Jonathan Franzen, c'est un peu le Mathieu Kassovitz des Américains : comme le réalisateur français, il s'énerve souvent, mais lui ne le fait pas en tweets, bien au contraire. Cette semaine, c'est en effet Twitter qui est devenu la cible de l'auteur de Freedom, lequel n'y voit qu'un « médium totalement irresponsable ».