« Et puis je disparaîtrai sans laisser de trace de moi-même ; sois tranquille, on ne pourra jamais dire de moi : il s’est suicidé [...] sans laisser de trace », écrit Julien Viaud, alias Pierre Loti, à sa sœur un 18 décembre 1876 à Istanbul. Le moins que nous puissions dire, c’est que « traces », il y a : journaux, correspondance, articles, romans, pièces de théâtre, un fauteuil à l’Académie française puis, plus tard, une maison-musée à Rochefort qui rouvrira en 2025. Autres traces notables, les livres qui lui sont consacrés, notamment en cette année 2023 où nous célébrons les 100 ans de sa disparition.