Recherche

Verticales

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Poésie

Récoltes verticales

Ecrit entre 1999 et 2002, ce livre raconte la fin d'un amour hors du commun débuté en 1978. Entre doutes, désespoirs et certitudes, le recueil navigue entre les émotions, les images et les ressentis.

04/2022

ActuaLitté

Poésie

Poésie verticale

Ce volume rassemble un choix de poèmes tirés des recueils I à X de Poésie verticale, l'œuvre unique de Roberto Juarroz. C'est une poésie qui dérange nos certitudes et trouble par ses interrogations répétées. Une poésie dont Julio Cortazar a écrit: "Il y a longtemps que je n'avais pas lu de poèmes qui m'exténuent et m'exaltent comme ceux-ci ", et Philippe Jaccottet: " Dès les premiers vers, on entend une voix autre, décidée, tranchante et rigoureuse. "

06/2006

ActuaLitté

Littérature étrangère

La plage verticale

1969 : trois jeunes femmes attendent le moment où le premier homme va marcher sur la lune. Gloria et ses amies, les deux sœurs Brenda et Zoé, vivent à Utrecht une existence routinière. Stimulées par l'événement qui se déroule sous leurs yeux, les trois filles décident de vivre elles aussi une aventure exceptionnelle : un vent de plénitude les pousse vers Paris. Sur le boulevard Saint-Germain elles déambulent, belles, invincibles et libres... Après une nuit d'extase avec deux hommes rencontrés dans un café, elles rentrent chez elles. 2005 : trois jeunes Néerlandaises roulent vers Los Angeles. Deux sœurs jumelles accompagnent leur meilleure amie qui va se marier. Alternant les épisodes de 1969 et ceux de 2005, La Plage verticale est une saga familiale : au retour de Paris, Gloria avait accouché d'une fille, et Brenda de jumelles. Les trois aventurières modernes reproduisent, à leur insu, les fantasmes maternels... Mais l'équipée de 2005 tourne court elle aussi : alors que les familles se retrouvent pour une fête somptueuse en l'honneur des fiancés, un drame survient. Le mariage est différé... et tout le monde rentre à Utrecht. Oscar van den Boogaard excelle à accompagner les échappées belles de ses personnages, à donner corps à leurs rêves de vie libre, sauvage et débridée, mais, en subtil montreur de marionnettes, il donne également à voir les fils qui les retiennent au sol : pourquoi ces femmes ont-elles tant de peine à se hisser à la hauteur de leurs désirs ? La révélation finale du lourd secret pesant sur leur destinée familiale éclaire le livre d'une tout autre lumière...

01/2008

ActuaLitté

Littérature française

La Femme verticale

Un matin sans aucune raison apparente Lucia, la quarantaine, quitte son foyer, son mari et ses enfants. Au hasard d'un train elle se retrouve à Paris puis à Bruxelles. Commence alors pour elle un long voyage à la recherche d'elle même et de l'autre.

06/2015

ActuaLitté

Poésie

Verticale du silence

Souvent les mots font le voyage depuis des pays perdus, vers des contrées lointaines... Souvent les mots n'ont pas encore trouvé asile... pour dire ce dont malgré le temps et l'espace, ils sont inséparables... Alors les mots inventent des terres d'accueil, véritables arches de tendresse, d'amour et de lucidité pour que survive une connaissance sachant saisir de la réalité, ce qu'elle recèle d'utopie et de visionnaire en chacun de ses instants. Ici les fragments seuls surgissent dans l'éclat de leur présence. Ils voudraient témoigner de l'épreuve de nudité que traversent les moments graves d'une vie humaine dans l'époque.

02/2018

ActuaLitté

Littérature étrangère

Quatorzième poésie verticale

Les poèmes qui composent la Quatorzième poésie verticale accompagnèrent les trois ou quatre dernières années de la vie de Roberto Juarroz. Le ton de l'ensemble est légèrement différent, car certains des poèmes ultimes reflètent une approche majeure de l'élément humain de la souffrance. Ces poèmes furent ceux qui exigèrent de lui l'effort le plus grand pour atteindre l'équilibre nécessaire entre la parole personnelle et la construction esthétique, entre l'intuition de monter et l'intuition de retirer : L'abîme n'admet pas l'ordre, Le désordre non plus. Et nous savons que tout est un abîme. Pourtant, Le jeu de la feuille et du vent S'achève toujours à l'endroit le plus exact. Et aucune feuille ne souille Le lieu où elle tombe. Il se peut qu'une feuille ordonne Ou peut-être désordonne Une autre face de l'univers.

01/1997

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté