Littérature française
01/2023
Cinéma
07/2016
Cinéma
03/2020
Critique littéraire
02/2019
Cinéma
05/2017
Théâtre
04/2009
Cinéma
06/2019
Science-fiction
10/1999
Cinéma
03/2017
Cinéma
04/2018
Scénario, synopsis
02/2021
Essais
05/2022
Economie (essai)
05/2022
Cinéma
01/2010
Littérature française
10/2019
Papier et carton
11/2021
Cinéma
04/2019
Essais
#CNLCinema –"Les écrits, notes et photographies réunis dans ce livre sont des fragments prélevés dans ce que j'écris et photographie depuis une quinzaine d'années, des instantanés pris dans les chemins de cinéma que nous construisons, Elisabeth Perceval et moi.
En 30 ans, le cinéma a tellement changé. Beaucoup de choses ont disparu, sans doute pour toujours. Des générations également. Allumant toutes sortes de feux, de films, de signaux, adressés depuis leurs présents, vers des présents à venir. Quelles que soient les conditions financières dans lesquelles les films se font, il s'agit de filmer dans l'instant, une présence, qui forcément, va disparaître.
Qui a déjà disparue. Impossible à reconstituer. Et par un étrange paradoxe, alors que la technologie permet aux cinéastes de retrouver une légèreté et une liberté perdues quelque part dans les années 1980 - 2000, la recherche des financements est devenue si agressivement pesante, si maladives, que ces instants si inspirants ont souvent disparu longtemps avant d'avoir commencer le film. Le cinéma dont je veux parler tourne autour de l'instantané.
Des ces instants éphémères, absolument neufs, qui viennent souvent de loin. Des instants habités par toutes sortes de choses. Et où vont se connecter, souvent en s'opposant, du hasard, du sens, du sensible, avec ce que je n'arrive plus à appeler la mise-en-scène.
12/2021
Cinéma
01/2007
Littérature française
05/2013
Cinéma
01/1982
Essais
10/2021
Critique littéraire
01/2014
Verger
03/2022
Connaissance de soi
02/2024
Graphisme
06/2023
Economie (essai)
11/2021
Littérature étrangère
11/2019
Critique
11/2021
Revues
04/2022