A la période fin-de-siècle, esthétisme et occultisme sont cousins. Ainsi le peintre Jean Delville, un des maîtres du symbolisme, est-il martiniste, franc-maçon et théosophe. En 1907 il nous offre son immense Prométhée. Et, en 1911, un second Prométhée illustrant le Poème du Feu de Scriabine. L'un et l'autre expriment la vision théosophique de l'artiste qui se trouve ici superbement décryptée.
Par
Sébastien Clerbois, Daniel Guéguen, Jean Iozia-Marietti Chez
Lienart
Commenter ce livre