Rousseau s'était gardé de publier la traduction du livre I des Histoires de Tacite, à laquelle il avait travaillé en 1754. Devait-il en avoir honte ? Certainement pas, car cette traduction offre maint passage d'une haute qualité littéraire.
Par
Classiques Garnier, Catherine Volpilhac-Auger Chez
Editions Classiques Garnier
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