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Lundi quelque part dans l'infini

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BD tout public

Lundi quelque part dans l'infini

"On a perdu nos yeux d'enfant" et pourtant, au contact de l'art, nous devrions nous poser les questions fondamentales de la vie. Convoquant l'esthétisme, la philosophie, la science, nous voilà parcourant dans cet album éclairé une quête intérieure semblable aux plus grands voyageurs. Le corps au secours de l'esprit, la nature revisitée par l'économie, la métaphysique en porte-à-faux avec la physique - ou bien tout l'inverse -, l'artiste errant convoque l'homme de demain. Sous forme d'aphorismes accompagnés de dessins épurés et symboliques, Olivier Liegent nous fait visiter magnifiquement, avec Lundi quelque part dans l'infini, les champs inquiétants de la pensée comme les chants, parfois risibles, du futur. Alors, "vous êtes plutôt néant ou infini ? " Il y a trente ans, Olivier Liegent commence à faire parler un personnage : certaines phrases lui viennent alors spontanément nuit et jour face à la vie qui se déroule devant lui. Il nous fait partager son oeil en permanence fixé sur l'infini et le fini de nos existences terrestres.

10/2020

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Autres éditeurs (K à O)

Quelqu'un quelque part

Dans un paysage, quelque part, il y a des lignes qui se rejoignent et d'autres qui s'éloignent. Il y a des lignes droites, il y a des courbes. Et il y a... Quelqu'un. 2. 15. 0. 0

01/2024

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Philosophie

Quelque part dans l'inachevé

Quelque part dans l'inachevé... Comment mieux saisir que par cette phrase de Rilke, l'insaisissable Jankélévitch. Un philosophe qui ressemble à un poète. Un écrivain qui est un musicien. Stimulé par les questions de Béatrice Berlowitz, il entrouvre enfin son domaine ; celui de l'impalpable, de l'étincelle fugace, du vague à l'âme, de la nostalgie ; il laisse s'épancher le monde secret qui habite au coeur de son o-euvre. On parle d'amour et d'humour, de musique et de silence, de morale et de politique, de réminiscences et d'innocence. Le lecteur s'apercevra vite que ces entretiens, ce dialogue, sont tout le contraire de ce que produit de nos jours le magnétophone, instrument trop précis, trop fidèle et pour tout dire vulgaire. Il s'agit d'un livre écrit, ce qui garantit une plus haute fidélité, et peut-être bien une oeuvre d'art.

05/1987

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Philosophie

Quelque part dans l'inachevé

Quelque part dans l'inachevé... Comment mieux saisir que par cette phrase de Rilke, l'insaisissable Jankélévitch. Un philosophe qui ressemble à un poète. Un écrivain qui est un musicien. Stimulé par les questions de Béatrice Berlowitz, il entrouvre enfin son domaine ; celui de l'impalpable, de l'étincelle fugace, du vague à l'âme, de la nostalgie ; il laisse s'épancher le monde secret qui habite au coeur de son o-euvre. On parle d'amour et d'humour, de musique et de silence, de morale et de politique, de réminiscences et d'innocence. Le lecteur s'apercevra vite que ces entretiens, ce dialogue, sont tout le contraire de ce que produit de nos jours le magnétophone, instrument trop précis, trop fidèle et pour tout dire vulgaire. Il s'agit d'un livre écrit, ce qui garantit une plus haute fidélité, et peut-être bien une oeuvre d'art.

09/2015

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BD tout public

Dans l'infini

Savants géniaux propulsés à travers le temps et l'espace, voitures volantes et dinosaures monstrueux : Dans l'Infini (1906), Le Savant Diplodocus à travers les siècles (1912) et Dans la planète Mars (1915) sont les trois récits du dénommé G.Ri qui composent ce recueil. De son vrai nom Victor Mousselet (1853-1940), G.Ri dessine dans la presse pour enfants dans le premier tiers du vingtième siècle. Il y crée avec bonheur des mondes fabuleux aux paysages grandioses, peuplés de créatures féroces et d'extraterrestres en tous genres : la fantaisie débridée de ses univers n'a pas d'égal à cette période en Europe. Cité par Vercors et Saint-Ogan parmi les lectures marquantes de leur enfance, G.Ri n'a pourtant jamais été publié en album de son vivant, le conduisant peu à peu à l'oubli. Sa biographie tient en peu de lignes, sa bibliographie complète reste à établir, mais la fraîcheur, l'ingéniosité et la beauté de ses histoires nous poussent à rééditer ces pages sans plus attendre, associés pour l'occasion aux éditions de la BNF. Héritier de Jules Vernes, de Méliès ou de Robida, G.Ri fait partie des premiers pionniers d'un genre qui fera plus tard les beaux jours de la bande dessinée : le Science-Fiction. Amateurs de L'Incal, fans de Laureline, nostalgiques des Pionniers de l'Espérance, ne boudez pas votre plaisir : vous avez devant vous une nouvelle Terra Incognita à découvrir.

11/2017

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Romans de terroir

Quelque part dans le monde

Tout semblait préparer Sylvestre Neyrat à reprendre l'entreprise familiale Neyrat et fils, bottiers prospères à Tulle. Mais le jeune homme, rebelle, décide le jour de ses dix-sept ans de donner une autre dimension à son destin. Après avoir fait ses premières armes sur les chemins du Limousin et du Cantal en pratiquant le métier de colporteur, il part à l'assaut de la capitale... Là, ébloui par un monde fascinant, mais dans lequel il faut survivre, il se fait embaucher au sein d'une succursale de Félix Potin, l'épicier " révolutionnaire " de la fin du XIXe siècle. Sylvestre, pourtant, a de plus grandes ambitions... Et lorsqu'il découvre le cinématographe, c'est la révélation : il sera reporter. De sa Corrèze natale à l'Amérique, il va devenir le pionnier d'une des aventures les plus excitantes du XXe siècle naissant en fournissant à la maison Pathé, en pleine expansion, ces images venues d'ailleurs dont le public est avide. L'ouverture du canal de Panama, le Chili, les Grands Lacs : caméra en main, il imprimera sur la pellicule tout ce qui mérite de l'être. L'Amérique l'éblouit et le charme ; ce qui est nouveau, inexploré, le passionne, surtout lorsque s'y mêle l'amour d'une jeune aventurière aussi intrépide que lui. Avec elle il vivra une histoire d'une étonnante modernité sur cette seule, et irrévocable, promesse : vivre chacun sa vie mais se retrouver toujours quelque part dans le monde.

11/2006

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Littérature française

Quelqu'un, quelque part. ...raconte une histoire

Tout commence avec des allures de roman noir : une convocation au commissariat, une enquête, un disparu, un coupable... Pourtant, à travers cette trame, ce roman choral nous entraîne vers les aspirations et les doutes de tout un chacun, jusqu'à un dénouement singulier et poétique.

09/2023

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Divers

Infinix. De l'infini cosmique à l'infini quantique en BD

Après le succès de Quantix qui a levé le voile sur la réalité cachée de notre monde, nous suivons les nouvelles aventures d'une famille ordinaire pour découvrir les mystères de l'infiniment grand et de l'infiniment petit. L'infiniment grand tout d'abord, où espace et temps sont intimement liés. Tandis que 500 ans s'écoulent ici, seules 5 petites secondes s'égrènent ailleurs. Le temps ne semble d'ailleurs pas vraiment "s'écouler" . L'infiniment petit ensuite, royaume des champs quantiques dans lesquels nous baignons tous et qui recèle bien des mystères. Et que dire du vide qui n'est en réalité... jamais vide : nous sommes ses créatures ! Préface de Michel Mayor, Prix Nobel de Physique 2019

10/2021

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Littérature française

Quelque part dans la Voie lactée

Peuplées de visions et de chimères, fantastiques, érotiques ou légendaires, les nouvelles d'Hubert Haddad sont des rituels d'initiation dramatisés jusqu'à la folie. La puissance du désir qui conduit une sainte aveugle à l'accomplissement d'un miracle, la passion d'un cinéaste pour une comédienne disparue, le mythe de Faust relancé par la magie du théâtre, l'errance d'une adolescente hantée par l'image d'un cheval, les fantasmes d'un artiste peintre pour une inconnue, la découverte de son corps par une jeune femme devenue invisible : tous ne perçoivent le principe et le sens de leur vie que dans le subtil instant du rêve, de l'absence ou de la disparition. Après Le Secret de l'immortalité (prix Maupassant) et Mirabilia (prix Renaissance de la nouvelle), quelque part dans la Voie lactée nous emporte dans les contrées fabuleuses ou réelles de la solitude amoureuse.

03/2002

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Littérature étrangère

Ombres dans l'infini

Fille d'une exilée kurde se réfugiant au Frioul vers la fin du XXe siècle, Eve Nissim entend donner libre cours à sa passion de la peinture afin d'exprimer ses émois existentiels et son attachement à la civilisation paysanne. Face aux illusions des adeptes d'une modernité matérialiste et aux bouleversements historiques, Eve oppose son idéal de beauté ainsi que l'amitié enjouée de personnages qui préservent les secrets de la nature et la mémoire des traditions séculaires

11/2014

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Poésie

Trafiquer dans l'infini

L'altitude est pour moiL'autre nom de l'amourAvec à l'infiniL'aube de la vraie vie

01/2023

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Littérature française

Ma part d'infini

"Non pas lire, mais dévorer les livres, en faire son souffle et son sang. Aimer, être à la hauteur de l'amour. Etre grisé par la musique de Bach qui a "un goût d'éternité". Contempler la beauté d'un tilleul, d'un ciel bleu, d'un paysage de Caspar David Friedrich. Avoir vécu avec Breton, Aragon, Bataille, Barthes, Bernard Noël, mais aussi avec tant d'écrivains et philosophes morts et pourtant si vivants. Avoir connu, grâce à eux et à sa compagne, Lola, sa "part d'infini". Jérôme Peignot a 94 ans. Ma part d'infini est le roman de sa vraie vie. Car il s'agit, dans ce dernier livre, de l'espérance d'une mort heureuse. Ce qui lui fait croire que sa mort sera heureuse, c'est notamment la beauté de la nature. Octobre, où "le ciel est d'un bleu très fin et le soleil radieux", où "le tilleul dans sa cour n'est plus que de l'or". Février, le plus joli mois de l'année, où il regarde le même tilleul, les branches nues, comme un dessin de Klee. "C'est la joie d'un arbre, l'hiver quasi vaincu, la mort ramenant à la vie". Jérôme Peignot est littéralement grisé - ce mot revient souvent dans son roman. Il dit : "ma part d'infini est là toute entière". Alors, que "demander de plus pour mourir"? ". Jacques Sojcher.

01/2021

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Littérature française

Quelque part dans la nuit des chiens

Claire est psychologue, elle vient de rencontrer un nouveau patient. Antony a dix-neuf ans, l'âge de l'enfant qu'elle n'a pas eu. Celui-là, Claire a décidé de le sauver, comme on ramasse les morceaux. Mais sur la route, les débris. Les siens. Les leurs. Les nôtres. Autour d'Antony, Monsieur Zed, le Cyclope, Fatima et Papillon repeuplent ce désert asilaire de leur forêt mentale, labyrinthe de toutes ces vies qu'on fracasse contre les murs de la nuit sécuritaire. Claire y abandonne peu à peu ses amours, son enfance et ses ratages, dans un récit tout en pudeur et en retenue, traversé de fulgurances qui viennent bousculer nos indifférences. Ce premier roman sait allier dans un équilibre rare la révolte politique et citoyenne avec la sensibilité des intimités blessées.

10/2012

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Littérature française

Lundi

Les jours de la semaine étaient voués, chacun, à une divinité dont le nom affleure toujours. C'est à un astre mort que le lundi emprunte le sien et la vie qu'on menait, ce jour-là, il n'y a pas si longtemps, encore, s'en ressentait. On était aux prises, du matin au soir, avec d'obscurs maléfices auxquels on n'était jamais sûr d'échapper. En voici quelques-uns.

03/2019

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Casterman

Lundi

Nous commençons par une ritournelle. ? La semaine. Arrivent deux amis. Théière et Deux-Mains, hier et demain. ? Tout le jour, ils jouent des mélodies à quatre mains. ? Ensuite vient la nuit. ? Et les saisons : le Printemps, l'Eté, l'Automne et l'Hiver qui porte dans son ventre la tempête et le froid. La tempête emporte la maison, et Lundi commence à s'effacer doucement. ? On ne voit bientôt plus Lundi, mais on le sent à travers les flocons, par un effet d'embossage dans le papier. On perd la couleur, on perd le texte, le livre devient tactile, le grammage du papier s'affine : on perd le personnage et on perd le livre dans nos doigts. Le papier devient si transparent qu'en tournant la page, on voit avant et après. Le printemps bourgeonne. Un nouveau lundi revient. Le lundi suivant.

09/2022

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Photographes

Dans l'infini des songes

Né à La Rochelle (Charente-Maritime) en 1940, Jean-Pierre Favreau s'installe à Paris en 1962 et entre alors en photographie, travaillant comme photographe et comme tireur dans les laboratoires. Au début des années 1970, il participe aux débuts de l'agence Viva, dont il s'éloigne pour voyager. Photoreporter, il cherche sa voie et s'engage résolument dans un travail d'auteur après avoir obtenu une bourse pour photographier New York en 1982. Jean-Pierre Favreau devient alors un photographe-voyageur au long-cours. Pour certains photographes, la bonne photographie naît de l'étonnement, de la nouveauté d'une ville ou d'un paysage jamais rencontrés. Chez Jean-Pierre Favreau, l'acte photographique procède d'une lente préparation. Il observe et s'inscrit dans le paysage. De l'extrême justesse des cadrages et de la clarté de ses compositions ressort la patience infinie de leur auteur. De ses voyages naissent des livres et des expositions comme Blues outremer publié chez Contrejour (1991), dans lequel il compile six ans de photographies au Cap-Vert entre 1985 et 1991, ou Rue Caraïbes aux éditions En vue (1999), récit de ses séjours à La Havane (Cuba) entre 1991 et 1998. Au début des années 2000, il part au Japon, poursuivant son travail sur l'homme dans la ville. Dans les rues de Tokyo, discrètement, il saisit des passants, des " passagers " comme il les appelle : la photographie les fige au milieu de leurs pensées et de leur solitude. De l'extrême justesse des cadrages et de la clarté des compositions de Jean-Pierre Favreau ressort la patience infinie de leur auteur. Parfois, comme à Rochefort (Charente-Maritime) où il répond à une commande de la ville en 2008, il abandonne le noir et blanc pour la couleur. Loin des couleurs saturées de nombre de ses contemporains, la ville et ses passants prennent vie dans un monde aux couleurs sourdes. Photographe indépendant, pendant sa carrière, il a collaboré avec le journal Le Monde et le magazine L'Usine nouvelle. Il a également répondu à de nombreuses commandes institutionnelles, par exemple en 1986, lorsqu'il photographie l'Angleterre rurale pour le compte du ministère de l'Agriculture. En 2022, il a fait don de 1 035 négatifs, 150 tirages et 2 cartons d'archives à la Médiathèque du patrimoine et de la photographie (MPP).

03/2024

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Théâtre

Au coeur de l'homme. Quelque part dans l'oubli

Au coeur de l'homme, Céline De Bo - Elle n'était jamais partie plus loin que l'Europe. Parce que ses peurs étaient trop grandes, trop obsédantes, trop entrenues par tous ceux qui se veulent de bon conseil mais qui ne sont jamais partis : multiplier les vaccins, prendre des assurances, se méfier de tout et surtout de tous... Elle se décide pourtant. Par défi, par désoeuvrement, par rejet de ce qu'elle a vécu jusqu'ici. Plutôt que de se pendre en toute discrétion, autant provoquer le destin en affrontant l'inconnu. Ce sera Madagascar, sur un coup de tête au hasard d'une rencontre... Quelque part dans l'oubli - Le jour où elle apprend que ça grand-mère est atteinte de la maladie d'Alzheimer, elle ressent le besoin profond de renouer avec elle. Cette rencontre avec la vieille "qui perd la boule", dans un hôpital puis en "maison de repos", constituera pour elle une replongée, à la fois douloureuse et salutaire, dans l'histoire familiale. Mais ce sera aussi une occasion d'appréhender la maladie sous son aspect ludique en contraste avec le sort que notre société réserve à ses aînés.

07/2018

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Littérature française

Née quelque part

"J'ai l'impression d'être sur le point de commettre un acte sacrilège en allant fouiller dans les affaires intimes de mes parents. Quand je l'abreuvais de questions auxquelles il ne voulait pas me répondre, mon père avait cette réponse frustrante : "Cela ne te regarde pas" . C'est précisément ce que je m'apprête à faire. Regarder dans son passé". Michèle Halberstadt tire les fils de sa lignée, remonte les générations, croise l'itinéraire de sa famille paternelle, dont elle ne sait rien, avec celui de Max Halberstadt, gendre de Freud devenu son photographe officiel. De Vienne à Hambourg en passant par Wegrow d'où son père, Juif polonais, est originaire, traquant les indices jusqu'à Johannesburg, où Max a émigré pour fuir le nazisme, l'autrice mène l'enquête, fait d'étonnantes rencontres, fouille les archives pour reconstituer une histoire qu'on ne lui a pas transmise. Sous sa plume attentive, on découvre le pape de la psychanalyse en émouvant patriarche ; sa fille Sophie, Max et leurs deux enfants que la vie n'a pas épargnés. Son père surtout, pour qui "seul le présent importait" , se révèle enfin à elle. A travers ces destins poignants ballottés par l'Histoire, Michèle Halberstadt fait superbement revivre les fantômes de sa mémoire familiale.

02/2021

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Poésie

Uiesh. Quelque part

J'ai tant de plis sur mon visage. Chacune de mes rides. A vécu ma vie. Aujourd'hui je suis la femme digne. Qui raconte. Quelque part, une aînée avance. Elle porte en elle Nutshimit, Terre des ancêtres. Une mémoire vive nomadise, épiant la ville, ce lieu indéfini. La parole agrandit le cercle de l'humanité. Joséphine Bacon fixe l'horizon, conte les silences et l'immensité du territoire.

09/2018

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Littérature étrangère

Notre quelque part

C'eft Yao Poku, vieux chasseur à l'ironie décapante et grand amateur de vin de palme, qui nous parle. Un jour récent, une jeune femme rien moins que discrète, de passage au village, aperçoit un magnifique oiseau à tête bleue et le poursuit jusque dans la case d'un certain Kofi Atta. Ce qu'elle y découvre entraîne l'arrivée tonitruante de la police criminelle d'Accra, et bientôt celle de Kayo Odamtten, jeune médecin légiste toutjulle rentré d'Angleterre. Renouant avec ses racines, ce quelque part longtemps refoulé, Kayo se met peu à peu à l'écoute de Yao Poku et de ses légendes étrangement éclairantes... Porté à merveille par une traduction qui mêle français classique et langue populaire d'Afrique de l'Oued, ce roman époustouflant nous laisse pantelants, heureux de la traversée d'un monde si singulier.

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Littérature anglo-saxonne

Notre quelque part

C'est Yao Poku, vieux chasseur à l'ironie décapante et grand amateur de vin de palme, qui nous parle. Un jour récent, une jeune femme rien moins que discrète, de passage au village, aperçoit un magnifique oiseau à tête bleue et le poursuit jusque dans la case d'un certain Kofi Atta. Ce qu'elle y découvre entraîne l'arrivée tonitruante de la police criminelle d'Accra, et bientôt celle de Kayo Odamtten, jeune médecin légiste tout juste rentré d'Angleterre. Renouant avec ses racines, ce quelque part longtemps refoulé, Kayo se met peu à peu à l'écoute de Yao Poku et de ses légendes étrangement éclairantes... Porté à merveille par une traduction qui mêle français classique et langue populaire d'Afrique de l'Ouest, ce roman époustouflant nous laisse pantelants, heureux de la traversée d'un monde si singulier.

04/2023

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Contes et nouvelles

Quelques pas dans le parc

"Avec sa propre atmosphère et sa propre couleur, chaque nouvelle raconte une existence parvenue à son terme. Le grand âge dans sa fragilité et dans sa beauté".

08/2021

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Policiers

Quelque part avant l'enfer

Une matinée comme les autres. Après avoir déposé son fils à l'école, Anna s'engage sur le boulevard sans remarquer le semi-remorque lancé à pleine vitesse. C'est le choc. Le tunnel. La musique des sphères. Mais, au seuil de la lumière, une silhouette s'interpose. Un homme, petit et barbu, la prévient : "Je vais te tuer." Miraculeusement revenue d'entre les morts, Anna reprend ses marques, peu à peu. Or une présence semble partout suivre ses pas, semant dans Paris des cadavres de femmes. Il l'a prévenue : elle sera la dernière...

03/2018

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Romans policiers

Port Inini

Nguyen Van Dinh a été assassiné à son carbet de Port Inini. Ancienne figure de l'indépendantisme, fils d'un déporté du bagne des Annamites, la victime n'a rien d'un inconnu en Guyane. Est-ce une affaire politique ? Une vengeance d'un mari jaloux ? Une rixe qui a mal tourné ? Le personnage, haut en couleur, traînait derrière lui une batterie de casseroles. De quoi se faire bien des ennemis avec sa personnalité arrogante et sa xénophobie maladive. La police a tranché cette ténébreuse affaire au quart de tour en dénichant le coupable rêvé. Fred, éternel pigiste au journal La Guyane, n'est en rien convaincu par ce dénouement trop commode. Pour éclaircir cet embrouillamini, il va être amené à se plonger dans une page d'histoire oubliée, celle de cette utopie coloniale que fut, en Guyane, le territoire de l'Inini.

08/2021

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Poésie

Lundi propre

"La tour Eiffel scintille chaque nuit / je porte mes bottes de Tasmanie", écrit Guillaume Decourt dans ce détonnant recueil irrigué d'images ramenées du monde entier, telles des légendes. Après une enfance passée entre Israël, l'Allemagne, la Belgique et le Massif central, le poète a vécu à Mayotte, en Grèce, et même en Nouvelle-Calédonie. De ses voyages et de bien d'autres horizons réels ou inventés, il puise un matériau singulier, à la puissante force évocatoire, distillé dans les instantanés que sont ces soixante-dix dizains à la précision millimétrée. Percutant et concret, chaque poème peut se lire comme une énigme et une micro-scène en forme de patchwork. La voix du poète pose sa douce et drôle mélancolie dans un kaléidoscope de paysages vivants et immémoriaux, peuplés de personnages charismatiques et d'oiseaux exotiques. Cheminant dans la sophistication décalée de cette géographie intérieure, on croise le fantôme d'une femme aimée, l'enfant qu'ils n'ont pas eu, des rêves d'héroïsme et de bravoure masculine dépassée par l'épreuve des années, un rien blasée. "Quelqu'un me manque, je ne sais pas qui" - "ce soir je suis presque heureux de ma vie", constate celui dont la rime et la rythmique penchent souvent du côté de l'espièglerie et de l'autodérision. Tant que subsistent quelque part "un ciel très bleu et des citrons très jaunes", l'écriture est avant tout, avec Guillaume Decourt, un art de la gaité.

03/2023

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Livres 0-3 ans

Quelque part en Afrique

La vie s'écoule dans cette petite ville de l'Afrique d'aujourd'hui... Les enfants courent à l'école, une femme plante du riz, une autre allaite son enfant tout en téléphonant, Koffi lave son linge, des poules picorent en toute liberté... Nous vous souhaitons un agréable séjour dans cette image de Sylvain Victor. Une image grand format, tel un paravent : 100 x 55 cm, imprimée sur un papier d'art qui se plie en 3 parties comme un accordéon + un dépliant (8 x 96 cm) contenant quelques détails extraits de l'image et commentés.

10/2011

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Théâtre

Quelque part, un corps

Quelque part, un corps est le voyage - au sens littéral, onirique, vital et imaginaire - d'un jeune homme en quête du corps, de la parole et des yeux de celle avec qui il a passé, un jour lointain et proche à la fois, quelques heures. Cette rencontre, unique et irremplaçable, marque pour lui le début d'une rupture avec le monde dont il s'éloignera pour amorcer un nouveau chemin contre vents et marées. Cette quête se poursuit pendant des années et constitue un voyage chaotique mais à la matrice solide, au pattern inébranlable. C'est surtout celle d'un dialogue avec un autre personnage-figure aux multiples visages, un ange gardien qui égrène chacune des étapes de ce texte mystérieux. Guidé par le souvenir d'un regard qui fonde une vie entière et dont le corps absent creuse progressivement un lieu dans lequel chacune et chacun se love. Dans ce voyage à travers le temps et l'espace, l'énergie de la langue devient un point de fuite, un horizon à atteindre. Ce qui en ressort, c'est que fiction et réel sont assujettis à une croyance, une conviction : bien que nous soyons tous issus de ce creux, de ce lieu où se trouve l'amour, nous le fuyons autant que nous y revenons sans cesse.

03/2019

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Littérature étrangère

Quelque part en nous

Une femme seule stoppe son véhicule sur une corniche, en aplomb de Stockholm. Elle escalade la rambarde d'un pont, regarde droit devant elle et. saute dans le vide. Rebecka laisse alors derrière elle une brillante carrière, un mari qui l'aime éperdument, une vie réussie en somme. Juste avant de toucher le sol, elle regrette son geste. Mais son acte est irréversible et elle ne peut que contempler son pauvre corps désarticulé entouré des équipes de premiers secours. Son corps n'est plus mais son esprit, lui, a survécu. Une sorte de seconde chance lui est offerte en la personne d'Arayan, son ange gardien. Elle ouvre des yeux nouveaux sur ses véritables priorités et sur ce qu'elle aurait pu changer dans sa vie. Rebecka va alors essayer d'influer sur le cours des pensées de son mari désemparé. Elle tente de réparer les dégâts qu'elle a commis du temps de son vivant par peur de l'engagement, par prudence et par égoïsme alors qu'elle n'avait qu'une véritable peur : celle d'être abandonnée par un homme qu'elle aimait passionnément. Sans jamais verser dans le mélo, ce roman questionne des thématiques aussi douloureuses que l'incapacité à communiquer entre des êtres qui s'aiment, la distance à l'autre, la perte, le deuil et la mort. Un livre magnifique que le lecteur achève avec le sentiment d'avoir évolué.

10/2012

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Critique littéraire

Etre né quelque part

En France, dans les années 60, 70. Sous le ciel picard une famille d'immigres algériens, tout juste sortie de la guerre d'Algérie, s'intègre à la société française tout en gardant les fondements de la culture maghrébine. Malika première enfant de la famille née en France grandit parmi les siens. Curieuse de la vie, avide de savoir, plongée dans la candeur de son enfance, elle vous fait découvrir avec ses mots alignés page après page son vécu à la fois paisible, passionné, tourmenté et particulier de cette époque...

10/2017

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Poésie

Quelque part, autrefois, vivaient

Ce deuxième livre intitulé «quelque part autrefois vivaient, étaient...», vous embarquera dans un monde de rêves et de contes fantastiques au travers ces quarante trois poèmes Russes. Ils sont écrits par Rima Laforce, auteure du premier livre de poèmes «je dessine l'amour». Vous aurez à nouveau plaisir à lire ses poèmes, écrits avec passion. Ils sont exclusivement écrits en Russe. Ce livre est idéal pour les personnes de la communauté Russe mais aussi pour celles et ceux qui apprennent cette langue.

05/2015