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spleen

Extraits

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Ouvrages généraux

Swiss-spleen

Les structures imprègnent sur les cerveaux une violence que ceux-ci restituent. Le long de la vie, les êtres éprouvent problèmes, doutes, réussites. Aussi difficile soit le parcours, nous sommes tous condamnés au courage, à la lucidité, à la bravoure. Ce n'est pas facile d'être un être humain, surtout quand tout nous pousse à la concurrence, à la brutalité, à l'animalité.

06/2021

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Poésie

Le spleen

Amertume et désolation, tel est le lot de ces pages, où l'auteur attristé dévoile le sort lugubre de ce peuple martyr, à l'heure des atrocités aberrantes et absurdes ourdies par la concupiscence des malins. De quoi s'abandonner, avec le spleen baudelairien, à la mort comme salut du pauvre ! L'auteur s'apitoie de la naïveté de ses congénères, obnubilés par l'escroquerie idéologique du messianisme vétuste, qui mobilise encore ces vagabonds. Une société juste, fondée sur un humanisme conséquent, à base des valeurs théologales irréductibles, est appelée de tous les voeux ; en témoigne l'héroïsme légendaire de Sankara le rebelle et du politique Mandela. Face à un quotidien macabre, il crie son indignation au vu des travers et grossièretés d'un monde en perte de repères, qui célèbre le vice et le mensonge. A quoi répondent ces mémoires du temps révolu, cette Afrique des traditions villageoises, où il faisait bon vivre, avec ce dogme du respect de la vie, des anciens et donc de Dieu. Entre philosophie et poésie, ces pages, ou mieux ce lyrisme poétique méritent qu'on s'y arrête un instant.

07/2014

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Littérature française

Spleen Machine

Alix, dix-sept ans, en première S au lycée Balzac est populaire, adulée par quelques inconditionnels. Un parcours sans faille. Anna, sa mère, a escaladé à la vitesse de l'éclair les marches de son ambitieuse carrière, épaulée par son mari Arnaud. Une famille idéale, un équilibre apparent, des vies parallèles apaisées... Mais connait-on vraiment sa famille ? Un bonheur suspendu, avant que n'éclate au grand jour les secrets innocents, les désirs enfouis, les blessures mortelles.

02/2015

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Littérature française

Cuba Spleen

LE LIVRE : Né sur une île tropicale aux paysages verdoyants et aux plages de sable fin, William Navarrete, comme tous les Cubains, aurait pu vivre dans l'un des lieux les plus heureux de la planète. Et pourtant... son enfance et son adolescence ont été marquées par le pouvoir omniprésent d'un seul homme. Comment cette dictature a-t-elle pu durer et influencer le monde démocratique ? Comment tant d'indulgence fut possible de la part des démocraties européennes envers un tel tyran ? L'exil peut-il panser les plaies ? Peut-on tout oublier et pardonner ? A partir d'un récit intime et documenté sur son expérience personnelle, William Navarrete dénonce le castrisme qui a fait de Cuba une des prisons à ciel ouvert les plus terribles que l'on connaisse et s'interroge, entre autres, sur la raison pour laquelle la chute du mur de Berlin n'a-pas provoqué aussi celle de la dictature de Fidel Castro, peu étudiée et donc peu connue en France. Dans Cuba Spleen, William Navarrete allie la verve du conteur à la virulence du critique et nous livre un récit fort, attachant et drôle, qui nous incite à nous interroger sur ce qu'est dans les faits une dictature. . L'AUTEUR : William Navarrete est né à Cuba sous la dictature de Fidel Castro. A 23 ans, il parvient à fuir et débarque à Paris. Il s'inscrit à la Sorbonne, où il termine les études d'histoire de l'art qu'il avait commencées à Cuba, puis obtient la nationalité française. Depuis 30 ans, il réside entre Paris et Nice. Soucieux de préserver la mémoire familiale et de comprendre l'histoire de son pays natal, il a écrit plus d'une vingtaine d'ouvrages en espagnol et en français. Traducteur, journaliste et conférencier, il a fondé et milité dans de nombreuses associations en faveur des droits humains. Se souvenant combien il est parfois difficile d'acquérir sa liberté, il s'est promis de toujours la défendre et de parcourir le monde qui lui était resté longtemps interdit et inaccessible. William Navarrete a publié ses deux derniers ouvrages, Vidalina (2019) et Le Tour du monde en 80 saveurs avec Pierre Bignami (2020), aux éditions Emmanuelle Collas. . LE MOT DE L'AUTEUR : "Quiconque n'a pas vécu sous une dictature ne peut imaginer ce que les victimes des régimes totalitaires subissent au quotidien. Trente ans en France m'ont permis d'apprécier l'immense chance que j'ai d'avoir pu refaire ma vie en démocratie. Et entendre quelques amis - qui n'ont jamais connu ni la guerre ni le totalitarisme - utiliser le terme de "dictature" à propos de la France m'ont fait bondir ! Il fallait que je leur raconte "ma dictature", celle qui a failli broyer ma vie comme celle de ma famille et de milliers de mes compatriotes. J'ai malheureusement également constaté que, ici en France, certains se sentent tant à l'abri d'un éventuel dictateur qu'ils seraient capables d'en élire un ! Je me devais donc de raconter aussi la manière dont les Cubains eux-mêmes ont placé leur propre bourreau au pouvoir et comment un dictateur peut aussi jouir de la complaisance internationale la plus totale ! " - William Navarrete

05/2023

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Connaissance de soi

Ivre de spleen

Fruit de longues méditations, Ivre de spleen narre les pensées et la vie d'un homme confronté à une solitude forcée et essentielle. Entre délires métaphysiques et mégalomaniaques, il se raconte à travers sa psyché fissurée et la vie intérieure qu'il développe conséquemment. Son objectif est de trouver son salut par la narration de ses blessures et de ses joies. Un récit édifiant sur le pouvoir de l'esprit qui pense, rêve et fantasme quand il n'y a plus rien autour et qu'il faut remplir le vide urgemment afin de ne pas sombrer dans le désespoir.

09/2021

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Littérature française

Spleen en Corrèze

"Le soir je hantais les bars pour distraire ma solitude. Elle m'attendait entre les quatre murs de ma chambre. Alors, j'écrivais en écoutant Elvis qui n'était pas mort. Les nuits sont longues en province. Ma plume dessinait sur le blanc d'un cahier de brouillon la valse grise des émotions qui meublent les jours d'un localier, et quelquefois le submergent. C'est une manière de journal intime, une humble brocante où des bonheurs sans suite côtoyaient des désenchantements, des exaspérations vaines, des accès de rage métaphysique. Elvis chantait For the Good Times, la pluie tombait, la ville dormait. Elle avait le sommeil lourd". Denis Tillinac.

06/2021

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