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Yamina Mansour

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Poésie

Mes haïkus

Comme une porte qui s'ouvre et qui se referme sur elle-même, " Mes haikus " ne prennent que le temps d'une intrusion qui squatte une écriture fragmentée dont la durée ressemble à la vie ! " On y rentre et on en sort " avec la même oppressante envie de sédentarisation et de partance !

10/2022

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Fragmentations - Bribes en paroles

"Fragmentations" est un recueil de poésie qui rassemble les éclats d'une implosion et recolle les fragments d'mois sourds et muets. Une fusion de particules émotionnelles qui demeurent en sursis. C'est aussi, un espoir qui s'oriente au nord et qui s'illumine des ineffables joies et des espoirs, que procurent la beauté et la force du verbe, noir sur blanc.

10/2018

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Aux frontières de l'écran

Loyaux et fidèles aux mêmes codes universaux du langage ; nos anciens et nos futurs péchés s'épanchent solidement comme l'ancien soleil sur le nouveau confessionnal, aux nouveaux pénitents ! L'immuable éclairage dépeint l'illusoire discours universel qui perpétue joyeusement, la transmission de nouvelles hétérotopies. Facebook pénètre dans notre sphère multidimensionnelle et capte jusqu'à la plus infime particule de nos émotions ; immortalisant à coups de "Likes" discriminatoires, nos aveux compromettants et nos blasphèmes inavoués ! L'encrier tactile redirige nos pôles d'attraction, vers une nouvelle digitalisation émotionnelle, subtile et assassine !

07/2020

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Les mots qui prennent feu - Aux portes de l’enfer

"Les mots qui prennent feu" est un hybride entre l'essai et la nouvelle, relatant l'éternelle dualité, entre le bien et le mal, la vie et la mort... C'est aussi, la controverse permanente du duel, entre le "je" et le "moi" , continuellement, en opposition et en conflit...

10/2018

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La langue qu'elles habitent

Second volet du diptyque consacré à des écritures féminines dans cette collection, ce volume s'attache à des auteures francophones venues d'horizons géographiques divers - Maghreb, Liban, Argentine, Canada, Guadeloupe -, et qui écrivent à la lisière des langues et des frontières. L'infatigable voyageuse et orientaliste Alexandra David-Néel (1868-1969) ouvre ce livre, que clôt Laura Alcoba (1968). Un siècle donc.
Etablies pour la plupart dans des territoires d'un entre-deux inconfortable, les écrivaines étudiées dans ce riche panorama de silhouettes féminines ont été amenées à cerner leur propre espace linguistique, littéraire et intime. Les approches critiques de ce volume se veulent également sans frontières. Stratégies d'écriture, liens méta- et intertextuels, affirmations identitaires, rapport à la langue comme à la sexualité ou aux origines structurent les différentes contributions de ce livre.
Au niveau identitaire, les frontières sont franchies et dépassées. Alexandra David-Néel, Assia Djebar, Maryse Condé, Vénus Khoury-Ghata, Leila Sebbar, Latifa Ben Mansour, Maïssa Bey, Nancy Huston, Yasmina Reza, Laura Alcoba, auteures au regard distancié, liées par des parentés d'écriture et de fi liation, tissent dans la langue française de fabuleux métissages. En transgressant les frontières du dire, ces écrivaines ont peut-être déplacé certaines bornes littéraires et dessiné de nouvelles poétiques de la littérature.

12/2020

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