Après plusieurs semaines de manifestations dans les rues d’Algérie, le mouvement entamé le 16 février 2019 ne semble pas décroître. Originellement lancé contre la candidature du président actuel, Abdelaziz Bouteflika — qui aurait alors brigué un cinquième mandat — les manifestants ont, pacifiquement, obtenu sa démission le 2 avril. Avec depuis un mot d’ordre : le droit de vendredir.