Recherche

Kepone

Extraits

ActuaLitté

Thrillers

Kepone

Marc Montroy, journaliste à L'Ecologue, se rend à Hopewell en Virginie, la "capitale de la chimie", pour enquêter sur le scandale du chlordécone, aussi appelé Kepone. Il y rencontre le Pr Ashland, qui l'encourage à orienter ses investigations du côté de Farma, société basée officiellement au Brésil et dirigée officieusement depuis les Antilles françaises. Apprenant que son père, Célio, est atteint d'un cancer, Marc rentre précipitamment en Guadeloupe. Célio est persuadé que sa maladie est due au chlordécone. Utilisé de 1972 à 1995, ce pesticide a pollué des terres et des eaux à la biodiversité unique. Max, l'ami indépendantiste de Célio, voit là l'oeuvre des Békés qui, non contents de posséder les richesses des îles, s'en sont pris une fois de plus aux descendants d'esclaves. Alors que Marc pense rédiger un simple article relatant un écocide passé, des morts violentes en lien avec son enquête surviennent. Avec Max, tout aussi décidé à découvrir la vérité, ils sont loin d'imaginer l'engrenage infernal dans lequel ils viennent de tomber. En brassant les eaux troubles du scandale lié au chlordécone, Kepone nous offre une plongée vertigineuse dans les grands courants contestataires de nos sociétés. C'est aussi un thriller haletant et savamment documenté.

03/2023

ActuaLitté

Thrillers

Kepone

Kepone Marc Montroy, journaliste spécialisé en écologie, se rend à Hopewell, en Virginie, la "capitale de la chimie", pour enquêter sur le chlordécone, aussi appelé Kepone. Ce pesticide hautement cancérigène a été répandu sur les bananeraies de Guadeloupe pendant des décennies et a rendu ces terres toxiques pour des siècles. A mesure qu'il met au jour les ramifications politiques et financières de ce scandale sanitaire, des morts violentes surviennent partout où il passe... Oui cherche encore à taire la vérité sur cet effroyable écocide ? L'étau se resserre autour du journaliste et de ses proches...

06/2024

ActuaLitté

Non classé

Stéphanette

Cette nouvelle est la première que j'ai écrite. Cela me repone à quelque douze ans en arrière, à un certain déjeuner chez un ami, où M. de Mayol de Luppé, alors directeur de L'Union, me proposa, à moi intimidé, balbutiant et heureux, de "m'ouvrir ses colonnes". J'écrivis, - avec quel amour et quel soin, mon vieux manuscrit, vous êtes là pour k dire ! - l'histoire de Stépnette", qui n'était pas tout inventée par moi, loin de là. Hudoux a vécu ; j'ai vu dans mon enfance la rue de l'Aiguillerie, avec ses maisons anciennes, aux pignons pointus, aux façades décorées de croisillons de bois ; et les paysages que je peignais, je les avais sous les yeux : c'étaient nos chers noyers de la Buffeterie, plus touffus, plus gros, plus âgés que le logis lui-même, pas plus verts cependant ; car du lierre, des vignes vierges, des rosiers grimpants, je n'en ai jamais vu tant qu'autour de nos ferlent. C'était aussi la campagne boisée, incroyablement déserte, silencieuse, enveloppée dans les replis des futaies de Pignerolles. Les chansons mimes je les avais entendues, et les récits de chouannerie qui m'avaient si souvent fait frissonner, quand mon grand-pèse les chantait ou les contait, lui dont le père s'était battu en ce temps-là. Stéphanette parut signée d'un pseudonyme, naturellement. Ce fut le dernier feuilleton de L'Union, qui cessa de vivre en mime temps que le prince dont elle servait la cause. Le dernier numéro du journal est, je crois, celui où la mention "fin" est mise au bas de "Stéphanette, par Bernard Seigny", et le contraste était grand, je m'en souviens, entre les articles de deuil dont il était rempli et ce dénouement d'une histoire d'amour si joyeux et si jeune. René Bazin, le 2 mai 1896.

03/2022

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté