short

Le vient de communiquer les chiffres officiels de l'opération Lire en Short 2015.

Désirée au départ par l'ancienne ministre de la Culture Aurélie Filipetti puis reprise en main, avec la même envie, par Fleur Pellerin, du 17 au 31 juillet dernier c'est plus de 300 000 enfants, adolescents et parents qui se sont rendu dans les 1600 lieux dédiés à cette belle fête et ainsi pu rencontrer les 150 auteurs et illustrateurs présents pour cette première édition.

Pour la ministre, le succès de cette première édition « témoigne d'une conscience partagée de l'importance de la lecture dès l'enfance pour nourrir le futur adulte et citoyen, et éveiller les imaginaires. […] Cette initiative a permis de mettre les livres entre les mains de centaines de milliers d'enfants qui n'y ont pas toujours accès et qui ont pu découvrir ce plaisir en toute liberté. »

Vincent Monadé le président du C.N.L de rajouter : « Lire en short est fondé uniquement sur le plaisir de lire. Quand un livre rencontre un enfant, l'enfant reste un lecteur. […] Comme il y a un grand moment de la musique ou du cinéma, il faut un grand moment de la lecture. »

L'opération menée en partenariat avec le Salon du livre et de la presse jeunesse de Seine-Saint-Denis s'est disséminée en France de la façon suivante : 219 évènements en Ile de France, 177 en Provence Alpes Côte d'Azur, 146 en Aquitaine et 96 en Rhône-Alpes. Ces quatre grands poles représentent 47% de tous les évènements, les 53% étant un peu partout en France.

La grande majorité des lieux était en extérieur bord de mer, piscine, centres nautiques et lacs, campings, etc., mais également dans certains, plus inédits : épicerie, salon de coiffure, plage, piscine, cinéma, kiosque à musique, restaurant.

Une bonne partie des professionnels ont répondu l'appel, ainsi 133 associations, 33 collectivités, 195 bibliothèques et 155 médiathèques, 79 librairies, 4 campings et 27 « autres » (éditeurs, musées, sociétés privées, fondations, comités d'entreprises…) étaient bien présents pour célébrer la lecture. Les bibliothèques et les médiathèques représentent plus de 50 % des organisateurs.

La gratuité de tous les évènements a effectivement aidé pour que le public puisse en profiter. Ci-dessous les différents types d'animations proposées lors de la grande fête :

Pendant ces deux semaines, plus de 30 000 livres ont été offerts par les éditeurs partenaires sur les quatre grandes scènes nationales de Fécamp, Cergy-Pontoise, Bordeaux et Marseille, et 6700 chèques Lire® ont été offerts par la Fondation SNCF.

Un beau bilan qui donne envie de voir ce qui se passera en 2016… À suivre !

deuxième édition !

Après une vraie satisfaction du premier tome, la grande fête du livre jeunesse voulu par Aurélie Filippetti et concrétisée par Fleur Pellerin revient du 20 juillet au 31 juillet 2016.

Comme l'an dernier, avec cette nouvelle impulsion, l'ambition première reste « la promotion de la lecture ».

Le Centre National du Livre lance donc un appel à projets jusqu'au 20 février. Associations, librairies, bibliothèques, médiathèques, centres culturels et sportifs, centres d'animations, collectivités, mairies, toutes les bonnes idées, tous les projets seront reçus et vérifiés pour recevoir en contrepartie une labellisation et un soutien financier du CNL.

Ainsi, selon un communiqué «  Pour être labellisés par le CNL, ces projets événementiels doivent remplir plusieurs critères dont bien sûr s'inscrire dans les dates de la fête, créer des démarches originales et ludiques pour inciter à la lecture, développer des actions pour faire connaître l'univers d'auteurs et d'illustrateurs jeunesse importants, impliquer différents professionnels locaux de la chaîne du livre, programmer des animations de qualité, qui valorisent le livre et la lecture, ainsi que les auteurs et illustrateurs invités dont la rémunération doit être systématique lorsqu'ils participent aux animations (rencontres, débats, lectures…), mobiliser tous les publics, et spécifiquement le jeune public et les adolescents, offrir la possibilité de lire sur place et gratuitement… »

300.000 personnes sont venues fêter le livre juillet dernier alors que l'on en attendait 200.000. Cette année, le budget de Lire en Short passera de 500.000 euros à 700.000 euros.

Alors, vous en êtes ?

Si oui, vous pouvez trouver ici tous les documents à remplir…

Alors que les amis d'Actualitté avaient révélé la semaine dernière le nouveau nom de la « Grande Fête du livre jeunesse » juste en regardant… les réseaux sociaux, (qui peut à l'oral se lire comme un moyen de transport « partir en voiture », mais également à l'écrit avec le semblant d'expression d'avant 2010, « Partir en live ».) le ministère de la Culture et de la Communication dévoile l'affiche officielle.

Réalisée par Joann Sfar, l'affiche qui bizarrement aurait pu aussi s'appeler Lire en Short, réunit une bonne partie des héros du dessinateur, sur une plage, qui lit… en short, mais qui n'oublient pas, au fond d'eux, de partir en livre… Un lien dans tout ça ? Aucun, il fallait changer de nom (Pourquoi ? Pour qui ?), mais le dessin était, certainement, déjà commandé.

Selon, le communiqué Partir en livre reprend évidemment les arguments de Lire en Short que l'affiche est censée représenter pour rendre hommage « à la diversité des lecteurs, tous réunis par le plaisir de lire pendant leurs vacances ou leurs loisirs » et d'ajouter « un livre qu'il soit lu dans un jardin, sur une plage, à la maison ou à l'école, c'est la promesse d'un voyage, du plaisir, de la liberté. C'est tout le sens de Partir en Livre 2016. »

La première édition de l'opération, en juillet dernier, avait permis à plus de 300 000 enfants d'approcher les livres à travers 1360 évènements en France et en outre-mer organisés par plus de 600 libraires, bibliothécaires, éditeurs et associations.

Vivement donc les 20-31 juillet prochain pour cette nouvelle édition de Lire en Sh… euh… Partir en Livre ! 

, la grande fête de la littérature jeunesse, , démarre dans plusieurs villes de France. C'est une première de mettre en avant comme cela la littérature jeunesse sur un piédestal national et le selon le ministère de la Culture et le Centre National du Livre ce ne sera pas la dernière.

En effet même si plusieurs voix mécontente se font entendre sur, par exemple, la date de l'événement, Vincent Monadé le président du CNL s'en défend : « J'ai entendu ces critiques sur la date,mais aujourd'hui, il y a 44 bibliothèques et 4 bibliothèques départementales de prêt impliquées sur les 4 scènes nationales, 311 bibliothèques et médiathèques qui organisent 603 événements, 157 opérations de bibliothèques mobiles et 516 animations hors les murs. Sur le terrain, les médiathécaires et les bibliothécaires sont très allants, et j'espère qu'ils iront plus loin. » et ajoute même « La ministre n'a pas la volonté de changer la date de cette fête, qui a été tout entière construite autour de sa date, comme une offre extrêmement différente. Ce serait trahir sa philosophie de la mettre à un autre moment ».

Selon nos amis d'Actualitté.com, le Président du CNL affirme qu' « Il y aura évidemment une évaluation de la fête, qui sera faite à partir des mois de septembre ou octobre » et pour savoir si la fête aura rencontré le succès escompté auprès du public, il explique comment cela va fonctionner : « Comme l'action porte sur la lecture et le plaisir de lire, on n'arrivera jamais à chiffrer le nombre d'enfants qu'on a rendus lecteurs, mais ce que l'on chiffrera très précisément, c'est le nombre d'enfants qu'on a pu toucher, aussi bien sur les événements pour les jeunes qui partent en vacances, que sur les événements pour ceux qui ne partent pas, avec un focus sur ces derniers. »

Bien entendu, Les Histoires Sans Fin, sera présent à la fête. Avec sa collaboration depuis maintenant deux ans avec Le Labo des Histoires, Fred Ricou, le directeur de la rédaction du site, animera les sept premières masterclasses  sur onze au total.

Les auteurs viendront pendant deux heures partager un peu de leur temps pour en première heure répondre aux questions de Fred et du public présent et en deuxième heure faire avec le public un petit jeu d'écriture autour de leurs univers.

Les auteurs invités sont donc :

Vendredi 17 juillet : Béatrice Bottet
Samedi 18 juillet : Taï-marc Le Thanh
Lundi 20 juillet : Béatrice Égémar
Mardi 21 juillet : Bernard Friot
Mercredi 22 juillet : Charlotte Bousquet
Jeudi 23 juillet : Mymi Doinet
Vendredi 24 juillet : Christophe Mauri / Flore Vesco

Lundi 27 juillet : Samantha Bailly
Mardi 28 juillet : Élise Fontenaille
Mercredi 29 juillet : Bertrand Puard
Jeudi 30 juillet : Mabrouck Rachedi

Rendez-vous de 15h à 17h au 161, rue Saint-Martin 75003 Paris. C'est entièrement GRATUIT, ouvert à tous, et comme cela se fait dans les caves voutées du Labo, c'est un bol de fraicheur physique et intellectuelle qui vous est proposé… Tout le programme du Labo est ici !

Si vous n'êtes pas à Paris à ce moment-là, il y certainement quelque chose proche de chez vous ! N'hésitez pas à regarder le programme à cette adresse : http://www.lire-en-short.fr/

Une étude américaine, publiée dans le « Journal of Neurosciences », fait valoir l’impact positif sur le développement de la mémoire chez les enfants. Des chercheurs de l’Univrsité de l’Illinois expliquent que la pratique du sport stimule la mémoire des enfants et accroît par la même occasion leurs capacités de mémorisation. 

Les scientifiques connaissaient déjà le rôle positif du sport sur le cerveau et la « santé cognitive » de l’enfant. Cette étude permet d’en savoir un peu plus, puisque, comme l’équipe de chercheurs le rappelle, les détails de l’impact cérébral du sport « demeurent inconnus. »

Les chercheurs ont étudié le cerveau de 24 enfants âgés de 9 à 10 ans avec un scanner. Les enfants étaient différenciés en fonction de leur pratique d’une activité sportive. Ceux qui pratiquent le plus de sport une plus forte présence de matière blanche et une matière grise plus compacte. En d’autres termes, les zones qui concernent l’apprentissage et la mémoire sont plus développées chez les enfants qui font du sport. 

LE RISQUE DE LA SÉDENTARISATION

Pour les chercheurs, le sport chez les enfants est plus que jamais important. « Ces résultats arrivent à un moment important », explique l’étude. En effet, les enfants « deviennent de plus en plus sédentaires et en mauvaise forme » tandis que les « responsables pédagogiques réduisent ou éliminent les opportunités d’activité physique à l’école au profit de matières académiques. »

Une erreur selon les chercheurs, puisque leur travail tend à montrer que le sport permet aux enfants d’avoir de meilleurs résultats scolaires. 

Ces dernières années, aux États-Unis, les élus et les responsables politiques multiplient les mesures pour lutter contre l’obésité, notamment chez les enfants. Parmi les initiatives les plus récentes, on peut mentionner celle d’un élu du conseil municipal de New York. 

Le démocrate Ben Kallos a présenté une proposition de loi pour interdire à New York la possibilité d’offrir des jouets aux enfants dans les menus avec plus de 500 calories. Et il ne voudrait pas s’arrêter là, il souhaiterait que les menus enfants avec des jouets n’aient pas plus de 35 % de calories. 

Rappelons que le précédent maire, Micheal Bloomberg, avait voulu, sans succès, interdire la vente de sodas géants. 

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ludovic

CC BY-SA 2.0

Histoire courte, et probablement intense pour ceux qui l'ont vécue, que cette relation qu'Amazon avait instaurée dans le cadre de la publication sur le Kindle.

Lancé en 2005, Amazon Shorts proposait à la vente des extraits de textes à venir, que ce soit dans les catégories documentaire, fiction, non fiction et autres, écrits par divers auteurs. Un service bien connu, qui a impliqué plusieurs écrivains, lesquels bénéficiaient alors d'une prépublication rémunérée.

Sauf que même les meilleures choses on une fin, c'est d'ailleurs à cela que l'on peut les reconnaître et désormais, les envois de textes à ce service sont clos.

En effet, tous les partenaires de ce service ont reçu avant hier un petit email de la part d'Amazon, leur expliquant qu'il n'était plus utile de leur soumettre du contenu, parce qu'à partir de maintenant, plusieurs changements techniques étaient survenus sur la Digital Text Platform - et que par conséquent, le programme serait définitivement interrompu à compter du 1er juin.

Tous les textes jusqu'à lors proposés seront ainsi supprimés, mais un outil palliatif sera mis en place à compter de cette même date. Une petite vidéo explicative permet même de savoir comment opérer vous-mêmes cette migration.

Pour mémoire, quand on parle de vendre des extraits, les sommes étaient rarement supérieures à une quarantaine de cents.