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Une rue à Moscou

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Littérature russe

Une rue à Moscou

Mkhaïl Ossorguine (1878-1942) est un écrivain, journaliste et essayiste russe. Expulsé d'URSS par Lénine, il s'installe en France en 1923 où il écrit son chef-d'oeuvre, Une rue à Moscou, qui le rendra mondialement célèbre.

03/2024

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Romans policiers

38, rue Petrovka

Moscou 1945. La guerre a laissé le pays exsangue et les quignons de pain se cachent dans les coffres-forts. Chaparov, jeune héros de vingt-deux ans habitué aux combats, rejoint la brigade criminelle de Moscou lancée dans une autre guerre contre le crime organisé. Il travaille sous les ordres de Jeglov qui le fascine et parfois le subjugue. Ce chef-né, slave jusqu'au bout des ongles, porte pourtant en lui une part obscure qui glace ses proches. Qu'importe ! La bande du Chat noir assassine et pille les entrepôts. La brigade, dans un pays en ruine galvanisé par l'utopie, doit se serrer les coudes. D'autant qu'une femme, une de plus, est retrouvée assassinée... Publié en 1983 en URSS, 38, rue Petrovka s'est vendu à près de dix millions d'exemplaires avant de faire, en feuilleton, les délices des téléspectateurs d'Union soviétique. Ce roman populaire et noir prolonge la tradition du roman russe où foisonnent les intrigues secondaires et les personnages inoubliables.

05/2007

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Romans policiers

38, rue Petrovka

Moscou 1945. La guerre a laissé le pays exsangue., Dans la capitale pourtant quadrillée par la Tcheka et les polices politiques se répand un mal nouveau : la criminalité organisée. Le héros et narrateur, Chaparov, jeune, capitaine encore auréolé de sa bravoure au combat, rejoint les rangs de la brigade criminelle nouvellement créée. Elle est placée sous les ordres du déjà légendaire ; détective Gleb Jeglov, un officier à peine plus âgé que Chaparov, mais dont on devine qu'il n'a pas fréquenté que les champs de bataille. La brigade sera pauvre en hommes, en moyens et, en armes ; mais Jeglov est un génie de la lutte anti-criminelle, un flic et un chef né, bref, un parfait héros pour Chaparov, si ce n'était ce côté obscur qui apparaît parfois dans sa personnalité... En première mission, la brigade part sur les traces d'un gang de tueurs et de voleurs particulièrement habiles connus sous le nom du " Chat noir ". Écrit et publié sous Brejnev par des dissidents notoires, ce roman fut un énorme succès, avec une dizaine de millions d'exemplaires vendus à ce jour en Russie. La télévision d'État en a tiré une série d'une vingtaine d'épisodes qui, aujourd'hui encore, fait le bonheur de l'audimat russe.

05/2005

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Légendes de la rue Potapov

La rue Potapov, à Moscou : c'est l'adresse de l'appartement où Irina, petite fille de neuf ans a pour la première fois vu la silhouette du poète Boris Pasternak, lié à sa mère Olga Ivinskaïa par le grand amour que le monde entier allait découvrir en lisant Le Docteur Jivago. Irina croisera d'autres figures légendaires : l'opiniâtre Ariadna Efron, la fille de Marina Tsvetaeva, survivante de quinze ans de camp après son retour d'émigration ; l'écrivain Varlam Chalamov, dont les Récits de la Kolyma ont gravé à jamais dans la prose russe toute l'horreur glacée de l'enfer sibérien. Autant de légendes qui s'ordonnent autour de celle du grand Boris Pasternak à qui les unit une admiration et une commune ferveur.

06/2020

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Non classé

Légendes de la rue Potapov

Une rue de Moscou, à vingt minutes du centre : c'est l'adresse de l'appartement où une petite fille de neuf ans a pour la première fois vu la silhouette du poète russe Boris Pasternak, lié à sa mère Olga Ivinskaïa par le grand amour que le monde entier allait partager en lisant le Docteur Jivago. Là vont commencer les péripéties dramatiques qui suivront la publication du roman en Occident. La petite fille d'hier, à peine sortie de l'adolescence, y sera mêlée de très près. Arrêtées après la mort du poète, la mère et la fille passeront plusieurs années au Goulag. D'autres destins légendaires vont croiser ceux d'Olga Ivinskaïa et de sa fille Irina : celui de l'opiniâtre Ariadna Efron, la fille de Marina Tsvétaïéva, récompensée par quinze ans de camp après son retour d'émigration par enthousiasme prosoviétique ; celui de l'écrivain Varlam Chalamov, dont les Récits de la Kolyma ont gravé à jamais dans la prose russe toute l'horreur glacée de l'enfer sibérien. Autant de légendes qui s'ordonnent autour de celle du grand poète à qui les unit une commune ferveur. L'une des images les plus fortes de ce livre nous montre les femmes baptistes persécutées sous le " libéral " Khrouchtchev : Irina Émélianova les a côtoyées pendant son séjour au camp de travail de Taïchet, et nous dit son admiration pour leur foi joyeuse et sereine. Ce livre a connu un franc succès en Russie, sans doute parce que les épreuves vécues y sont racontées avec une sorte de légèreté : les grandes figures que l'auteur a croisées, en tout premier lieu sa mère, sont évoquées avec une admiration mêlée de tendresse et d'humour.

10/2002

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Ouvrages généraux et thématiqu

Meurtres à la Grange-aux-Belles

11 janvier 1924, rue de la Grange-aux-Belles, à Paris. Les communistes tiennent une réunion publique. Des coups de feu éclatent. Deux morts, plusieurs blessés graves. Qui a tiré? Cent ans plus tard, Sylvain Boulouque reprend l'enquête sur ce sanglant anniversaire qui éclaire la chronique fratricide de la gauche révolutionnaire. Il fallait l'historien Sylvain Boulouque pour rouvrir ce dossier vertigineux, pour réunir les récits des témoins, les tracts des militants, les archives des syndicats et les rapports du PCF envoyés en Russie soviétique. Pour recueillir les rapports de police, les mandements de justice, les articles de presse. Et pour orchestrer ces documents afin de nous plonger au jour le jour dans les eaux troubles des marges activistes, suivre en direct le déroulement des investigations, revivre l'effusion idéologique, la passion propagandiste et la confusion polémique de l'époque. Jusqu'au crime. Leurres, mensonges et fausses pistes, l'Etat trébuche sur un chemin semé d'embûches. Pourtant, l'étau se resserre. Les preuves s'accumulent et jettent une lumière crue sur ce massacre qui défraye la chronique, dont la clé se tient à Moscou et qui vise en fait la captation par le pouvoir soviétique du mouvement ouvrier français, sa conformation au projet totalitaire. Cette reconstitution menée tambour battant se lit comme un thriller politique. Comme toute oeuvre de mémoire, elle vaut aussi comme un appel à la lucidité sur les dérives actuelles.

01/2024

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