Quatre ans après Un certain M. Piekielny qui lui valut, comme ses précédents, un certain succès (près de 45.400 exemplaires vendus, selon Edistat), François-Henri Désérable sort un roman au titre verlainien : Mon Maître et mon vainqueur (Gallimard). Blogs, sites, presse, Insta : tout le petit monde s’accorde pour le couvrir de bouquets de houx vert et de bruyère en fleur. Sauf que moi, dès l’aube, à l’heure où blanchit la rentrée littéraire, j’en ai marre.