Recherche

Je m'appelais Franck

Extraits

ActuaLitté

BD tout public

Elle s'appelait Sarah

Paris, juillet 1942 : Sarah, une fillette de dix ans qui porte l'étoile jaune, est arrêtée avec ses parents par la police française, en pleine nuit. Paniquée, elle met son petit frère à l'abri en lui promettant de revenir le libérer dès que possible. Paris, mai 2002 : Julia Jarmond, une journaliste américaine mariée à un Français, doit couvrir la commémoration de la rafle du Vél' d'Hiv'. Soixante ans après, son chemin va croiser celui de Sarah, et sa vie changer à jamais.

11/2018

ActuaLitté

Lecture 9-12 ans

On l'appelait Tempête

Tempête a hérité son surnom de son goût pour les jours d'orage. Il vit en Australie, seul avec son père, dans une cabane située sur la plage. Un jour, il recueille trois jeunes pélicans blessés et orphelins, qu'il parvient à sauver à force de soins. L'un d'eux, M Perceval, ne le quitte plus d'une semelle. Mais le danger n'est pas écarté, car les chasseurs rôdent.

10/2012

ActuaLitté

Littérature française

Il s'appelait Paco

Etre lycéen dans les années 70, c'était souvent croire en l'héroïsme et la révolte, en prenant le risque de croiser les ombres du passé. Pour Phil comme pour la plupart, la révolution avait été un rêve nourri d'images sur papier glacé. En noir et blanc. Pour Paco, il en avait été autrement. Il raconte l'épopée, du jeune militant anarchiste catalan qu'il fut avant de plonger, en France, au cur de la Résistance contre l'occupant allemand.

09/2018

ActuaLitté

Littérature française

Elle s'appelait Mignonne

Femme éprouvée par la vie. Instable psychologiquement, manipulatrice, elle met à l'épreuve l'existence des personnes les plus proches d'elle. Parfois vulgaire dans ses paroles, elle n'hésite pas à affronter les autorités, les psys. Quelle est la douleur qui habite son coeur ? Quel homme pourra l'apprivoiser ?

02/2019

ActuaLitté

Littérature française

Elle s'appelait Michèle

Dans chaque maison, bien enfouis sous les piles de drap, se meurent des secrets de famille. Inspiré de tous ces non-dits, ce roman nous entraîne de la Provence sous l'occupation allemande à la quête de la vérité sur la disparition de deux enfants dans le Berlin de l'après-guerre. La lumière éclatera enfin, sous le soleil d'un matin d'août 2016...

07/2017

ActuaLitté

Littérature française

Elle s'appelait lili

"En arrivant chez les cousins, je remarquais une traction beige garée sur le trottoir mais ne prêtais pas d'attention aux bagages entassés sur les sièges. Pénétrant dans la petite cour, j'entendis parler vivement ; je rentrais dans la cuisine puis dans la salle à manger et je vis toute une famille que je ne connaissais pas. Je fus surprise par le nombre de vêtements qu'ils portaient sur eux. Tante Noémie qui ne m'attendait pas spécialement, fut d'abord étonnée de me voir là puis, avec son léger accent méridional ou tout au moins ce qui lui en restait me dit : - Babé, voici des amis de Paris, ils sont passés nous dire bonjour. C'est ainsi que je fis la connaissance de Monsieur et Madame Philippe et de leurs trois enfants. Je n'avais que 17 ans mais je me rendis vite compte que rien n'était comme d'habitude..."

10/2016

ActuaLitté

Historique

Elle s'appelait Sarah

Deux histoires se déroulent en parallèle : celle de Julia américaine qui vit à Paris, en 2000, avec son mari Bertrand et sa fille Zoë et celle de Sarah déportée avec son père et sa mère, en 194, 2 lors de la rafle du Vel' D'Hiv'. Les deux récits se rejoignent malgré les années qui les séparent. Paris, juillet 1942 : Sarah, une fillette de dix ans qui porte l'étoile jaune, est arrêtée avec ses parents par la police française, au milieu de la nuit. Paniquée, elle met son petit frère à l'abri en lui promettant de revenir le libérer dès que possible. Paris, mai 2002 : Julia Jarmond, une journaliste américaine mariée à un Français, doit couvrir la commémoration de la rafle du Vél d'Hiv. Soixante ans après, son chemin va croiser celui de Sarah, et sa vie va changer à jamais. Elle s'appelait Sarah, est l'histoire de deux familles que lie un terrible secret, c'est aussi l'évocation d'une des pages les plus sombres de l'Occupation. Le roman de Tatiana de Rosnay est porté par le souffle de Pascal Bresson et revit sous la délicatesse des dessins de Horne.

04/2023

ActuaLitté

Littérature française

Elle s'appelait Habiba

Depuis quelques années, la justice punit plus sévèrement les féminicides et les violences conjugales. Mais cela n'a pas ­toujours été le cas. En 1987, parce qu'elle voulait divorcer et retrouver sa liberté, Habiba a été assassinée à la voiture piégée par son mari. Les six enfants (trois filles et trois garçons) ont été placés en foyer. Certains ont mal tourné, d'autres ont mieux réussi. Dernière de la fratrie, Sabah Kaabi est devenue mannequin, a défilé pour les plus grands couturiers, a fait des campagnes de publicité ­mondiales, a vécu avec des gens connus. Avec plusieurs dizaines de mannequins, elles ont été séquestrées plusieurs jours en Libye par le colonel Khadafi. Sabah a été l'une des rebelles sur place, contre les organisatrices.

03/2024

ActuaLitté

Littérature française

On l'appelait Céleste

Aude n'aurait jamais pu imaginer en mettant de l'ordre dans l'appartement de ses parents décédés faire pareille découverte que celle du journal intime de sa grand-mère maternelle, c'est en Italie, dans la belle ville de Turin que la jeune femme dans sa quête de vérité obtiendra les réponses à un lourd secret de famille soigneusement gardé. Avec l'aide d'un notaire et d'un enquêteur elle tentera de remonter le cours du temps pour réhabiliter l'honneur d'une tante dont elle ignorait jusque-là l'existence.

03/2024

ActuaLitté

Littérature anglo-saxonne

Elle s'appelait Sarah

Paris, juillet 1942 : Sarah, une fillette de dix ans qui porte l'étoile jaune, est arrêtée avec ses parents par la police française, au milieu de la nuit.Paniquée, elle met son petit frère à l'abri en lui promettant de revenir le libérer dès que possible. Paris, mai 2002 : Julia Jarmond, une journaliste américaine mariée à un Français, doit couvrir la commémoration de la rafle du Vél d'Hiv. Soixante ans après, son chemin va croiser celui de Sarah, et sa vie va changer à jamais. Elle s'appelait Sarah, c'est l'histoire de deux familles que lie un terrible secret, c'est aussi l'évocation d'une des pages les plus sombres de l'Occupation.Un roman bouleversant sur la culpabilité et le devoir de mémoire, qui connaît un succès international, avec des traductions dans trente-quatre pays.

06/2022

ActuaLitté

Lecture 9-12 ans

Il s'appelait... le soldat inconnu

Quand il était petit, François rêvait d'être soldat. Puis la guerre de 1914 a éclaté et il est parti se battre, fier de défendre son pays. Mais il a rapidement découvert la dure réalité des champs de bataille, l'horreur des tranchées, la sauvagerie des hommes. Il a surtout connu une fin tragique, comme de nombreux soldats, et son nom s'est perdu dans la boue de Verdun. C'est ainsi qu'il est devenu... le Soldat inconnu.

10/2010

ActuaLitté

Chanson française

Tout le monde l'appelait Johnny

Patrick Roussel est resté dix-sept ans au service de Johnny Hallyday, de 1999 à 2016. Tout le monde l'appelait Johnny mais, pour lui, il était le " patron ". Embauché comme chauffeur et chargé de sécurité, Patrick Roussel est devenu l'homme de confiance de l'artiste. Il était à ses côtés au quotidien et l'accompagnait dans chacun de ses événements publics comme privés. Il était avec lui lors des tournées, des émissions de télévision, des soirées festives, du road trip en Harley-Davidson sur la route 66, du Paris Dakar, mais aussi lors des voyages au Vietnam pour les adoptions de Jade et de Joy ou ses hospitalisations. Il l'a suivi de Marnes-la-Coquette à Los-Angeles en passant par Gstaad. Dans ce livre, Patrick Roussel raconte sans concession son quotidien auprès de Johnny, les moments de joie, de doute et de complicité, mais sans passer sous silence les fragilités et les angoisses du chanteur ou l'influence de son entourage. Très connu des fans de Johnny, Patrick Roussel livre ici un témoignage inédit d'une grande sincérité et riche en anecdotes, avec en toile de fond un portrait de l'artiste qui ne laissera personne indifférent.

06/2023

ActuaLitté

Romans historiques (poches)

On l'appelait la Dorure

En octobre 1921, aux assises de Douai, s'ouvre un procès qui avant même de commencer à fait couler beaucoup d'encre. L'homme qui va prendre place dans le box des accusés est un notable bien connu. Sa réussite sociale lui a attiré quelques ennemis féroces

10/2017

ActuaLitté

XVIIIe siècle

On l'appelait Madame Elisabeth

Elisabeth Philippe Marie Hélène de France, dite Madame Elisabeth est née le 3 mai 1764 à Versailles et est morte guillotinée le 10 mai 1794 à Paris à l'âge de 30 ans. Elle est la soeur de Louis XVI, huitième et dernier enfant du dauphin Louis et de Marie-Josèphe de Saxe. Elle qui apporta un soutien indéfectible à son frère fut emportée comme lui par la Révolution française. Emprisonnée avec la famille royale en 1792 et appelée à comparaître devant le tribunal révolutionnaire sous la Terreur, elle fut condamnée à mort et exécutée. Reconnue pour sa piété, ses actes de charité et sa mort associée à un martyre, elle est déclarée Servante de Dieu par l'Eglise catholique le 23 décembre 1953. Dans cette biographie passionnante, Eric Leclercq dresse le portrait de cette dame que l'Histoire a parfois laissée dans l'ombre.

07/2021

ActuaLitté

Mer

On l'appelait Bugaled Breizh

Le 15 janvier 2004, en début d'après-midi, par beau temps, le puissant chalutier Bugaled Breizh (enfants de la Bretagne) périt corps et biens au sud du cap Lizard, comme effacé par la succion d'un maelström ou quelque force exogène, dira la justice, en 57 secondes exactement... Cinq hommes à bord : Yves, Pascal, Georges, Eric, Patrick. "Je chavire" sont les derniers mots du capitaine à la VHF, puis on entend la mer s'engouffrer. Accident naturel, aléa marin, dit la justice en 2009. Accident nullement naturel, disent les proches, constitués en parties civiles. Le jour même du drame, au sud du cap Lizard, l'Otan entraînait ses meilleurs sous-marins à la guerre nucléaire en eau peu profonde. Ils étaient anglais, allemands, hollandais, espagnols, français et se pourchassaient dans la zone où le Bugaled tirait son chalut. Fausses pistes, destruction de preuves (le canot de sauvetage de la Royal Navy), rétractations... Ce livre retentissant étaie l'intime conviction que le Bugaled Breizh n'est pas descendu mystérieusement sous la mer, et que cinq marins ont été noyés sous un mensonge d'État.

01/2014

ActuaLitté

Littérature française

La station s'appelait Terminus

Les histoires naissent au fil du vécu, au fil des rencontres. Conscientes du fait que toute chose comporte en elle-même sa fin. Bien engagée sur ses rails, la vie profite de son élan jusqu'à ce que l'incident survienne au détour d'une route, inattendu, insurmontable. Les destins se croisent, si différents, campés par des personnages si différents, et pourtant menacés par une même fatalité toute stoïcienne, sénéquienne.
Plusieurs de ces nouvelles ont été primées au Luxembourg et ont été publiées préalablement dans des revues culturelles.

03/2013

ActuaLitté

Histoire de France

Il s'appelait Pierre Brossolette

Son nom est un symbole. Aujourd'hui encore, il incarne la lutte pour la liberté, jusqu'à l'ultime sacrifice : son suicide par défenestration, le 22 mars 1944 à Paris, pour échapper aux tortionnaires de la Gestapo. Le péril nazi, Pierre Brossolette le discerne et le dénonce depuis longtemps. Bien avant d'être nommé numéro 2 du BCRA, les services de renseignement de la France libre, ce militant socialiste, agrégé d'histoire, hostile aux accords de Munich, avait été journaliste. Entré en résistance au sein du réseau du Musée de l'homme, dont il rédige le bulletin clandestin, il rejoint en 1941 l'organisation du colonel Rémy. Passé à Londres en avril 1942, partisan d'une vaste union patriotique jusqu'au PSF de Charles Vallin, il est de ceux qui convainquent le général de Gaulle de l'importance de la Résistance intérieure. Gilberte Brossolette, épouse et partenaire, fut la première à raconter sa vie, à l'aide des témoignages inédits d'Henri Frenay, du colonel Passy, de Pierre Mendès France et de nombreux résistants. Elle dépeint aussi le mari et le père, homme joyeux et attentionné, modèle d'engagement humain. Enrichi de documents rares et de photos, voici un témoignage pour l'histoire, à l'heure où les cendres de Pierre Brossolette entrent au Panthéon.

05/2015

ActuaLitté

Autres collections (6 à 9 ans)

Il s'appelait comme moi

Lors d'une sortie scolaire consacrée au souvenir de la Première Guerre mondiale, un enfant a la surprise de voir son nom sur la liste des décédés du monument aux morts du village... Il décide d'en savoir plus

10/2023

ActuaLitté

Histoire de France

Il m'appelait Pikolo. Un compagnon de Primo Levi raconte

À l'été 1944, à Auschwitz, le futur grand écrivain Primo Levi rencontrait Jean Samuel, comme lui déporté, comme lui confronté à l'indicible. Par affection, il lui donna le surnom de Pikolo. Trois ans plus tard, dans son chef-d'œuvre Si c'est un homme, il faisait de Pikolo un personnage mythique, incarnation de la dignité conservée jusque dans l'horreur. Témoin oublié, héros discret, Jean Samuel a longtemps tu ses blessures. Après soixante ans de silence, il a raconté ses souvenirs, sa rencontre avec Primo Levi et les moments exceptionnels qu'ils ont vécu ensemble, la marche de la mort, leurs incroyables retrouvailles, l'amitié quasi miraculeuse qui a lié les deux hommes jusqu'au bout. Il livre également leur correspondance, lettres spontanées et profondes, d'autant plus touchantes qu'elles n'étaient pas destinées à être lues par d'autres qu'eux.   Inclus un cahier photos

01/2015

ActuaLitté

Ouvrages généraux

Elle s'appelait Anne Frank. L'histoire de la femme qui aida la famille Frank à se cacher

"Je n'ai rien d'héroïque. Je ne suis que le maillon final de la longue, très longue chaîne de braves Hollandais qui ont fait ce que j'ai fait". Pendant deux ans, Miep Gies a aidé Anne Frank et sa famille à se cacher des nazis dans un immeuble d'Amsterdam. C'est également grâce à elle que le journal d'Anne est parvenu jusqu'à nous, puisqu'elle l'a conservé et caché après l'arrestation de la jeune fille, avant de le remettre à son père, Otto Frank. Dans ce témoignage historique émouvant, elle raconte comment, avec quelques autres, elle a permis à la famille Frank de survivre pendant sa clandestinité. Elle évoque aussi, toujours avec pudeur, le quotidien d'une résistante lors de l'occupation allemande avec ses doutes, ses craintes et ses rêves, et sa participation au devoir de mémoire une fois la guerre terminée. Un document poignant à la valeur inestimable.

06/2022

ActuaLitté

Romans historiques

1792, Le Diable s'appelait André Pomme

André Pomme, dit Pomme l'Américain, ce député Conventionnel est passé totalement inaperçu dans l'histoire de la Révolution française...Et pourtant, toujours dans le secret, il en fut un des principaux acteurs ! Avant la Révolution , il est un des fondateurs du toujours mystérieux Grand Chapitre Général du Grand Orient de France ; certainement impliqué dans l'affaire du collier de la reine, il est obligé de s'exiler en Guyane, colonie dont il deviendra le premier député...Alors qu'il siège à la Convention, il y est un des plus violents adversaires du clergé romain, qu'il propose d'envoyer en Guyane pour y remplacer les esclaves noirs...Il passera des paroles aux actes en expédiant d'abord les religieux français, puis les belges...Fils d'un chef contre-révolutionnaire, André Pomme profitera de la situation et deviendra le principal agent de renseignement de la Convention, en Provence...Dès le début du règne de Napoléon, l'homme sera remercié pour ses bons et loyaux services et regagnera Arles sa ville natale, dont il sera désigné maire en 1815...Arles la Catholique, une des capitales de la Contre-Révolution, le bannira à jamais de sa mémoire...Le diable n'y avait pas sa place...

01/2013

ActuaLitté

BD jeunesse

Il s'appelait Ptirou. Edition de luxe

C'est une surprenante et dramatique histoire que celle qui fut contée le soir de ce Noël 1959, dans une demeure de la banlieue de Charleroi. Réunis auprès de leur oncle Paul, trois enfants impatients réclament un récit, lequel sera inspiré d'un épisode vieux de presque trente ans... La Grande Dépression fait rage à cette époque malmenée : tensions sociales, grèves et conflits sont le lot quotidien des entreprises industrielles. Celle de Henri de Sainteloi, grand patron de la Compagnie Générale Transatlantique, ne fait pas exception à la règle. Poussé par ses actionnaires à renégocier les frais de locations des quais, Monsieur de Sainteloi doit se rendre à New York et en profite pour y emmener sa fille unique, Juliette, ravissante enfant atteinte d'une grave insuffisance cardiaque. A des kilomètres de Paris, sur les rives pluvieuses de la Seine, le cirque Marcolini est en deuil : Madly, sa trapéziste vedette, est victime d'un tragique accident qui force Ptirou, son fils, à quitter les saltimbanques pour tenter sa chance en Amérique, là où dit-on tout est possible à qui poursuit ses rêves. Sur le paquebot en partance pour le Nouveau Continent, voici l'histoire d'une improbable rencontre, d'une aventure bouleversante. Laurent Verron, le digne héritier de Roba, Peyo et Franquin, et Yves Sente le scénariste aux mille visages se sont immergés dans l'atmosphère de ces années grises afin d'en restituer brillamment l'essence. Le trait enlevé de Verron magnifie ce panorama plein de caractère d'une époque en proie à la lutte des classes, sur fond d'immigration et de vastes traversées. Cette épopée transatlantique, que colorent les romans de Dickens, fait se côtoyer la grande Histoire avec la petite à travers les destinées de ses deux jeunes héros. "Il s'appelait Ptirou", ou les origines du personnage de Spirou créé par Rob-Vel, réinvente l'aventure romanesque.

01/2018

ActuaLitté

Littérature française

Mon hôte s'appelait Mal Waldron

Hanté par le fantôme de Mal Waldron, pianiste de jazz américain mort à Bruxelles en 2002, ce roman prend pour point de départ un fait marquant dans la vie du musicien : un grave accident cérébral occasionné par une surdose d'héroïne. Il se réveillera de son coma avec une mémoire totalement blanche. Même son nom lui échappe, sans compter son jeu pianistique dont il a tout oublié. L'auteur de ce livre ne voulait en rien écrire une biographie du jazzman. Le musicien s'est imposé comme un personnage de roman, rien d'autre. Comme dans ses livres précédents, Carino Bucciarelli, ici au départ d'un accident de vie, se livre aux errances, digressions et jeux de miroirs qui caractérisent ses écrits. Ses thèmes récurrents - le double, la dépersonnalisation - imprègnent totalement cette histoire, qui nourrit en outre une réflexion sur l'écriture et le rôle volontaire ou non de l'écrivain dans son propre texte.

02/2018

ActuaLitté

Sciences historiques

Je m'appelais Julien Tournayre... J'étais agriculteur au pays de Billom dans la Toscane auvergnate

La vie de Julien Tournayre (1904-1999) épouse le XXe siècle. Elle illustre l'évolution des modes de vie telle que l'a connue durant cette période le pays de Billom. Cette riante contrée, située aux confins de la Grande Limagne et du Livradois, que l'on sunomme la Toscane auvergnate. Issu d'une famille paysanne de Chas, un village du cru, Julien Toumayre est devenu chef d'exploitation aux Cohériers, un hameau de la commune voisine de Mont-morin, suite à son mariage avec Hélène Fontvieille. C'est en effet la ferme de ses beaux-parents qu'il a fait prospérer en se familiarisant avec les nouvelles techniques agricoles. Une vie de labeur collant à un terroir, mais dont le parcours est moins banal que d'aucuns l'imagineraient tant cet homme éclairé était imprégné d'un profond humanisme.

10/2020

ActuaLitté

Contes et nouvelles

Tinon savann an mwen sété Chouboulout !. On m'appelait Chouboulout !

Parce que "L'enfance est le sol sur lequel nous marcherons toute notre vie" , disait Lya LUFT, l'auteure veut inciter à la lecture, et pourquoi pas à l'écriture. Elle offre un bouquet de seize récits d'enfance qu'elle réunit dans ce recueil de nouvelles qu'elle nomme On m'appelait Choubouloute ! ou Tinon savann an mwen sété Chouboulout ! Vient ensuite une réflexion sur l'enfance. Jacqueline BIRMAN SEYTOR s'adresse aussi bien aux élèves du 3ème cycle du primaire, qu'aux collégiens et lycéens. Elle leur donne la possibilité de saisir avec aisance la particularité de la nouvelle, forme courte, qui permet de glisser du récit au discours. En utilisant ses deux langues maternelles : le créole et le français, elle apporte aux jeunes les éléments nécessaires à la construction de leur "moi" , et l'affirmation de leur appartenance à un groupe socio-culturel en pleine évolution. Enfin, cet ouvrage est un outil pédagogique fiable, à l'usage des professeurs de français et des professeurs de L. V. R. Langue Vivante Régionale Créole. Toutefois, les adultes y trouveront de l'intérêt, puisque les lieux et les actions s'inscrivent dans la nostalgie d'un passé pointois florissant.

03/2023

ActuaLitté

Sports

On l'appelait Patou. Biographie de Robert Paparemborde

Robert Paparemborde a connu un formidable destin sportif. Athlète exceptionnel puissant et souple, polyvalent (athlétisme, disque, javelot, ski), il sera champion de judo puis international de handball avant d'opter définitivement pour le rugby. Après 17 saisons avec la Section Paloise il ralliera le Racing Club de France, l'aidant à remonter en 1ère division pour ce qui sera sa dernière saison de joueur (1984). Devenu entraîneur puis manager sportif des parisiens, son travail sera couronné par un titre de champion de France en 1990. Suit une longue carrière internationale sous le maillot du XV de France de 1975 à 1983 dont il sera l'inamovible pilier droit, décrochant sous le maillot frappé du coq 3 victoires dans le Tournoi des 5 Nations (1977, 1981 et 1983) dont 2 Grands chelems, et sera de la première équipe française à battre les All Blacks chez eux (1979). Avec son ami Jean-Pierre Rives il participera à la fondation des Barbarians français. Vif, drôle, intelligent, toujours maître de ses nerfs, il était de la catégorie des ours qui partagent le miel. Fauché par un cancer foudroyant, "Patou" décède le 18 février 2001 à Paris, laissant trois enfants, Pierre, France et Elsa. A 52 ans à peine, nul doute qu'il avait encore de belles choses à accomplir... Famille, proches, amis d'enfance, compagnons de jeu partenaires ou adversaires de tous les pays ainsi que quelques-unes des plus belles plumes de la presse écrite nous ont aidés à dessiner le portrait de cet être attachant et singulier.

11/2019

ActuaLitté

Littérature française

Cela s'appelait un métier d'homme

Officier de police durant 33 ans, l'auteur livre ici le récit d'une carrière essentiellement consacrée à la lutte contre l'immigration clandestine et le travail dissimulé. Philippe Musseau nous fait partager son expérience en mettant la lumière sur l'ambivalence des relations humaines au sein de l'institution Police, où les jalousies, les traquenards, les coups bas entre collègues prédominent sur l'esprit de corps qui n'est le plus souvent qu'une illusion. Cela s'appelait un métier d'homme nous invite à découvrir une carrière riche en expériences professionnelles bien que désenchantée sur le plan humain. L'auteur met en évidence les grands maux qui sclérosent l'institution policière et propose, à sa façon, des pistes d'amélioration qui permettraient de rendre sa grandeur à ce métier qui mérite d'être vécu, à condition d'avoir un caractère à toute épreuve.

01/2023

ActuaLitté

Littérature Espagnole

L'anarchiste qui s'appelait comme moi

Un jour de désoeuvrement, Pablo Martín Sánchez tape son nom dans un moteur de recherche. Par le plus grand des hasards, il se découvre un homonyme au passé héroïque : un anarchiste, condamné à mort en 1924. Férocement intrigué, il se pique au jeu de l'investigation et cherche à savoir qui était... Pablo Martín Sánchez le révolutionnaire. Happé, l'auteur se fond dans cette destinée tourbillonnante et picaresque, alternant le récit d'une épopée révolutionnaire dans le Paris des années 1920 où les faubourgs de Belleville abritent d'ardents imprimeurs typographes, et celui d'une jeunesse aventureuse en Espagne jusqu'à les faire converger en un dénouement... tragique.

09/2021

ActuaLitté

Autres collections (9 à 12 ans

Il s'appelait comme moi. 1914-1918

A l'occasion d'une sortie scolaire consacrée à l'Armistice du 11 Novembre, un jeune garçon découvre son nom sur le monument aux morts de son village corse. Il veut en savoir plus et découvre que le grand-père de son grand-père est parti sur le continent faire la guerre contre les Allemands en 1914. Nous voilà plongés dans l'enfer de la Grande Guerre aux côtés de soldats très jeunes arrachés à leur foyer un matin d'août 1914.

02/2021

ActuaLitté

Critique littéraire

Les français populaires africains. Franco-véhiculaire, franc-bâtard, franco-africain

Malgré de nombreux travaux dans des domaines divers de la dialectologie, la sociolinguistique, la lexicologie, la linguistique française, la didactique, la créolistique, etc., le français populaire traîne le poids d'une culpabilité épistémologique car il est évanescent, instable et variable à souhait. Faire un état des savoirs en terrain africain est un enjeu historique, géographique, intellectuel et théorique, depuis son avènement, empreint d'idéologies coloniale et postcoloniale, jusqu'à son encensement dans les réseaux urbains africains, gage d'une pleine légitimité linguistique et identitaire. Les français populaires africains se systémisent sous des formes diverses (franco-véhiculaires, franc-bâtards et franco-africains) et se fonctionnalisent dans des contextualités sociolinguistiques et sociopolitiques de véhicularité sinon de vernacularité, de compétitivité linguistique et de cristallisation identitaire. Des enquêtes, des données, des corpus ont caractérisé, nommé, frontiérisé, typologisé et dévoilé en dernière instance des modèles et des scénarios d'évolution. La prise de conscience de ces variétés particulières dans le continuum africain de la francophonie a conduit à des prédictibilités sur les plans des politiques linguistiques et éducatives. Les politiques publiques jouent un rôle indéniable dans l'émergence des français populaires africains.

04/2012