Julien travaille comme juriste coopérant dans les pays africains qui ont subi de graves conflits ayant entraîné des crimes contre l'humanité. Il participe principalement à la restauration de la justice dans l'état de droit. Il voyage beaucoup et suit, dès 1998, les procès du génocide des Tutsis et les crimes de droit international au Congo et au Burundi. Rappelé au chevet de son père, Albert, gravement malade, celui-ci lui lit un carnet qu'il a récemment retrouvé. C'est un long récit de son grand-père, Victor. Un grand-père inconnu qui avait abandonné son fils Albert dès sa naissance. Victor était soldat de la Force publique, l'armée noire des Belges au Congo au début du vingtième siècle. Il livre dans son carnet un récit expiatoire dans lequel il relate les crimes qu'il a commis pendant la guerre de la colonisation et son exil en pleine forêt où il a intégré pendant quelques années un village congolais de danseurs-poètes. Julien est bouleversé. La petite histoire familiale prend soudain place dans la grande histoire. Il réfléchit à l'impact de ce passé guerrier de la colonisation sur les crimes contemporains. Ses tourments et les conversations avec son père mourant permettront peut-être à Julien de transmettre à sa propre fille le témoignage du passé afin de l'armer dans la construction de son avenir et celui des deux continents, l'Europe et l'Afrique.
Une logorhée sans interêt gribouillé par un gourou neo colonialiste vicieux
Hélène
14/04/2023 à 12:44
Les pauvres turpitudes égotiques d'un vieux blanc dont le fonds de commerce est le sentimentalisme néocolonial; "regardez-moi me regarder le nombril" devrait être le vrai titre . Racisme inversé, un entrepreneur de la mémoire. Ce genre de personne qui fait mal au Congo.
Isidore
28/08/2023 à 17:16
Rien que le choix de la maison d'édition devrait être dissuasif tellement celle-ci est cheap et se limite a publier(en payant) et non éditer des petits auteurs sans envergure. Livre a jeter à la décharge.
Ethos
14/09/2023 à 16:41
La question coloniale colonisée par les vieux blancs de plus de 50 ans, chercher l'erreur
4 Commentaires
Gary Pioc
13/04/2023 à 16:53
Une logorhée sans interêt gribouillé par un gourou neo colonialiste vicieux
Hélène
14/04/2023 à 12:44
Les pauvres turpitudes égotiques d'un vieux blanc dont le fonds de commerce est le sentimentalisme néocolonial; "regardez-moi me regarder le nombril" devrait être le vrai titre . Racisme inversé, un entrepreneur de la mémoire. Ce genre de personne qui fait mal au Congo.
Isidore
28/08/2023 à 17:16
Rien que le choix de la maison d'édition devrait être dissuasif tellement celle-ci est cheap et se limite a publier(en payant) et non éditer des petits auteurs sans envergure. Livre a jeter à la décharge.
Ethos
14/09/2023 à 16:41
La question coloniale colonisée par les vieux blancs de plus de 50 ans, chercher l'erreur