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Journal La Brique

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Lecture 9-12 ans

Les moutons écossais ne cassent pas des briques

Avez-vous déjà été invité à un mariage de super héros ? Et au bal annuel des monstres, la nuit d'Halloween ? Oui. Alors vous n'aurez aucun mal à croire ces histoires à dormir debout. Et vous comprendrez pourquoi il est si difficile de se marier lorsqu'on est un ogre des forêts, un poisson rouge ou une naine de jardin. Quant aux moutons écossais... Philippe Fournier est un individu peu recommandable qui ne se coiffe jamais, chante faux et pense que sa maman est Superman. Il croit encore au Père Noël et lui écrit deux lettres par jour. Owen Dowling, lui, pense sincèrement que le surf est la plus grande invention de l'humanité, à égalité avec les corn-flakes. Il dort pratiquement toute la journée, et quand il ne dort pas, il se couche. Autant dire que tout ce qu'ils vont vous raconter ici est parfaitement vrai... puisqu'ils ont tout inventé eux-mêmes. A vous de juger.

12/2002

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Critique littéraire

Journal

Voici la nouvelle édition, très attendue, du Journal de Valery Larbaud. La première, parue en 1954 et 1955 de son vivant, ne représentait qu'à peine la moitié du texte retrouvé et publié aujourd'hui. Plutôt que d'un journal, il faudrait parler de différents journaux, de celui de Paris en 1901 à celui d'Albanie en 1935. Bien sûr, l'oeuvre de l'écrivain est omniprésente. On la voit qui s'élabore, disparaît, reparaît. La vie aussi. Le Journal dévoile Larbaud au quotidien, avec ses manies, sa santé fragile, ses voyages, sa passion pour les langues et les littératures étrangères, sa gourmandise, son observation attentive de la beauté des femmes. Ce nouveau Journal a de quoi enchanter les fervents de Larbaud et leur apporter d'infinies découvertes.

06/2009

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Poches Littérature internation

Journal

Voici le témoignage le plus poignant de toute l'histoire de la littérature. Que devient un homme quand le verbe pénètre en lui, décide de sa vie, et lui fait espérer un mystérieux salut ? " Nous avons été chassés du paradis mais le paradis n'a pas été détruit pour cela. " Ce paradis qu'on doit retrouver sera d'autant plus beau qu'on revient de loin. Kafka relate tout ce qui l'envahit et l'abat : peur de la maladie et de la solitude, désir et crainte du mariage, lutte contre le milieu familial et religieux. Etouffé par ses scrupules, Kafka ne perd jamais de vue sa vie spirituelle dont il attend force et lumière. Ce Journal, c'est tout l'ennui de la vie et le salut qui l'éclaire.

05/2002

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Littérature étrangère

Journal

Cosima, fille de Franz Liszt et de la comtesse Marie d'Agoult, élevée dans un milieu aristocratique, artistique et cosmopolite, fut une des grandes figures féminines du XIXe siècle. Sans craindre le scandale, elle quitta son mari, Hans von Bülow, pour partager la vie du proscrit Richard Wagner à Tribschen en Suisse, puis sa gloire croissante à Bayreuth. Son journal, tenu avec une extraordinaire minutie, commente tous les détails de la vie quotidienne, l'amitié dramatique du couple avec Nietzsche, les perpétuels problèmes financiers, les premières mises en scène de Bayreuth aussi bien que les grands événements politiques, les rapports de Wagner avec Louis II comme avec les Coeurs de Berlin et de Vienne. Cosima avait voulu renoncer à tout ce qui n'était pas l'art de Wagner et s'effacer dans l'ombre du grand "séducteur". Elle se tut en 1883 à la mort du Maître. Se consacrant aux mises en scène du festival de Bayreuth, elle devint la maîtresse toute-puissante de Bayreuth, la grande dame de Wahnfried dont l'influence et l'ombre s'étendirent au-delà de sa mort, en 1930.

12/1977

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Littérature française

Journal

Quand en septembre 1918, Marie Lenéru mourut, elle avait quarante-trois ans. Dans le monde littéraire français, elle était quelqu'un. Ce n'est cependant pas cette célébrité-là qui fit d'elle "la grande Marie Lenéru". Ce fut, quatre ans après sa mort, la publication de son journal.

01/1946

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Biographies

Journal

Reynaldo Hahn, grand compositeur aujourd'hui remis à l'honneur, a consigné "le tracé des cailloux du Petit Poucet" dans ses carnets, afin que "bien des rêves irréalisés y subsistent par un mot". Ainsi va-t-on y croiser une galerie de personnalités depuis les années fin-de-siècle - où Hahn devient un familier du salon d'Alphonse Daudet - jusqu'aux temps modernes - où il doit se cacher des persécutions de Vichy et des Allemands. Jules Massenet, le maître vénéré, et Sarah Bernhardt, ensorcelante égérie, s'en détachent, figures mythiques d'une vie qui passe aussi par Londres, Bucarest ou Le Caire... et sera bouleversée par deux guerres mondiales. Marcel Proust, rencontré en mai 1894, et qui "n'est en rien comme les autres humains", y jouit d'un statut particulier. Sa présence est sous-jacente et continue. Pour Hahn, "Marcel désigne toujours Marcel Proust", comme s'il ne pouvait y en avoir d'autre ; comme s'il ne pouvait qu'être là "toujours". Le discours du journal intime, au ton qui passe de l'humour à la mélancolie, donne un arrière-plan, une profondeur de champ à la musique du compositeur qui se révèle aussi grand écrivain.

11/2022

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Littérature française

Journal

Le 27 juin 1959, Jean Colin mourait à Amiens à l'âge de trente-deux ans, victime d'une paralysie générale. Sa maladie, qui devait durer trois ans, l'avait contraint d'abandonner ses pinceaux. Depuis 1947, en marge de sa peinture, Jean Colin notait ses réflexions quotidiennes sur de petits carnets de toile noire qu'il portait toujours sur lui. Ce journal est ainsi devenu le prolongement de son oeuvre picturale, le peintre devenant peu à peu écrivain. Jean Colin ne nous serait pas connu sans sa famille et les amis qui l'entourèrent. Joseph Czapski est sans doute celui qui a le plus aidé Jean Colin et continua de le faire connaître après sa disparition. "Aux qualités d'émotion qui rendent bouleversant ce journal intime d'un homme qui voit venir la mort et espère toujours guérir s'ajoute la solidité d'une oeuvre unique, picturale ou littéraire. C'est pourquoi l'itinéraire intérieur de Jean Colin s'inscrit dans une vision du monde qui rappelle un peu celle de Rilke. Où donc le vers de Rilke : "Le beau, le degré du Terrible qu'encore nous supportons" serait-il mieux à sa place qu'ici, dans une vie consacrée à désirer le monde et à le chanter parmi les souffrances de la maladie et la présence de la mort ? " (Paul Flamand)

04/2023

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Histoire littéraire

Journal

Les frères Goncourt ont laissé à la postérité deux monuments, qui ont quelque peu éclipsé leurs romans : le prix littéraire qui porte leur nom, et leur Journal. Celui-ci commence le 2 décembre 1851, jour du coup d'Etat de Napoléon III, et s'achève à la mort d'Edmond, en 1896. C'est une inestimable mine d'informations sur la vie littéraire, artistique et politique du XIX ? siècle. Habités par un idéal de vérité et de transparence, ils s'y montrent d'une lucidité sans concession, jusqu'à en être fielleux. Ils ne cessent d'exposer leurs contemporains, révélant les secrets, moquant les ridicules. Leur Journal est comme un réseau social avant l'heure. Brouillant la frontière du dicible et de l'indicible, ils racontent le sexe, la mort, la violence du temps. Secrétaires de leurs perceptions, sensations, humeurs - et de celles des autres -, ils redéfinissent la notion d'intimité. Ce tombeau littéraire que les deux frères, hantés par la mort, ont édifié pour leur gloire est aussi le mémorial de leurs contemporains. Il est temps de redécouvrir ces témoins capitaux que furent les Goncourt.

10/2021

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Essais biographiques

Journal

D'une capitale l'autre, de villégiature huppée en ville d'eau, Marie Bashkirtseff, jeune peintre russe d'une grande beauté, tente de vivre, d'aimer, de laisser une oeuvre à la postérité. Paradoxalement, c'est son journal intime qui fera d'elle une des figures les plus touchantes de la Belle Epoque. "Jamais une vie ne fut vécue avec plus de fièvre, plus de soif de vivre, écrivait Hugo von Hofmannsthal. Elle a le grand don de l'expérience, cette sensibilité vigoureuse et délicate à la séduction extérieure, par où l'enfant et l'artiste se rencontrent. Ses nerfs sans emploi répondent avec plus de vivacité, de force et d'originalité à chaque impulsion ; son âme souple et séduisante s'enflamme et brille, mais elle se brûle à sa propre flamme et à vingt-quatre ans, elle s'est consumée".

11/2021

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Critique

Journal

C'est un journal : terrorisme, guerre civile, guerre, dictature, catastrophe, diplomatie, politique, économie politique, agriculture, manifestation, religion, people, vie sociale, vie locale, transport, accident, médias, justice, homicide, suicide, viol, pédophilie, drogue, vol, folie, économie, entreprise, bourse, science, technologie, annonce immobilière, annonce de décès, annonce de naissance, offre d'emploi, météo, sport, littérature, art, musique, théâtre, danse, cinéma, télévision.

10/2021

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Littérature étrangère

Journal

Ce journal intime, tenu au début du XIe siècle par une dame d'honneur de la cour de l'ère Heian, nous ouvre à l'univers de l'époque la plus raffinée et la plus intellectuelle du Japon ancien. Alors sous le règne de la famille Fujiwara, aussi grands fonctionnaires que mécènes, la cour de Kyôto vit là ses plus riches heures. Murasaki Shikibu en rapporte des jours où priment l'élégance et la poésie. Par le détail des atours, des couleurs, des gestes, des apparitions, elle note ses impressions, trace le portrait, parfois sévère, de dames et gens qui animent ce monde de magnificence et d'impermanence.

10/2014

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Littérature étrangère

Journal

Homme de lettres et philosophe non 3 conformiste, mais aussi naturaliste précurseur de l'écologie, Henry D. Thoreau a régulièrement consigné ses pensées et ses notes de terrain dans un journal de 7000 pages entre 1837 et 1861. Fragmentaire par essence, cette oeuvre brosse le portrait de l'auteur et dessine son système de pensée. Dans un souci de pertinence et d'homogénéité, Michel Granger a opéré une sélection qui s'efforce de privilégier les bonnes pages de "l'ermite de Walden". Au fil des jours, l'écriture révèle une figure plus complexe, plus originale et plus authentique de cet autre Thoreau qui dialogue avec lui-même. Drôle dans le regard qu'il porte sur ses concitoyens, intransigeant dans ses choix éthiques, il offre à notre époque des remarques pleines d'actualité.

10/2014

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Littérature française (poches)

Journal

" Je pourrais faire un ouvrage qui ne plairait qu'à moi et qui serait reconnu beau en 2000 " (31 décembre 1804) : le voici, cet ouvrage, plus lent que les romans à s'installer dans l'amitié des lecteurs, que désarçonnent une liberté de ton, une désinvolture dans l'enchaînement des idées, un solipsisme des sensations peut-être uniques dans l'histoire de la littérature. Il s'agit, pour Stendhal, de se saisir dans l'émotion actuelle, dans l'instant, sans recul, sans distance, sans recomposition et dans l'immédiateté absolue du fugace, du mouvant. Pari fou, si l'on songe que l'acte d'écrire suppose justement du recul par rapport à ce qu'on a vécu, de la distance, du refroidissement de l'émotion. Dès qu'on fixe sur le papier un moment de sa vie, on en perd la fraîcheur, on en égare la sincérité, on le trahit. Le 4 mars 1818 Stendhal note : Je crois que pour être grand dans quelque genre que ce soit il faut être soi-même. Les livres immortels ont été faits en pensant fort peu au style ".

12/2010

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Sciences historiques

Journal

Tenu de 1828 à sa mort en 1874, le Journal de Michelet tisse ensemble un projet intellectuel et pédagogique, une ambition personnelle, une oeuvre-monde, une intimité. Il rend à jamais indissociables l'historien de la France et de la Révolution, dont le savoir et le souffle font aujourd'hui encore notre admiration, et l'homme amoureux, obsédé par la mort et célébrant la vie, consignant son intimité et celle de sa femme, disséquant sentiments et plaisirs charnels, se passionnant pour la biologie et l'histoire naturelle. Étonnante modernité d'un texte audacieux, souvent cru, qui n'a rien à envier à l'autofiction contemporaine. Tantôt intimiste, tantôt prophétique, Michelet s'adresse tour à tour au peuple, aux femmes, aux générations futures, et à l'humanité entière. Sous nos yeux se joue la célébration du moi tout-puissant, en union avec la nature et l'univers, et son identification progressive au monde. Dans un mouvement résolument moderne, la subjectivité devient le médium absolu de l'histoire. Voilà pourquoi nous entrons aussi facilement dans ce Journal, qui se lit comme le roman de notre modernité.

05/2017

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Littérature française (poches)

Journal

"La vie est tragique, absurde et cruelle. Et c'est justement ce qui me la fait trouver précieuse, digne d'amour, exaltante". Jean-René Huguenin commence une nouvelle vie. A la veille de ses vingt ans, il décide d'écrire un chef-d'oeuvre. Ou rien. Ambitieux et plein d'orgueil, Huguenin se jette tout entier dans l'écriture. Ce Journal, pensé comme une création littéraire à part entière, raconte les espoirs et les déceptions d'un écrivain en devenir, révolté par une époque jugée désespérément vide.

01/2020

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Beaux arts

Journal

Membre du triumvirat de l'art contemporain avec Picasso et Kandinsky, Paul Klee (1879-1940) n'est pas seulement un peintre de génie. Ce journal, qui jalonne sa vie jusqu'en 1917, révèle aussi un grand écrivain. Souvenirs d'enfance, premières amours, réflexions sur la peinture et la musique, notes de voyages en Italie, en Tunisie, ces textes sont indispensables à toute tentative de compréhension globale de l'œuvre de Klee ; ils prouvent aussi que ce dernier fut dans la magnification du quotidien un artiste total, un homme de l'immanence, un théoricien à l'écoute des moindres battements de la création.

03/2004

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Musique, danse

Journal

Le jour de ses 75 ans, en 1912, Théodore Dubois (1837-1924) commence la rédaction d’un journal intime qu’il tiendra presque jusqu’à la fin de sa vie. Les premières pages retracent le récit du quotidien tranquille d’un musicien adoubé par les milieux officiels mais dont la notoriété artistique est en perte de vitesse ; un compositeur « romantique » bientôt submergé par les sacs et ressacs des modernités éprouvantes de Ravel, Stravinski ou Milhaud. Avec le déclenchement de la Première Guerre mondiale, ce journal prend une tout autre tournure. Rythmé par des nouvelles du front (déformées selon le prisme d’une presse de propagande) ainsi que par des préoccupations personnelles et matérielles, le texte de Dubois livre désormais le regard attentif et inquiet de son auteur sur un conflit aux proportions et aux enjeux inédits. Au fil des pages, le compositeur témoigne aussi de pratiques, d’institutions et de sociabilités musicales qui naissent et s’organisent avec la Grande Guerre. Héros d’un passé révolu, le compositeur du Paradis perdu analyse les événements d’après-guerre (jusqu’en 1923) avec ce même point de vue : lucide, désabusé et souvent passéiste.

05/2012

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Littérature française

Journal

C'est l'un de nos auteurs les plus singuliers de la fin du XXe siècle. Prix Goncourt en 1980 pour Le Jardin d'acclimatation, Yves Navarre fut romancier, dramaturge, dialoguiste et côtoya le Tout-Paris des années 1970-1980. Vivant son homosexualité à visage découvert à une époque où elle demeurait souvent taboue, il fut également un ambassadeur du combat pour l'égalité des droits. Son journal intime, traversé par les figures de Marguerite Duras, Françoise Sagan, Roland Barthes et bien d'autres, fait revivre cette période d'effervescence. Les cahiers auxquels l'écrivain se confiait dépassent cependant la simple chronique : le style, la sensibilité et le panache qui s'y déploient sont les marques indélébiles des oeuvres littéraires de premier rang. Au fil de cette écriture reconnaissable entre toutes se dessine l'autoportrait d'un homme à la mélancolie profonde, tout à la fois mondain et solitaire, brillant et énigmatique. Cette partie essentielle des écrits de Navarre demeurait jusqu'à ce jour inédite. Pour réparer cette injustice, Frédéric Andrau, fin connaisseur de l'oeuvre de l'écrivain, a réuni dans ce volume les pages les plus envoûtantes de ses carnets. En guise d'introduction idéale, il signe par ailleurs une biographie de Navarre nourrie du témoignage de son entourage et de la fréquentation passionnée de ses livres.

04/2024

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Littérature française

Au hasard de la vie 1891

" DANS le nord de l'Inde il y avait un monastère appelé la Chubara de Dhunni Bhagat. Personne ne se rappelait rien concernant ce Dhunni Bhagat. Il avait passé sa vie à gagner un peu d'argent et l'avait entièrement dépensé, comme tout bon Hindou devrait faire, à une oeuvre pie : la Chubara. Ce monastère était plein de cellules de brique, où s'étalaient en couleurs claires des images de dieux, de rois et d'éléphants, et où des prêtres épuisés par les macérations restaient à méditer sur les fins dernières des choses ; les allées étaient pavées de briques, et les pieds nus des milliers de pèlerins y avaient creusé des sillons. Des touffes de manguiers avaient surgi d'entre les briques, de grands pipals ombrageaient le treuil du puits qui grinçait tout le long du jour, et des hordes de perroquets jacassaient dans les branchages. Ecureuils et corbeaux étaient familiers en ce lieu, car ils savaient que jamais un prêtre ne les toucherait".

04/2023

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Littérature française

J'ai (peut-être) tué Hitler ou "l'effet papillon" après la chute d'une brique

"Laissez-moi vous expliquer : Je suis grabataire et hospitalisé. Toutefois, il n'en a pas toujours été ainsi. D'ailleurs, dans ma prime jeunesse, je n'étais pas le dernier pour les bêtises dans mon petit village allemand. Puis, un jour, m'est venue une idée saugrenue : tuer Hitler. Seulement, tuer n'est jamais chose facile - surtout celui-là -, mais ma fuite à pied à travers l'Allemagne en est une autre. Entre sujets graves, anecdotes amusantes et humour, ai-je finalement réussi ? Ai-je tué Hitler ? Je n'en sais rien, mais vous, à la fin de ce livre-aventure, peut-être... "

10/2022

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Loisirs et jeux

Léonard de Vinci. Construis ses inventions en briques Lego

Imaginons qu'une machine à remonter le temps nous ramène en 1482 à Milan, la ville de Ludovic Sforza, dit "le More" , abritant l'atelier du génie le plus innovant, rêveur, éclectique et controversé que l'Italie ait jamais connu : Léonard de Vinci, l'un des plus grands inventeurs de l'histoire ! Plusieurs de ses extraordinaires inventions ont été reproduites en briques LEGO® et sont proposées au fil des pages de ce livre étonnant. Il s'agit de modèles en tout genre, très plaisants à construire pour ensuite s'amuser avec. Une introduction historique sur Léonard de Vinci précède les différents chapitres consacrés chacun à une facette de ce personnage foisonnant, à la fois ingénieur civil et militaire, savant et érudit, artiste, etc. Un "dictionnaire" pratique analyse les types de briques les plus courants, avec leur nom et leurs caractéristiques, en expliquant comment les reconnaître et se procurer des pièces détachées. L'ouvrage fournit en outre les bases du jargon technique aux débutants qui, en consultant les différentes sections, découvriront comment concevoir de nouveaux modèles pour mettre leurs compétences de "maître constructeur" à l'épreuve.

05/2019

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Littérature étrangère

Le journal de la veuve

La narratrice, une femme d'une soixantaine d'années, a perdu subitement son mari. Elle n'a ni enfants ni famille, et ses rares connaissances ne lui proposent qu'un soutien très élémentaire. Assaillie de témoignages de sympathie qu'elle n'a pas le sentiment de mériter, elle cède à la panique et saute à bord de la Jaguar du défunt pour s'enfuir loin de leur grande demeure londonienne, désormais vide. Elle loue une petite maison de pêcheur dans un village de la côte du Norfolk où elle ne connaît personne. Elle y vit recluse, sans trop savoir si elle va y demeurer définitivement ou n'y séjourner que quelques mois. Encore sous le choc de la perte de son mari, elle dort peu, boit de plus en plus et doit apprendre à découvrir sa vraie personnalité à présent qu'elle n'est plus simplement la femme de quelqu'un. Les longues promenades dans les marais du littoral, les soirées au pub et les heures passées à contempler le feu de cheminée sont propices à cette réflexion qui nous est transmise sous la forme du journal qu'elle tient au quotidien. Mais loin de se complaire dans la noirceur ou l'auto-apitoiement, les réflexions et ruminations de cette femme sont teintées d'humour. Au fil de ce monologue intérieur, elle bouscule avec ironie toutes les idées reçues quant à la conduite qu'il est convenu d'adopter en période de deuil. Ainsi rejette-t-elle la suggestion d'une de ses amies de faire du volontariat pour se sentir utile et moins seule au motif qu'elle n'est pas une délinquante en réinsertion. Elle s'amuse aussi des gens du village bien-pensants, visiblement offusqués par l'installation de cette femme qui vit en dépit de toute convenance et n'a que faire du qu'en-dira-t-on. Elle dit elle-même avoir des problèmes avec la réalité et s'efforce de composer avec elle pour alléger son quotidien, comme en témoigne son sens de la formule. A titre d'exemple, elle rebaptise les ornithologues qu'elle croise régulièrement au cours de ses promenades dans les marais, les qualifiant de " paparazzi ornithologiques " du fait de leur accoutrement. Au fil de son récit empreint de causticité, on découvre que son mariage fut loin d'être parfait, plein de frustrations et de déceptions, marqué par deux gros secrets...

02/2012

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Littérature française (poches)

Le journal de la canicule

Avant, le soir, pour me détendre, je faisais des croquis, avec règle et compas, comme on me l'a appris pendant mes études de dessin industriel. Maintenant j'écris sur un cahier volé dans la maison d'en face, désertée par ses occupants. Ce qui m'a pris d'entrer dans cette maison, je ne saurais l'expliquer. La poussière qui s'accumulait sur la voiture garée devant, la boîte aux lettres qui débordait de publicités ont dû me faire craindre un événement dans le genre des faits divers dont parlent parfois la télévision ou les journaux. Ce que j'y ai découvert n'avait rien de spectaculaire. Pourtant, ce cahier que j'y ai ramassé dans une chambre d'enfant allait bouleverser mon existence.

03/2017

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Critique littéraire

JOURNAL DE LA MEMOIRE. Fragments

" Tenant des carnets (un journal ?) depuis la jeunesse, je n'y ai jamais écrit que par spasmes, par bouffées, et dans une sorte d'état d'urgence. Brusques afflux de souvenirs, rêves ou lectures pareillement commentés, ce double qui n'a cessé de m'accompagner est bien aussi projet, que le livre entrevu ait abouti ou non, et interrogation sur ce projet même. Aussi m'a-t-il semblé que je ne pouvais extraire des fragments de ce long flux tout ensemble intermittent et proliférant sans tenter d'y introduire au moins un fil d'Ariane. Si le thème de la mémoire, chez l'être de souvenir qu'est, par définition presque, l'autobiographe, s'est imposé à moi, c'est que la mémoire m'est longtemps apparue comme la dépositaire de l'être même. Souvent, il va sans dire, ces plongées ou ces visitations fortuites s'accompagnent d'une réflexion sur la littérature. Au naïf émerveillement des premières années ici retenues - contemporaines de L'Adoration et s'aventurant à tâtons vers Le Retour - succède assez vite un soupçon qui, dû pour la plus grande part à la cruelle expérience de la mère internée, et qui va s'accusant dans ces pages mêmes, est tout près de s'en prendre au chant longtemps tenu pour " doré " d'une mémoire qui, par places traversée de nostalgie, entend bien pourtant ne se confondre avec aucun " passéisme ", sans cesse au contraire jouaillé, dénoncé que, pratiquement dès le début, est ce dernier. " J. B.

04/1994

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Antiquité

Journal de la Vierge Marie

"N'attend-on pas toujours un petit Dieu, un messie, un sauveur du monde, un libérateur pour notre peuple ? Si on ne le rêvait pas plus grand que tout, si l'on n'y croyait pas aussi fort, se déploierait-il en nous ? " La jeune Marie apprend qu'elle attend un enfant. Pendant huit mois, elle tient un journal dans lequel elle note scrupuleusement les émotions et les sensations qui l'agitent avant cette naissance si particulière. Ses questionnements, ses rêves et ses peurs sont semblables à ceux que partagent nombre de futures mères. A travers un récit dominé par la joie, Sophie Chauveau donne à voir une Marie forte et instruite, et nous dévoile, au-delà du mythe, des aspects méconnus de l'histoire qui changera la face du monde.

09/2023

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Poésie

Moi la dormante. Journal psychiatrique

Ce recueil est un journal poétique, entamé lors d'un premier séjour en hôpital psychiatrique en 2004 au début d'une dépression. Mêlant vers et prose, il témoigne d'une volonté de rendre compte d'une expérience extrême, d'une descente aux enfers à l'intérieur de soi et des autres, et de la découverte de la dureté de l'univers psychiatrique, entre médicaments et enfermement. Il s'agissait alors de garder trace, de témoigner de la maladie psychiatrique, de tous ceux qui éprouvent angoisse et souffrance à tout simplement exister et accomplir les gestes d'une journée quotidienne, alors que la dépression ôte tout élan vital et ravive toutes les questions de l'existence passée (enfance, amours, maternité). Le cahier d'écriture était alors devenu une urgence. Alors même que la dépression, dans son intensité, empêche souvent toute création et condamne au silence, le défi était de rendre compte d'un état limite au jour le jour dans l'immédiateté du vécu et non dans l'après-coup rétrospectif, et de s'arrimer aux mots, au texte, à la création, à ce qui restait, pour explorer les méandres de la pensée/du langage malade. Comme une écriture du désastre qui en soi conjure le désastre. Peinture de couverture : Eric Dubois

09/2021

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Bibles

La Bible. Journal de bord

Si vous souhaitez méditer, annoter et illustrer votre Bible, le modèle Journal de bord est pour vous ! Que vous ayez l'âme d'un artiste ou éprouviez une profonde passion pour le texte biblique, vous aurez le plaisir d'étudier la Parole de Dieu et d'inscrire vos pensées dans les grandes marges prévues à cet effet. Vous pourrez écrire ou dessiner sur du papier bible de très haute qualité, testé et approuvé. Les références parallèles ont été disposées en regard du texte biblique. Plusieurs notes explicatives ont été intégrées et, en bonus, 22 illustrations d'artiste, pleines de sensibilité et de détails, placées ici et là en guise d'inspiration. A colorier et à méditer. Avec tout ce qu'elle renferme, la Bible Journal de bord est conçue pour vous inciter à cultiver et enrichir votre relation intime et vivante avec le Dieu de la Parole.

12/2021

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Littérature française

Le journal de la honte

La peur est une vertu qui mobilise notre conscience. Elle nous sauve de nos fantasmes, elle décrète la fin de l'angoisse et exécute les voeux existentiels, dont la mort. Dans une géographie proche des collaborateurs de nos assassins, nous respirons les molécules d'une haine jouissive. Nous devenons assassins : l'ombre de la peur veille sur nous comme un dieu paternaliste. Le jour du salut ne verra pas un soleil jeter les amarres sur nos blessures. Chaleureux et chaud, ce couard se relève de ses regrets narcissiques malgré les aveux dont il cache la véritable intention. Il vient garantir notre existence, il nous sauve des vices créés par nos ancêtres musulmans, il rend tout visible. Le savoir vient-il de la lumière ? Il n'y a qu'une seule conscience, elle est une, indivisible, atemporelle et non négociable.

07/2014

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Littérature étrangère

Le journal de la peste

Nathaniel Delaney reprend le journal The Echo fondé par sa grand-mère Anne. Alors que des événements majeurs bouleversent le Nord de l'Amérique, Delaney voit son pays verser silencieusement de la démocratie dans le totalitarisme. Il est l'une des dernières voix des médias à tenter de dire l'entière vérité sur ce qui se passe. Cherchant à protéger ses enfants et sauver ce qui reste de sa vie, il fait un choix qui va transformer l'avenir de chacun des membres de sa famille et de bien d'autres gens. Tout au long de l'histoire, il tient un journal d'observation, rapportant l'escalade des événements et analysant les motifs de ses opposants politiques, avec une effrayante transparence. Tandis que son monde s'écroule, il est forcé de sonder en profondeur le sens de ses propres positions et compromis, de ses succès et de ses échecs. Le journal de la peste raconte comme une chronique la lutte d'un homme profondément moderne éprouvé dans ses dernières ressources spirituelles et psychologiques, d'un homme qui, en se perdant, se trouve lui-même.

10/2018

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Littérature française (poches)

La Disparition du nombril. Journal

Dès l’instant où elle découvre le trait bleu sur le test de grossesse, Emilie se confie à son journal et parle de tout, librement : les anecdotes du quotidien, ses amis, ses amours passées et présentes, son fils de presque deux ans qui babille... Et surtout l’émouvante rencontre avec la «petite prune» qui grandit dans ce ventre qui lentement s’arrondit et s’alourdit jusqu’à faire disparaître son nombril. Emilie a mille vies, elle est écrivain, modèle, visiteuse de prison, maman, aime le sexe, les voyages, les cactus et les gâteaux aux amandes. On rit, on pleure, on la suit aveuglément dans son univers intime qu’elle nous livre sans détour ni tabous et qui résonne comme une expérience universelle.

05/2016