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La mélancolie de Haruhi Tome 3

Extraits

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Poésie

Mélancolies

Je suis un admirateur de Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Victor Hugo, et j'ai voulu partager mon amour de la poésie classique, et notamment de l'alexandrin que j'utilise très souvent dans mes écrits. Ce recueil est une évocation de la mélancolie que m'inspirent la nature, la mer, la fuite du temps, l'éphémère de la vie. Quelques poèmes dédiés aux femmes que j'ai aimées, ou que j'ai rêvées.

05/2019

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Littérature étrangère

Melancolia

Voici un livre sur l'enfance et ses métamorphoses. L'arrière-plan est terrible, parfois même terrifiant, et pourtant c'est une lecture jubilatoire. Encadrées par deux contes, liées entre elles par toutes sortes d'échos, trois longues nouvelles composent Melancolia. Un enfant de cinq ans dont la mère est sortie se persuade qu'il a été abandonné. Le garçonnet explore l'appartement, avant de s'en échapper sur les passerelles du rêve. Isabel et Marcel, frère et saur, vivent au sein d'une famille ordinaire comme deux enfants perdus dans la forêt profonde. Lorsque la fillette tombe malade, son frère jure d'obtenir sa guérison en partant affronter ce qui le terrifie le plus. Année après année, comme tous les garçons, Ivan a dû ranger dans son armoire les peaux devenues trop petites... Il se demande si les filles, elles aussi, changent de peau. Puis il rencontre Dora, "la seule chose vraie dans toute cette ville-ossuaire".

01/2021

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Littérature française (poches)

Mélancolies

"La vie n'est pas toujours un roman ; l'inverse est également vrai". Alors que le soleil pénètre dans la constellation du Scorpion, une étrange ronde, d'amour et de guerre, se prépare. Autour de Mariane, plongée dans le coma, s'agitent Violeta, anesthésiste, et Tristan, infirmier dans le même hôpital. Un trio qui pendant quatre jours danse au bord du précipice, entre sacré et charnel, pureté et cynisme, magie noire et sophistication des soins intensifs. Au roman noir, Patrick Mosconi emprunte une prose urgente pour dire la fatalité et le destin. Dans un sabbat inédit, une romance extrême, il réconcilie les ombres du XIXe siècle à notre monde contemporain.

09/2012

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Science-fiction

Mélancolie des immortels Tome 1 : La chute de l'empire Shaa

Conquérants implacables, les Shaas, extraterrestres dont personne ne connaît l'origine, règnent en maîtres absolus sur l'empire galactique depuis dix millénaires. Au nom de la Praxis, dogme totalitaire, ils ont soumis l'une après l'autre bon nombre d'espèces, rasant parfois sans état d'âme des planètes entières au moindre écart de conduite. Seulement, au fil des siècles, l'ennui a saisi les Shaas, le goût de la conquête s'est étiolé et, dans leurs mémoires surchargées, plus aucune nouvelle information ne peut désormais s'engranger - et ce malgré une singulière assistance informatique. Aussi l'un après l'autre les empereurs se suicident-ils, entraînant dans la mort tous leurs subordonnés directs et les membres de leur famille. Or voici que le souverain en place, dernier membre vivant des Shaas, annonce son prochain décès. Le trône est bientôt libre. La rébellion des Naxids, qui s'estiment héritiers de l'empire pour en avoir été le premier peuple conquis, crée un véritable choc. Les divisions restées fidèles à la loi shaa de la prestigieuse Flotte chargée de maintenir ordre et sécurité sauront-elles mater ces insurgés ? Et au sein de cette armée qui n'a connu aucun combat depuis des lustres, la fragile alliance des diverses espèces saura-t-elle résister à l'assaut organisé par les rebelles ? Maniant humour et ironie, Walter Jon Williams brosse ici le tableau décapant d'un monde déclinant ressemblant singulièrement et par bien des aspects à l'ex-empire

05/2004

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Littérature étrangère

Nostalgia. La mélancolie du futur

Dix-huit écrivains russes sont réunis dans ce livre de nouvelles inédites. Parmi ces grandes plumes, des grandes gueules, des provocateurs, des poètes. Sorokine, Limonov, Prilepine, Chichkine... Quelque chose dans l'air nous fait croire que c'est la dernière fois qu'ils peuvent être réunis. En Russie, être écrivain, c'est un destin. Un long chemin de croix. Tolstoï a été excommunié, Dostoïevski condamné à mort et gracié juste après le roulement du tambour, Gogol enterré vivant. Soljenitsyne, Pasternak, Boulgakov... ils sont légion, ces diables des belles lettres. Le dégel, qui permet de temps à autre de publier officiellement ces dissidents, ne dure jamais trop longtemps. Il ne faut pas être prophète pour deviner que ce rideau de fer qu'on croyait disparu à jamais est en train d'être restauré. Dans peu de temps, certains de ces excel- lents écrivains russes deviendront les porte-parole de la grande Russie impériale, d'autres seront priés de quitter le territoire, d'autres encore crèveront la dalle en écrivant des chefs-d'œuvre qu'on ne lira qu'après leur mort. Être écrivain en Russie, c'est vendre son âme ou mourir sur le bûcher de ses livres.  D'après une idée originale de Sergueï Nicolaïevitch et Natalia Turine

04/2015

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Science-fiction

Un remède à la mélancolie

Deux chevaliers en armure suffiront-ils pour vaincre l'effroyable dragon qui sévit dans la région ? Quelle rencontre magique peut-on faire sur une plage de la côte basque, par un beau jour d'été ? Que feriez-vous si vous deviez partager avec cinq autres personnes un splendide costume couleur glace à la vanille ? Votre femme comprendrait-elle si vous lui annonciez qu'est enfin arrivée pour vous l'heure du grand départ ? Qui saura trouver le mal mystérieux dont souffre Camillia Wilkes, quel est donc le meilleur remède à la mélancolie ? Les vingt-deux nouvelles qui composent ce recueil nous présentent toutes les facettes du talent de Ray Bradbury. Tantôt tendre, tantôt cruel, souvent poétique et émouvant, il n'a pas d'égal pour, en quelques pages, nous transporter ailleurs.

05/2012

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Littérature française

La mélancolie du monde sauvage

"J'ai appris à connaître toutes les pierres de la rivière. J'ai compris que ces pierres dont pas besoin d'apprendre à me connaître ; que la nature n'a pas besoin de moi. Que moi seule ai besoin d'elle." Rien ne destinait Sabrina à une carrière artistique. Elevée par une mère fragile dans un milieu modeste, elle a peu de perspectives d'avenir. Jusqu'au jour où, lors de la visite scolaire du musée Rodin, elle découvre sa vocation : elle consacrera sa vie à l'art. Dès lors, Sabrina se voue totalement à ce projet. La précarité étudiante est vite compensée par les amitiés fortes et la richesse des recherches artistiques. Mais les soubresauts de sa vie amoureuse et les bouleversements d'un monde dont l'effondrement semble inéluctable ne tardent pas à infléchir sa trajectoire. A travers le destin d'une artiste contemporaine, Katrina Kalda interroge la place de l'art dans un univers en crise. Son écriture, harmonieuse et assurée, soutient ce roman plein d'émotions.

05/2021

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Philosophie

Le deuil de la mélancolie. Récit intime

J'ai subi un infarctus quand je n'avais pas encore trente ans, un AVC quelque temps plus tard, puis un deuxième en janvier 2018. Nietzsche a raison de dire que toute pensée est la confession d'un corps, son autobiographie. Que me dit le mien avec ce foudroiement qui porte avec lui un peu de ma mort ? La disparition de ma compagne cinq ans en amont de ce récent creusement dans mon cerveau, qui emporte avec lui un quart de mon champ visuel, transforme mon corps en un lieu de deuil. "Faire son deuil" est une expression stupide, car c'est le deuil qui nous fait. Comment le deuil nous fait-il ? En travaillant un corps pour lequel il s'agit de tenir ou de mourir. Un lustre de mélancolie ou de chagrin porte avec lui ses fleurs du mal. Ce texte est la description du deuil qui me constitue. Faute d'avoir réussi son coup, la mort devra attendre. Combien de temps ? Dieu seul (qui n'existe pas) sait... Pour l'heure, la vie gagne. Ce livre est un manifeste vitaliste.

09/2018

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Littérature anglo-saxonne

La mélancolie de celui qui vise juste

A Attrape-Flèche, en plein bayou du Mississippi, au coeur d'une faune sauvage et d'une flore luxuriante, on aime, on flingue, on cherche comment percer dans le show-business... Tout ça, peut-être, pour oublier que sous la surface des eaux sombres où s'égarent parfois des dauphins, il n'y a qu'un grand vide silencieux. Un soir, quand deux "gentils enfants" - en vérité, des tueurs sans pitié venus braquer la station-service du coin - se font abattre, les déflagrations seront perçues bien au-delà, et très vite, c'est la ville entière qui sera sous le choc. Que ce soit Hydro, le jeune amateur de tartes aux pêches, le Prince des Ténèbres et ses envolées théâtrales, le doux shérif Chisholm et sa splendide épouse, ou Morgan l'as de la gâchette, tous vont se demander au fond d'eux-mêmes s'ils ne sont pas responsables du drame, et partir en quête de cette paix intérieure qui leur fait défaut depuis trop longtemps et que seuls des proches peuvent apporter. Par une écriture limpide, presque fluide, tout en rythmes et sonorités, La Mélancolie de celui qui vise juste de Lewis Nordan nous balade d'être en être et de coeur en coeur comme une chanson de blues. Il nous offre un récit onirique marqué d'un optimisme lumineux, et si l'humour affleure, c'est pour mieux révéler l'humanité, dans sa beauté et ses fêlures. En 1995, alors qu'il a une cinquantaine d'années et quatre livres derrière lui, Lewis Nordan, profondément marqué par le suicide de son plus jeune fils l'année précédente, entame l'écriture d'un roman qui, il ne le comprendra que plus tard, lui servira de salut. Si La Mélancolie de celui qui vise juste est, d'après lui, un récit sur la solitude impitoyable chevillée à l'homme, page après page, néanmoins, c'est le contraire qu'il nous prouve, pour finir par faire briller les liens inextinguibles qui nous unissent.

06/2021

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Sciences historiques

François Furet. Les chemins de la mélancolie

Historien à l'oeuvre puissante, universitaire d'institution, citoyen engagé dans la politique de son temps, journaliste : François Furet (1927-1997) a été tout cela à la fois. Le modèle même de l'intellectuel français, en somme, comme le XXe siècle en a connu d'illustres. Les convulsions de ce siècle, ses tragédies et ses espoirs, ont été la toile de fond de toutes les réflexions de François Furet. Qu'il s'agisse de ses travaux fondateurs sur la Révolution française à l'aube de sa carrière, de son activité de commentateur de l'actualité dans France Observateur puis dans Le Nouvel Observateur, ou de son dernier grand livre consacré à l'illusion communiste, Le Passé d'une illusion, François Furet n'a cessé en fait de s'efforcer de déchiffrer l'énigme qu'aura été le siècle dans lequel il a vécu. Ce siècle, il l'a parcouru à grandes enjambées, sans rien négliger de ce qu'il a comporté d'important, autant sur le plan intellectuel que sur le plan politique. Ses livres ont été abondamment lus et commentés, ils ont d'ailleurs donné lieu à des interprétations opposées. Mais le récit de sa vie restait à faire ; il n'est pas moins éclairant ni moins passionnant que l'oeuvre, et il jette sur elle un singulier éclairage. Car, et c'est peut-être l'apport principal de cette biographie, de la vie à l'oeuvre de François Furet, et de son oeuvre à sa vie, la fécondation aura été la règle.

04/2013

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Essais

De plus loin que la mélancolie. Essais

Dans ces entretiens enregistrés pour France Culture de 1991 à 1996 à l'Infirmerie Spéciale de la Préfecture de Police puis à l'hôpital Sainte-Anne, Marcel Czermak, psychiatre psychanalyste, et Jean Daive, écrivain, radiographient ensemble, chacun dans son registre de parole - analytique pour l'un, phonétique pour l'autre -, un nouveau "malaise dans la civilisation" , tel que le donnent à interpréter les pathologies psychiques auxquelles Marcel Czermak est confronté aux urgences psychiatriques : disparition, délire de négation, égarement, phobie, traumatisme, deuil, mélancolie, psychose... Les patients sont parfois présents dans la pièce, et leurs voix donnent relief à ce que Fitzgerald nommait "la fêlure" (The Crack up), ces coups qui viennent du dedans et "qu'on ne sent que lorsqu'il est trop tard pour y faire quoi que ce soit" . Ecouter, soigner en écoutant, entendre les bouches qui ne parlent pas ou qui parlent sans s'ouvrir est le travail de Marcel Czermak. La clinique et la pratique de la cure lui permettent de faire apparaître les structures individuelles et transindividuelles à partir desquelles se lève un diagnostic sombre sur notre temps.

03/2023

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Littérature française

Le don des Fées. Éloge de la mélancolie

Comment définit-on un Romantique ? La mélancolie, ce vague à l'âme si cher, si propre aux Romantiques fait partie intégrante de Monique Bolette. Si, comme elle, le silence, la solitude, le calme inspirant de la campagne ou des forêts, la beauté des nuances infinies vous attire au point de vous rendre, avec plaisir, indécis et rêveurs alors ce livre est fait pour vous. Au travers de ses mots et de ses photographies, nous vous invitons à vous questionner sur le romantisme. Y en a-t-il encore parmi nous aujourd'hui ? Y aurait-il une raison neurophysiologique sous-jacente à leur sensibilité hors normes ? Y aurait-il un lien avec ce qu'on appelle la douance ? Un ouvrage aussi unique que captivant vous invitant à l'introspection. Née à Verviers en 1958, Monique Bolette grandi à Ensival dans un quartier populaire proche de la campagne. En découvrant les auteurs Romantiques, elle trouve une sensibilité qui lui correspond. Le don des Fées, éloge de la mélancolie est son premier ouvrage publié aux Editions Persée.

09/2021

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Psychologie, psychanalyse

Rythme et mélancolie

La question du rythme peut se révéler centrale pour un sujet mélancolique en phase maniaque. Les théories de Lacan, Lévi-Strauss et Jakobson, accompagnées de celles du free jazz, conduisent l'auteur vers une nouvelle clinique de la psychose, qui repose plus sur l'invention que sur la réparation. Le livre expose l'analyse d'un cas de mélancolie et présente une hypothèse clinique originale : peut-on diriger la cure à partir du rythme ? En suivant le dernier enseignement de Lacan, influencé par les théories de Jakobson et de Levi-Strauss, Silvia Lippi s'appuie sur différentes approches du rythme, en particulier dans le free jazz, et nous ouvre à une nouvelle approche psychanalytique des psychoses, qui rompt avec une conception déficitaire de cette structure. La psychose devient le paradigme de la lutte contre tout pouvoir centralisé, incarné par les différentes figures paternelles et paternalistes de notre société. Avec le rythme, la psychanalyse redevient clairement ce qu'elle n'a jamais cessé d'être : une force d'émancipation.

02/2019

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Littérature française

Une mélancolie arabe

Salé, près de Rabat. Milieu des années 80. Un adolescent pauvre court à perdre haleine. Vers son rêve, devenir metteur en scène de cinéma, vers sa star égyptienne : Souad Hosni - ailleurs, loin de son quartier, qu'il aime et déteste à la fois, qui veut le fixer dans une identité-cliché, dans la honte à jamais: le garçon efféminé. Un futur fou. Alors, il court... C'est sa seule force, sa seule façon d'affronter la violence de son Maroc. Détourner le regard. Dans cette course, il rencontre une bande de jeunes hommes qui essaient de le violer. La voix du muezzin appelant à la prière le sauve. Quelques instants après. il s'accroche à un poteau électrique, rencontre la mort. Une mélancolie arabe donne à voir et à sentir le corps possédé et poétique de ce jeune Marocain qui tombe quatre fois. Â Salé. À Marrakech. À Paris. Au Caire. II meurt. II ressuscite. Avec ses propres images, il construit pas à pas son destin: sa vocation de créateur, son amour pour les hommes, le mystère des origines. Décrivant les désarrois d'un je - en pleine bataille, Abdellah Taïa invite aussi à regarder différemment la culture d'un monde arabe qui, comme lui, tombe et renaît

03/2008

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Littérature étrangère

Mélancolie du rocker

Pour les quatre membres du groupe canadien okay, la vie a longtemps rimé avec sexe, drogue et rock'n roll. Ils sont jeunes, talentueux et fous de musique. Une musique qui les comble, comme elle peut les détruire. Sur scène, le succès est au rendez-vous. Mais côté coulisses, la réalité est tout autre... partagée entre solitude, jalousie et désenchantement. Vingt ans et quelques échecs discographiques plus tard, le temps d'un ultime bilan est venu. A 42 ans, Clap, le batteur du groupe, vient d'apprendre qu'il est atteint d'un cancer. Il revient sur l'histoire de ses amis musiciens - Mono, le bassiste, Syph, le chanteur, et Crab, le percussionniste- , sur ces nuits et ces jours qui les ont vus briller et sombrer. Et sur l'existence de ces éternels grands enfants, incapables de devenir de vrais adultes.

04/2010

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Littérature française

Mélancolie du déluge

Eté 2022, caniculaire. Les Populistes viennent tout juste de l'emporter. Le temps est à la catastrophe. Un homme s'enfuit d'un foyer psychiatrique de l'arrière-pays niçois. Son frère le rejoint. Tous deux à leur manière attendent, espèrent peut-être le déluge. La nature leur donnera raison. Dans cette fable du désastre où se mêlent les effondrements intime, climatique et politique, une famille se défait et se répare.

10/2017

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Littérature française

Une sempiternelle mélancolie

Les écrits d'une ange déchue, prise d'amour pour sa douce plume, permettant la survie de son coeur brisé, à la reconquête du bonheur.

01/2021

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Poésie

Allegres melancolies

2013-2016, trois années d'élégies amoureuses, des mots au fil du coeur et des sens. "Elle avec elle. Elle sur elle. Elle contre elle. Et moi qui contemple elles qui s'épanouissent d'amble. Rien de plus beau qu'elles voguant l'une sur l'autre dans la pénombre d'une chambre que le soleil doucement ensorcelle. Comment ne pas frémir devant ce désir esthétique ? . . ".

07/2022

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Littérature étrangère

Folles mélancolies

Elles s'appellent Isabela, Natacha, Adèle, Clarissa ou Dinora. Elles sont des mères parfaites, des épouses exemplaires, des adolescentes torturées, des créations de toutes pièces. Elles ont été enlevées, séquestrées, elles ont mené des enquêtes et des doubles vies, elles ont vécu des gloires et des défaites. Elles ont menti, trompé (beaucoup), aimé (encore plus). Elles ont été des bourreaux, et des victimes : des hommes, de leur condition, de la société et bien souvent d'elles-mêmes. Elles ont parfois les mains sales mais toujours la tête haute. Elles sont drôles, touchantes, tristes, intrigantes. Elles portent en elles une folie et une mélancolie qu'elles ne craignent pas de révéler. Malgré les hommes, leur condition, la société.

02/2020

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Poésie

Nos mélancolies

Dans Nos mélancolies, les maux se transforment en mots, agissant comme des navires nous transportant à travers les méandres de la mélancolie. C'est un peu comme une araignée qui tisse lentement sa toile, obscurcissant nos esprits. Chacun d'entre nous peut se retrouver dans cet état de vulnérabilité où tout peut s'effondrer. Les mots ont le pouvoir de transcender, de témoigner, de libérer les cris de l'âme qui sont souvent emmurés dans le silence.

09/2023

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Policiers

La mélancolie des sirènes par trente mètres de fond

Femme scaphandrier, Lize Unke appartient à la brigade de police fluviale chargée d'enquêter sur la catastrophe du métro englouti. Qu'est-il réellement arrivé, ce jour-là, quand le plafond du tunnel a crevé, laissant le fleuve s'engouffrer dans le réseau souterrain pour noyer des kilomètres de galeries, de rames... et des milliers d'usagers ? Bien des années ont passé depuis le drame, mais l'énigme reste entière. On parle de survivants, prisonniers de poches d'air. Des survivants qui connaîtraient la vérité... mais que personnes ne semble pressé de ramener à la surface. La solution du mystère est là, quelque part dans le labyrinthe des tunnels inondés. Lize, qui a perdu sa jeune sœur dans la catastrophe, s'est donné pour mission de faire la lumière sur cette étrange histoire. Décision imprudente s'il en est, car quoi de plus vulnérable qu'un scaphandrier perdu sous les eaux !

04/2004

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Littérature française

De la maladie d'amour ou mélancolie érotique

Le traité de Jacques Ferrand, De la maladie d'amour (1623), est surtout une oeuvre sur la médecine, mais il est en même temps un trattato d'amore dans la tradition humaniste, un manuel de médecine clinique et un livre polémique suite à la condamnation de la première édition (1610) par l'Inquisition de Toulouse. Donc, de la définition philosophique de l'amour jusqu'aux remèdes pharmaceutiques, ce livre est, en fin de compte, une encyclopédie de l'amour au temps de la Renaissance du point de vue médical.

03/2010

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Critique littéraire

Don Quichotte, pour combattre la mélancolie

Deuxième best-seller après la Bible, Don Quichotte doit certainement son succès international, dès sa parution, à son pouvoir de guérir la mélancolie. Telle est la thèse audacieuse et argumentée de Françoise Davoine. Cervantès a chargé Don Quichotte, "son vieux fils fou", de mettre en scène les épreuves qu'il a traversées de son vivant et leur résolution. Le livre décrit comment les crises successives du chevalier errant sont une façon de faire revivre les guerres auxquelles a participé Cervantès, dont la bataille de Lépante ou son esclavage au bagne d'Alger. Ainsi, les crises de folie montrent ce qui ne peut se dire dans les silences des familles, autour de traumatismes majeurs. En même temps, Cervantès indique avec génie le moyen d'en sortir. Le livre suit donc les différents épisodes du Don Quichotte, ouvrant progressivement le champ des batailles, tel l'épisode des troupeaux de moutons, où l'on voit se profiler une guerre internationale, sur les mêmes fronts qu'aujourd'hui au Moyen-Orient. Nous accompagnons Don Quichotte dans la tourmente, jusqu'à trouver réunies autour de lui plus de trente personnes qui, grâce à son travail d'analyste, ont pu renouer des liens et réinventer un monde fiable. En réalité Don Quichotte nous apprend comment faire avec l'un des fléaux de notre temps, la dépression suicidaire à laquelle il s'adresse nommément. C'est également un manuel de la vita beata, la vie heureuse.

10/2008

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Manga

Black Clover Tome 12 : La mélancolie d'une épineuse jouvencelle

Dans un monde régi par la magie, Yuno et Asta ont grandi ensemble avec un seul but en tête : devenir le prochain Empereur-Mage du royaume de Clover. Mais si le premier est naturellement doué, le deuxième, quant à lui, ne sait pas manipuler la magie. C'est ainsi que lors de la cérémonie d'attribution de leur grimoire, Yuno reçoit le légendaire grimoire au trèfle à quatre feuilles tandis qu'Asta, lui, repart bredouille. Or plus tard, un ancien et mystérieux ouvrage noir décoré d'un trèfle à cinq feuilles surgit devant lui ! Un grimoire d'anti-magie...

05/2018

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Beaux arts

Enigme de la mélancolie. Sur un tableau de Pontormo

Pendant des années, il s’enfermait seul dans des églises de Florence pour en peindre les murs. Il parlait peu, ne s’intéressait guère au monde, ne recherchait aucun honneur. Raphaël lui prédisait le plus grand avenir. Michel-Ange le considérait comme son héritier. Vasari disait de lui qu’il atteignait «la perfection», mais aussi qu’il avait «un cerveau bizarre». Il est tombé dans l’oubli pendant près de quatre siècles... jusqu’à ce beau matin d’automne de 1912 où un rayon de soleil traversant la nef d’une église de Florence permit à un historien d’art américain, venu là à tout hasard, d’avoir le choc de sa vie devant le retable d’une petite chapelle oubliée parce que le plus souvent dans l’obscurité. Ce tableau, la Déposition, est de Jacopo Pontormo (1494-1556). Il allait contribuer à marquer la fin de la Renaissance italienne et l’émergence de «l’art pour l’art ». Le mystère de sa composition et la mélancolie qui s’en dégage n’ont cessé de susciter études, analyses et commentaires, souvent divergents, parfois contradictoires, toujours passionnés. À travers une enquête méthodique, vivante et illustrée, l’auteur propose une lecture nouvelle et totalement originale de ce tableau.

11/2010

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Histoire internationale

Les dessous de la révolution voltaïque. La mélancolie de la victoire

Excepté quelques rares pays comme le Sénégal, l'Afrique noire est malade de son armée. L'irruption éhontée de cette dernière sur la scène politique démontre à souhait son manque de formation, son impréparation à faire face à ses devoirs et obligations, son immaturité, et son manque de professionnalisme. Le complexe d'infériorité déguisé en complexe de supériorité de ses cadres vis-à-vis de leurs homologues civils participe de cette fuite en avant inacceptable. L'on est par exemple fier de se réclamer du statut militaire tout en abhorrant servir l'armée. Dès lors, les subterfuges tels que "l'armée regorge de compétences qui demandent à être mis au service de la nation" sont légion. Dans une telle posture, ni l'armée n'est commandée, ni les postes civiles usurpées ne sont bien gérés. La compétence réelle manque tout simplement. En très grand mal d'imposture, les pseudo-intellectuels et les intellectuels faussaires aident l'armée dans cette forfaiture permanente, notamment sous la révolution sankariste. Ils aident à sa politisation, toute chose qui reste contraire aux règles de neutralité qu'elle se doit d'observer de manière stricte. L'armée ne peut et ne doit être partisane en créant ou en adhérant à un parti politique sous peine de remettre en cause le contrat social. La démocratie est à ce prix car, les partis politiques sont, par essence, partisans et cause de division de la société, si des règles précises ne gouvernent leur mode de fonctionnement. Le verbe latin "partire" ne signifie-t-il pas diviser ?

07/2017

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Thrillers

Une vie de poupée. Mélancolie grise

Nova et Mercy ont à peine seize ans, mais cela fait déjà bien longtemps qu'elles ont perdu leur innocence. Sous le couvert de la nuit, elles s'enfuient à bord d'une voiture volée, laissant derrière elles le foyer pour jeunes filles où une autre adolescente vient de disparaître. Que fuient-elles ? Et pourquoi ? Tara est retrouvée sans vie en bas d'un immeuble. Selon sa famille, il s'agit d'un suicide. Mais quelque chose ne colle pas dans le récit de ses parents. Et qui peut bien être la personne qui lui avait donné rendez-vous ce soir-là ? Celui que la police ne va pas tarder à surnommer le Marionnettiste vient seulement de commencer son spectacle.

01/2023

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Policiers

Une vie de poupée. Mélancolie grise

Nova et Mercy ont à peine seize ans, mais cela fait déjà bien longtemps qu'elles ont perdu leur innocence. Sous le couvert de la nuit, elles s'enfuient à bord d'une voiture volée, laissant derrière elles l'établissement juvénile où une autre jeune fille vient de disparaître. Quelqu'un est à leurs trousses. Et ce n'est pas la première fois. Une adolescente est retrouvée sans vie en bas d'un immeuble. Selon sa famille, il s'agit d'un suicide. Mais quelque chose ne colle pas dans le récit de ses parents. Et quid de l'inconnu qui lui avait donné rendez-vous ce soir-là ? Celui que la police ne va pas tarder à nommer le marionnettiste vient seulement de commencer son spectacle. Après l'inoubliable trilogie Les visages de Victoria Bergman, Erik Axl Sund continue d'explorer les pulsions inavouables de l'homme dans ce deuxième tome de leur série Mélancolie.

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Policiers

Les corps de verre. Mélancolie noire

Un peu partout en Suède, des jeunes mettent fin à leur vie. Une vague de suicides décidément étrange : chaque fois, les procédés choisis sont déroutants, les mises en scène horriblement méticuleuses... On charge l'inspecteur Jens Hurtig d'enquêter. Bientôt la police découvre qu'au moment de passer à l'acte les victimes écoutaient une cassette, une mixtape unique créée pour l'occasion par un obscur musicien underground. La durée de chaque enregistrement correspond à la date d'anniversaire de la personne à laquelle elle est destinée. Puis c'est une série de meurtres bestiaux qui vient faire déborder les casiers de la criminelle. Quand Hurtig finira par comprendre que ces crimes ont un lien avec les suicides, il sera peut-être déjà trop tard... Les Corps de verre est un thriller sombre et troublant dans lequel la musique scande les impasses du désir, les souffrances de l'amour et les affres de la vengeance. A travers les parcours d'adolescents à fleur de peau, Erik Axl Sund nous donne à voir la singulière atrocité de notre monde.

10/2015

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Littérature française

Mélancolie vandale. Roman rose

Dans Berlin réunifiée, Kornelia Sumpf, cinquante-trois ans, (“fruit débile des amours d’une charogne et d’un fossoyeur”) condamnée à rester à jamais “une empotée de l’Est”, travaille comme interprète à la prison de Moabit où le détenu est souvent basané et insuffisamment germanophone. Elle est désormais la compagne, prétendument comblée, d’un homme plus jeune qu’elle, Ali, son ultime conquête, qui a été élevé, dans ce qui fut Berlin-Ouest, par une mère turque, richissime et foutraque, prénommée Utkügul, dont la fortune permet à son aboulique de fils de passer son temps en tête-à-tête avec l’écran de son ordinateur (et les vidéos pornos afférentes). Bien avant de rencontrer Ali, l’homme aux “lèvres-saucisses”, Kornelia a adopté la petite Viorica, d’origine roumaine (on dira “Rom”, sous peu), devenue une pré-adolescente paumée, d’humeur aussi maussade que le temps qui sévit à Berlin, en cet hiver 2010, et dont la fascination pour la société de consommation triomphante entraîne des échanges aussi fréquents qu’embarrassants avec la puissante caste que forment les vigiles de supermarchés. Afin d’échapper à la suffocante emprise de la dévoratrice Utkügul, restée “à l’Ouest”, le couple turco-germanique, fier de sa mixité, vit dans le modeste (et peu amène) pavillon familial de l’ancien Berlin-Est dans le quartier de Lichtenberg, où, cloué sur un fauteuil roulant, le père de Kornelia, dit “petit-papa”, achève son existence dans la hargne et ce mutisme aussi “réflexe” que tactique auquel l’a rompu sa longue expérience de communiste impénitent et de délateur professionnel aux temps “heureux” de la stasi. A son corps défendant, et comme à son insu, sa fille Kornelia, quand elle a terminé sa journée de “traductrice du malheur” à la prison de Moabit, semble passer son temps à traverser dans les deux sens un Mur qui n’existe plus, comme si ce dernier faisait défaut à l’ordre bénéfique naguère providentiellement assigné à l’univers. En proie à des nostalgies bancales et à des haines confuses, cette femme de devoir, au sourire (socialiste) inoxydable mais dont la jeunesse s’enfuit inexorablement, l’est en effet aussi à des désirs, désordonnés et violents, sur lesquels elle n’est pas en mesure de mettre un nom, sinon celui de sexe (par provocation, impuissance et manque d’imagination réunis) ou de consommation (activité enfin autorisée, sinon prescrite). Mais, dressée par la rda, une Kornelia Sumpf ne peut rêver de posséder une Audi que juchée sur la selle de son vélo, prolétaire symbole d’une liberté de circulation qui s’étend désormais jusqu’à la célèbre Alexanderplatz (oncques immortalisée par Döblin et à présent livrée aux promoteurs). Sur son vélo, Kornelia roule, dérape dans la neige, tombe, se blesse, rencontre le parcours d’un marathon en folie où des vieillards cacochymes repoussent leurs limites au risque de leur vie, fait des rencontres, assiste à des accidents, se trompe de chemin, se met en retard, nouvelle Alice déjantée au pays sans merveilles, se cherche un avenir, une histoire qui serait enfin à elle et comblerait le manque, souffrant, sans le comprendre, du temps qui passe, de l’inassouvissement, de la solitude harassante qui règne dans une ville qui, pour avoir fait de la notion de communauté retrouvée son nouvel étendard, fièrement brandi à la face du monde, n’a, à l’instar de l’Europe dite unie, réussi à se fonder en transmission d’aucune sorte. Aussi mal à l’aise vis-à-vis d’un passé familial caviardé que frustrée par le morne présent qui lui est dévolu, cette “femme gauchère” porte sur ce qui l’entoure un regard tour à tour exalté et agressif, qui, tout en “scannant” avec trop d’ironie une vie sans espoir et des destinées sans grandeur (vieillards en déshérence ou “actifs” aliénés s’entassant dans l’enfer du métro), lamine les mythologies de la défunte rda comme les illusions de l’Allemagne nouvelle. Dans le décor chaotique d’une modernité violente placée sous le signe du marché libéral qui a pris ses quartiers en des lieux où, hier encore, sévissaient de tout autres mœurs et pratiques, sous les cieux plombés d’une ville immense dont la division fut l’un des symboles majeurs du xxe siècle, se déploie, tel un plan crypté (et cruellement poétique), l’impitoyable cartographie d’un monde aussi interdit d’authentique mémoire qu’il est assujetti au “devoir” de célébrer sans trêve cette dernière, quitte à la soumettre à une marchandisation aussi décomplexée que florissante. Ecrit à “l’impersonnel” (au “on”), Mélancolie vandale (non sans dérision sous-titré : roman rose) propose avec cet hommage paradoxal et désabusé rendu à une ville emblématique, une vision de nos temps contemporains aussi désespérée que lucide. Tant il est vrai que, avec ce roman puissamment baroque, aussi tragique que farcesque, Jean-Yves Cendrey, en avatar de Jérôme Bosch (ou en passager sidéré embarqué sur quelque nef des fous), semble ici sonner l’alerte sur la renaissance possible de la “bête immonde”, ce monstre familier aux multiples visages si prompt à prospérer, en temps de paix, sur tous les territoires abandonnés à sa férocité vorace.

01/2012