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Un chef-d'oeuvre des arts d'Afrique. La plateau de Fa, collection Christoph Weickmann, Ulm, 1659

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Dossier

L'oiseau moqueur de Harper Lee, un chef d'oeuvre à la peau dure

L’histoire que raconte Jean Louise Finch, alors âgée de six ans, est devenue l’un des plus grands classiques de la littérature américaine. To Kill a Mockingbird, prix Pulitzer Littérature 1961, un an après sa sortie, est réputé pour son humour et sa chaleur, alors qu’il traite de viol et d’inégalité raciale.

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Dossier

Le centenaire du chef-d’oeuvre de James Joyce, Ulysse

Précédé par une histoire éditoriale tumultueuse et légendaire, Ulysse, le chef-d’œuvre de James Joyce, fête en 2022 le centenaire de sa publication. C'est en France, à Paris, que le récit trouve en effet sa forme définitive, confié aux bons soins de Sylvia Plath.

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Dossier

La collection de livres audio chez Actes Sud

AUDIOLIVRE – La lecture à haute voix, par les auteurs ou par les comédiens, fait depuis longtemps partie de la culture d’Actes Sud. Au-delà du livre imprimé, il s’agit de continuer à servir les textes, de les faire découvrir sous une autre forme, celle de l’oralité.

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Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

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Dossier

7 lieues, la collection d'aventures dans la poche

Les éditions Milan ont choisi de faire chausser des bottes aux jeunes lecteurs, à partir de 7 ans, pour vivre des aventures incroyables. Et pas n’importe quelles bottes : celles de 7 lieues, du nom de leur nouvelle collection. Deux séries ouvrent le bal de cette aventure éditoriale : La Famille Rollmops et ses voyages invraisemblables et La Cabane, une histoire d’enfants, interdite aux grands.

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Dossier

Suites : la collection poche des éditions Métailié

Presque 45 ans d’existence, d’exigence littéraire, plus de 1200 titres au catalogue et un fonds dont la maison d'édition est particulièrement fière, pour vivre et lire passionnément.

Extraits

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Beaux arts

Un chef-d'oeuvre des arts d'Afrique. La plateau de Fa, collection Christoph Weickmann, Ulm, 1659

Dans cet ouvrage, Marlène-Michèle Biton a tenté de mener une enquête sur un plateau de divination provenant des côtes de Guinée, importé il y 350 ans à destination du cabinet de curiosités d'un marchand d'Ulm, Christoph Weickmann. Il s'agit d'abord de replacer cet objet dans son contexte historique et culturel originel et de retrouver les conditions de son arrivée en Europe, à partir de rares témoignages de l'époque du royaume d'Allada et de ses voisins immédiats. Une comparaison avec un ensemble de plateaux plus récents permet d'en saisir les aspects singuliers. L'auteur entreprend également une analyse plastique précise des divers éléments du plateau ouvrant des perspectives sur les modalités de représentations utilisées et l'accès à une mythologie foisonnante. Cette analyse est accompagnée d'hypothèses concernant la date de création de l'objet et de prémices d'une détermination du «style alladien» du XVIIe siècle. L'enquête nous éclaire sur les mises en oeuvre et les significations véhiculées par ce plateau de divination, léguées par un artiste inconnu à travers un luxe de représentations.

04/2015

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Monographies

Chefs d'oeuvre de la collection Bemberg

Véritable cosmopolite d'autrefois, et homme de culture de toujours, Georges Bemberg est l'héritier d'une vieille famille vivant depuis longtemps entre l'Ancien et le Nouveau Monde. Si c'est en 1841 que le banquier Charles-Juste Bugnion achète la campagne de l'Hermitage, située sur une colline dont la vue superbe sur la cathédrale de Lausanne et le lac avait déjà été immortalisée par Camille Corot en 1825, c'est peu d'années plus tard que la famille Bemberg quitte Cologne, en Allemagne, et traverse l'Atlan- tique pour y commencer une nouvelle vie. Georges Bemberg aurait pu être pianiste, compositeur, écrivain, ou encore auteur de théâtre mais, avec une discrétion et un sens du secret qu'il érige en règle de vie, c'est en collectionneur qu'il se consacra à l'art. Jusqu'à ses derniers jours, il partage son temps entre Paris où il réside le plus souvent, New York dont il aime l'énergie et les hivers, et Buenos Aires auquel il garde un attache- ment profond. Né en Argentine en 1915 dans une famille luthérienne d'industriels, il grandit en France. Pianiste talentueux envisageant un temps de devenir compositeur, il choisit Harvard pour ses études afin de rejoindre Nadia Boulanger et côtoyer toute l'élite des compositeurs du xxe siècle. Finalement, il renonce à la carrière musicale, trop exclusive à son goût, pour se lancer dans la création littéraire. Diplômé en littérature comparée anglaise et française, il devient alors un familier des cercles d'écrivains et de poètes de la Nouvelle-Angleterre et rencontre de grands auteurs comme John Dos Passos ou Edmund Wilson. Il publie différents ouvrages et certaines de ses pièces sont jouées avec succès off-Broadway. En Argentine, il fréquente les milieux intellectuels sud-améri- cains et sa cousine Victoria Ocampo lui ouvre sa fameuse revue littéraire SUR. En France, ses nouvelles et poèmes au style subtil et sensible sont favorablement accueillis par la critique. Néanmoins, au-delà de la multiplicité de ses talents, il consacre sa vie à sa passion pour les beaux-arts. De sa famille, généreux mécène à qui l'on doit la Maison de l'Argentine à la Cité universitaire de Paris, et plus particulièrement d'un oncle, élève de Picasso, Georges Bemberg hérite de l'amour de la peinture. C'est à New York, alors âgé d'une vingtaine d'années, qu'il fait l'acquisition d'une gouache de Pissarro, remarquée chez un marchand et obtenue pour 200 dollars. "C'est pour un musée" dit-il, pour cacher sa timidité et anticipant inconsciemment son désir profond. Aux Etats- Unis, puis en France après la guerre, Georges Bemberg se familiarise avec le marché de l'art et parcourt les ventes. A Paris, il est ébloui par Bonnard et va constituer, au fil des ans, un des plus grands ensembles de ce peintre, riche de plus de trente toiles. Il le complètera par un nombre important d'autres signatures de la fin du xixe et du début du xxe siècle, impression- nistes, nabis et fauves. Il réunira également près de deux cents tableaux anciens, du xvie au xviiie siècle, dont des portraits de Clouet, Benson et Cranach. Son amour pour Venise le pousse à collectionner les maîtres vénitiens tels que Canaletto et Guardi. Toutes les formes d'expression artistique le passionnent. Ainsi, de remarquables bronzes de la Renaissance, de splendides reliures, une foule d'objets précieux ou encore des meubles de grands ébénistes viennent s'ajouter à sa collection, qu'il ne va jamais cesser d'enrichir. Dans les années 1980, Georges Bemberg recherche un lieu où abriter sa collection et la partager avec le public, considérantque les beaux objets doivent finir dans un musée pour être vus par tous. C'est ainsi que lui vient l'idée de créer une Fondation, seul moyen de préserver sa collection dans son intégrité, tout en la rendant accessible. La splendeur de l'Hôtel d'Assézat que la municipalité de Toulouse lui propose de mettre à sa disposition, le convainc d'installer sa collection dans la ville. Le voeu du collectionneur peut se réaliser : abriter les oeuvres et les objets témoignant d'une vie tout entière consacrée à la recherche artistique dans un lieu hors du commun. Investi dans la mise en scène de l'oeuvre de sa vie, il crée un décor semblable à celui d'une noble maison particulière, renouant ainsi avec la vocation première de l'hôtel d'Assézat. Ce qui distingue la collection Bemberg et qui en fait tout le charme et la personnalité, c'est qu'elle n'est rien d'autre que le reflet fidèle du goût et du tempérament de son auteur. Celui-ci a choisi chaque tableau, chaque objet, pour la seule beauté et l'émotion que leur contem- plation éveillait en lui. Régulièrement, dans le plus grand anonymat, Georges Bemberg venait voir ses oeuvres installées dans l'écrin qu'il leur avait choisi et, toujours sans se faire connaître, se plaisait à écouter les commen- taires élogieux des visiteurs. Lieu d'exception s'il en est, l'hôtel d'Assézat appartient depuis plus de cent ans à la Ville de Toulouse. Sa construction, qui remonte à la seconde moitié du xvie siècle, est due à Pierre Assézat, négociant ayant fait fortune dans le pastel, plante tinctoriale dont le commerce était alors florissant. Venu d'Espalion, en Aveyron, au début du xvie siècle pour rejoindre ses frères aînés déjà associés à ce commerce, Pierre Assézat en devient l'héritier et le successeur en 1545. Marié à la fille d'un capi- toul, receveur général de la reine douairière Eléonore d'Autriche, il accéde au Capitoulat en 1552. Dès 1551, il commence à acquérir les terrains nécessaires à la construction d'une "grande maison" . Le 26 mars 1555, il conclut un bail à besogne avec le maître-maçon Jean Castagné et l'architecte sculpteur Nicolas Bachelier pour la construction du corps de logis formé de deux ailes perpendiculaires reliées par un escalier. A la mort de Nicolas Bachelier en 1557, son fils Dominique dirige les travaux du pavillon d'entrée, de la galerie ouverte sur la cour et enfin, de la "coursière" 4 qui anime le mur mitoyen aveugle. En 1761, les descendants de Pierre Assézat vendent l'hôtel au baron de Puymaurin, qui modernise façades et appartements. L'hôtel d'Assézat nous parvient donc après deux campagnes de travaux bien distinctes : l'une, datant de la Renaissance, met en place la composition générale, le dessin des façades, la superposi- tion des ordres dorique, ionique et corinthien, l'importance donnée à tous les éléments d'architecture par l'emploi de la pierre ; l'autre, remontant au xviiie siècle, voit les fenêtres à meneaux remplacées par de grandes fenêtres au premier niveau, pour éclairer les salons nouvellement créés. Au xixe siècle, après avoir été transformé en entrepôts et en bureaux, l'hôtel d'Assézat fut acheté par la banque Ozenne et légué en 1895 à la Ville de Toulouse. C'est au terme d'une étude de plusieurs années qu'a pris forme le projet de réhabilitation de l'édifice et son aménagement en vue d'abriter la collection Bemberg. Les travaux, commencés en 1993, se sont achevés début 1995, et la Fondation Bemberg a ouvert ses portes dans un bâti- ment entièrement rénové et réaménagé en fonction de sa nouvelle vocation culturelle. La Fondation Bemberg a réalisé une première extension et une rénovation de ses espaces en 2001, ce qui a permis d'y intégrer de nouveaux espaces comme l'auditorium, les ateliers pédagogiques, etc. A l'issue de près de 25 ans d'activités, le musée nécessite des aménagements plus adaptés à sa fréquen- tation et aux attentes du public, notamment en ce qui concerne l'accueil. Afin d'offrir la meilleure expérience possible à chacun de ses visiteurs, le conseil d'administration de la Fondation Bemberg a décidé d'un ambi- tieux chantier de rénovation, prévu de la fin de l'année 2020 au début 2022. Ce projet est l'aboutissement d'une réflexion en profon- deur sur les aspects techniques et la conser- vation préventive, ainsi que sur les aspects fonctionnels et notamment sur le parcours, les agencements muséographiques, les systèmes d'éclairage ainsi que les dispositifs de média- tion associés. Différents paramètres sont ainsi intégrés : muséographie, architecture, patri- moine, fonctions, et techniques. La Fondation Bemberg ou l'art de se réinventer... A l'heure où cette dernière a fermé ses portes pour un an afin de de se préparer pour une nouvelle vie, elle consent un prêt tout à fait exceptionnel. En effet, depuis sa création, c'est la première fois que la Fondation Bemberg, en dehors des prêts individuels qu'elle pratique toujours avec joie, prête ici une très large sélection des chefs-d'oeuvre de sa collection de peintures. Nul doute que, européen convaincu et amou- reux des beaux lieux, Georges Bemberg aurait apprécié de voir nombre de ses tableaux favoris dans le cadre attachant et romantique de la Fondation de l'Hermitage, en attendant que le rêve de sa vie fasse peau neuve...

03/2021

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Beaux arts

Chefs-d'oeuvre de la Collection Phillips

En 1918, Duncan Phillips décide de créer, dans sa maison familiale de Washington, un musée consacré à l'art moderne et à ses origines, où "chaque élément serait posé à sa place, dans une vision d'ensemble" . Du Greco à Picasso, d'Ingres à Kandinsky, de Chardin à Daumier, Bonnard, Cézanne, Braque ou encore Sam Francis et Paul Klee, il n'aura de cesse, jusque dans les années 1960, de parfaire sa collection, avec la couleur pour principal élément structurant. Et de rassembler des oeuvres en fonction de leurs résonances réciproques, révélant ainsi les liens entre l'art de son temps et celui du passé. Outre son oeuvre phare, le célèbre Déjeuner des canotiers de Renoir, la Collection Phillips est aujourd'hui l'une des plus exceptionnelles par sa cohérence et la qualité des oeuvres.

11/2005

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Histoire de l'art - Guides

Chefs-d'oeuvre. La collection Cini

L'Hôtel de Caumont - centre d'art d'Aix-en-Provence fait voyager ses visiteurs à Venise en présentant une sélection des chefs-d'oeuvre de la collection Cini, l'une des plus importantes collections d'art ancien italien. Les peintures, sculptures, dessins et objets précieux présentés et reproduits dans cet ouvrge, font partie de l'un des plus prestigieux ensembles d'art italien, du XVIe au XVIIIe siècle, réuni par l'entrepreneur et philanthrope Vittorio Cini (Ferrare 1885 - Venise 1977). En 1951, ce dernier crée la Fondation Giorgio Cini, centre de recherche et formation de réputation internationale, intitulé à la mémoire de son fils, décédé prématurément. Aujourd'hui, la collection Cini est répartie entre la Galerie du Palazzo Cini, ancienne résidence du collectionneur sur le Canal Grande, et l'important siège de la Fondation Giorgio Cini, sur l'île vénitienne de San Giorgio Maggiore. A côté des grands noms de la peinture toscane - Botticelli, Fra Angelico, Filippo Lippi, Piero di Cosimo - et vénitienne, comme Lorenzo et Giandomenico Tiepolo, l'exposition présente des pièces maîtresses de la Renaissance ferraraise. Complétée par une sélection de sculptures, émaux et ivoires, ainsi que par un choix de dessins et enluminures, l'exposition et le catalogue qui l'accompagne rendent compte de toute la variété technique et stylistique d'une époque florissante de l'art italien, ainsi que du goût raffiné de l'un de plus importants collectionneurs italiens du XXe siècle.

11/2021

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Histoire de l'art

Chefs-d'oeuvre de la collection Al Thani

Un florilège des principaux chefs d'oeuvres de la prestigieuse collection Al Thani, à l'Hôtel de la Marine. L'Hôtel de la Marine, qui ouvrira ses portes pour la première fois en juillet 2020, sera l'écrin des trésors de la collection Al Thani, l'une des plus prestigieuses au monde. Fruit d'un accord de mécénat exceptionnel entre le Centre des monuments nationaux et la Fondation collection Al Thani, l'ancien Garde-Meuble royal reprendra dès son ouverture ses fonctions séculaires de lieu d'exposition en accueillant dans 400 m2 - et pour les vingt prochaines années ! - les richesses historiques de cette collection unique. L'atelier Tsuyoshi Tane Architects a été choisi pour dessiner les nouveaux espaces d'exposition au sein du monument. Ce volume de la collection " Regards " présente les 40 plus belles oeuvres de la collection : composée de plus de 6 000 oeuvres témoignant de nombreuses civilisations de l'Antiquité à nos jours ; elle n'avait jamais été exposée ainsi aux yeux du grand public, dans toute sa diversité. Ivoires assyriens, objets précieux sassanides, ornements moghols, commandes britanniques exceptionnelles du XIXe siècle... une diversité prodigieuse d'objets uniques est ici dévoilée. Historiens et spécialistes font entrer le lecteur curieux comme l'amateur averti dans l'histoire et l'élaboration minutieuse de ces objets.

11/2021

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Beaux arts

Chefs-d'oeuvre d'Afrique dans les collections du musée Dapper

Des pièces majeures, qui pour certaines d'entre elles n'ont pas d'équivalent dans le monde, sont réunies pour la première fois dans un ouvrage de référence publié en hommage à Michel Leveau, le fondateur du musée Dapper. Un de ses articles, "La découverte des figures de reliquaire dites kota" (Gabon), est réédité ici. Nombre de ces objets ont appartenu auparavant à des grands noms ayant marqué la reconnaissance des arts non occidentaux au début du XXe siècle - Paul Guillaume, Jacob Epstein, Charles Ratton... Remarquables par leur qualité esthétique, les quelque cent trente oeuvres reproduites - masques, statues, statuettes, insignes et parures - témoignent de la richesse des pratiques artistiques de l'Afrique subsaharienne. Leurs fonctions politiques, sociales et religieuses sont éclairées par les analyses de spécialistes reconnus, anthropologues, ethnolinguistes ou historiens de l'art Alain-Michel Boyer, Jean-Paul Colleys, Christiane Falgayrettes-Leveau, Christiane Owusu-Sarpong, Anne van Cutsem-Vanderstraete et Jean-Pierre Warnier. Chaque auteur a rédigé pour ce catalogue, qui s'articule en deux grandes sections - Afrique centrale et Afrique de l'Ouest -, un texte de présentation général suivi de notices dans lesquelles il a résumé l'essentiel de ses connaissances sur le sujet. Ce livre permettra à chaque lecteur, spécialiste, simple amateur ou néophyte, d'entreprendre un voyage riche de découvertes à travers l'univers des formes et des spiritualités que les cultures africaines nous proposent en partage.

09/2015

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