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Le portrait de Simonetta Vespucci

Extraits

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Littérature française (poches)

Portraits de femme

" Vous êtes le peintre et le musicien de ces femmes, elles deviennent des personnages centraux de vos romans, elles peuvent prendre d'autres formes, d'autres figures, elles sont parfois rejointes par celles dont on ne peut pas dire le nom. Ce moment où l'une ou l'autre sort des vagues est unique, ce foulard est unique, ce fou rire aussi. La poudre du temps leur appartient. "

10/2014

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Littérature française

Portraits de femmes

Pourquoi "Portraits de femmes" ? Parce qu'il fallait choisir, tout simplement. Dans le cahier des histoires, il y avait aussi des hommes et des enfants, mais pour ce livre-là, il n'y a que des femmes. Des femmes au quotidien, qui se découvrent et qui s'étonnent d'elles-mêmes. Ce sont des femmes confidences et compagnes, des femmes qui murmurent, qui dansent et qui rêvent. Des femmes que 1'on croise tous les jours, c'est vous, c'est moi, c'est elle, des femmes qui ne font rien d'extraordinaire. Il n'y a pas d'aventure haletante, trépidante. L'aventure est dedans, à l'intérieur des chairs, les mots sont simples, ce sont des mots de "raconteuses d'histoires", des mots musiques qui prennent la clé du sol et jouent sur la portée.

06/2013

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Critique littéraire

Portraits de Stendhal

Des vies, mais telles que la mémoire les invente, que notre imagination les recrée, qu'une passion les anime. Des récits subjectifs à mille lieues de la biographie traditionnelle. L'un et l'autre : l'auteur et son héros secret, le peintre et son modèle. Entre eux, un lien intime et fort. Entre le portrait d'un autre et l'autoportrait, où placer la frontière ? Les uns et les autres aussi bien ceux qui ont occupé avec éclat le devant de la scène que ceux qui ne sont présents que sur notre scène intérieure, personnes ou lieux, visages oubliés, noms effacés, profils perdus.

02/2008

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Guides étrangers

Portraits de Téhéran

Vivre ma ville, ce sont des livres pour voyager autrement, pour découvrir une destination racontée par les habitants. Des personnages de leur ville, qui donnent les clés, les conseils, les bonnes adresses, l'expérience de ceux qui vivent sur place, là où les autres guides se contentent d'auteurs professionnels de passage. Chaque portrait est un roman. Chaque portrait a un enjeu : comprendre le choix de cette ville-là. Chaque portrait permet aussi au lecteur de s'identifier, et donc de choisir ses destinations en fonction du personnage qui résonne le plus en lui. Dans les Portraits de Téhéran, Sara Saidi, journaliste correspondante à Téhéran, nous fait découvrir des personnages étonnants : artistes, entrepreneurs, femmes engagées, intellectuels, ils font Téhéran aujourd'hui. La capitale d'un pays incroyable qui s'ouvre aux voyageurs. Mais qui continue d'interroger sur ses valeurs et son rapport au monde. C'est l'âme de ses habitants, et leurs espoirs, que le livre permet de découvrir. Un récit fascinant, qui donne les clés de l'Iran à ceux qui souhaitent découvrir le pays autrement.

08/2018

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Poésie

Portraits de femmes

Avec "Portraits de Femmes" , Fatima Maaouia aborde les égéries anonymes de la majorité silencieuse, effacées et inconnues. Ô combien généreuses, originales et efficaces ! Style chronique cinglante, brève nouvelle, saga, mini poème ou ballade, épître, hymne et autres formes mixtes, ses écrits ne tarissent pas d'humour, de fougue et de cÅur. En vis-à-vis, les compositions de Faouzi Maaouia feignent les cartouches, correspondent à de véritables blasons littéraires. Tout en dégageant une émotion intense, elles atteignent une stylisation spartiate.

03/2021

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Thèmes photo

Portraits de roses

Des fleurs turbinées, avec un rose léger ou intense, des nuances d'abricot, des fleurs double en rosette aux corolles regorgeant de pétales, des parfums subtils, aériens ou puissants, fragrances inimitables qui imprègnent les sens et l'esprit et nous font découvrir des univers colorés, étranges et pénétrants : le monde des roses !

03/2021

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Littérature anglo-saxonne

Portrait de l'artiste en jeune homme précédé de Portrait de l'artiste

C'est le premier succès achevé de Joyce, terminé vers 1914. Roman autobiographique, l'auteur y raconte son enfance et sa jeunesse à Dublin, son éducation chez les Jésuites, ses révoltes contre ces mondes clos, sa libération par la vocation artistique (d'où le titre). Le style va du réalisme brutal à la plus grande poésie, de l'ironie à l'émotion. Joyce y donne une clarté - ce sont deux ouvrages ultérieurs, Ulysse et Finnegans Wake, qui passent pour obscurs - sa vision du réel et de l'imaginaire. Ce roman de formation, document capital sur Joyce, est aussi un grand livre.

06/2009

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Poches Littérature internation

Le Portrait de Dorian Gray non censuré

Tout le monde connaît le chef-d'oeuvre d'Oscar Wilde tel qu'il a été publié en volume en 1891. Cette version diffère considérablement du manuscrit qu'il avait soumis quelques mois plus tôt au Lippincott's Magazine où le roman devait paraître en prépublication. Le directeur, par pruderie, l'avait sérieusement raboté, ce qui ne l'a pas empêché de provoquer un premier soulèvement d'indignation. Par la suite, Wilde a augmenté et remanié son roman, estompant ses passages les plus audacieux. La critique instruisait déjà son procès en immoralité. Il a fallu attendre 2011 pour que, en Angleterre, des universitaires rendent disponible le texte initial, avant les censures successives. C'est cette version que les Cahiers rouges publient pour la première fois en France. La trame reste inchangée. Dans le Londres fin de siècle, le peintre Basil Hallward tombe en adoration devant son modèle, le beau Dorian Gray. Leur chaste idylle commence, troublée par l'intervention d'un vieux camarade de Hallward, Lord Henry. Dandy hédoniste amoureux des bons mots, affichant avec insolence son homosexualité, il convainc Dorian de l'importance capitale de sa beauté. Un jour viendra où la vieillesse l'aura défiguré et plus personne ne le regardera. Horrifié, Dorian conclut un pacte faustien avec le portrait que Hallward a peint de lui : ce n'est plus lui que le temps abîmera, mais l'image du tableau. Le Portrait de Dorian Gray non censuré est encore plus délicieusement décadent et surtout plus ouvertement homosexuel. Le pouvoir érotique de Dorian est exacerbé, nombre de phrases rendent indubitable et intense la nature des sentiments de Hallward pour lui. On retrouvera bien sûr les saillies du spirituel Lord Henry, notamment le fameux : "De nos jours on sait le prix de tout, mais on ne connaît la valeur de rien".

09/2016

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Classiques

Le portrait de Dorian Gray. Texte abrégé

Dorian Gray a bien de la chance ! Il est jeune, il est riche, il est intelligent, il appartient à la meilleure société londonienne de son temps, et surtout il est beau : d'une beauté unique, angélique, sublime, fascinante, d'une beauté qui exerce des ravages sur tous ceux qui l'approchent, hommes ou femmes. Normalement, cette extraordinaire capacité physique de séduction devrait s'estomper avec l'âge. C'est-à-dire, avec l'apparition des rides, avec la calvitie, les rhumatismes, l'écroulement des traits ou l'empâtement du menton. Mais ces désagréments vont être épargnés à Dorian grâce au portrait qu'a fait de lui un ami peintre. Un tableau qui possède l'étrange vertu de prendre à sa charge le vieillissement de son modèle. Par cette fable qui évolue vers les affres du cauchemar, Oscar Wilde, esprit brillantissime et auteur scandaleux de l'époque victorienne, nous assène un pronostic implacable : chacun de nous, sous l'effet de ce qu'il est, finira par prendre la tête qu'il mérite…

11/2021

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Policiers

Le Portrait de l'artiste en tueur

Trois femmes : la star fofolle et marrante, la femme-flic ingrate mais efficace, la prof d'histoires. Aussi différentes qu'on peut l'être, réunies par le hasard dans un enchaînement de drames et de turpitudes, dans les coulisses de la télé. Un feuilleton où les hommes font de la figuration pas toujours intelligente. De quoi mourir de rire.

01/1987

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Livres 3 ans et +

Léonard de Vinci et le portrait inachevé

Une collection de grands personnages, historiques ou légendaires, à découvrir le temps de l'histoire du soir ! Lorsque le marchand Francesco del Giocondo demande à Léonard de réaliser le portrait de son épouse Lisa, le peintre n'hésite pas une seconde ! Il se met au travail : il veut que son tableau soit parfait... Parviendra-t-il à honorer la commande du marchand ?

03/2019

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Théâtre

Portrait de Raoul. Suivi de Babette

Ma Mama a vécu pas mal de tragédies. Dans mon pays on aime les tragédies. Elle a eu trois fils. Les deux premiers sont morts. Le Papa a dit : "Maintenant on fait une fille". Et c'est moi qui me suis pointé. J'étais garçon et j'ai fait la fille. Et Betty me disait : "Ma chérie fais ça ma chérie fais ci". Mes cheveux étaient longs ma voix était haute mon âme était Femme. Portrait de Raoul est le récit d'une identité en mouvement entre le féminin et le masculin, entre la France et le Salvador. Babette raconte la journée d'une femme d'aujourd'hui qui voit clair, qui voit loin : sa mère décède, sa fille qu'elle croyait morte réapparaît, un attentat au marché, le fils de son mari et son mari se battent comme des chiens, sa meilleure amie fait une dépression... une journée comme une vie ; comme un tableau de Bacon, coloré, un peu obscène ; comme la vie ; une vie qui, un jour, sort de l'ordinaire à tel point qu'il y a urgence à la raconter.

05/2019

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Critique

La Bruyère, portrait de nous-mêmes

L'éternelle comédie humaine. Parmi les écrivains les plus illustres du XVIIe siècle, La Bruyère se rend célèbre pour sa seule et unique oeuvre. Avec Les Caractères ou les Moeurs de ce siècle, il a tendu au public de son époque un miroir qui nous reflète toujours. Les temps changent, pas le fond des hommes. Il explore et raille avec passion le faux et le feint, le fat et le courtisan et rappelle, lui qui sut si bien les manier, combien grand est le pouvoir des mots. Jean-Michel Delacomptée brosse le portrait captivant de ce classique de notre littérature. Il ouvre ainsi une porte dérobée dans les Caractères, dont il rappelle avec force l'intemporelle grandeur.

08/2022

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Littérature française

Portrait de Gabriel sous les étoiles

Ces courts récits prennent chacun leur source dans des histoires vécues. Gabriel : hymne au chemin de fer qui a contribué à la révolution des campagnes. Mais aussi, grâce aux échanges développés dans tous les domaines, il a été, tout comme l’école, un élément capital dans l’élaboration de l’identité nationale. Simon : la pédagogie à l’ancienne. Discipline sévère à laquelle on échappait par de petites révoltes, comme autant de gavroches des campagnes. Jeanne : autre destin, figure immuable de nos villages où l’on pouvait passer sa vie de la naissance à la mort, sans connaître d’autres mondes. Les Berties, portrait d’un madré à une époque où, si l’on n’était pas franchement braconnier, on s’arrangeait avec ce qui était autorisé et ce qui ne l’était pas. Il en va ainsi des deux moineaux.

11/2014

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Critique littéraire

La Bruyère, portrait de nous-mêmes

Parmi les écrivains les plus illustres du XVIIe siècle, Corneille, Racine, Molière, La Fontaine, Bossuet, Boileau, Mme de Sévigné, Mme de Lafayette, figure La Bruyère. Avec Les Caractères ou les Moeurs de ce siècle, il a tendu au public de son époque un miroir qui nous reflète toujours. Bien des comportements de la société de Louis XIV ressemblent aux nôtres. Les temps changent, pas le fond des hommes. Jean-Michel Delacomptée explore ce miroir et ce que ses reflets disent de nous. De La Bruyère lui-même, on sait fort peu de choses. Quels milieux fréquentait-il ? Etait-il misanthrope, misogyne ? A-t-il aimé ? Etait-ce un orgueil blessé ? Quelle était la morale de cet auteur si grave et pourtant si drôle ? Jean-Michel Delacomptée brosse le portrait captivant de ce classique de notre littérature. Il ouvre ainsi une porte dérobée dans les Caractères, dont il rappelle avec force l'intemporelle grandeur.

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Guides pratiques

Portrait de boxeurs - La boxe insolite

Cet album consacré aux photographies anciennes de boxe comprend deux parties. La première propose des portraits de boxeurs. On distingue quelques boxeurs professionnels assez connus, mais la plupart ont sombré dans un oubli relatif ou complet. Beaucoup sont anonymes et certains n'ont sans doute jamais combattu parmi les professionnels. La seconde comprend des photographies qui, selon moi, présentent un caractère insolite. Ces clichés humoristiques nous laissent entrevoir l'importance que revêt la boxe sur les plans imaginaire et symbolique. Plus que n'importe quel sport, la boxe me semble chargée de symboles et de significations qui dépassent ses aspects strictement sportif et compétitif. Ces quelques clichés démontrent l'importance que l'on a pu accorder à ce sport, car on ne parodie bien que ce que l'on connaît et apprécie. Aucune de ces photos n'est anodine et l'on aurait grand tort de les prendre à la légère, en les réduisant à leurs seuls aspects comiques et parodiques.

05/2022

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Beaux arts

La miniature, portrait de l'intimité

Loin d'être uniquement " une peinture en petit ", bonne à ranger parmi les bibelots, la miniature est une oeuvre d'art à part entière. Elle apparaît en Angleterre, à la cour des Tudors où, sous le règne d'Élisabeth Ier, son rôle est indispensable à la politique et à la célébration de la personne royale. Liée à la littérature et à la poésie, elle acquiert un sens savant et emblématique. En raison précisément de ses dimensions réduites, elle a tenu un rôle majeur dans l'histoire de la société et des sentiments. Facilement cachée, offerte ou dérobée, tenue sur soi, échangée entre amants, parents ou amis, elle fut le précieux témoignage des sentiments. Image-souvenir indispensable lors d'une séparation, elle est alors souvent multipliée après la mort. Montée en bijou, présente sur ou à l'intérieur d'une boîte ou dans un écrin pour échapper aux regards indiscrets, accompagnée des cheveux de l'être cher, elle fut ardemment aimée, comme en témoignent la littérature et la peinture. Elle fut aussi un cadeau diplomatique entre souverains, même si sa connotation demeure sentimentale. Peinte sur ivoire à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle, elle connaît un engouement qui touche toutes les classes de la société et que la Révolution puis les guerres napoléoniennes ne feront qu'amplifier. Ses rôles divers sont décrits, accompagnés d'une évocation des artistes les plus talentueux et originaux qui ont pratiqué cet art, en Angleterre, en France et dans toute l'Europe où la miniature règne jusqu'au milieu du XIXe siècle. Entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle, son âge d'or, elle est relayée par le physionotrace, gravure de portrait en petit, puis par la miniature sur porcelaine dure qui se développe et se perfectionne durant la première moitié du XIXe siècle. A partir de 1850, la photographie remplace peu à peu la miniature qui, avant de céder sa place, tâchera d'adopter le style de ces nouveaux portraits. Très abondamment illustré, l'ouvrage fait découvrir des œuvres inconnues exceptionnelles provenant de collections privées et dévoile quelques chefs-d'oeuvre, non encore publiés, des musées des Arts décoratifs de Paris et de Bordeaux, du musée Cognacq-Jay, de la collection de Frits Lugt (Fondation Custodia), ainsi que de musées étrangers, notamment le Victoria & Albert Museum à Londres. Préfacé par Emmanuel de Waresquiel, ce panorama du petit portrait dans tous ses états est accompagné des textes de trois spécialistes : Fabienne Xavière Sturm, qui publie, avec le carnet d'atelier de Louis-Ami Arlaud-Jurine, les secrets d'un des meilleurs miniaturistes genevois. Claude Tanner, restauratrice de petits portraits sur ivoire, qui donne des conseils pour leur conservation et leur restauration. Chantal Bouchon, qui évoque la personnalité du grand collectionneur et donateur Lefebvre de Viefville.

12/2010

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Psychologie, psychanalyse

Portrait de groupe avec analyste

Dans une institution, l'équipe socio-éducative se réunit autour d'une psychanalyste pour parler des enfants polyhandicapés dont elle s'occupe. Qui sont ces enfants emprisonnés le plus souvent dans le carcan des appareillages ? Que ressentent-ils ? Que signifie éduquer ou rééduquer des enfants qui n'habitent pas leur corps pour leur propre compte ? Quels soins psychiques reçoivent-ils ? Quelles perspectives l'analyste peut-elle donner afin d'améliorer le sort de ces enfants et du même coup celui de ceux qui s'en occupent ? Ordinairement, les enfants grandissent, s'élèvent pour ainsi dire corps et âme vers un statut idéalisé d'adulte autonome. Les enfants dont il est question ici semblent bouger à l'envers de cette construction. Ils tendent à se rétracter, à s'affaisser, se déformer jusqu'à perdre parfois leur apparence humaine. Une vie ne saurait aboutir et se soutenir sans un désir de la vivre. L'auteur témoigne, rencontre après rencontre, de ce que permet l'écoute d'un psychanalyste dans ces situations extrêmes où il s'agit de vie ou de mort. Et parfois seulement de survie. " Ils pourraient marcher ", ne cesse-t-on de répéter dans le groupe. Ils pourraient s'ils voulaient... Mais le veulent-ils vraiment ? Donner au sujet de quoi advenir avec des mots qui lui sont propres, sa vie fût-elle emprisonnée dans un corps aux formes altérées, c'est là que s'oriente la pratique analytique de l'auteur dont elle rend compte ici avec humanité.

09/2005

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Littérature étrangère

Chrysis. Portrait de l'Amour

Paris, 1925. Gabrielle "Chrysis" Jungbluth, âgée de 18 ans, entre à L'Atelier de Peinture des Élèves Femmes de L'École des Beaux-Arts, pour travailler sous la direction de Jacques Ferdinand Humbert, qui fut le professeur de George Braque. Exigeant, colérique, cassant, Humbert, âgé de 83 ans, règne depuis un quart de siècle sur la seule école de peinture ouverte aux femmes. Mais malgré toute son expérience, il va vite se rendre compte que Chrysis n'est pas une élève comme les autres. Précoce, volontaire, passionnée et douée d'un véritable talent, cet esprit libre et rebelle bouscule son milieu privilégié et un monde de l'art où les hommes jouissent de tous les privilèges. Elle ne tardera pas à se perdre dans les plaisirs désinvoltes et à devenir l'une des grandes figures de la vie nocturne et émancipée du Montparnasse des années folles. C'est là qu'elle va rencontrer Bogey Lambert, un cow-boy américain sorti de la légion étrangère, avec qui elle va vivre une folle histoire d'amour. Dans un préambule émouvant, Jim Fergus nous raconte une histoire personnelle très forte liée à l'une des oeuvres de Chrysis Jungbluth, peintre tombée à tort dans l'oubli. C'est cette histoire qui l'a mené à s'intéresser à la vie de cette artiste. Après de longs mois d'enquête, il a réuni un bon nombre d'éléments biographiques qui lui ont permis de romancer le destin bouleversant de cette héroïne passionnée et passionnante, à une époque unique de l'Histoire du XXe siècle, où tout semblait permis.

05/2013

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Jésus

Mystère du portrait de Jésus

Une enquête inédite sur le Mandylion, ce portrait de Jésus transféré sur un linge apparu au IVe siècle à Edesse en Turquie et qui pourrait bien être la première figuration du linceul dit ensuite de Turin.

02/2021

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Littérature française

Portrait en pied de Suzanne

Dans une ville inconnue d'Europe de l'Est, un homme exilé de Paris, solitaire et qui ne comprend pas la langue locale, erre par les rues... Honteux de sa corpulence, il fait pourtant diverses rencontres féminines, qui vont le conduire à se blesser le pied gauche. De cette plaie purulente, il ne tarde pas à tirer un étrange plaisir : car y apparaît Suzanne, son amour disparu... Ce conte noir à l'ambiance kafkaïenne (on pense ici au Château) bascule alors dans une histoire d'amour fou éminemment "toporienne" . Après Le Locataire chimérique (1964), inspiré du Procès, puis Joko fête son anniversaire (1969), hommage à La Métamorphose, Portrait en pied de Suzanne (1978) vient compléter dans l'oeuvre de Roland Topor sa trilogie noire romanesque, placée sous le signe de Kafka. Préfacée par Eric Chevillard, cette nouvelle édition est augmentée de six illustrations inédites. Roland Topor (1938-1997) : peintre, dessinateur, écrivain, dramaturge, poète, chansonnier, cinéaste, acteur, photographe, etc. Remarqué très tôt pour ses étranges dessins au graphisme original (dans Arts, Bizarre et Hara-Kiri), il reçoit le prix de l'Humour noir dès 1961 et crée le mouvement d'avant-garde Panique avec Arrabal et Jodorowsky. Son premier roman, Le Locataire chimérique, sera adapté au cinéma par Roman Polanski ; son deuxième, Joko fête son anniversaire, recevra le prix de Flore en 1970 ; il écrira aussi des recueils de nouvelles, des pièces de théâtre et des livres concepts. Du long-métrage d'animation La Planète sauvage (avec René Laloux, prix spécial du Jury à Cannes en 1973) au meilleur film sur Sade, l'étonnant Marquis (avec Henri Xhonneux), en passant par les émissions télévisées Merci Bernard, Palace et Téléchat, Topor marquera également de son empreinte le cinéma et l'audiovisuel. Certaines de ses images (affiches pour Amnesty International ou les films L'Empire des sens et Le Tambour) ont fait le tour du monde, toujours relevées d'un humour noir féroce.

02/2019

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Global Manga/type mixte

Lady Diana. Portrait de femme

Diana était une femme emplie de bonté, capable de comprendre la douleur d'autrui. Très tôt, elle devint princesse d'Angleterre et n'eut pas une vie de couple heureuse. Après la naissance de ses jeunes princes, elle découvrit que sa vocation se trouvait dans la charité et s'éloigna de la famille royale pour emprunter cette voie. Elle devint une princesse de légende, qui fit rêver le monde entier !

12/2023

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BD tout public

Un portrait de moitié claire

Ce livre est inspiré et nourri par un conte de Philippe Dorin, Moitié Claire qui évoque symboliquement le développement de la sexualité d'une petite fille. Claire a environ 35 ans et comme beaucoup de femmes aujourd'hui, elle ne se fond pas dans le reflet sociétal du modèle féminin. Ses compagnons sont partis les uns après les autres, elle vit seule, et le manque affectif est au centre de sa vie. Partant de ce présent difficile, son portrait part explorer son identité intérieure et secrète. Il se dessine, au fur et à mesure, en scènes successives : les souvenirs d'enfance heureuse ou elle exprime une sexualité libre et innocente, l'abandon, les paroles maladroites de sa mère, ses rivales, les rêves amoureux que fait Claire dans sa misère affective, la souffrance de se sentir différente. Ces scènes la présentent suivant la structure du Conte de Philippe Dorin, en plusieurs parties : L'ambivalence... "Est-ce un jardin ou un parc ?" Le choix et l'interdit... "Ta mère te l'a toujours défendu" Le déchirement entre deux choses... "Haut la hache ! Coupé en deux parties égales" Ainsi, dans le portrait de Claire adulte, flotte et danse l'ombre de Claire enfant. Le récit, en forme de monologue, s'écoule au fil de ses pensées, sans volonté chronologique, la réalité de Claire et son imaginaire sont indissociables. Les images se concentrent sur Claire, elles explorent son corps, s'approchent de sa peau, regardent l'intime, pénètrent en elle, cherchent à voir l'impossible secret. On suit Claire dans sa maison, dans ses longues promenades, dans les paysages mentaux de sa solitude. Un portrait de moitié Claire s'inscrit dans la continuité d'autres livres de Pierre Duba comme Sans l'ombre d'un doute et Racines, tout en s'aventurant dans des paysages plus intimistes sur le questionnement de l'identité, de la femme et de sa sexualité.

03/2012

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Littérature française

Portrait de Lorenzaccio en milicien

Des vies, mais telles que la mémoire les invente, que notre imagination les recrée, qu'une passion les anime. Des récits subjectifs, à mille lieues de la biographie traditionnelle. L'un et l'autre : l'auteur et son héros secret, le peintre et son modèle. Entre eux, un lien intime et fort. Entre le portrait d'un autre et l'autoportrait, où placer la frontière ? Les uns et les autres : aussi bien ceux qui ont occupé avec éclat le devant de la scène que ceux qui ne sont présents que sur notre scène intérieure, personnes ou lieux, visages oubliés, noms effacés, profils perdus.

03/2010

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Policiers

Portrait de groupe avec parapluie

Marthe Bothorel, soixante-dix ans, s'est prise de passion sur le tard pour l'histoire de l'art : de musées en cours de dessin, l'autodidacte plonge dans un monde qui la fascine. Un dimanche, lors d'un concours de peintres amateurs, elle découvre le corps d'une femme assassinée selon un rituel aussi macabre que spectaculaire. Le premier d'une longue série... En compagnie de deux autres mamies aussi déjantées qu'elle et d'un policier mélomane, Marthe décide de démasquer le talentueux tueur ! Un polar original, érudit et cocasse, où l'auteur du Teinturier de la lune et de La Promesse de l'ange nous embarque dans une enquête échevelée sur les traces des grands peintres du XXe siècle, du Bateau-Lavoir de Montmartre à la Ruche de Montparnasse.

09/2016

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Essais biographiques

Horizons. Portrait de Philippe Fretz

Comment trouver sa place ? Comment habiter sa vie ? C'est à partir de ces questions-là, si fondamentales, que Matthieu Mégevand brosse le portrait du peintre Philippe Fretz. Et c'est à une rencontre heureuse que nous invite l'écrivain.

12/2022

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Philosophie

Le portrait du roi

Cet ouvrage est une réflexion historique et philosophique sur le pouvoir en général et le pouvoir politique en particulier lorsqu'il s'exerce à son plus haut régime en s'affirmant absolu. D'où le sujet central du livre : Louis XIV ou le roi comme monarque illimité ou plutôt qui se représente tel. D'où les questions non moins centrales parce que toujours actuelles qu'il pose et auxquelles il tente de répondre : comment le portrait du prince réalise-t-il le miracle permanent de la transsubstantiation d'un individu en monarque ? Comment la représentation accomplit-elle le désir infini du pouvoir dans l'imaginaire d'une présence réelle de l'absolu ? Comment la représentation légitime-t-elle cette présence dans la loi d'un nom universel et unique ? En appliquant à des objets aussi divers que l'histoire officielle du roi ou son éloge, la médaille du prince, son palais ou ses divertissements, le modèle théologique du corps eucharistique hérité d'une longue tradition religieuse, politique et juridique de l'Empire et de l'Eglise, l'auteur montre comment s'institue le fantasme d'un corps unique du prince, comment s'exerce et se reproduit la violence symbolique de son nom propre. Il montre également comment ce modèle travaille à mettre en question ce qu'il vise à fonder et à légitimer, dans les réflexions de Pascal sur les rapports de la force et de la justice ou sur la légitimité politique de l'autorité royale, le roi présent réellement sous ses espèces représentatives ne trouvant l'absolu de son pouvoir qu'en devenant, en fin de compte, son image, qu'en signant son nom.

11/1981

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Actualité et médias

Le portrait du président

Cinq ans après son accession au pouvoir suprême, François Mitterrand demeure une énigme : attaqué à droite comme homme de gauche, à gauche comme homme de droite, a-t-il réalisé les transformations qu'il souhaitait pour la France ou s'est-il contenté de gérer l'inévitable ? A-t-il résolu, cherche-t-il seulement à résoudre ses contradictions ? Est-il victime de son habileté ?... La devise de Pierre Mendès France était claire : "Gouverner, c'est choisir". Celle de François Mitterrand serait-elle simplement : "Gouverner, c'est doser" ? Sur son bureau à l'Elysée, le président garde trois photos : celles de Victor Hugo, de Jean Jaurès et de Georges Clemenceau. Trois symboles : le romantisme républicain, le socialisme, le sens de l'Etat, qui manifestent clairement l'image que François Mitterrand veut laisser dans l'histoire. Mais en fait son action semble souvent allier les contraires : pragmatisme et maximalisme idéologique, archaïsme et modernisme. Le dessein de ce républicain de gauche est clair : "Une gauche apte au gouvernement, un parti socialiste large et solide qui ait vocation à l'alternance". Quel que soit le jugement que l'on porte sur lui, il faut reconnaître que cet homme d'Etat, homme de mouvement, restera comme l'instrument d'une mutation de la société française. Relevant les propos et les actes du président de la République, contant, analysant sans complaisance ni parti pris, Jean-Marie Colombani nous dresse de celui-ci un portrait passionnant, où l'esprit critique n'exclut pas la sympathie.

10/1985

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Livres 3 ans et +

Le portrait du Lapin

Lapin est riche, mais il ne connait rien à l'art ! Heureusement, son ami Cochon est un expert et lui conseille la galerie d'Ane, où s'exposent les oeuvres du grand Maître Renard. C'est décidé, Renard peindra son portrait ! Mais Lapin est déconfit en voyant le résultat... justement, il ne voit rien ! Impossible de le dire, ses amis le complimentent déjà sur la belle facture du tableau. Lapin se sent benêt... et à force d'entendre ses compères, il se range à leurs avis. Il était pourtant dans le vrai : Maître Renard a fait un tableau monochrome ! Belette révélera finalement le pot au rose au lapin. Mais Lapin est rusé, et c'est lui qui se jouera finalement des imposteurs ! Une fable sur l'art et le paraître, tout en rimes et références.

10/2020

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Beaux arts

Comment regarder le portrait

Qu'est-ce qu'un portrait ? S'il s'agit bien de la représentation d'une personne, la ressemblance physique avec le modèle n'est pas toujours le critère le plus pertinent pour le définir. Cet art a évolué au fil du temps, en particulier les conventions régissant sa réalisation. Son origine est rapportée par des mythes ou des légendes. Parce qu'ils se réfèrent à l'absence d'une personne ou à sa disparition, ces récits soulignent une fonction essentielle du portrait : garder le souvenir de celui qui n'est plus là, à commencer, pour les chrétiens, par le Christ ou des saints. Ils mettent aussi en avant des croyances, notamment sur son rôle de substitut. L'art funéraire et l'art religieux, relié aux notions de mémoire et célébration, éclairent sur les usages et fonctions du portrait, de la dévotion à la propagande, au désir de pérenniser le souvenir d'un ancêtre. La figure du collectionneur et les théories du portrait complètent cette présentation. Tous les types de portrait sont déclinés, mais aussi les costumes, accessoires et attributs, la grande variété des techniques, matériaux et supports, ou les sujets, de même que " l'envers " du portrait, envisagé comme punition, ou utilisé pour critiquer, avec la caricature. Cet ouvrage présente le portrait dans sa diversité, sans se limiter aux oeuvres peintes, avec quelques exemples du Proche-Orient antique ou de l'Afrique actuelle. Il est complété par deux index et une bibliographie.

04/2018