Cuisine asiatique
10/2022
Petits classiques parascolaire
08/2018
Prière et spiritualité
02/2006
Art contemporain
03/2023
Géopolitique
10/2023
Science-fiction
05/2019
Rock
12/2021
Sociologie
07/2019
Histoire internationale
04/2002
Policiers
06/2020
Littérature étrangère
10/2005
Photographie
05/1977
Littérature étrangère
11/2011
Policiers
Sciences politiques
09/2017
Sciences politiques
03/1999
Littérature française
09/2020
Science-fiction
Littérature française
03/2015
Critique littéraire
03/2009
Policiers
11/2013
Télévision, radio
11/2022
Policiers
08/2006
Littérature française
Un premier roman magistral qui raconte la dérive de l'histoire d'amour entre Erika et Vincent au Rwanda, 25 ans après le génocide des Tutsis. Kigali, 2018. Depuis sa rupture avec Vincent, Erika vit sur un fil. Elle décide alors de se faire hara-kiri par l'écriture, d'adresser à sa soeur des lettres pour " exorciser de son corps " un amour-dévastation qui l'habite encore. Elle raconte son histoire, mais également celles des êtres fragiles auxquels elle est attachée, qui eux aussi tentent de vivre. Avec James, frère second hand, Manzi, le séduisant karatéka, Mzee Idelphonse, Maman Colonel, Tonton Damas, les coeurs débordants comme la mousse des bières décapsulées au bar L'Église, ils reconstruisent une nouvelle famille qui illumine ce roman. Du pays aux mille collines florissantes, où après le génocide des Tutsis chacun a été forcé de tourner la page, Dominique Celis montre que derrière la rhétorique officielle d'unité nationale chacun a " incarcéré ses peines à perpète ". Des blessures sans cesse ravivées lorsque l'on peut croiser les bourreaux du passé au détour d'une station-service ou sur la rive calme du lac Kivu. . . Les deux amants sont hantés par le souvenir de leurs disparus des massacres de 1994 : ses tantes pour Erika, toute sa famille pour Vincent. Dans une langue vive et inventive, à la scansion fiévreuse, Erika partage la singulière histoire d'un amour qui tente de résister à cette fatalité tragique. Même lorsque Vincent se sépare d'elle, la passion charnelle qui les domine ne faiblit pas, et c'est une femme vibrante de regrets, encore taraudée par le désir, qui rédige ces lettres, puisque sur sa peau " rien ne veut s'effacer ".
Actualité médiatique internati
01/2021
Basket, Handball, Volley
11/2022
Littérature Espagnole
02/2021
Policiers
03/2013
Critique
01/2023
Sociologie
09/2021