tire à sa fin, il va falloir choisir son camp. Une urgence qui marque ce roman écrit en 1951 par le grand écrivain allemand de l’après-guerre Siegfried Lenz (La leçon d’allemand, trad. Bernard Kreiss, 1968) et jamais publié de son vivant.