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La paresse

Extraits

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Littérature française

La paresse

Joseph Kessel, dans ce court texte, entreprend un tour du monde de la notion de paresse, invoquant les souvenirs de ses nombreux voyages. D'est en ouest, de la Russie à la Chine, en passant par la France et les États-Unis, il dresse le portrait de ce qui n'est pas à ses yeux un défaut mais bien un instrument de la volupté.

10/2013

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BD tout public

Paresse

La Pastèque réimprime sous un nouveau format Paresse de Pascal Girard ! En 2008, L'auteur a réalisé une bande dessinée de façon quotidienne sur son site internet. L'exercice a duré six mois à raison d'un strip par jour ! Avec son style graphique qui peut faire passer Sempé pour un pointilliste et son humour direct et efficace, Pascal Girard rate rarement sa cible. En quelques traits, il réussit avec quatre cases de magnifiques petits instantanés.Voici donc la somme de six mois de paresse...

06/2019

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Théâtre

La caresse

Laurent, âgé de 17 ans, est livré à lui-même suite à la séparation de ses parents. C'est le début de la dégringolade. A la maison, il y a Anja, une réfugiée qui a obtenu une chambre pour se loger. Un amour impossible naît, un amour que les adultes vont évincer.

09/2020

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Littérature française

La caresse

«Je suis un chien. Mon corps n'est pas bien grand, environ trois poulets compressés, inscrits dans un cube. Malgré ma petite taille, rien ne m'échappe : ni les pastis que mon maître se verse en douce ni cette odeur étrange qui imprègne les vêtements de ma maîtresse. Je vois tout, d'en bas, par fragments, ensuite je recompose. J'observe avec mon nez, mes oreilles, ma mémoire et surtout mon imagination. J'aimerais penser, raisonner comme le font les hommes les plus bêtes, mais souvent je m'enlise, je me trompe dans les temps. Heureusement il y a Sonia qui m'aide et me protège, Sonia Potemkine. Elle dit : le chien est une fenêtre qui ouvre sur l'autre monde. Elle dit : le chien est un signe de ponctuation entre les êtres, un trait d'union. J'aime l'écouter parler. Je m'allonge à ses pieds. Une douce chaleur m'envahit. Je suis un lien, un prétexte tendre. Un souffle apaisé par la caresse des mots.»Marie Nimier.

03/1994

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Policiers

La paresse de Dieu

Tout avait commencé sur une plage de Cannes, lors du festival. Kromski clamait que, de tous les films qu'il avait produits, le mien était celui dont il était le plus fier. La démesure seyait à Kromski comme la rousseur à Rita Hayworth. Elle le rendait si convaincant que tout le monde finissait par y croire. Même Kromski. Même moi. - Raphaël, vous êtes vraiment prêt à avoir du succès ? Vous en avez envie ? me dit-il. - Je serais prêt à tuer pour ça. Raphaël Pyral, le jeune réalisateur de " La Fille de dos " ne croit pas si bien dire. Son film sera un flop. Mais à sa manière Raphaël est philosophe. Et puisque Dieu est trop paresseux pour s'occuper correctement du genre humain, autant faire une croix sur la justice divine. Il se débrouillera seul. Dût-il finalement, pour trouver les voies impénétrables du succès, signer son meilleur scénario, ourdir la plus cynique des machinations. Dût-il tuer...

07/1998

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Littérature française

La paresse et la gloire

"Sur les hauteurs où j'étais parvenu, hissé par tout l'amour qu'on m'avait prodigué, la pureté de l'air était complète, à deux pas de l'abîme où j'allais m'engloutir. (...) "A la clinique, une infirmière m'a demandé de remonter ma manche gauche et m'a fait une piqûre. Quand j'ai repris conscience, nous étions en février." Cette éclipse de plusieurs semaines dans l'existence d'un homme qui n'a "jamais eu vingt ans", l'auteur la rapporte ici avec une certaine mélancolie et un humour le plus souvent grinçant. Le constat que sa vie a été "systématisée sur du néant" ou qu'elle s'est constituée dans le regard d'autrui sur un "discrédit" ne l'entraîne pas seulement dans une charge contre la psychiatrie qui pratiquait alors toujours l'électronarcose ; il nourrit également un examen assez ironique de la vie sociale et une observation féroce de la vie intime. Dans ce récit, où la lucidité et l'orgueil se font la guerre, se reconnaîtront certains des anciens jeunes gens qui voulaient "comprendre le monde", sans l'accepter tel qu'on le leur servait, dans les années soixante-dix.

04/2017

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Religion

La papesse Jeanne

Une femme, travestie en homme, aurait occupé la chaire de saint Pierre vers 855. C'est du moins ce qu'affirme une tradition légendaire largement répandue depuis le XIIe siècle, encore vivace de nos jours. Au-delà de son allure romanesque, le récit met en jeu un interdit fondamental de la culture catholique : le refus du sacerdoce féminin. Il pose aussi la question troublante de l'imposture : que se passe-t-il quand un pouvoir suprême (et divinement sanctionné) se laisse usurper ? Ce livre propose d'abord de repérer l'origine du récit en interrogeant un rite imaginaire (mais constamment rapporté) qui soutient l'existence de la papesse : lors du couronnement pontifical, on vérifierait la virilité du pape, afin de conjurer la menace d'une nouvelle papesse. Qu'est-ce qui se noue autour de ce rite ? Puis on aborde une autre énigme de Jeanne : jusqu'au XVIe siècle, l'Eglise croit et fait croire à l'authenticité de l'épisode. Comment expliquer ce paradoxe ? L'enquête établit les contextes précis d'utilisation du récit, en abordant, de biais, les moments de grande tension de l'Eglise médiévale (question de la pauvreté franciscaine, Grand Schisme). L'auteur esquisse une théorie de l'historicité des modes de croyance. Enfin, rejetée par l'Eglise catholique, la papesse entre dans l'argumentation réformée et anticléricale et passe en littérature où elle poursuit son existence étrange et fascinante.

04/1993

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Littérature française

Le temps de la paresse

"Le Temps régit tout", répète souvent Amadou qui aime aussi dire en une formule fort hermétique et provocante : "Le Temps m'effraie, c'est pourquoi j'adore la paresse" pour opposer l'impensable temps où tout s'abîme à l'inefficiente paresse qui s'abîme en tout, comme s'il voyait, dans cette paresse, une possibilité de tromper l'angoisse liée au Temps en la niant, et de se divertir d'elle ou, peut-être même, de la pervertir. Le temps de la paresse s'ancre dans l'ennui, la répétition, le désoeuvrement, la médisance et la mort, rarement dans la créativité. A la fois antisocial et antireligieux, signe d'échec de mauvaises gouvernances, insulte à la dignité spirituelle de l'homme et à son destin métaphysique, Le temps de la paresse demeure l'éternel ennemi, la sourde et constante menace, le mal absolu. Il peut, cependant, de loin en loin, quelquefois, inciter à la création, quand on sait et arrive à le combler d'une présence active qui en informe la négativité. Le temps ? La paresse ? Comment Amadou peut-il adorer la paresse, s'il abhorre le temps de la paresse ? Il ne saurait dire avec clarté pourquoi. Il constate simplement cette contradiction qui le met mal à l'aise. Serait-il plus enclin à la régression ? A la négation ? Amadou pourtant n'imagine et ne conçoit le temps que lié à ce qu'il appelle la destinée spirituelle de l'homme et celle-ci est un éternel combat contre toutes formes de paresse.

02/2017

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Critique littéraire

Le goût de la paresse

La paresse est universelle. Très tôt parents et éducateurs veulent en faire passer l'envie aux enfants. Ce qui était une vertu pour les penseurs grecs et romains devint vite la mère de tous les vices pour l'Eglise catholique, l'un des sept péchés capitaux... Pourtant, de nombreux écrivains font rimer paresse avec sagesse. On trouvera ici une galerie de géniaux paresseux de la littérature et un véritable roman de la paresse. Il ne s'agit pas d'opposer paresse et travail, mais bien de constater que la paresse offre aussi des avantages, elle est ce temps libre absolument nécessaire aux savants et aux artistes, parfois à la source de leurs plus belles créations... Balade au pays du farniente et de la lenteur en compagnie de Sénèque, Jerome K. Jerome, Robert Louis Stevenson, Paul Morand, Pierre Sansot, Herman Melville, Marcel Proust, Albert Cossery, Samuel Beckett, Jack Kerouac, Georges Perec, Dany Laferrière, Françoise Sagan, Denis Grozdanovitch et bien d'autres.

02/2020

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Philosophie

Le droit à la paresse

Pourquoi devons-nous travailler ? Paul Lafargue (1842-1911), penseur socialiste, tente de comprendre l'amour absurde du travail, "cette étrange folie qui possède les classes ouvrières des nations où règne la civilisation capitaliste". Relire Le Droit à la paresse nous rappelle que la liberté d'employer le temps est fondamentale.

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Autres philosophes

Le droit à la paresse

Une étrange folie possède les classes ouvrières des nations où règne la civilisation capitaliste. Cette folie traîne à sa suite des misères individuelles et sociales qui, depuis deux siècles, torturent la triste humanité. Cette folie est l'amour du travail, la passion moribonde du travail, poussée jusqu'à l'épuisement des forces vitales de l'individu et de sa progéniture.

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Littérature française

La paresse et l'oubli

Roman d'une génération, celle des années 90 du siècle précédent. Trois garçons du lycée Saint-James de Neuilly se retrouvent dans leur désir rimbaldien de changer le monde, au moins de le plier à leurs goûts et à leurs aspirations. Amateurs de musique heavy metal et de marijuana, rebelles sans cause et sans fougue excessive, ils boivent beaucoup, tout en rêvant d'actions situationnistes et d'une revue littéraire. L'alcool et la drogue jouent leur rôle obligé : celui de les sortir d'eux-mêmes, d'entretenir en eux un perpétuel éveil. Il y a dans ce premier roman une manière réussie de saisir les enfants perdus d'une époque en crise, servie par une écriture aisée et un art accompli de la formule.

01/2010

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Littérature française

Les joies de la paresse

Noémie Bernou, jeune salariée, prend peu à peu conscience que passer huit heures par jour dans un bureau, jusqu'à la retraite, c'est foutre sa vie en l'air. Elle se lance donc dans d'ébouriffantes aventures afin de découvrir le Graal, c'est-à-dire le fabuleux mode d'emploi qui lui permettrait de vivre béatement sans jamais travailler. Une histoire, pleine d'humour et d'émotion, qui remet les pendules à l'heure pour chacun d'entre nous : si la médecine du travail existe, c'est forcément parce que le travail est une maladie.

04/2018

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Poésie

L'apologie de la paresse

O ! le luxe imprévu de la fainéantise ! La grève générale sur une grève ensoleillée !

06/2002

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Littérature française

LE DROIT À LA PARESSE. .

La vie de Paul Lafargue se confond avec la naissance du Socialisme en France et les luttes de la SFIO (Section Française de l'Internationale Ouvrière) dont il est, au même titre que Jules Guesde ou Jean Jaurès, l'une des grandes figures. Après avoir épousé la deuxième fille de Karl Marx, Laura, il achève ses études de médecine et se lance à corps perdu dans le combat politique : organisation de l'Internationale Ouvrière en France et en Espagne, lutte contre les partisans de Mikhaïl Bakounine, tentative pour soutenir en province la Commune de Paris (1871). Il écrit de nombreux articles, publie des brochures de circonstance et traduit les ouvrages de Karl Marx et de Friedrich Engels. C'est en 1880, dans le journal "L'Egalité", qu'il publie en plusieurs livraisons son célèbre "Droit à la paresse". Ce pamphlet anti-capitaliste est une réponse à un ouvrage de Louis Blanc sur le "Droit au travail" de 1848. Pour Paul Lafargue, le droit au travail n'est en réalité qu'un droit à la misère. Violente désacralisation du travail et de la consommation, éloquent éloge du loisir et de l'oisiveté, ce manifeste de haute philosophie sociale détonne par son ton libertaire dans la sévère et rigide littérature socialiste de l'époque.

11/2023

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Philosophie

L'ivresse et la paresse

L'unique objet de ce livre est de répondre à la très vieille question de savoir si l'Histoire a un sens. Pour Alain Cotta, la réponse est positive et parfaitement claire : le sens de l'Histoire existe, produit d'un déterminisme ni économique, ni sociologique, ni culturel, mais bien biologique. Rien d'étonnant à ce que l'ouvrage commence par l'examen d'un naturalisme dont le contenu vient d'évoluer sous l'effet des recherches mondiales consacrées au fonctionnement du cerveau. Outre ses résultats médicaux et proprement biologiques, cette recherche a commencé à bouleverser toutes les sciences sociales. Elle impose une pluridisciplinarité entre toutes les vieilles matières - psychologie, ethnologie, philosophie... - qu'elle renouvelle de fond en comble. Le cœur de cette pluridisciplinarité réside dans la définition du champ et du fonctionnement de la conscience, donc aussi de l'inconscient, ce qui débouche sur la question de l'existence ou non d'un quelconque libre-arbitre. Des connaissances physiologiques très précises conduisent à retenir deux grands objectifs de toute vie individuelle : la recherche de l'ivresse et la volonté de paresse, et à y trouver les justifications de cette existence et du sens de l'Histoire. Il est bien entendu plusieurs formes d'ivresse dont traite ensuite ce livre : une ivresse physiologique (les drogues, le meurtre), une ivresse mondaine (l'argent, la gloire, le pouvoir), une ivresse de sublimation (la foi, l'art, la recherche où gît à l'évidence l'origine unique de notre évolution technologie qui pourrait laisser croire à un indéterminisme de l'Histoire). La dernière partie, consacrée à la paresse, aussi bien physique que morale, montre que notre évolution historique est bien déterminée par la volonté d'épargner nos muscles et nos neurones, et que cette paresse trouve sa légitimité dans l'accomplissement de la fin la plus physiologique qui soit : la lutte contre la mort, l'affirmation de la vie. Cet essai pluridisciplinaire magistral montre non seulement que l'Histoire n'est pas finie mais qu'elle a une finalité.

04/1998

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Littérature française

La posture du pêcheur. La paresse

Les sept péchés capitaux, ce n'est pas seulement de la théologie, c'est aussi de la littérature. Il fallait Cécile Curiol, l'autrice de L'Ardeur des pierres, pour nous raconter l'indolence et la langueur de l'âme. "Elle pensa soudain à Melville, et à ce que l'écrivain américain avait voulu signifier par sa célèbre formule : "I would prefer not to'. Contrairement à ce que beaucoup avaient cru, son héros Bartleby n'était peut-être pas la figure d'une "résistance passive', d'un "en puissance' dépourvu d'agir, mais bien celle d'un malencontreux paresseux ! '

02/2021

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Littérature française

Paresse pour tous

Paresse générale ! Et si on ne travaillait que trois heures par jour ? Paresse pour tous : un roman espiègle qui offre le portrait d'une France qui se remet en marche, mais pas du tout comme certains voudraient. Et si on ne travaillait que trois heures par jour ? Telle est la proposition qu'Emilien Long, prix Nobel français d'économie, fait dans son dernier ouvrage, Le Droit à la paresse au XXIe siècle. Très vite, portée par la renommée de l'économiste et le sérieux de ses analyses, l'idée fait son chemin dans le débat public. Moquée par les uns, portée au nues par les autres, elle se retrouve au bout du compte débattue dans toutes les rédactions, sur tous les plateaux télé. En quelques jours, elle devient le sujet sur lequel tous doivent se prononcer. Et si un autre monde était possible ? L'ampleur du phénomène est tel qu'Emilien Long, pris de court par le succès colossal de son livre, se voit poussé par ses proches à l'élection présidentielle de 2022. L'enjeu est simple : changer de modèle de société, sortir d'un productivisme morbide pour redécouvrir le bonheur de vivre. Paresse pour tous est un roman espiègle. Fort d'une érudition jamais pédante et de clins d'oeil taquins à nos choix de vie, il rend crédible une utopie, celle d'une société qui renverse ses priorités et prend le temps d'exister. Après La Grande Panne, roman d'une France qui se retrouvait à l'arrêt, Hadrien Klent nous offre cette fois-ci avec le même humour le portrait d'une France qui se remet en marche, mais pas du tout comme certains voudraient.

03/2022

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BD jeunesse

Garfield : L'art de la paresse

Découvrez, dans cette BD thématique, les meilleurs tours et les blagues les plus drôles de Garfield en lien avec son irrésistible penchant pour la sieste. Garfield se contente de peu. Donnez-lui un lit et il est le plus heureux des matous !

02/2020

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Littérature française

La caresse d'Hermès

1975. une jeune femme de vingt-cinq ans rêve de connaître l'amour fou. Ses expériences amoureuses se sont révélées jusqu'alors toutes décevantes. Elle dépose une annonce dans le Chasseur Français, un magazine champion alors des annonces matrimoniales. Il va s'en suivre un merveilleux échange épistolaire avec Hermès qui se présente comme le mythe de l'amour fou. En 2020, l'héroïne porte un regard de femme plus âgée sur cette aventure et ses conséquences sur sa vie.

10/2020

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Littérature française

La caresse du loup

Un été, au bord de la mer. Chloé a huit ans. L'homme est un ami proche, un violoniste talentueux invité dans la maison de vacances. En commettant une agression sexuelle, il détruit l'enfance et l'innocence de Chloé qui s'emmure dans le silence. Elle n'en parle pas, même à Clara, sa soeur adorée qui devine sans savoir. A l'âge adulte, le secret explose au sein de la famille. Clara décide de ramener Chloé à la vie. Et fortes de leur lien, elles se vengent. La Caresse du loup est un conte noir pour les adultes, qui veulent croire à leur revanche.

04/2021

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Sociologie

Presse, la grande imposture

EXTRAIT DE CASIER JOURNALISTIQUE : Nom : Morrot Prénom : Bernard Date de naissance : 28/10/1936 Carte de presse : n° 16931 FORFAITS : 1957-1965 : Journaliste à Paris-Presse. 1965-1967 : Rédacteur puis rédacteur en chef à Paris-Jour. 1967-1977 : Rédacteur aux informations générales puis rédacteur en chef au quotidien L'Aurore, chargé des informations générales. 1977-1978 : Rédacteur en chef adjoint, chef d'édition du quotidien Le Matin de Paris. 1978-1979 : Rédacteur en chef adjoint de l'hebdomadaire VSD. 1979 : Rédacteur en chef de L'Aurore. 1979-1985 : Directeur de la rédaction du Quotidien de Paris. 1985-1986 : Rédacteur en chef adjoint du Figaro. 1986-1987 : Directeur adjoint de la rédaction du Matin de Paris. 1987 : Co-directeur de la rédaction du Matin de Paris. 1988-1990 : Responsable du projet du quotidien populaire du Groupe Hersant Paris Star et co-responsable de la cellule investigations du Figaro. 1990-1992 : Rédacteur en chef du Figaro, chef du service des informations générales. 1992-1997 : Directeur de la rédaction de France-Soir. DERNIER DELIT : Directeur de la rédaction de l'hebdomadaire Marianne. SIGNE PARTICULIER : Adore la polémique et l'humour, déteste la langue de bois et n'épargne pas ses chers confrères, ce qui lui vaut de nombreuses inimitiés. Pour beaucoup d'entre eux, cet homme est dangereux.

04/2001

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Communication - Médias

La presse quotidienne régionale

La presse quotidienne régionale représente la catégorie de presse la plus lue en France en 2020. Objet très peu étudié, elle occupe pourtant une place essentielle dans l'organisation de la sociabilité locale depuis son apparition. Aujourd'hui, la transformation numérique, la communication généralisée, l'évolution de notre manière d'habiter et de concevoir l'espace, les changements de la vie politique locale, la situation socioéconomique et ses dynamiques de concentration, la concurrence des GAFA obligent les principaux titres de la PQR à renouveler leurs modèles éditoriaux. Cet ouvrage propose un panorama complet et problématisé de la situation de la PQR. Il développe l'ensemble des enjeux sociaux, politiques et économiques impliqués par ces bouleversements en apportant aux enseignants, aux étudiants, aux professionnels de l'information et de la communication territoriale, et plus largement à tous ceux qui s'intéressent au fonctionnement de l'information et de la vie locale, des clés de compréhension et d'analyse.

06/2021

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Essais

La presse du temps

Le temps nous presse, d'une façon dont nous n'avons pas idée. Il arrive pourtant qu'il nous prenne en tenaille, et c'est l'angoisse. Son premier nom pour Lacan, dans son texte "Le temps logique et l'assertion de certitude anticipée" , de 1945, est "tension temporelle" . Le drame humain qui s'y joue trouve sa solution, anticipée : l'irréductible d'une division introduite par le signifiant. Il prend corps pour chacun dans les mots "choisis" qui font l'inconscient. Ignorer cet effet condamne à ne rien entendre des motivations qui emprisonnent un sujet, qu'il soit tout-venant, peintre ou jeune homosexuelle, et aussi loin qu'aillent ses justificationsâ-

11/2021

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Littérature Italienne

Ma paresse. 2e édition

Le narrateur, vieil homme de 70 ans, vit aux côtés de sa femme Augusta. Or, sentant approcher le crépuscule de sa vie, il développe une hypocondrie, désormais chronique. Sur les conseils de son neveu et médecin Carlo, il commence alors, secrètement, à payer les services amoureux de jeunes femmes, aux prénoms allégoriques, de Felicita à Amphore. L'homme espère déjouer les pièges de Mère Nature et se convaincre qu'il peut encore embrasser la vie et ses illusions. Mais son temps est passé. Le narrateur sombre alors dans une paresse qui est une forme de renoncement. Déni du libre arbitre, puissance de la nature sur le Vouloir, lui-même illusion, tous les thèmes de la philosophie de Schopenhauer sont exprimés là.

02/2024

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Littérature française

Dernière caresse

Il s'appelle Mastic des Feux mignons. Il descend, par son père, d'Ian du Bec-Etoile et, par sa mère, de Ceenzo Vitoune de la Mutinerie. C'est un setter anglais de sexe mâle, né le 17 avril 1994. Par l'effet d'une tradition familiale, Elle l'a immédiatement rebaptisé à son arrivée dans la maison. Il est devenu Joyce, en mémoire de qui vous savez, patronyme choisi pour son prédécesseur qui était irlandais. Entre Elle et lui, c'est une histoire d'amour. Une histoire de maison, de saisons, de gestes répétés à l'infini, où peu à peu se tisse, dans les replis du quotidien, la trame d'une famille. Un chien sentimental se met à parler et des lignes de vie se croisent, des lieux se précisent. Il y a dans le regard des bêtes une lumière profonde et doucement triste, disait Francis Jammes. C'est de ce regard-là qu'il s'agit. De ce qu'il nous donne à voir des humains.

05/2009

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Philosophie

La paresse en héritage. Montaigne, Pascal, Bayle

A chaque époque sa paresse. Au XVIIe siècle, la paresse ne se définit pas par opposition au travail. C'est une catégorie polysémique, située à la croisée des activités intellectuelles et "comportementales" , en même temps qu'un marqueur de filiation. La paresse en héritage fait de cette notion un objet d'étude autant qu'un facteur de défamiliarisation destiné, en réalité, à produire une refonte de notre compréhension des textes de Montaigne, de Pascal, et de Bayle. Choisir la paresse, c'est d'abord échapper à une histoire des idées désincarnée, pour revenir au singulier du corps de l'écrivain et à ses habitudes. C'est aussi prendre le parti des résistances : résistance à l'institution, nonchalance à l'égard de la foi, rémanence des (mauvais) plis de l'enfance. C'est enfin explorer différentes manières de se rapporter au texte fondateur de Montaigne, de le faire entrer en résonance avec des questionnements nouveaux. Les six chapitres de cette étude explorent ainsi une série de problèmes interprétatifs, tout en approfondissant les enjeux de la paresse : son ancrage dans le corps et ses "humeurs" , sa dimension générationnelle, son lien à l'enfance, et son rôle, fondamental, dans la construction de l'identité personnelle et religieuse.

09/2019

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Littérature Allemande

Gaspard Hauser ou la paresse du coeur

Le mystère de l'orphelin le plus célèbre d'Europe Un mystérieux adolescent est recueilli par la police de Nuremberg en 1828. Il parle à peine, ne sait qu'écrire son nom : Gaspard Hauser. Jakob Wassermann, grand auteur allemand du XXe siècle, nous livre un thriller profond sur une figure qui n'a pas révélé tous ses secrets... Le mystère de l'orphelin le plus célèbre d'Europe En 1828 à Nuremberg, deux cordonniers ramènent à la police un jeune adolescent hagard. Celui-ci titube, grognant de façon incompréhensible, sauf les mots " cavalier veux comme père était ", et sachant seulement écrire son nom : Gaspard Hauser. Il tient deux lettres indiquant sa date de naissance - 30 avril 1812 - et mentionnant que son père aurait servi dans le 6e régiment de chevau-légers. Mais, si les signataires de ces documents sont différents - son père adoptif, un pauvre journalier, et sa mère -, il apparaît qu'ils sont de la même écriture... Le capitaine du régiment soupçonne un coup monté. Gaspard est jeté en prison. C'est le bourgmestre de Nuremberg qui parviendra à recueillir son témoignage : le jeune vagabond a passé des années enchaîné dans un sombre réduit. Peu à peu, l'édile se convainc que Gaspard, dont les traits et l'attitude trahissent l'ascendance noble, n'est pas un " enfant sauvage " : il serait le prince héritier de la couronne de Bade... Jusqu'au jour de 1829 où il est visé par un attentat. La rumeur prend forme, ses jours sont en danger. Jakob Wassermann livre un thriller historique documenté sur un personnage incarnant l'innocence bafouée par les bassesses et les mensonges des hommes. " Wassermann ne se contente pas de raconter l'affaire, il la transforme en un polar qui analyse en profondeur la société de son époque. " Orell Füssli Schweiz

03/2023

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Lecture 9-12 ans

Histoires pressées : Pressé ? Pas si pressé !

Lucas a bientôt douze ans, une mère enquiquineuse, un père plutôt absent et deux soeurs (une grande, une petite). Il lui arrive des histoires, de drôles d'histoires courtes, des histoires pressées. D'ailleurs, tout le monde est pressé autour de Lucas. Tout le monde, sauf lui : il a décidé une fois pour toutes qu'il avait bien le temps de grandir !

08/2020

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Poésie

La caresse de l'écorce

D'un jour au lendemain un confinement implacable tronqua la liberté. Face à ce qui fut déclaré "état d'urgence sanitaire" , et pour endiguer ce qui devenait le monstre noir de l'humanité, il y eut un enfermement par décret. Sans ménagement ni préavis. Le temps qui s'ouvrit alors perdit le moindre repère ordinaire. Chacun rivé au seuil fragile et perméable de la maison. Chacun rendu à la réalité de besoins fondamentaux qu'il convenait de satisfaire sans en devenir l'objet. Chacun privé d'espace et d'autonomie, privé de socialisation. La vie habituelle échappa à toute volonté individuelle. Il fallut se recentrer. Non dans une démarche égoïste, mais dans une obligation quasi éthique de faire corps. Avec la souffrance de tous. Avec ceux qui n'avaient d'autre alternative que de mettre leur vie au service des autres. Avec le collectif condamné à l'isolement généralisé. Il fallut composer. Puiser dans les ressources profondes et dans l'imaginaire pour dessiner la ligne horizon. Ecrire sans retenue De ce rapport de soi à soi, de soi à l'autre, d'une promiscuité sans échappatoire qui cristallisait en chacun la possibilité du mal est née cette réflexion sur la sauvagerie. Cette gangrène que seul un homme peut infliger à autrui. Ecrire la violence infligée aussi à la nature la violence faite au grand corps social ou au petit corps privé violence banalisée au corps intime et sexué si petit celui de la femme ou de l'enfant Ecrire l'absence d'espace ou l'espace d'un instant, un confinement une parenthèse de l'humanité. Parenthèse d'humanité ? Comment, ensuite, penser l'après. Y avait-il l'espoir d'un équilibre nouveau, celui d'une utopie de fraternité ? Sauver l'homme de lui-même, gageure plus vaste encore jusqu'au plus petit fragment de certitude caresser l'écorce que le fragile lien d'humanité ne se brise

02/2022