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Un certain Lucas

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Littérature sud-américaine

Un certain Lucas

Saviez-vous que les chats étaient des téléphones ? Que les tables lèvent le pied quand elles se retrouvent seules ? Que l'avenir de la natation sportive réside dans des piscines remplies de farine ? Et combien il est difficile de tuer l'hydre de nos obsessions et de conserver malgré tout quelque chose de soi ? N'osant s'autoriser l'autobiographie, Julio Cortázar utilise des subterfuges. Le voici qui nous offre un tour de Lucas en cinquante saynètes. Autant de courts textes qui lient la réflexion métaphysique à la farce et nous offrent la plus jouissive des leçons : comment faire un pied de nez au sérieux ?

02/2014

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Suspense romantique

Luca

Je suis parti parce que je n'avais pas le choix... C'est ce que je me tue à me dire, mais cela ne m'aide pas à dormir la nuit... ni à oublier les mots qu'il ne cessait de répéter le jour où nous nous sommes rencontrés : "Je veux juste rentrer chez moi". C'était il y a huit longues années et je ne l'avais connu que sous le nom de Billy, un adolescent terrifié de quatorze ans que j'avais dû laisser derrière moi pour sauver quelqu'un d'autre. Mais son nom n'était pas Billy et il n'est plus un enfant effrayé perdu dans un monde où il n'était rien de plus qu'une possession. Il s'appelle Remy, et si je ne l'ai pas reconnu tout de suite, il se souvient de moi, c'est certain. Il serait plus facile de lui tourner le dos une seconde fois, d'autant plus que c'est exactement ce qu'il souhaite, mais il est hors de question que je laisse partir ce jeune homme tourmenté. Du moins, pas sans avoir essayé d'arranger les choses. Le problème, c'est que même si je peux me racheter d'être parti, je ne suis pas certain d'être capable de m'éloigner de lui à nouveau. Je ne sais pas ce que cela signifie, mais je sais que cela m'effraie au plus haut point. Parce que dans mon monde, tout se paie à un prix élevé... un prix que je ne peux pas me permettre de payer.

12/2023

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Une famille chrétienne, Mr Lucas, 1823-1901 et Mme Lucas, 1832-1902

Une famille chrétienne : Mr et Mme Lucas... (1823-1901) (1832-1902) / L'Abbé H. Lethimonnier Date de l'édition originale : 1910 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

12/2021

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Non classé

Lucas veut faire de la danse

Dans la bande des Inséparables, il y a Parfait, Léa, Aminata, Lucas, Tom et Juliette. D'origines et de milieux différents, ces amis vivent dans le même quartier et partagent les joies, les questionnements et les petits tracas du quotidien. Parce qu'à huit ans, même si on est déjà grand, la vie peut parfois être compliquée ! Heureusement, les Inséparables peuvent compter sur la complicité qui les unit et le soutien des adultes qui les entourent. C'est en regardant la télévision avec sa soeur que Lucas découvre, fasciné, la danse classique. Son papa, ravi, l'inscrit aussitôt à des cours : le ballet, c'est pour tout le monde, garçon et filles. Au début, son copain Tom ne comprend pas bien : pour lui, les garçons qui font du ballet, ce ne sont pas de vrais garçons ! Mais Léa qui joue au rugby et Aminata qui apprend la boxe le convainquent rapidement du contraire. Lucas s'amuse beaucoup à la danse, et il y est très doué ! Mais peu à peu, les moqueries de certains de ses camarades commencent à l'atteindre, et il trouve des prétextes pour ne plus y aller. C'est le soutien de sa famille et de ses amis qui lui redonneront du courage et de la force. Ca tombe bien, le courage et la force, ce sont de supers qualités pour un danseur !

09/2021

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Littérature française

Le grand chef des aucas

Il y a trente ou quarante ans, alors qu'on mettait près de quinze jours pour se rendre de Paris à Marseille, et qu'on n'était pas toujours sûr d'arriver à destination, il fallait être doué d'une certaine dose de courage pour se risquer de pro- pos délibéré sur un navire à vapeur partant à la découverte. Les pays étrangers étaient entourés d'une auréole mysté- rieuse qui faisait regarder comme des êtres à part ceux que le besoin d'aventures ou le désir d'apprendre poussaient vers les régions inconnues. Aujourd'hui, grâce à la vapeur et aux chemins de fer, les distances n'existent plus ; le besoin de changer de place est devenu général, et tous, grands ou petits, riches ou pauvres, s'élancent à qui mieux mieux vers les régions éloi- gnées. Qui n'a fait au moins, une fois dans sa vie le tour du monde ? Seulement, comme l'a dit un grand poète contempo- rain, aujourd'hui on ne voyage plus, on arrive. En effet, les pays qui séparent le point de départ de celui de l'arrivée, demeurent supprimés, un coin du voile seulement est sou- levé, et la curiosité vivement excitée se tourne de plus en plus vers ces contrées lointaines entrevues à peine à travers des nuages de vapeur et de fumée. A l'époque où M. Aimard a entrepris ses voyages, la va- peur n'était encore que dans l'enfance et les chemins de fer n'existaient pas.

02/2023

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Littérature française

Le grand chef des aucas

Il y a trente ou quarante ans, alors qu'on mettait près de quinze jours pour se rendre de Paris à Marseille, et qu'on n'était pas toujours sûr d'arriver à destination, il fallait être doué d'une certaine dose de courage pour se risquer de pro- pos délibéré sur un navire à vapeur partant à la découverte. Les pays étrangers étaient entourés d'une auréole mysté- rieuse qui faisait regarder comme des êtres à part ceux que le besoin d'aventures ou le désir d'apprendre poussaient vers les régions inconnues. Aujourd'hui, grâce à la vapeur et aux chemins de fer, les distances n'existent plus ; le besoin de changer de place est devenu général, et tous, grands ou petits, riches ou pauvres, s'élancent à qui mieux mieux vers les régions éloi- gnées. Qui n'a fait au moins, une fois dans sa vie le tour du monde ? Seulement, comme l'a dit un grand poète contempo- rain, aujourd'hui on ne voyage plus, on arrive. En effet, les pays qui séparent le point de départ de celui de l'arrivée, demeurent supprimés, un coin du voile seulement est sou- levé, et la curiosité vivement excitée se tourne de plus en plus vers ces contrées lointaines entrevues à peine à travers des nuages de vapeur et de fumée. A l'époque où M. Aimard a entrepris ses voyages, la va- peur n'était encore que dans l'enfance et les chemins de fer n'existaient pas.

02/2023

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