Le Mali... Bamako... Diabali... autant de noms que l'information associe aux combattants islamistes, aux premières frappes françaises, à l'intervention militaire du pays. C'est Cohn-Bendit qui interpelle l'Europe, pour demander une intervention. On parle des soldats, des gens sur place, les civils, pris au milieu d'un conflit, qui s'assimile plutôt à une guérilla dans le Sahel. Mouvements de troupes, déplacements de militaires, lutte armée. Et des morts, bien entendu. L'objectif est simple : faire reculer Al-Qaïda, l'intégrisme, les extrémistes.