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Le peintre du dimanche

Extraits

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Littérature française (poches)

Quel beau dimanche

"Avais-je rêvé ma vie à Buchenwald ? Ou bien, tout au contraire, ma vie n'était-elle qu'un rêve depuis mon retour de Buchenwald ?" Quel beau dimanche, que Semprun tient pour son livre "essentiel", sera cette vertigineuse recherche d'identité d'un double rescapé du nazisme et du stalinisme. Ici, l'ancien dirigeant du Parti communiste espagnol clandestin, en homme presque suspect à lui-même, cherche à dire, à comprendre quelle fut son histoire dans l'histoire du siècle. Inspiré, et même commandé par la lecture d'Une journée d'Ivan Denissovitch de Soljenitsyne, ce livre est aussi une réflexion irréductible sur la mort de la Révolution.

10/2002

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Coloriage, gommettes et autoco

Tableaux à peindre Licornes. Avec 10 tableaux, 1 pinceau et de la peinture

Découvre d'adorables scènes à peindre ! Palette de 6 nuances de peinture à l'eau pour chaque tableau et pinceau inclus.

11/2021

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Peinture et dessin

Cartes à peindre animaux. Avec un pinceau et la peinture inclus

Tu aimes les renards, les pandas et les écureuils ? 15 scènes à peindre amusantes n'attendent que toi ! Trempe le pinceau dans l'eau. Magique ! Dès que tu poses le pinceau mouillé sur la couleur, elle se transforme en peinture ! Peins ton animal préféré de la couleur de ton choix. Une fois terminée, détache ta carte grâce aux pointillés !

04/2021

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Télévision, radio

Columbo, anecdotes et analyses

L'histoire de la série à travers les anecdotes de tournage, entre caprices et exigences, coups de génie et exploits scénaristique.

04/2024

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Célébration

La Messe du Dimanche expliquée. Ordinaire de la messe

Gestes, paroles, attitudes émaillent la célébration de la messe. Ce livret permet de les suivre, d'en comprendre le sens. Adapté aux catéchumènes comme aux pratiquants habitués les explications et le texte liturgique aideront aussi collégiens et lycéens à mieux participer. Le texte mis en valeur par des couleurs et des pictogrammes permettent au lecteur d'identifier chaque moment.

03/2024

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Littérature française

Le griot de la peinture

Basquiat est non seulement un artiste génial mais aussi une énigme primitive de l'art des années 80. Né le 22 décembre 1960 à Park Slope dans le quartier new-yorkais de Brooklyn, il va mourir d'une overdose le 12 Août 1988 après une vie fulgurante et en tout point mythique. Un tel parcours méritait un roman atypique. Comment évoquer des origines multiples, haïtiennes et portoricaines, brassées par le monde américain, sans comprendre que c'est à une réécriture de la peinture qu'il se livre à partir de graffitis insolites et pourtant lucides ? C'est pourquoi l'auteur Ernest Pépin a choisi une forme qui s'apparente au roman biographique. En clair, il nous propose une poétique inspirée par la vie et l'oeuvre de Basquiat. On y retrouve l'explosion d'un talent qui n'oublia jamais sa négritude. Ernest Pépin a su se hisser au niveau de la rébellion de Basquiat. Il nous livre un roman surprenant qui entre avec éclat dans l'univers complexe du génie comme s'il voulait l'habiter de l'intérieur en toute intimité.

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Littérature française

Le griot de la peinture

Basquiat est non seulement un artiste génial mais aussi une énigme primitive de l'art des années 80. Né le 22 décembre 1960 à Park Slope dans le quartier new-yorkais de Brooklyn, il va mourir d'une overdose le 12 Août 1988 après une vie fulgurante et en tout point mythique. Un tel parcours méritait un roman atypique. Comment évoquer des origines multiples, haïtiennes et portoricaines, brassées par le monde américain, sans comprendre que c'est à une réécriture de la peinture qu'il se livre à partir de graffitis insolites et pourtant lucides ? C'est pourquoi l'auteur Ernest Pépin a choisi une forme qui s'apparente au roman biographique. En clair, il nous propose une poétique inspirée par la vie et l'œuvre de Basquiat. On y retrouve l'explosion d'un talent qui n'oublia jamais sa négritude. Ernest Pépin a su se hisser au niveau de la rébellion de Basquiat. Il nous livre un roman surprenant qui entre avec éclat dans l'univers complexe du génie comme s'il voulait l'habiter de l'intérieur en toute intimité.

04/2023

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Beaux arts

Le temps de peindre

L'histoire de mon travail, c'est l'histoire de quelqu'un qui sort d la lumière et qui en est ébloui. (Entretien avec X. Girard, 1985). Sans doute faut-il toujours se prémunir contre la tentation de trop rapatrier dans le langage une expérience qui est en premier lieu celle de la matière peinte ; et d'autant plus face à l'oeuvre de Monique Frydman, pour laquelle il n'est pas jusqu'à l'usage de la couleur qui ne fut le résultat d'une lente "montée", d'Une longue recherche plastique. N'en demeure pas moins que la parole ajoué un rôle décisif à chaque étape de cette recherche, et qu'elle fournit par conséquent non "des explications de la peinture", selon les termes d'Eric de Chassey, mais "une couche supplémentaire, virtuelle", susceptible d'accompagner le spectateur des oeuvres de l'artiste et d'enrichir sa perception. Tel est le sens du présent recueil. Réunissant d'une part carnets de notes d'atelier, d'autre part textes et entretiens dont la rédaction ou la publication s'échelonnent des années 70 à aujourd'hui, Le Temps de peindre jette sur la peinture de Monique Frydman un éclairage inédit par son ampleur, sa densité et sa profondeur.

11/2019

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Ecrits sur l'art

Le théâtre de peinture

La peinture est le personnage commun aux textes qui composent cet ouvrage, même si chacun d'eux semble s'en tenir à un objet particulier et étranger à son voisin. Elle se faufile de l'un à l'autre, traverse les plans ; parfois elle associe deux images ou deux situations, des biographies (Martin Barré, Jean-Pierre Pincemin) ou des autobiographies, séparées par d'épaisses couches de sens, d'espace ou de temps ; parfois même il s'agit d'une émulsion semblable à l'humeur translucide de l'oeil où naviguent à l'aveuglette des particules migratoires, mélangeant leur substance et leur qualité, s'associant pour un temps, puis se séparant. Les tours et détours, je m'y connais depuis le temps... Expert dans l'art de la reprise, qu'on la considère du point de vue de la couturière ou de celui du philosophe, car l'une et l'autre passe et repasse indéfiniment par le trou du commencement au même endroit, mais pas tout à fait dans le même trou avant de s'étendre d'un jet de fil dans les lointains insoupçonnés.

06/2023

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Romans historiques (poches)

Le valet de peinture

A l’automne 1428, Johannes Van Eyck se voit confier par son maître, Philippe de Bourgogne, une très étrange mission : aller au Portugal peindre un portrait qui révélera la vérité intime de l’infante Isabel. A trente ans, peut-elle être encore vierge et belle, comme le prétend la rumeur ? Diaboliquement habile dans son art mais courtisan soumis, Johannes se plie au caprice du duc. Une lutte s’engage alors entre le valet de peinture et la princesse, maîtresse dans l’art de la dissimulation…

08/2013

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Ecrits sur l'art

James Ensor - Le peintre des masques. Le peintre des masques

Devançant les avant-gardes du XXème siècle et ouvrant la grande tradition surréaliste de l'art belge, James Ensor (1860-1949) a crée, lentement, inconsciemment, mais avec une sure logique, un royaume de masques dont il sera roi. Ce fut pour lui la découverte d'un pays, province par province, avec ses lieux pittoresques succédant aux endroits terribles et ses parages tristes prolongeant ou séparant les districts fous. Emile Verhaeren (1855-1916) fut un grand ami de James Ensor et le premier défenseur de son art, ainsi que, avec ce texte de 1908, son premier biographe.

01/2022

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Psychologie, psychanalyse

Objet de la peinture, peinture de l'objet

Ce livre est écrit par deux amis de longue date, après un parcours culturel riche en rencontres, échanges et croisements. Dans cet essai, ils partagent leurs impressions et leurs réflexions sur la peinture et la création artistique avec le regard d'un amateur d'art érudit pour l'un, d'un psychanalyste pour l'autre. Sans être toujours d'accord, ils proposent une toile qu'ils ont tissée ensemble pour voir la peinture peut-être autrement. L'exercice est périlleux, sans aucune objectivité, ils avancent leurs dadas, manies et marottes, objets de nombreuses discussions. Ce livre a néanmoins le mérite, pour le lecteur, d'interroger les peintres et leurs uvres avec d'autres mots, d'autres perspectives sur leurs intentions et les raisons de leur réussite à nous émouvoir, nous surprendre, nous émerveiller, nous rendre admiratifs ou hostiles.

11/2018

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Régionalisme

LA SAVOIE DU PEINTRE DE GUBERNATIS (1828)

Qui connaît Giovanni Battista De Gubernatis qui a peint la Savoie avec talent et amour en 1828, juste avant les premières atteintes de la révolution industrielle ? Symbole de la fraternité trop longtemps niée entre le Piémont et la Savoie, De Gubernatis mérite mieux que l'oubli dans lequel il est tombé en Piémont et que l'indifférence que lui ont vouée les Savoyards. Ce brillant aquarelliste, romantique et moderne en même temps, a été un des meilleurs peintres des États de Savoie au début du XIXe siècle. Il n'est que justice de lui rendre enfin l'audience qu'il mérite en dépassant l'éloignement de la Galerie d'art moderne de Turin où ses œuvres sont conservées. C'est la fierté de L'Histoire en Savoie de reproduire en couleurs dans ce numéro exceptionnel trente images de la Savoie de 1828, précédées d'une introduction d'André Palluel-Guillard.

09/1997

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Livres 3 ans et +

Le peintre de la beauté. Sandro Botticelli

Sandro doit peindre la beauté pour la famille la plus influente de Florence : les Médicis. Il ne peut échouer. Mais qu'est-ce que la beauté ? Sandro se tourne et se retourne dans son lit. Le parfum des roses, la mer et l'écume des vagues, une perle nacrée ? Et si c'était Simonetta, son premier amour ?

09/2014

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Beaux arts

Le métier de peintre au Grand siècle

Après une longue éclipse, la peinture française du XVIIe siècle est devenue progressivement un objet familier, prisé par les chercheurs, les collectionneurs et les amateurs. On ne compte plus aujourd'hui les monographies, les catalogues d'exposition ou les interprétations subtiles de Vouet, de Poussin, des Le Nain, de Philippe de Champaigne et tant d'autres encore. Mais on sait peu de chose des conditions dans lesquelles furent produites les peintures du Grand Siècle, célèbres ou obscures. On ignore presque tout de la vie matérielle des peintres, de leur rapport au marché et de leurs moyens d'existence. Et tout de l'organisation professionnelle du métier de peintre, en dehors de l'Académie royale de peinture et de sculpture, réservée à une mince élite. C'est ce monde inconnu qu'Antoine Schnapper retrouve et fait revivre. A partir de la situation personnelle des peintres, du modeste doreur jusqu'à l'opulent Le Brun, il restitue les conditions réelles de l'exercice du métier, que masquent les règlements officiels. Il montre qu'on pouvait peindre à Paris et vendre son œuvre sans posséder les titres requis. Il analyse la gestion de la maîtrise des peintres et des sculpteurs - tantôt autoritaire, tantôt laxiste, souvent complice des contrevenants - et la diversité des patrimoines individuels. Il reconstitue enfin, pour la première fois, les prix des peintures, celles commandées comme celles disponibles sur le marché de l'offre. Cet ouvrage fait découvrir le foisonnement et la richesse d'un métier qu'une vision " académique " universellement acceptée avait trop simplifiés. Le début du règne personnel de Louis XIV voit en effet un accroissement sensible du nombre de peintres à Paris et une hausse du prix des œuvres, qui entraîne un enrichissement des peintres, enfin reconnus, à la Cour et à la ville, comme des " artistes ".

10/2004

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Proche et Moyen-Orient

Wartan Mahokian, le peintre de la mer

Wartan Mahokian : le peintre de la mer Date de l'édition originale : 1918 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

10/2021

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Littérature française (poches)

Les dimanches de Mademoiselle Beaunon

Mlle Beaunon est loin de ressembler à sa légende. Non, non, elle n'est pas vieille fille. Elle passe même ses dimanches à draguer dans les musées. Son plus grand secret est qu'elle adore mentir ; chaque amant a droit à une nouvelle histoire, un nouveau prénom, de nouvelles origines. Si les hommes déifient, ils ne comptent pas, puisqu'un seul a jamais eu de l'importance pour elle : Paul Bâche, son ancien patron décédé. Du moins, jusqu'au jour où, parmi la cohorte des flirts, un garçon finit par se distinguer... Entre drôlerie, charme et émotion, voici le portrait d'une femme déterminée qui sait dominer les hommes pour, peut-être, se laisser surprendre par l'amour ?

11/2012

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Littérature française

Les dimanches de Jean Dézert

"Les dimanches de Jean Dézert", ou l'histoire du désenchantement. Dézert est un employé de bureau qui s'ennuie ferme et "considère la vie comme une salle d'attente pour voyageurs de troisième classe". Grand amateur du dimanche - un jour "que si peu de personnes comprennent" - et fiancé malheureux de la fille d'un marchand d'objets de pompes funèbres, il n'arrive ni à atteindre le bonheur ni à se suicider par désespoir. C'est un romantique qui n'a pas pris conscience de son romantisme. Il a sans le savoir un désir d'universel et d'absolu mais ne parvient qu'à mener la vie terne de tout un chacun. On devine que ce n'est pas ce lieu commun que Jean de La Ville de Mirmont, auteur des très baudelairiens poèmes de "L'Horizon chimérique" - mis en mélodies par Gabriel Fauré - veut nous imposer dans ce portrait en partie autobiographique, mais plutôt un sens du paradoxe, voir du bouffon au sens que donnait à ce mot le jeune Victor Hugo. Il a un goût marqué pour l'ironie, les formules qui visent au coeur et pour ce que les romantiques allemands appelaient le "Witz", la saillie spirituelle, drôle et dérangeante. Ce qui compte pour cet ami proche de François Mauriac, c'est le style, un style dont l'ironie et la désinvolture font mouche.

02/2023

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Littérature étrangère

Le dimanche où je suis devenu champion du monde

Le 4 juillet 1954, dans un village perdu de Hesse, à un jet de pierre de la "zone soviétique", un gamin de onze ans, fils de pasteur, est réveillé comme tous les dimanches par les cloches du temple voisin qui sonnent à toute volée pendant un quart d'heure et l'arrachent régulièrement au refuge de ses rêves. Mais ce dimanche-là n'est pas comme les autres: le 4 juillet 1954, l'équipe nationale allemande de football va disputer contre la Hongrie la finale de la coupe du monde. Dans la République fédérale d'Adenauer, confrontée à un passé encore proche et plongée dans son effort de reconstruction morale et économique, le quotidien de ce petit garçon est réglé par toute une série d'interdits et de devoirs contraignants. Dans cette finale se joue une rédemption: pour le narrateur d'abord, qui, avant et pendant le match - suivi à la radio -, se libère du monde en vase clos qui l'entoure, de la toute-puissance de son père et de l'hypocrisie de sa religion; pour l'Allemagne ensuite, cette Allemagne vaincue qui, neuf ans après la fin de la guerre, se retrouvera dans le camp des vainqueurs.

10/2007

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Beaux arts

Gilbert Bellan, le peintre de Clemenceau

Avec ses "Instantanés de couleur", Gilbert Bellan est tour à tour le peintre du traité de Versailles, des ruines de guerre, de la Victoire (1918) ou de la Libération (1944), admirateur de Péguy, Barrès, Foch ou de Gaulle. Par-dessus tout, il se considère au service de Georges Clemenceau. De Paris aux côtes de Vendée, il accompagne le Tigre tout au long des dernières années d'une retraite heureuse. De sa maison sur la dune, Clemenceau lui commande un "chêne vert titanesque" auquel il s'identifie. Présenté au Salon des Beaux-Arts, l'Ancêtre, c'est lui. Face à l'océan, une deuxième mission attend l'artiste : "Claude Monet a fait les meules, les cathédrales à des heures successives. Vous ! Vous allez faire la mer qui est un programme autrement grandiose." Deux cents tableaux de ciels et de mers et voici Bellan désigné "horizon de Vendée". Monet était le grand ami de Clemenceau. Mais un peintre peut en cacher un autre.

06/2019

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Livres 3 ans et +

Le plus grand peintre du monde

L'histoire d'une rencontre inoubliable en Provence, par le maître des conteurs Michael Morpurgo.

10/2018

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Science-fiction

Yumi et le peintre de cauchemars

Sur une planète baignée de lumière et écrasée par la chaleur, Yumi est une yoki-hijo, une prêtresse qui invoque les esprits pour venir en aide à son peuple. Dans une cité froide entourée de ténèbres perpétuelles, Peintre repousse chaque jour les manifestations physiques des cauchemars des habitants grâce à ses pinceaux. Tout les oppose, ils ignorent même jusqu'à l'existence du monde de l'autre. Pourtant, leurs destins vont littéralement s'entremêler le jour où ils commencent à échanger leur place à chaque réveil. Parviendront-ils à mettre leurs différences de côté et à travailler ensemble afin de sauver leurs peuples d'un désastre imminent ? Yumi et le peintre de cauchemars est le troisième des quatre "romans secrets" écrits par Brandon Sanderson, l'auteur best-seller aux trente millions d'exemplaires vendus à travers le monde, durant les confinements de la pandémie de Covid-19. Ces romans ont fait l'objet d'une campagne de financement participatif record sur la plateforme Kickstarter aux Etats-Unis.

07/2023

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Beaux arts

Lucien de Maleville. Peintre du Périgord

L'oeuvre de Lucien de Maleville (1881-1964) s'inscrit dans la grande histoire de la peinture de paysages pour laquelle l'école de Barbizon (emmenée par Corot, Rousseau, Diaz ou encore Harpignies) exerça une influence considérable sur les artistes du XIXe siècle. Dans leur sillon, parmi ceux qui s'exercèrent sur le motif en Périgord, Maleville se distingue par un classicisme lumineux à la "sincérité aiguë", quelque peu teinté de cubisme. A travers l'observation attentive de sa biographie (qui le mena à parcourir notamment le sud de la France et à arpenter l'Espagne ou l'Afrique du Nord), de son oeuvre foisonnante (de la caricature à la peinture sur chevalet, en passant par le croquis ou l'illustration), de sa manière à la fois méthodique et sensible de voir et de représenter les paysages, c'est aussi le climat artistique d'une époque à Périgueux, en Dordogne et au niveau national, qui est restitué dans cet ouvrage à plusieurs voix. Grâce au fonds d'atelier de l'artiste, conservé intact depuis sa disparition, de précieuses informations et des documents inédits permettent de brosser avec délicatesse le portrait vibrant d'un homme curieux et érudit (il fut recenseur des Monuments historiques pour l'Aquitaine), désintéressé des choses matérielles et pleinement voué a son art. Ses dessins comme ses peintures sont d'une puissance évocatrice sans égale. Le point de vue, l'attribution d'une couleur a chaque élément-phare du paysage, la respiration qui se joue entre la matière du support et le vibrato du sujet représente, concourent a la magie a l'oeuvre chez Lucien de Maleville : "Nous sommes a côté de l'artiste, a la fenêtre, pour contempler ses paysages".

10/2014

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Littérature française

Le costume des dimanches

Quel étrange portrait que celui de Monsieur Dimanche ! Mais, d'ailleurs, qui est donc ce Monsieur Dimanche ? Dans quelle histoire de fous nous conduit Pierre Véry ? Car il s'agit bien d'une histoire où la folie et le délire de certains - et pourquoi pas de tous - mènent la danse. Paranoïa, hallucinations, manies, double, voire triple personnalités, délires divers pouvant conduire au meurtre sont les ingrédients qui composent la recette de ce roman. Avec, au coeur de tout, l'indéfinissable Monsieur Dimanche. Aussi, laissons-nous donc entraîner dans les tourbillons délirants de ce nouvel opus du maître du roman de mystère.

06/2010

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Littérature française (poches)

Un mois de dimanches

Après des années d'un ministère édifiant, le Révérend Thomas Marshfield se retrouve, à quarante ans, en proie au démon de midi. Pêcheur d'âmes devenu simple pêcheur, il accumule les " folles négligences " entre les bras de ses paroissiennes. Le scandale arrache Thomas à son Paradis trop terrestre. Pour échapper aux sanctions dont le menace son évêque, il se résigne à passer un mois dans une maison de repos pour ecclésiastiques en rupture de banc, loin des tentations de la chair. La durée de la cure -31 jours, un mois de dimanches - et la forme de la thérapie- écrire ad libitum tous les matins - conditionnent la structure de cette œuvre : 31 chapitres dont le fil conducteur est la confession des " errements " du pasteur déchu, le récit des expériences qui lui ont révélé, en même temps que sa vraie nature les joies et les limites de sa virilité longtemps ignorée. Ce livre journal est aussi, comme Bech voyage, un livre-miroir. Dans la glace de sa chambre, dans les yeux de ses femmes, Thomas Marshfield se contemple et se juge sans complaisance. Il déplore la faiblesse qui fait de lui un être égoïste et casanier, tiraillé entre les pulsions de sa libido et les exigences d'un univers aseptique et figé. Il juge les autres également -sa mère disparue ", son père sénile, son épouse, ses maîtresses, son vicaire-, comme lui prisonniers de leurs habitudes et des conventions.

01/1994

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Littérature française

Je hais les dimanches

Je hais les dimanches chantait Juliette Gréco. Cette formule, Hervé Bellec la chantonne quasiment chaque fin de semaine. Quelle journée étrange que le dimanche ! Que faire qui puisse la rendre belle, ou drôle, ou singulière ? 52 chroniques, comme les 52 dimanches de l'année. Et Hervé Bellec nous trimballe de promenade en dîner de famille, de souvenirs sensibles à des scènes épiques, et aussi, parfois, d'une femme à une autre... Il nous dévoile des récits personnels mais dans lesquels tout un chacun se retrouvera, pour le meilleur... et pour le pire ! Extrait : Des années durant, observant depuis ma fenêtre le manège des cyclistes, je ne pouvais m'empêcher de ressentir le plus profond mépris envers ces sportifs du dimanche qui s'imposaient de leur plein gré de tels châtiments. Mon petit blanc dominical à portée de lèvres, je ricanais méchamment tout en tirant sur la première clope de la journée. C'était la belle vie. Jusqu'au jour où un abruti de cardiologue est venu tout gâcher en me disant l'air sinistre que s'il avait juste un conseil à me donner, eu égard à mes antécédents, ça serait d'y aller mollo mollo. "Quels antécédents ?" Il a débranché une à une les électrodes pincées sur ma peau. "Vous savez très bien de quoi je veux parler !" Et de me dresser une liste d'interdits aussi longue que le cahier des charges d'un salafiste. J'ai sursauté : "Les cacahuètes aussi ?" Il a hoché la tête et m'a pétri le ventre la mine navrée avant d'ajouter sans finir sa phrase qu'avec un peu d'exercice... C'est ainsi que j'ai acheté un vélo idiot. Un vélo idiot, c'est une bicyclette sans roue qui avance dans le vide, ou plutôt qui n'avance pas. On a beau suer comme un haleur de la Volga, on ne bouge pas d'un pouce. En résumé, on pédale dans la choucroute. Et c'est ainsi que chaque dimanche que Dieu fait, j'exécute ma petite heure de surplace tout en regardant à la télé les épreuves de biathlon. Moi aussi, j'ignorais jusqu'à ce jour ce qu'était le biathlon, je pensais que c'était un médicament contre les remontées gastriques. A présent, je sais.

03/2015

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Religion

Histoire du dimanche de 1700 à nos jours

A en croire l'opinion commune, le dimanche serait une institution immuable traversant les siècles, les régimes politiques et les soubresauts de l'histoire. Cet ouvrage contredit ce cliché en racontant l'histoire mouvementée et passionnante du dimanche des Français de 1700 à nos jours. Notre actuel jour de repos perd tout d'abord son caractère purement religieux, se transforme en jour de fête populaire, se voit remis en cause par la Révolution avant d'être balayé au XIXe siècle par une industrialisation dévoreuse de main-d'œuvre et de temps. Le dimanche revient bientôt en grâce à la fin du XIXe siècle ; on lui découvre en effet des avantages hygiéniques, moraux et sociaux. L'institution dominicale, jour de repos et de la famille survivra jusqu'à nos jours où il sera remis en cause par la banalisation dans le cadre de week-end, les changements de mode de vie et la pression des impératifs marchands. Le dimanche résistera-t-il à cette nouvelle crise ? D'une grande richesse documentaire, cet ouvrage met en évidence la volonté de contrôle des élites religieuses et laïques sur les pratiques dominicales des classes populaires. Les vèpres contre le bal, le sport contre le bistrot, le supermarché contre la promenade ... Le dimanche n'a pas fini de déclencher passions et contreverses.

05/1997

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Littérature étrangère

Le peintre et la voyageuse

Rêvé, fantasmé ou imaginé, l'Orient interroge les mœurs européennes, et le harem centralise l'ensemble de ces divagations. Peuplés d'odalisques lascivement alanguies, les harems sont représentés par les artistes comme des lieux de permissions et de perdition, à l'instar de L'Odalisque à l'esclave de Jean-Auguste-Dominique Ingres. Dans Le Peintre et la voyageuse, Ingres, tourmenté et angoissé, fuit Paris et s'isole à la campagne. Il retrouve la confiance et l'envie de créer grâce à la compagnie de Lady Montaigu, voyageuse indépendante et libérée, célèbre dans toute l'Europe pour ses carnets d'Orient. Mais Le Peintre et la voyageuse n'est pas le roman d'une histoire d'amour traditionnelle et conventionnelle entre la voyageuse et le peintre, qui ont vécu à un siècle d'écart l'un de l'autre. Si l'amour, l'amitié et les confidences jalonnent leur relation, la rencontre imaginaire entre ces deux personnages charismatiques se caractérise par des échanges passionnées et passionnants. Dans leurs joutes verbales, ce sont deux façons de considérer l'ordre du monde, l'Orient et la place de la femme dans la société qui s'opposent. Des alcôves de l'opéra à la présentation du tableau Le bain turc au Tout-Paris, Patricia Almarcegui nous transporte dans une valse des vanités où tournoient Arthur Rimbaud, Monsieur Bertin, Théophile Gautier et Eugène Delacroix. En maître de l'uchronie, Patricia Almarcegui compose un roman brillant et savoureux sur la création et la place de l'art dans la société.

09/2016

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Romans graphiques

Le peintre hors-la-loi

"Tu veux savoir comment un peintre se bat ? " 1793. C'est le temps de la Terreur, de l'incertitude et du chaos. Tandis que Louis XVI est guillotiné, un peintre au regard tranchant fuit Paris pour gagner la campagne. Emporté, éloquent, redoutable à l'épée comme au pistolet, Lazare Bruandet ne poursuit qu'un but peindre et dessiner la vérité de la nature, loin de la société et de toute quête de postérité.

03/2021

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Ecrits sur l'art

Le peintre dévorant la femme

"Je suis un "Arabe" invité à passer une nuit dans le musée Picasso à Paris, un octobre au ciel mauvais pour le Méditerranéen que je suis. Une nuit, seul, en enfant gâté mais en témoin d'une confrontation possible, désirée, concoctée. J'appréhendais l'ennui cependant, ou l'impuissance. Pour comprendre Picasso, il faut être un enfant du vers, pas du verset. Venir de cette culture-là, sous la pierre de ce palais du sel, dans ce musée, pas d'une autre. Pourtant la nuit fut pleine de révélations : sur le meurtre qui peut être au coeur de l'amour, sur ce cannibalisme passionné auquel l'orgasme sursoit, sur les miens face à l'image et le temps, sur l'attentat absolu, sur Picasso et son désespoir érotique".

10/2018