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W-E-B Du Bois

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Livres, actualités : tout sur Boris Vian

Né le 10 mars 1920, Boris Vian fut un artiste touche-à-tout, dont la variété des modes d'expression n'est égalée que par le nombre de ses pseudonymes : Vernon Sullivan, Bison Ravi, Odile Legrillon, Gilles Safran, Boriso Viana ou encore Claude Varnier. Outre ses romans, comme J'irai cracher sur vos tombes ou L'Écume des jours, a signé des poèmes, des essais, des scénarios de films et a même enregistré des chansons.

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10 autrices racontent leur première fois...

Muse, recherches acharnées ou nonchalance virtuose, l’inspiration reste le grand secret de la création. Mais dans quelles circonstances le premier pas vers l’écriture s’est-il opéré ? Comment ont-elles su qu’elles entamaient leur premier véritable livre, celui qui serait mené à terme ? 

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Vois Lis, Voix Là : le podcast de ActuaLitté

Avec le développement fulgurant du livre lu, c’est toute une dimension audio qui se développe désormais dans le monde du livre. Ce qui devait pousser la rédaction à diversifier ses approches, avec la création d’un podcast dédié. Des livres, des auteurs, des lectures, des chroniques, et bien d’autres choses encore.

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Octobre, mois de l'Imaginaire, la littérature de demain

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Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

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Dossier

Salon du livre de Montréal 2018 : la grande aventure

Le Salon du livre de Montréal a bouclé une grande programmation pour sa 41e édition. Celle-ci se tenait pour la dernière fois à la Place Bonaventure du 14 au 19 novembre 2018, et proposais un foisonnement de rencontres.

Extraits

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Histoire internationale

L'héritage de John Brown

Cet ouvrage rend hommage au combattant blanc pour l'abolition de l'esclavage aux Etats-Unis, le légendaire John Brown. Haïti, phare de la libération pour toute l'Amérique, décréta à sa mort trois jours de deuil national, et baptisa de son nom un boulevard à Port-au-Prince. Aux Etats-Unis, sa légende n'a cessé de grandir. La "John Brown's Song" évoque son fantôme hantant l'Amérique, attendant une réhabilitation complète, et son héroïsme qui s'étend à tout le pays ; sous le titre original de "Battle Hymn of the Republic", elle devint un hymne nordiste durant la guerre de Sécession.

07/2010

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Poches Littérature internation

Pénombre de l'aube. Essai d'autobiographie d'un concept de race

Né métis en 1868 dans le petit village de Great Barrington, dans le Massachusetts, trois ans à peine après la guerre de Sécession qui mit fin à l'esclavage dans les Etats du Sud, William Edward Burghardt Du Bois va devenir l'un des plus importants activistes de la lutte pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis, puis, au fil de ses voyages en Europe et en Afrique, un des initiateurs du panafricanisme. En 1940, à l'âge de 72 ans, il publie, sous le titre original Dusk of Dawn, une récapitulation de sa vie à la lueur du "concept de race", qui a selon lui, avec les colonisations et l'esclavagisme, déterminé les rapports entre les peuples du monde. Tout son parcours l'y a incité : jeune étudiant découvrant la ségrégation dans le Tennessee, premier Afro-Américain à obtenir un doctorat à Harvard - où il suit les cours et les conseils de William James -, producteur infatigable de recherches sur les conditions de vie des Noirs à l'université d'Atlanta, chef en 1905 du Niagara Movement qui donnera naissance en 1909 à la NAACP (National Association for the Advancement of Colored People), toujours en activité aujourd'hui, créateur du magazine The Crisis, tribune d'idées et arme de combat. Du Bois cependant avait encore vingt-trois années fructueuses à vivre. Il mourra à Accra, communiste et citoyen ghanéen. Traduit pour la première fois en langue française et présenté par Jean Pavans, spécialiste de Henry James, ce document capital, d'une haute tenue littéraire, restitue la pensée de cette figure incontournable de l'histoire noire américaine, avant les combats de Martin Luther King et Malcolm X.

09/2020

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Sociologie

W.E.B. Du Bois. Double conscience et condition raciale

"Quel effet ça fait d'être un problème ? " Quel effet ça fait d'être à la fois Noir et Américain, quand les deux termes sont supposés contradictoires ? C'est à travers l'examen de la notion de "double conscience" , clé de l'expérience subjective des Noirs américains, que les auteur·ice·s nous invitent à découvrir l'oeuvre magistrale et multiforme du grand intellectuel afro-américain W. E. B. Du Bois, né en 1868, peu après la fin de la guerre de Sécession, et mort en 1963, à la veille du discours de Martin Luther King Jr. "I have a dream" . Leur ouvrage est la première introduction en français à cette oeuvre majeure. De son opposition à Booker T. Washington à son adhésion au marxisme, de l'expérience de la ségrégation à la conviction que le sort de la démocratie américaine se joue dans la condition des Noirs, ce livre retrace la trajectoire de W. E. B. Du Bois et nous invite à faire nôtre son héritage. La "double conscience" décrit le déchirement intérieur des Noirs américains, mais apparaît aussi comme la source d'une lucidité particulière sur la construction raciale des rapports de pouvoir. A l'heure où l'écho du mouvement Black Lives Matter se fait entendre partout, à l'heure où la notion de "race" et son articulation aux principes d'égalité et de justice suscitent les plus vifs débats, l'actualité des analyses de Du Bois est brûlante.

10/2021

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Policiers

Combien de fois dois-je mourir ?

Parfois, d'un chaos infini et sans signification, une figure émerge, superbe par ses courbes familières et sa beauté intuitive, sa résonance prégnante : un Attracteur étrange. Ce ordre jailli du désordre pour nous, c'est la destinée, Ananké, celle qui fait converger des êtres dans un magma de vies perdues pour mettre en scène la tragédie et nous proposer l'héroïsme. Nous assumons ce tragique, car il fait naître les héros et nous aimons l'héroïsme, simplement parce qu'il résonne en nous, nous attend. Tout était il déjà programmé dans les conditions initiales de notre incompréhensible existant, ce déprimant chaos déterministe ? Cet Attracteur étrange nous propose-t-il, au contraire de refuser toute soumission aux dieux, aux rois, à la dictature de l'inexorable, pour que Ananké, notre destinée, lueur dans la nuit, cet appel enfin dans le silence, s'impose à cette détestable fatalité? Juste un roman où, emportés par ce qu'ils n'ont pas choisi d'être, les personnages transgressent toute loi collective, et où la justice, poussée à son paroxysme par une conviction individuelle, nous terrifie et nous séduit tout à la fois. Ici, ils sont déjà tragiques, parce qu'ils ont leur histoire, avant même que leurs routes ne se croisent, avant même que cela ne leur fasse prendre conscience qu'ils ne peuvent refuser un combat qui les fait exister enfin parce qu'il les légitime. Des êtres dans leur quête de réconciliation avec leur passé et de réappropriation de leur destinée pour qui nous avons une affection discutable mais inévitable et qui nous renvoient à nos propres cicatrices.

11/2018

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Littérature française (poches)

Bois sec, bois vert

En 1933, Jean Paulhan écrivait à André Gide : " Je ne serais pas loin de voir dans Cingria un grand écrivain. " C'était aussi l'avis de Claudel, de Ramuz, de Cocteau, de Max Jacob et de quelques autres. Quinze ans plus tard paraissait Bois sec Bois vert qui, aujourd'hui encore, est comme le microcosme d'une œuvre que son auteur dispersait autant par nécessité que par insouciance, mais qui s'est révélée avec le temps considérable, et d'une rare cohésion dans sa diversité. Si plusieurs textes que réunit Bois sec Bois vert semblent ainsi relever plus ou moins du genre de la nouvelle (Xénia et le diamant), du conte fantasmagorique (Hippolyte hippocampe), de l'étude littéraire historique (Lou Sordel) ou archéologique (Le Comte des formes), ils appartiennent en fait comme les six autres au genre unique et indéfinissable que s'est créé le génie vadrouilleur de Cingria. Captant l'extraordinaire acuité de sensations d'un être qui n'ignora que l'indifférence, c'est la langue elle-même ici qui voit, fait voir, et promène délectablement le lecteur. Avec son mélange d'élaboration fastueuse et de spontanéité déflagrante, elle nous restitue de la même façon le suc des temps anciens où déambulait l'érudition imaginative de l'écrivain, et la vibration des instants de ce monde que son regard toujours neuf et libre enregistrait pour les magnifier. " Je ne suis pas un nom ", a-t-il noté un jour, " il n'y a que la vie qui m'intéresse. " En retour la vie éclate dans tout ce qui demeure sous le nom de Cingria.

05/2000

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Littérature française

Rue du Bois

"Dans les années soixante, la jeunesse chantait, dansait, cassait les fauteuils des music-halls, et parfois faisait aussi le coup de poing ! Car des "blousons noirs" commençaient à hanter la nuit des villes et des banlieues. Une nouvelle peur qui s'installait sur la cité, et qui incitait à ne pas trop sortir de chez soi, une fois la nuit tombée. La trouille, c'est ce qui maintient les peuples sages ! Peur de la mort, de la prison, de la guerre, de la misère, que sais-je avec quoi on est capable de leur faire peur aux braves gens, pour leur soutirer leur bulletin de vote ! Ils en avaient vu tellement depuis l'an 40 les braves gens, qu'ils en étaient comme anesthésiés, tout ramollis ! Pensez donc, la guerre, l'Occupation, la déportation, l'Indochine, l'Algérie, la guerre froide, etc. ! Pas une seconde pour souffler ! De la trouille en flux tendu, qu'on lui distillait au peuple de France ! Alors forcément, un jour ou l'autre, il faut bien que ça cesse !" Pour le premier tome de son autobiographie, l'auteur dépasse de loin la sphère personnelle et la fameuse rue du Bois si chère à son cœur. Pour donner vie à sa saga familiale, il remonte le temps jusqu'au début du siècle et revisite l'Indochine avant de croquer d'une plume haute en couleur le Pantin des années cinquante et soixante. À mi-chemin entre témoignage, page d'histoire et chronique sociale, il orchestre un concentré de nostalgie et de légèreté qui ne peut laisser indifférent.

10/2016

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