Mais que diable avait-elle besoin de mettre son nez dans cette affaire, la ministre de la Culture ? Valérie Trierweiler, dont la cote de popularité avait pris du plomb dans l'aile, s'était fendue d'une interview dans Ouest France, expliquant sa position nouvelle, vis-à-vis de son travail, et des contraintes qui s'exerçaient. En somme, elle, journaliste, ne pouvait pas journalister en paix, sous peine d'être prise en flagrant délit de collusion...