Un jour, le journaliste Alexandre Kauffmann interviewe un psychopathe meurtrier qui a passé quarante ans enfermé dans différentes "unités pour malades difficiles" (UMD) françaises. Dans l'un de ces lieux fermés et méconnus, le meurtrier lui dit avoir côtoyé "l'homme le plus dangereux" qu'il ait jamais rencontré. Alexandre Kauffmann se met en tête de retrouver cet homme dangereux. Une quête titanesque qui, pendant deux ans, va le mener dans des archives judiciaires, une salle de boxe et va surtout le plonger en immersion dans plusieurs UMD. Sa "cible" semble toujours lui échapper jusqu'à ce que le journaliste apprenne que cet homme pourrait bientôt être libéré... Un face à face devient possible. Une question vertigineuse se pose : quand relâche-t-on un homme jugé irresponsable de ses actes ?
Pour le livre d’Alexandre Kaufmann, Un homme dangereux.
Il oublie que les victimes, elles, ont perpète. Il annonce des chiffres, d’où viennent ses sources ?
Même sur les sites du Gouvernement ils n’existent pas.
Il parle d’une cinquantaine de meurtres, en oubliant les tentatives de meurtre où les personnes restent handicapées à vie, les agressions sexuelles, les viols. L’ensemble faisant de 200 à 300 cas par an.
Il parle d’experts psychiatres, ce n’est qu’un titre, aucune formation n’existe. Nous constatons dans ce livre l’incapacité des psychiatres à analyser le risque de récidive. Bosco est 4 fois récidiviste avec l’agression de l’infirmière. Alexandre dit que les Associations PROFITENT de cette situation.
Comment peut-il dire ceci, après les échanges qu’il a eu avec celle-ci, et qui elle, ne conteste pas le cas des vrais malades.
1 Commentaire
Stawoski
24/01/2024 à 17:30
Pour le livre d’Alexandre Kaufmann, Un homme dangereux.
Il oublie que les victimes, elles, ont perpète. Il annonce des chiffres, d’où viennent ses sources ?
Même sur les sites du Gouvernement ils n’existent pas.
Il parle d’une cinquantaine de meurtres, en oubliant les tentatives de meurtre où les personnes restent handicapées à vie, les agressions sexuelles, les viols. L’ensemble faisant de 200 à 300 cas par an.
Il parle d’experts psychiatres, ce n’est qu’un titre, aucune formation n’existe. Nous constatons dans ce livre l’incapacité des psychiatres à analyser le risque de récidive. Bosco est 4 fois récidiviste avec l’agression de l’infirmière. Alexandre dit que les Associations PROFITENT de cette situation.
Comment peut-il dire ceci, après les échanges qu’il a eu avec celle-ci, et qui elle, ne conteste pas le cas des vrais malades.