Recherche

Xiao-Mei Zhu

Extraits

ActuaLitté

Non classé

La rivière et son secret

Pékin, 1969 : Zhu Xiao-Mei est un " être de mauvaise origine ". Autrement dit, avant la révolution maoïste, ses parents étaient des bourgeois cultivés. Une tare d'autant plus lourde à porter pour la jeune Xiao-Mei qu'elle a un don précoce pour le piano et une passion pour la musique décadente - Schumann, Mozart, Bach. Elle est donc envoyée en camp de rééducation : il faut éradiquer en elle tout désir autre que celui de mourir pour Mao. Les années passent... Xiao-Mei est devenue une bonne révolutionnaire. Mais, un jour, elle trouve dans le camp un vieil accordéon. Elle caresse les touches, se risque à jouer un accord, quelques notes de musique s'élèvent... Par enchantement le temps perdu s'efface, les rêves reviennent, l'espoir renaît. Xiao-Mei jure qu'elle rejouera du piano. Il lui faudra encore dix ans pour atteindre son but, dix ans de souffrances, de lutte acharnée, d'exil. Aujourd'hui, Xiao-Mei est célébrée dans le monde entier comme une pianiste virtuose et une immense artiste. De Pékin à Paris, de Hong-Kong à Los Angeles... le témoignage déchirant d'une f

09/2008

ActuaLitté

Non classé

La rivière et son secret

Pékin, 1969 : Zhu Xiao-Mei est un " être de mauvaise origine ". Autrement dit, avant la révolution maoïste, ses parents étaient des bourgeois cultivés. Une tare d'autant plus lourde à porter pour la jeune Xiao-Mei qu'elle a un don précoce pour le piano et une passion pour la musique décadente - Schumann, Mozart, Bach. Elle est donc envoyée en camp de rééducation : il faut éradiquer en elle tout désir autre que celui de mourir pour Mao. Les années passent... Xiao-Mei est devenue une bonne révolutionnaire. Mais, un jour, elle trouve dans le camp un vieil accordéon. Elle caresse les touches, se risque à jouer un accord, quelques notes de musique s'élèvent... Par enchantement le temps perdu s'efface, les rêves reviennent, l'espoir renaît. Xiao-Mei jure qu'elle rejouera du piano. Il lui faudra encore dix ans pour atteindre son but, dix ans de souffrances, de lutte acharnée, d'exil. Aujourd'hui, Xiao-Mei est célébrée dans le monde entier comme une pianiste virtuose et une immense artiste. De Pékin à Paris, de Hong-Kong à Los Angeles... le témoignage déchirant d'une femme broyée par la Révolution culturelle chinoise et sauvée par la musique.

10/2007

ActuaLitté

Non classé

La rivière et son secret

De Pékin à Paris, des camps de rééducation aux salles de concert, de Mao à Bach : le calvaire et la renaissance d'une grande artiste. Avec ce livre plébiscité par la critique et le public, Zhu Xiao Mei a su toucher un large public, bien au-delà des amateurs de musique. Pékin, 1969. Zhu Xiao-Mei est un " être de mauvaise origine ", c'est-à-dire qu'elle est issue d'une famille de bourgeois cultivés. Une tare d'autant plus lourde à porter pour la jeune Xiao-Mei qu'elle a un don précoce pour le piano et une passion pour la musique décadente - Shumann, Mozart, Bach. Logique, par conséquent, qu'elle soit envoyée en camp de rééducation par les autorités de la Chine communiste. Frontière de la Mongolie, 1974. Zhu Xiao-Mei n'a plus rien d'une bourgeoise cultivée, plus rien d'une pianiste, plus rien d'une artiste. Elle est devenue une machine à obéir et à dénoncer. Son unique livre est le Petit Livre rouge, son unique rêve de manger à sa faim. Mais un jour, Xiao-Mei trouve dans le camp un vieil accordéon. Elle caresse les touches, se risque à jouer un accord, quelques notes de musique s'élèvent... Par enchantement l'espoir renaît : Xiao-Mei se jure qu'elle rejouera du piano. Paris, 1985. Il a fallu à la jeune femme dix ans d'obstination pour pouvoir pratiquer ce qui est depuis toujours son vrai métier, pianiste. Partie de Chine dès les premiers signes d'ouverture, en 1979, elle reprend ses études musicales aux Etats-Unis tout en travaillant pour survivre comme baby-sitter, femme de ménage, serveuse, cuisinière... Puis elle s'exile encore, cette fois vers Paris. Et là, le miracle survient. Pour la première fois, on l'écoute, on lui donne sa chance... Sa carrière est lancée, elle ne s'arrêtera plus.

03/2023

ActuaLitté

Non classé

La rivière et son secret

Pékin, 1969. Zhu Xiao-Mei est un « être de mauvaise origine », c’est-à-dire qu’elle est issue d’une famille de bourgeois cultivés. Une tare d’autant plus lourde à porter pour la jeune Xiao-Mei qu’elle a un don précoce pour le piano et une passion pour la musique décadente – Shumann, Mozart, Bach. Logique, par conséquent, qu’elle soit envoyée en camp de rééducation par les autorités de la Chine communiste. Frontière de la Mongolie, 1974. Zhu Xiao-Mei n’a plus rien d’une bourgeoise cultivée, plus rien d’une pianiste, plus rien d’une artiste. Elle est devenue une machine à obéir et à dénoncer. Son unique livre est le Petit Livre rouge, son unique rêve de manger à sa faim. Mais un jour, Xiao-Mei trouve dans le camp un vieil accordéon. Elle caresse les touches, se risque à jouer un accord, quelques notes de musique s’élèvent… Par enchantement l’espoir renaît : Xiao-Mei se jure qu’elle rejouera du piano. Paris, 1985. Il a fallu à la jeune femme dix ans d’obstination pour pouvoir pratiquer ce qui est depuis toujours son vrai métier, pianiste. Partie de Chine dès les premiers signes d’ouverture, en 1979, elle reprend ses études musicales aux États-Unis tout en travaillant pour survivre comme baby-sitter, femme de ménage, serveuse, cuisinière… Puis elle s’exile encore, cette fois vers Paris. Et là, le miracle survient. Pour la première fois, on l’écoute, on lui donne sa chance… Sa carrière est lancée, elle ne s’arrêtera plus.

03/2013