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Créer sa propre machine à imprimer pour pas cher

Implanté en Australie, McPherson’s Printing Group promet sur son site que la société est « plus qu'un imprimeur » : le groupe vient de se faire une réputation de défenseur des droits LGBT en refusant une commande d'impression, celle de Stealing from a child: the injustice of marriage equality, un livre anti-mariage pour tous.

L'auteur à succès Michael Levin a mis en exergue les éléments qui rendent peu rentable le métier d'éditeur, exonérant les concurrents numériques de la responsabilité de la disparition du livre imprimé. (via Forbes)

Le Centre français d’exploitation du droit de Copie, ou CFC, vient d’annoncer le reversement prochain de 27 millions € pour les auteurs et éditeurs. Cette somme provient des perceptions liées aux photocopies d’ouvrages. Ce sont 9326 éditeurs français et étrangers qui sont concernés, pour un total de 93.816 ouvrages. Sont également ciblés les titres de presse.

Reprobel, société de gestion centrale qui perçoit les rémunérations des droits d'auteur collectifs pour les copies papier (reprographie), le prêt public en Belgique et représente 15 sociétés de gestion d'auteurs et d'éditeurs, publie les résultats d'une étude consacrée à la copie sur papier des œuvres textuelles et visuelles. D'après celle-ci, plus de 4,5 milliards de copies et d'impressions d'œuvres protégées sont réalisées chaque année en Belgique.

Le Centre Français d'exploitation du droit de Copie annonce avoir versé aux auteurs et éditeurs 29,5 millions € au titre de photocopies de leurs oeuvres. Un versement annuel qui représente une hausse de 3 % (28,653 millions € l'an passé), qui prend en compte la diminution des perceptions en France, mais l'augmentation à l'étranger. Ainsi,  une rétroactivité en provenance de la Belgique fait nettement augmenter les revenus.

Dans la catégorie Fausse Bonne Idée, voici un joyeux farfelu, bien décidé à conserver des copies des ouvrages numériques qu'il a pu acheter. Personne n'a oublié qu'en 2009, Amazon avait décidé de supprimer des Kindle de ses clients, un exemplaire de 1984 et de La ferme des animaux. Les ebooks posaient des problèmes de droit d'auteur, et unilatéralement, la firme avait donc procédé à une petite hécatombe.

Depuis jeudi, tous les intrépides ou admiratifs qui le souhaitent peuvent aller admirer, sur un mur blanc de la Galerie Denny à New York, le téléchargement des 11 gigaoctets de données compressées de Wikipédia. M. Mandiberg  tient à son projet fou dénommé le plus explicitement : « Imprimer Wikipédia ». Pour début symbolique, il a appuyé sur « Start » jeudi dernier à l’occasion de l’ouverture de son exposition au nom aussi déjanté que l’artiste : « From Aaaaa ! To ZZZap ! ». Le téléchargement sur la page Lulu.com devrait se terminer dans une grosse semaine. 

Sur les sommes perçues au cours de l’année 2018, émanant d’entreprises, d’administrations, ou encore d’établissements d’enseignements et d’organisme de formation, ce sont 27,673 millions € qui seront reversés. C’est un peu Noël pour les auteurs et les éditeurs : en tout 89.150 œuvres françaises et étrangères ont généré cette somme.

Le Centre français d’exploitation du droit de copie, ou CFC vient d’annoncer la distribution, suite aux perceptions de l’année 2017, de 27,047 millions €. Les gagnants de ce premier tour seront les éditeurs et les auteurs. 

26,742 millions €, c’est le montant de la cagnotte que le Centre français d’exploitation du droit de copie va répartir entre éditeurs et auteurs. Il s’agit là des montants perçus auprès des établissements d’enseignement, entreprises ou administrations autorisées à photocopier des œuvres. En tout, 76.285 œuvres sont concernées.

Il serait peu pertinent que l’apparition d’un support chasse le précédent. Dans le cadre du développement de l’utilisation des outils numériques dans les classes, les traditionnelles photocopies ainsi que les cahiers demeureront comme des alliés sûrs dans la transmission des connaissances.

Chaque année, le Centre français d’exploitation du droit de copie collecte, pour le compte des auteurs et éditeurs, les sommes dues au titre de copies papier d’extraits d’œuvres. Cette année, le reversement est de 26,59 millions €, découlant des perceptions de 2019. Soit plus d’un million de moins qu’en 2018.

Le designer Geoffrey Dorne n'est pas un type banal. Il vient de présenter ce qui est probablement la première et unique machine à écrire des couleurs. 

Un bibliothécaire fait le bilan de son expérience avec l'Espresso Book Machine.

La maison d'édition Kana, filiale du groupe Dargaud Lombard, a conclu un partenariat avec Jouve, pour l'impression de ses manga. Ce sont plus de 110 collections, parmi lesquelles Naruto, Death Note, Hunter X Hunter, qui seront désormais imprimées par cet acteur, que ce soit pour les nouveautés ou la réimpression de titres.

Les échanges qui interviennent au Sénat sont parfois de véritables pépites : lors d’une séance de questions orales, en date du 21 juin, le sénateur François Bonhomme (Les Républicains) intervenait sur l’épineuse question des nouveaux programmes scolaires. Ce dernier souligne que, pour les éditeurs, les délais de réalisation des manuels sont bien trop courts, alors que le décret sur les nouveaux programmes n’a été pris qu’en novembre 2015...

Dans un communiqué diffusé, ce jour, le Centre français d'exploitation du droit de Copie, vient d'annoncer qu'il mettait en distribution « 28,6 millions d'euros au titre des photocopies », pour l'année 2012. Ce versement annuel aux éditeurs de presse et de livres émane de près de 80.000 organisations. 

Avec un reversement d’un montant de 27,688 millions €, le Centre Français d’exploitation du droit de Copie (CFC) redistribue les sommes collectées aux auteurs et éditeurs. Les montants perçus en 2015 sont toutefois légèrement inférieurs à ceux de l’année passée. 

Après avoir passé en immersion quarante jours dans un abattoir, le journaliste Geoffrey Le Guilcher livre un témoignage glaçant. Intitulé Steak Machine, son ouvrage est publié par la toute jeune maison d’édition Goutte d’Or, avec un premier tirage à 4500 exemplaires. Selon une journaliste de Ouest-France, ce livre n’était pas facilement accessible dans bon nombre des Espaces culturels Leclerc.

Une machine à écrire… tout en LEGO ? Vous en rêviez peut-être – eh bien, la voici. Découvrez le nouveau set LEGO Ideas, « La machine à écrire ». Un vrai objet de précision, tout en beauté et en nostalgie, avec son design directement sorti du siècle dernier. Un objet, aussi, directement lié à l’histoire de ces petites briques en plastique de toutes les couleurs et de toutes les tailles – sur lesquelles bon nombre d’entre nous ont un jour marché…

La maison d'édition britannique, Penguin Books, a annoncé devenir le prochain partenaire du canal de vente d'impression à la demande : Espresso Book Machine. Tandis que le mode de publication prend son essor sur le marché du livre, l'éditeur entend ainsi étoffer prochainement son catalogue Penguin On Demand disponible dans les librairies et grandes surfaces. 

Une bibliothèque de Toronto propose à ses usagers un nouveau service plutôt inattendu dans ce type d'établissement. En plus de pouvoir venir lire des livres et en emprunter, il est désormais possible de faire imprimer son propre livre, rapporte Radio-Canada.

Technologie à pointe chauffée, à défaut d'être à la pointe. Avis aux hipsters de l'édition, ainsi qu'aux passionnés du recyclage. Bien loin des préoccupations de l'industrie numérique, des bricoleurs s'amusent encore avec les reliques de l'ère des appareils analogiques. Si l'envie vous prenait d'envisager l'impression de vos textes par le biais d'un enregistreur graphique, c'est possible et ça a un certain style.

Vincent Monadé, président du CNL, avait expliqué hier que des moyens complémentaires accordés au CNL permettraient de prendre en compte l'industrie de l'impression française, et pourquoi pas d'accorder une aide supplémentaire aux éditeurs qui choisissent d'imprimer en France. Vincent Montagne a réagi à cette annonce, en soulignant que l'édition restait attachée aux imprimeurs français.

Deux fois par an, le CFC effectue des versements aux auteurs et éditeurs, à travers la taxe perçue sur les photocopies. Cette perception s’effectue à travers les organisations signataires, et disposant d’un contrat autorisant la reproduction d’œuvres protégées. Le plus souvent, ce sont donc des livres. Mais pas que. Pour l’année 2014, ce sont 29 millions € qui ont été distribués.

Nom de code « Comprehensive Backlist » pour l'opération innovatrice d'HarperCollins. Soit en français « catalogue complet ». HarperCollins a mis en place un partenariat avec le fabricant de l'Espresso Book Machine pour permettre à n'importe quelle librairie d'imprimer à la demande son catalogue. Les libraires disposant déjà d'une telle machine peuvent imprimer chez eux les livres qu'ils souhaitent.