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Wolfgang Hermann

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Théâtre

Hermann

Léa Paule, médecin neurologue, reconnaît dans les couloirs de son hôpital la voix de Hermann, un ancien patient. Ce choc va la ramener dix ans en arrière, au moment où deux histoires d’amour se sont croisées, où l’une est née des cendres de l’autre. Hermann nous transporte dans les méandres de la mémoire, aux frontières de ce que peut expliquer la science et de ce qui lui échappe, aux frontières du possible et de l’amour absolu.

01/2014

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Poésie

Johannes, Hermann

Ce matin, rue Gambetta statues en plâtre abandonnées par Martin, créateur de mode Un homme presse le pas Les trois amoureux de Camille oublient de traverser le pont Camille chante à mi-voix comme souvent le soir Deux jours, deux nuits chambre vingt-sept rideaux fleurettes maintenant elle photographie la ville

10/2014

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Littérature Allemande

Monsieur Faustini part en voyage

Monsieur Faustini habite Hörbranz, une petite bourgade sur les hauteurs du lac de Constance. Célibataire retraité, il vit seul avec son chat. Il porte depuis des années le même veston avec lequel il a fini par « ne plus faire qu'un », et qui est devenu « sa demeure, son repaire, sa carapace, sa livrée de paon ». De temps en temps, Monsieur Faustini prend l'autobus et se rend à Bregenz, la grande ville toute proche, où il se promène au bord du lac...
À cet antihéros esquissé avec une tendre ironie, l'auteur réserve des surprises propres à le déstabiliser de plus en plus, pour notre plus grand plaisir. Après l'avoir promené dans des décors autrichiens de carte postale et lui avoir fait endurer quelques péripéties de la vie de province, il va conduire Faustini très loin de son cher pays natal. Des émotions fortes le pousseront à abandonner son veston - autant dire, à perdre la tête. Le roman qui a commencé comme une satire de la banalité la plus absolue s'achève dans un étrange délire : Monsieur Faustini, qui se met à rêver d'Afrique, devient la proie de la fiction la plus débridée.
Lointain frère en miniature de l'illustre Faust, le Faustini de Wolfgang Hermann a tellement séduit les lecteurs que l'auteur en a fait le héros de toute une série de romans pleins de malice et de finesse.
Dans la littérature récente de langue allemande, peu de livres sont aussi divertissants que ce petit chef d'oeuvre d'humour et de fantaisie.

08/2021

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Littérature étrangère

Adieu sans fin

Un matin, sous une froide lumière d'hiver : un homme pénètre dans la chambre à coucher de son fils de dix-sept ans et le découvre mort dans son lit. A partir de cet instant, l'équilibre qui gouvernait son existence vacille. Il tente tant bien que mal de surmonter l'impuissance, la douleur et la mort. Dans ce bref livre de deuil, l'auteur nous dit toute la profondeur de la souffrance et de la mélancolie, et s'efforce de reconquérir par la grâce de l'écriture et du souvenir l'essence des heures précieuses du passé. D'une plume sereine, poétique et sensible, il saisit au plus près les oscillations du coeur, laisse affleurer la douceur et le réconfort au sein même de l'effroi, et s'attache à préserver toujours une lueur d'espoir.

02/2017

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Allemand apprentissage

Hermann et Dorothée

" Vous avouerez que ce poème marque l'apogée de l'art de Goethe et de tout notre art moderne. J'ai vu naître cette épopée et la façon dont elle est née m'a causé presque autant d'admiration que l'œuvre elle-même. Tandis que nous autres nous sommes forcés de rassembler et de choisir péniblement nos matériaux, pour n'arriver qu'à sortir lentement quelque chose de passable, lui n'a qu'à secouer d'une main légère l'arbre de son génie pour en faire tomber les plus beaux fruits, des fruits mûrs et pesants. On ne peut s'imaginer avec quelle aisance souveraine il moissonne maintenant les fruits d'une vie si bien employée et d'une culture de tous les instants, quelle gravité et quelle sûreté il y a dans tous les pas qu'il fait, et à quel degré la clarté de ses vues sur lui-même et sur les choses le préservent de tout vain effort et inutile tâtonnement. Lettre de Friedrich Schiller au peintre Johann Heinrich Meyer 21 Juillet 1997

10/1991

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Musique et danse

Wolfgang et moi

"Lorsque la cloche de la porte a tinté, un drôle de bonhomme est entré et a sifflé une envolée de notes flûtées. Intrigué, je les ai répétées et bientôt, en duo, nous avons chanté". Cela fait trois ans que Mozart est installé à Vienne lorsqu'il fait l'acquisition de Lorenz, un étourneau dont le chant le fascine. Bientôt, l'oiseau et le musicien vont partager des moments de complicité intense, au milieu des partitions et de l'univers fantasque du grand compositeur. Voici le récit poétique et coloré de cet incroyable épisode de la vie du musicien, qui mènera à la création de l'illustre opéra "La Flûte enchantée".

01/2021

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