Si l’été est la saison la plus propice aux voyages, il est aussi la période de l’année où le rapport aux livres devient plus apaisé, échappant à l’agitation médiatique et aux débats des rentrées littéraires. Faut-il encore le rappeler : le rapport entre les voyages et l’objet-livre n’est pas une nouveauté. À la fois déplacement physique et projection de l’imaginaire, le voyage a souvent constitué l’arrière-plan d’une littérature fascinante et inépuisable.