Ils n’attendent pas toujours tapis dans les recoins sombres, sous des lits immenses d’obscurité ni dans les forêts lointaines. Les monstres, c’est nous. Nous les portons en notre sein, les alimentons de nos névroses, de nos désordres : logiquement, ils sortent parfois à l’air libre, respirer l’air du temps. Les monstres de Germano Zullo, ils ont quelque chose de plus effrayant encore : ils sont légion… Et s’ils n’étaient pas terrifiants, on leur prêterait même un peu d’humour…