Dans "Au revoir les enfants", film à mes yeux magique, et que je ne regarde jamais sans sentir monter un sanglot, une scène montre un élève lisant la nuit sous une couverture, avec une lampe de poche, bientôt rejoint par un autre. Ils sont en pension, chez les Pères, de bons Pères eux, pas comme ceux que nous dépeint Forton dans son roman "L'épingle du jeu". Le pensionnat, et l'école aussi, c'est la fin de l'enfance.