Recherche

Vénus à son miroir

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Historique

Vénus à son miroir

1649 : mandaté par le Roi d'Espagne Felipe IV et accompagné par son esclave Juan de Pareja, Diego Velázquez entame son second séjour en Italie. Son esprit se perd dans Rome. Il s'y sent bien plus libre qu'à Madrid. Le peintre adopte une nouvelle approche du corps humain et de la féminité. La découverte de cette sensualité inattendue bouleversera son art et sa vie.

10/2022

ActuaLitté

Poésie

Approcher Vénus

Approcher Vénus est un recueil de poèmes et de dessins, composé de trois poèmes sur le désir féminin, de son éclosion à son déploiement. Le premier poème, "Souffle" , représente la genèse du désir. Le deuxième, "Plume" , le retour vers son orient intérieur. Le troisième, "Vénus" , l'exaltation de l'amour physique. Les dessins, réalisés à l'encre de Chine et à la loupe, sont en apparence l'expression d'un univers familier par ses emprunts au monde végétal mais s'avèrent plus énigmatiques et fantasmés quand le regard s'y plonge. Les textes d'Odile Lefranc et les dessins d'Isabelle Pistono existaient au préalable, indépendamment les uns des autres. C'est en partageant leurs créations qu'il est apparu aux deux artistes que leurs univers se répondaient. Le livre Approcher Vénus est né de cette rencontre. Odile Lefranc est autrice et vit en région parisienne. Elle a commencé par écrire pour le théâtre, sa pièce Clémence la Victorieuse a été donnée en lecture publique par Olivier Py. Egalement journaliste, elle collabore régulièrement à des revues culturelles : L'Eléphant et Noto. Elle vient de terminer un premier roman Le Lac au miroir. Isabelle Pistono est dessinatrice et vit à Paris. Inspirée par les périodes Art déco et Art nouveau, elle déploie dans ses dessins différents univers : végétal, organique et rythmique. Ses dessins sont réalisés à l'encre de Chine et à la loupe avec un rapidographe de 0, 1 mm. Pour la première fois, elle dévoile une partie de ses oeuvres dans ce recueil.

11/2021

ActuaLitté

Non classé

La Vénus à la fourrure

Classique de l'érotisme et chef-d'oeuvre de l'auteur qui s'est inspiré de sa liaison avec une grande dame de l'empire austro-hongrois pour l'écrire, "La Vénus à la fourrure" a longtemps été objet de scandale avent de devenir livre culte. Premier grand texte de la littérature occidentale s'attachant à décrire une relation amoureuse sado-masochiste, il s'inscrit dans un vaste cycle de romans autobiographiques : "Le Legs de Caïn". Trés théâtral et très élaboré sur le plan esthétique, multipliant les mises en scène et les jeux de rôles et de miroirs, le roman repose sur un effet de mise en abîme. Dans le prologue, le narrateur rêve d'une Vénus éprise de volupté cruelle avant de rendre visite à son ami Séverin chez qui il découvre le portrait d'une Vénus en fourrure. Séverin lui confie alors le manuscrit de sa confession où il relate une expérience amoureuse avec une femme dominatrice nommée Wanda von Dunajew. Un contrat signé avec cette femme l'engage à être son esclave soumis. Le rituel érotique commande que Wanda doit toujours être vêtue d'une fourrure lorsqu'elle le flagelle. La vie et l'oeuvre de Sacher-Masoch sont intimement liées. Une grande partie de son oeuvre a généralement pour héroïnes des femmes dominatrices, cruelles ou despotiques exhibant leur pouvoir à travers une panoplie de fourrures, de fouets et de bottes. Le pessimisme profond de ses récits donnera naissance au terme de "masochisme" utilisé par Krafft-Ebing et Freud pour qualifier cette forme de sexualité.

05/2023

ActuaLitté

Non classé

La Vénus à la fourrure

Classique de l'érotisme et chef-d'oeuvre de l'auteur qui s'est inspiré de sa liaison avec une grande dame de l'empire austro-hongrois pour l'écrire, "La Vénus à la fourrure" a longtemps été objet de scandale avent de devenir livre culte. Premier grand texte de la littérature occidentale s'attachant à décrire une relation amoureuse sado-masochiste, il s'inscrit dans un vaste cycle de romans autobiographiques : "Le Legs de Caïn". Trés théâtral et très élaboré sur le plan esthétique, multipliant les mises en scène et les jeux de rôles et de miroirs, le roman repose sur un effet de mise en abîme. Dans le prologue, le narrateur rêve d'une Vénus éprise de volupté cruelle avant de rendre visite à son ami Séverin chez qui il découvre le portrait d'une Vénus en fourrure. Séverin lui confie alors le manuscrit de sa confession où il relate une expérience amoureuse avec une femme dominatrice nommée Wanda von Dunajew. Un contrat signé avec cette femme l'engage à être son esclave soumis. Le rituel érotique commande que Wanda doit toujours être vêtue d'une fourrure lorsqu'elle le flagelle. La vie et l'oeuvre de Sacher-Masoch sont intimement liées. Une grande partie de son oeuvre a généralement pour héroïnes des femmes dominatrices, cruelles ou despotiques exhibant leur pouvoir à travers une panoplie de fourrures, de fouets et de bottes. Le pessimisme profond de ses récits donnera naissance au terme de "masochisme" utilisé par Krafft-Ebing et Freud pour qualifier cette forme de sexualité.

12/2007

ActuaLitté

Numérologie

Comprendre son enfant grâce à la numérologie

Provisoire Dans cet ouvrage, l'auteure, numérologue et thérapeute holistique, vous invite à vous pencher sur le jour de naissance de votre enfant pour mieux cerner sa personnalité, ses besoins et aspirations, son environnement. Elle aborde également les chemins de vie, le phare qui guide votre enfant, mais aussi le vôtre, pour finalement s'intéresser à l'effet miroir. Qu'est-ce que votre enfant est venu vous faire travailler, comprendre, et qu'est-ce que cela peut engendrer chez vous, parent ?

09/2023

ActuaLitté

Critique

Au grand miroir

"Son nouveau gîte bruxellois ne doit pas être beaucoup plus spacieux que sa chambre d'hôtel de Dieppe, mais il offre encore cet avantage précieux d'être autre, ailleurs, différent. Et puis la Grand'Place n'est pas loin avec sa flèche ajourée, ses dorures, ses frontons en escalier, ses cavaliers sur les toitures et son style joujou, et les bruissantes galeries Saint-Hubert à deux pas. La ville, pour ce qu'il en a aperçu au cours de ses premières explorations, tiendrait plutôt de la grosse bourgade que d'une vraie capitale, la Senne puante qui court encore, ces années-là, à ciel ouvert, n'est pas la Seine, on l'a dit et il le répétera, mais il tâchera de s'y faire, comme à l'odeur des draps. Baudelaire n'est d'ailleurs pas venu ici pour flâner, de nombreuses tâches l'attendent et il s'y attelle sans tarder. Quoi faire d'autre, d'ailleurs, sinon s'occuper à occuper se journées, et tâcher de justifier ainsi ce qu'il faut bien appeler sa fuite ? "

05/2005

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté