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Un dimanche à Ville-d'Avray

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Littérature française

Un dimanche à Ville-d'Avray

"En réalité, sur certains points, Claire Marie me fait penser à ces canards qui ont l'air de glisser sur l'eau mais leurs pattes remuent sous la surface à toute allure. Il y a quelque chose en eux d'un trompe-l'oeil." Un dimanche d'automne, deux soeurs se retrouvent à Ville-d'Avray. Sous le secret d'une vie sage, chacune porte en elle le besoin insatiable de romanesque, découvert enfant à la lecture de Jane Eyre. Encouragée par l'atmosphère trouble et immobile de la fin d'après-midi, Claire Marie se laisse aller aux confidences. Des années plus tôt, elle a vécu une histoire brève et tumultueuse avec un inconnu. Sa soeur découvre alors, stupéfaite, les errances entre les bois et les gares de banlieue, les rendez-vous cachés et les dangers frôlés...

02/2021

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Littérature française

Un dimanche à Ville-d'Avray

Deux soeurs se retrouvent à Ville-d'Avray, un dimanche alors que fléchit la lumière. L'une révèle à l'autre son errance avec un inconnu : une brève histoire, inquiète et trouble comme les eaux des étangs tout proches, mystérieuse et violente comme notre insatiable besoin de romanesque.

09/2019

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Littérature française

Un dimanche à Ville-d'Avray

Deux soeurs se retrouvent à Ville-d'Avray, un dimanche alors que fléchit la lumière. L'une révèle à l'autre son errance avec un inconnu : une brève histoire, inquiète et trouble comme les eaux des étangs tout proches, mystérieuse et violente comme notre insatiable besoin de romanesque.

01/2020

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Non classé

Un dimanche à Saint-Claude

Une ville, une gare, un jour, une heure... Tous les jours, dans la petite gare intimiste de NOUSDEUX, les trains roulent, s'arrêtent à quai, pour y déposer, dans les brumes du matin, les lambeaux colorés du soir, les lumières automnales du jour ou les silences de la nuit, liasses de courriers, baluchons de mots, guirlandes premières de souvenirs, sans lassitude aucune, avec toujours cet entrain juvénile. Oui, de longues épîtres succèdent à des couplets plus courts, mais le refrain d'une rencontre espérée, s'entonne toujours au petit matin de leurs nuits éloignées. Alexandra et Brice, au milieu de leurs géographies séparées par cette contrée, le Calvados, n'ont de cesse de faire chanter et danser leurs plumes, avant le premier rendez-vous galant ! Au bout de tous ces jours d'écriture, joyeuse ou mélancolique, pourront-ils se voir finalement ce dimanche, dans le Jura, à Saint-Claude ? Vont-ils pouvoir, après cette moisson de mots d'automne, conjuguer tous les verbes de leur rencontre, au passé, au présent et sous les oriflammes de demain, non loin de la grange de leurs tout jeunes premiers souvenirs ?

01/2021

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Littérature française

Les dimanches de Jean Dézert

"Les dimanches de Jean Dézert", ou l'histoire du désenchantement. Dézert est un employé de bureau qui s'ennuie ferme et "considère la vie comme une salle d'attente pour voyageurs de troisième classe". Grand amateur du dimanche – un jour "que si peu de personnes comprennent" – et fiancé malheureux de la fille d'un marchand d'objets de pompes funèbres, il n'arrive ni à atteindre le bonheur ni à se suicider par désespoir. C'est un romantique qui n'a pas pris conscience de son romantisme. Il a sans le savoir un désir d'universel et d'absolu mais ne parvient qu'à mener la vie terne de tout un chacun. On devine que ce n'est pas ce lieu commun que Jean de La Ville de Mirmont, auteur des très baudelairiens poèmes de "L'Horizon chimérique" – mis en mélodies par Gabriel Fauré – veut nous imposer dans ce portrait en partie autobiographique, mais plutôt un sens du paradoxe, voir du bouffon au sens que donnait à ce mot le jeune Victor Hugo. Il a un goût marqué pour l'ironie, les formules qui visent au coeur et pour ce que les romantiques allemands appelaient le "Witz", la saillie spirituelle, drôle et dérangeante. Ce qui compte pour cet ami proche de François Mauriac, c'est le style, un style dont l'ironie et la désinvolture font mouche.

02/2023

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Théâtre - Pièces

De dimanche en dimanche

D'ordinaire, les dimanches en famille sont joyeux, faits de siestes réparatrices ou de promenades vivifiantes. D'ordinaire, frères et sœurs sont réunis pour des jeux interminables pendant que les adultes bavardent autour du café. Mais lorsque les parents ne parviennent plus à retirer leur fille des mains d'amis, sortes de nounous provisoires devenues quasi-geôliers trop zélés, tout se dérègle. La tension est palpable. La valise n'est plus le symbole des vacances, mais celui du dimanche de trop où l'on n'a pas su récupérer la petite. L'écriture sensible de Denise Bonal s'accorde merveilleusement à ce tableau impressionniste, tout en pointillés, Dans cette pièce à trois, l'auteure propose un huis clos tendre que les silences de sa langue habillent parfaitement. Ces dimanches laissent les personnages dans un désarroi provisoire et immergent lecteur et spectateur dans un plaisir rare.

06/2005

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