" Dans le studio de Mme Aubin-Vasconcelos, je lisais des carnets, ou je regardais par la fenêtre. Ces jardins " privatifs " sont souvent composés de plantes tropicales ou qui en donnent l'impression. Elles allaient bien avec les ambassades étrangères qui font de ce quartier de Paris une sorte de concession internationale fermée, au nord, par l'ancien palais de l'Otan. On ne savait pas quoi en faire, comme du souvenir d'un royaume disparu qui n'avait pas duré longtemps. " S. D.
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