La main caresse un front comme une pierre, elle garde en mémoire à parts égales la pierre érodée par le vent, le front que la mort a saisi, à quoi sert de lever le poing quand la paume est l'espace plus grand que celui des nuits blanches ? et ces mots de "mort" et de "vent" s'étonnent qu'il y ait un sens pour les recevoir en hôtes. Poèmes de Pierre Dhainaut faisant écho aux nombreuses peintures de Caroline François-Rubino qui les ont inspirés au poète.
Par
Caroline François-Rubino, Pierre Dhainaut Chez
Editions Al Manar
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