tatouage e ink

Avec l'encre éléctronique inventez le tatouage à l'E-ink

Quand on vous dit que la lecture, c'est un truc que l'on a dans la peau, ne souriez plus. Car enfin, l'homme est un être de mots, de paroles, constitués de textes, lus, récités, etc.

« Tatoueurs, tatoués »,

Il n'y a pas que David Beckham qui aime les tatouages. Contrairement aux clichés qui ont la vie dure, il n'y a pas que les motards qui arborent des tatouages ;  les écrivains aussi aiment faire des dessins indélébiles sur leur peau. Petit tour d'horizon des écrivains tatoués. 

Est-ce la peine de prendre cinq lignes pour rappeler à un hypothétique ermite ce qu'est Twilight ? La saga de Stéphanie Meyer qui parle de vampires végétariens centenaires qui scintillent comme l'eau des Caraibes au soleil? Non.

La holding E-Ink a annoncé que ses recettes pour le premier semestre de 2011 étaient de 600 millions de dollars (environ 426 millions d’euros), soit une augmentation de 67% de plus que l’année dernière.

Erreur de casting, du côté du marketing, ou bien la grande direction, prenant conscience de sa bévue, aurait tiré les oreilles du responsable ? Toujours est-il que Hachette Australie avait lancé une campagne de recrutement, cherchant une femme tatouée d’un dragon pour devenir l’égérie du tome 4 de Millenium. Et que la société a fait une jolie reculade...

L'éditeur Uppr a développé un concept de livres de 40 pages, autour de thèmes d'actualité et de réflexion. Un mode rapide de lecture, qui s'agrémente d'une quarantaine d'auteurs aujourd'hui au catalogue. Fondée en 2014, la maison a décidé de se débarrasser des DRM. 

Démocratisés, vulgarisés, devenus populaires autant que les piercings, les tatouages sont presque devenus communs. Héloïse Guay de Bellissen a goûté aux tatouages très jeune : elle a 18 ans, et cette démarche à la fin des années 90 était encore loin d’être aussi admise qu’aujourd’hui.

Il est des lecteurs complètement piqués de littérature. Et si bien qu'outre les traditionnelles têtes de mort façon Hells Angels, les coeurs transpercés de flèches en dédicace à maman et autres symboles tribaux, le monde du tatouage fourmille également d'oeuvres d'art corporel inspirées par les univers des livres. Si les ancres tatouées sur les bras de Popeye sont certes passées de mode, on peut toujours retrousser ses manches pour quelques devinettes.

« À ma classification décimale, pour toujours » ou « Toujours plus Dewey de toi », sont des expressions d’amour certes incontestables, mais pas nécessairement des plus sexy. À Bordeaux, deux bibliothécaires passionnées de tatouages avaient décidé de monter un projet qu’on qualifierait de tattoomonial. Il s’agissait de mettre à disposition des illustrations, pour des professionnels du tatouage, issus des fonds de la bibliothèque de Mériadeck.

Tout le monde, y compris Adobe qui l'avait mis au point, semble s'accorder sur la lourdeur et la rigidité du verrou numérique traditionnel, autorisant la synchronisation avec quelques appareils seulement. Pour autant, la disparition des mesures de protection technique reste un vieux rêve d'idéaliste, tant l'industrie culturelle entretient une peur panique du contenu culturel dématérialisé.

En quelques années, le tatouage a quitté son statut de marque infamante ou marginale, avant de devenir un produit de consommation courante. La société américaine Litographs, qui fait dans les produits littéraires en tous genres, a lancé un projet de financement participatif pour lancer une gamme de tatouages éphémères. Et propose parallèlement de participer à la plus longue chaîne de tatouages du monde.

Le magazine dédié aux « livres de et pour les femmes indépendantes », For Books' Sake, appelle sa communauté de lecteurs à contribuer une nouvelle rubrique qui présentera des tatouages littéraires.

Il fallait bien que cela arrive un jour : alors que l'on évoque avec de plus en plus de détails l'apparition de l'homme augmenté, de joyeux malades ont mis au point une technologie pour afficher un tatouage avec de l'encre électronique sur une partie du corps. L'avantage, c'est qu'il est possible de le modifier simplement et rapidement avec l'application fournie.

Installés en Caroline du Nord, Chuck Eldridge et son épouse Harriet Cohen ont ouvert un cabinet de tatouages, toujours en activité. Dans la ville de Winston-Salem, le couple est connu pour sa passion de la chose imprimée, à même la peau. Et le salon Tattoo Archive, avec le temps, s’est développé au point d’ouvrir un espace muséal, des expositions temporaires, ainsi qu’une librairie…

La Denver Public Library, bibliothèque publique de Denver, dans l'état du Colorado aux États-Unis, a voulu proposer un service insolite et inédit à ses usagers : leur conseiller des livres d'après leurs tatouages. Sur la page Facebook de la bibliothèque, les lecteurs étaient invités à poster des photos de leurs ornements épidermiques, pour recevoir en échange quelques recommandations...

S'il est maintenant admis que le tatouage ne date pas d'hier, son histoire reste très difficile à retracer. Les nouvelles technologies, notamment le rayonnement infrarouge (IR), semblent petit à petit percer le mystère de cet art ancestral. Des chercheurs ont en effet scanné plusieurs momies égyptiennes vieilles d'au moins 3000 ans, sur lesquelles, de nombreux tatouages sont apparus...

La bibliothèque publique de Denver a organisé un événement un peu particulier le week-end dernier : un atelier tatouages, où il était possible de s'offrir un dessin réalisé par un professionnel chevronné pour une somme assez faible. Et le tout sera directement versé à une organisation caritative, la Fondation des amis de la bibliothèque publique de Denver.

Le rassemblement annuel de la Society for Information Display (SID) s'est tenu en juin dernier à Boston, le temps de quelques jours qui ont réunis technophiles et constructeurs. Le SID 2012 a notamment été marqué par les démonstrations de la société E-Ink, qui a dévoilé son nouvel écran, le Triton 2, mais également de nouveaux usages de la technologie d'encre électronique.

Le monstre taïwanais de la fabrication d'écran à encre électronique s'apprête à exploser plus encore ses concurrents. Ça risque d'éclabousser gentiment, alors que le DigiTimes annonce une vente de 60 millions d'actions. Une décision de E Ink Holdings, la société mère, et qui concerne les trois firmes E-ink, Sipix, et Hydis.

Bisbille en Corée ? En 2008, la société E Ink Holding achetait Hydis Technologies, spécialiste des écrans LCD. L'année suivante, c'est en rachetant E Ink Corp que le groupe se développait un peu plus encore. Mais pour rester le leader dans un secteur, en l'occurrence, la fabrication d'écran à encre électronique, E Ink Holding prête le flanc aux critiques. 

La société E Ink corporation, leader sur le marché des écrans à encre électronique, technologie qui ne consomme d'énergie que pour modifier le contenu affiché, disposerait en son siège d'un écran de démonstration qui n'a pas été rafraîchi depuis novembre 2000... et celui-ci afficherait toujours une image correcte. Douze ans plus tard, il s'agirait d'un record de persistance.

La société IRX Innovation, spécialisée dans le développement de solutions d'affichage à encre électronique et basée aux Pays-Bas, a mis la clé sous la porte en cette fin 2014. En 2010, IRX avait racheté iRex, l'entreprise qui avait créé un des premiers modèles de lecteurs ebook, l'iLiad.

La société E Ink Holdings avait annoncé que la rentabilité reviendrait au deuxième trimestre 2019. Elle ne s’était pas trompée. Un certain optimisme régnait mi-juin, que les résultats économiques sont venus confirmer. 

Lifehacker partage des trucs et astuces postés sur le site par la communauté de ses fidèles. C'est ainsi que le weblog a exposé hier à ses lecteurs une technique simple, qui devrait donner l'illusion que nos écrans disposent de la technologie d'encre électronique. Celle-ci est réputée optimiser le confort de lecture.

Plutôt que d'avoir à choisir entre un écran classique, bien trop brillant pour pouvoir lire longtemps, et un écran E Ink, l'idéal serait de posséder un appareil qui propose les deux ! C'est tout à fait ce qui semble se profiler, selon le site Digital Trends.

Avec un résultat pour le mois d'avril qui accuse un léger contrecoup, inutile de crier au loup. La société E Ink Holding continue de bien se porter et la société basée à Taiwan n'est pas sur le point de mettre la clef sous la porte.

La société E Ink fait de régulières présentations de sa technologie Triton, permettant l'affichage de couleur sur un écran à encre électronique. Présentant des résultats qui n'étaient pas particulièrement probants pour l'heure, les vidéos de présentation n'ont pas manqué.